PaSSeReLLe - e-monsitestjacquesengrandeseille.e-monsite.com/medias/files/f.p...2008/05/16  · film...

2
PaSSeReLLe http://stjacquesengrandeseille.e-monsite.com Centre pastoral 127 rue de Metz 57155 MARLY - 03 87 62 35 03 - [email protected] 8 Mai 2016 PERMANENCES Au presbytère de Marly : Mardi de 16h à et 18h ; Samedi de 11h à 12h A la sacristie de Magny : Mardi de 10h à 11h - A la sacristie d’Augny : Vendredi de 9h30 à 11h La Passion d’Augustine Bienvenue dans cet univers musical et féminin. Tout le film est porté par des mélodies, des gammes, des chants, qui accompagnent et portent le spectateur du début à la fin, à bon escient. Ici, Bach, Schubert, Chopin, Liszt, Beethoven, à moins que ce ne soient leurs œuvres – l’Étude op. 10 n°3 en mi majeur de Chopin, le Prélude en do mineur de J.S. Bach, le Liebestraüm de Liszt… – sont des personnages à part entière ! Et les pianistes dont on admire la virtuosité sont de vraies musiciennes, en particulier Lysandre Mesnard qui incarne à la perfection, Alice Champagne, jeune pensionnaire rebelle, pianiste prodigue et, qui plus, nièce de la mère supérieure du couvent, Sœur Augustine – l’actrice Céline Bonnier, formidable. Ce couvent est unique en son genre : c’est un joyau musical qui rafle tous les grands prix de piano. Les religieuses du Sacré-Cœur qui y enseignent ou y travaillent aiment ce lieu même si elles ne partagent pas forcément toutes la passion de leur mère supérieure : « Il n’y en a que pour la musique ici », soupire Sœur Lise, qui enseigne le français, en voyant un piano flambant neuf débarquer. Et quand une élève lui demande de quel instrument elle joue, la religieuse de répondre, un brin agacée : « L’orgue le plus majestueux qui soit : la langue française ! ». La musique est la clé de voûte de ce couvent unique en son genre, et c’est en musique que sœur Augustine se décide à lutter pour sa survie. Car le Québec connaît ce qu’on a appelé la Révolution tranquille, et parmi les changements qui surviennent, il y a la création d’un ministère de l’Education : jusque là payante et gérée par le clergé, qu’il soit catholique ou protestant, l’éducation sera désormais prise en charge par le ministère qui crée des écoles publiques gratuites. C’est la fin d’un système et avec lui, la fin de nombreuses écoles religieuses. L’évêque en personne est venu prévenir les religieuses : « Le modernisme nous attaque de toute part… » Le soir, à la radio, tandis que les religieuses jouent aux cartes, on parle pilule et régulation des naissances… Avec Vatican II, les religieuses sont amenées à simplifier leur tenue vestimentaire et à tomber le voile. La réalisatrice a construit autour de cet événement historique une séquence poignante : au son de l’opéra Didon et Énée d’Henry Purcell, on voit tour à tour quelques unes des sœurs du Sacré-Cœur abandonner leur voile, avec force douleur et résignation, avant de renaître sous le Gloria de Vivaldi. « Je me sens nue », confient plusieurs religieuses… Mais c’est décidé, le dégel de la société ne se fera pas sans elles. La première partie du film nous renvoie des images d’hiver enneigé, radieux, où les couleurs chaudes de la brique du couvent, des manteaux et bonnets de ses pensionnaires, contrastent avec la luminosité du blanc presque aveuglant. À l’image aussi, l’hiver se termine, le manteau neigeux disparaît, sous la glace qui fond, le Richelieu reprend vie, le printemps éclot et avec lui d’autres couleurs. Il est temps pour les sœurs de renaître autrement, de prendre leur destin en main, à l’image d’Augustine ou d’Alice, qui se soucie peu des convenances et n’hésite pas à revisiter Bach par le jazz ! Religieuses et élèves s’organisent pour éviter la fermeture : elles ouvrent les portes du couvent pour montrer au monde extérieur, journalistes et politiques en tête, ce qu’elles savent faire de mieux : de la musique. « On va se battre, au nom de nos convictions, pour nos filles, pour la musique et parce que j’aime profondément ce couvent », confie Augustine aux sœurs du couvent. Puis viendra l’heure du concours provincial de musique, l’heure de vérité pour la jeune Alice et pour sa tante… Si le scénario et la réalisation restent très classiques, l’histoire est magnifiée par des comédiennes talentueuses et sublimée par des belles images – les mains qui courent sur le piano, les visages des musiciennes –, les émotions servies par la musique – sous la direction magistrale de François Dompierre. Seul bémol : on parle finalement assez peu de foi dans ce couvent. « Ici nos filles apprennent que la musique peut être une prière pour l’âme, qu’elle peut chasser la haine à ceux qui sont sans amour, qu’elle peut donner la paix à ceux qui sont sans repos », déclame Mère Augustine lors de la journée portes-ouvertes au couvent. Et certes, comme elle le dit aussi, les religieuses mettent la foi au service de la musique. Mais qu’en est-il de leur foi à elles ? De-ci de-là, on saisit des bribes de leur vie d’avant le couvent, des raisons qui ont motivé leur vocation, et elles ne sont pas forcément spirituelles, comme c’était sûrement le cas pour nombre de jeunes femmes à l’époque. Et c’est sans doute une toute autre histoire… Ce film de la réalisatrice canadienne Léa Pool, a obtenu le prix du public au Festival du film francophone d’Angoulême 2015 et lors des rencontres cinématographiques de Cannes 2015 et le trophée du meilleur film au 18e Gala du cinéma québécois. sources : aleteia.org repris par le site de la COREF A Marlymages : Mercredi 11 Mai 2016 à 16h30 Vendredi 13 Mai à 20h30 Samedi 14 Mai à 17h00

Transcript of PaSSeReLLe - e-monsitestjacquesengrandeseille.e-monsite.com/medias/files/f.p...2008/05/16  · film...

Page 1: PaSSeReLLe - e-monsitestjacquesengrandeseille.e-monsite.com/medias/files/f.p...2008/05/16  · film est porté par des mélodies, des gammes, des chants, qui accompagnent et portent

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

CELEBRATIONS du 07 au 22 novembre 2015

Samedi  0732ème  TOSamedi  0732ème  TOSamedi  0732ème  TO

18  h  30  AUGNY18  h  30  AUGNY

Familles  KOEHL  –  PROCH  ;  Famille  BAILLOT  ;  Victor  et  Marie  HENNER  et  famille.  Epoux  LEFEBVRE  et  famille

Familles  KOEHL  –  PROCH  ;  Famille  BAILLOT  ;  Victor  et  Marie  HENNER  et  famille.  Epoux  LEFEBVRE  et  famille

Dimanche  08Fête  Patronale

Dimanche  08Fête  Patronale

Dimanche  08Fête  Patronale

9  h  30CUVRY9  h  30CUVRY

Familles  SINTEFF-­‐HABRANTFamilles  SINTEFF-­‐HABRANT

Dimanche  08Fête  Patronale

Dimanche  08Fête  Patronale

Dimanche  08Fête  Patronale

9  h  30MAGNY9  h  30MAGNY

Charles  JACQUESCharles  JACQUES

Dimanche  0832ème  TO

Dimanche  0832ème  TO

Dimanche  0832ème  TO

11  hMARLY11  hMARLY

Simon  VIRICH;  Prêtres  défunts;  Père  Jean  PEIFFERT  et  dfts  famille  JACQUARD  ;  Familles  BOURDEAUX-­‐SCHOUMANN.  Denis  GODFROY  ;  Simon  VIRICH;  

Simon  VIRICH;  Prêtres  défunts;  Père  Jean  PEIFFERT  et  dfts  famille  JACQUARD  ;  Familles  BOURDEAUX-­‐SCHOUMANN.  Denis  GODFROY  ;  Simon  VIRICH;  

Lundi  098  h  45  Coin  les  Cuvry8  h  45  Coin  les  Cuvry8  h  45  Coin  les  Cuvry8  h  45  Coin  les  Cuvry8  h  45  Coin  les  Cuvry

Pour  tous  les  fidèles  défunts

Mardi  108  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY Âmes  du  PurgatoireMercredi  11

9  h  30  MARLY9  h  30  MARLY9  h  30  MARLY9  h  30  MARLY9  h  30  MARLY Victimes  des  Guerres

Jeudi  12 18  H  30  MARLY18  H  30  MARLY18  H  30  MARLY18  H  30  MARLY18  H  30  MARLY Familles  LINTZ-­‐HELSTROFFER

Vendredi  13

18  H  30  MAGNY18  H  30  MAGNY18  H  30  MAGNY18  H  30  MAGNY18  H  30  MAGNY Pour  un  groupe  de  prières

Samedi  1433ème  TO

Samedi  1433ème  TO

18  h  30POUILLY

18  h  30POUILLY

René  GRANDIDIERRené  GRANDIDIERRené  GRANDIDIER

Dimanche  Souvenir  Français

Dimanche  Souvenir  Français

9  H  30MAGNY9  H  30MAGNY

Familles  DURAES-­‐COSTA-­‐FERNANDEZ  ;  Catherine  STEPHANUS  ;  Joséphine  et  Pierre  SPAETER  ;  Marie  TISSIER  ;  Joao  CORREIA,  Familles  SCHUTZ-­‐MOREL  ;  Famille  BARTHEN

Familles  DURAES-­‐COSTA-­‐FERNANDEZ  ;  Catherine  STEPHANUS  ;  Joséphine  et  Pierre  SPAETER  ;  Marie  TISSIER  ;  Joao  CORREIA,  Familles  SCHUTZ-­‐MOREL  ;  Famille  BARTHEN

Familles  DURAES-­‐COSTA-­‐FERNANDEZ  ;  Catherine  STEPHANUS  ;  Joséphine  et  Pierre  SPAETER  ;  Marie  TISSIER  ;  Joao  CORREIA,  Familles  SCHUTZ-­‐MOREL  ;  Famille  BARTHEN

MAGNYMAGNY 10  h  3010  h  30 Baptême  d’EmmaBaptême  d’EmmaBaptême  d’EmmaDimanche33ème  TO

Dimanche33ème  TO

11  H  MARLY11  H  MARLY

Achille  TONDON  ;  Familles  CHAROY-­‐PIERRON  ;  Jean  RIMLINGER  et  famille  ;  Emilie  et  Jean  BECKER

Achille  TONDON  ;  Familles  CHAROY-­‐PIERRON  ;  Jean  RIMLINGER  et  famille  ;  Emilie  et  Jean  BECKER

Achille  TONDON  ;  Familles  CHAROY-­‐PIERRON  ;  Jean  RIMLINGER  et  famille  ;  Emilie  et  Jean  BECKER

PaSSeReLLehttp://stjacquesengrandeseille.e-monsite.com

Centre pastoral127 rue de Metz 57155 MARLY - 03 87 62 35 03 -

[email protected]

8 Mai 2016

PERMANENCES Au presbytère de Marly : Mardi de 16h à et 18h ; Samedi de 11h à 12h

A la sacristie de Magny : Mardi de 10h à 11h - A la sacristie d’Augny : Vendredi de 9h30 à 11h

La Passion d’Augustine

Bienvenue dans cet univers musical et féminin. Tout le film est porté par des mélodies, des gammes, des chants, qui accompagnent et portent le spectateur du début à la fin, à bon escient. Ici, Bach, Schubert, Chopin, Liszt, Beethoven, à moins que ce ne soient leurs œuvres – l’Étude op. 10 n°3 en mi majeur de Chopin, le Prélude en do mineur de J.S. Bach, le Liebestraüm de Liszt… – sont des personnages à part entière ! Et les pianistes dont on admire la virtuosité sont de vraies musiciennes, en particulier Lysandre Mesnard qui incarne à la perfection, Alice Champagne, jeune pensionnaire rebelle, pianiste prodigue et, qui plus, nièce de la mère supérieure du couvent, Sœur Augustine – l’actrice Céline Bonnier, formidable. Ce couvent est unique en son genre : c’est un joyau musical qui rafle tous les grands prix de piano. Les religieuses du Sacré-Cœur qui y enseignent ou y travaillent aiment ce lieu même si elles ne partagent pas forcément toutes la passion de leur mère supérieure : « Il n’y en a que pour la musique ici », soupire Sœur Lise, qui enseigne le français, en voyant un piano flambant neuf débarquer. Et quand une élève lui demande de quel instrument elle joue, la religieuse de répondre, un brin agacée : « L’orgue le plus majestueux qui soit : la langue française ! ». La musique est la clé de voûte de ce couvent unique en son genre, et c’est en musique que sœur Augustine se décide à lutter pour sa survie. Car le Québec connaît ce qu’on a appelé la Révolution tranquille, et parmi les changements qui surviennent, il y a la création d’un ministère de l’Education : jusque là payante et gérée par le clergé, qu’il soit catholique ou protestant, l’éducation sera désormais prise en charge par le ministère qui crée des écoles publiques gratuites. C’est la fin d’un système et avec lui, la fin de nombreuses écoles religieuses. L’évêque en personne est venu prévenir les religieuses : « Le modernisme nous attaque de toute part… » Le soir, à la radio, tandis que les religieuses jouent aux cartes, on parle pilule et régulation des naissances… Avec Vatican II, les religieuses sont amenées à simplifier leur tenue vestimentaire et à tomber le voile. La réalisatrice a construit autour de cet événement historique une séquence poignante : au son de l’opéra Didon et Énée d’Henry Purcell, on voit tour à tour quelques unes des sœurs du Sacré-Cœur abandonner leur voile, avec force douleur et résignation, avant de renaître sous le Gloria de Vivaldi. « Je me sens nue », confient plusieurs religieuses…

Mais c’est décidé, le dégel de la société ne se fera pas sans elles. La première partie du film nous renvoie des images d’hiver enneigé, radieux, où les couleurs chaudes de la brique du couvent, des manteaux et bonnets de ses pensionnaires, contrastent avec la luminosité du blanc presque aveuglant. À l’image aussi, l’hiver se termine, le manteau neigeux disparaît, sous la glace qui fond, le Richelieu reprend vie, le printemps éclot et avec lui d’autres couleurs. Il est temps pour les sœurs de renaître autrement, de prendre leur destin en main, à l’image d’Augustine ou d’Alice, qui se soucie peu des convenances et n’hésite pas à revisiter Bach par le jazz !Religieuses et élèves s’organisent pour éviter la fermeture : elles ouvrent les portes du couvent pour montrer au monde extérieur, journalistes et politiques en tête, ce qu’elles savent faire de mieux : de la musique. « On va se battre, au nom de nos convictions, pour nos filles, pour la musique et parce que j’aime profondément ce couvent », confie Augustine aux sœurs du couvent. Puis viendra l’heure du concours provincial de musique, l’heure de vérité pour la jeune Alice et pour sa tante…

Si le scénario et la réalisation restent très classiques, l’histoire est magnifiée par des comédiennes talentueuses et sublimée par des belles images – les mains qui courent sur le piano, les visages des musiciennes –, les émotions servies par la musique – sous la direction magistrale de François Dompierre. Seul bémol : on parle finalement assez peu de foi dans ce couvent. « Ici nos filles apprennent que la musique peut être une prière pour l’âme, qu’elle peut chasser la haine à ceux qui sont sans amour, qu’elle peut donner la paix à ceux qui sont sans repos », déclame Mère Augustine lors de la journée portes-ouvertes au couvent. Et certes, comme elle le dit aussi, les religieuses mettent la foi au service de la musique. Mais qu’en est-il de leur foi à elles ? De-ci de-là, on saisit des bribes de leur vie d’avant le couvent, des raisons qui ont motivé leur vocation, et elles ne sont pas forcément spirituelles, comme c’était sûrement le cas pour nombre de jeunes femmes à l’époque. Et c’est sans doute une toute autre histoire…Ce film de la réalisatrice canadienne Léa Pool, a obtenu le prix du public au Festival du film francophone d ’ A n g o u l ê m e 2 0 1 5 e t l o r s d e s r e n c o n t r e s cinématographiques de Cannes 2015 et le trophée du meilleur film au 18e Gala du cinéma québécois.

sources : aleteia.org repris par le site de la COREF

A Marlymages : Mercredi 11 Mai 2016 à 16h30 Vendredi 13 Mai à 20h30 Samedi 14 Mai à 17h00

Page 2: PaSSeReLLe - e-monsitestjacquesengrandeseille.e-monsite.com/medias/files/f.p...2008/05/16  · film est porté par des mélodies, des gammes, des chants, qui accompagnent et portent

A NE PAS MANQUER

mardi 10 mai à 9 h, nettoyage de printemps de l’église d’Augny... toutes les bonnes volontés sont attendues pour nettoyer l’église de nos grandes fêtes.

Mercredi 11 mai à 20 h 30 au centre Saint Brice à Marly, rencontre générale des parents dont un enfant va faire sa communion

Vendredi 13 mai, rencontre générale de la préparation au baptême à 20 h 30 au centre Saint Brice à Marly

LA PASSION D'AUGUSTINE à Marlymages : Mercredi 11 Mai à 16h30Vendredi 13 Mai 2016 à 20h30 et Samedi 14 Mai à 17h00

PAROLE DE DIEU Apocalypse 22,12-14.16-17.20

Le livre de l’Apocalypse inspire nos e s p a c e s l i t u r g i q u e s ( p e i n t u r e s , enluminures, sculptures, plan d’édifices (comme à la cathédrale Saint Jean de Besançon, à Saint Benoît sur Loire...) et sans oublier la célèbre tapisserie d’Angers. La traduction œcuménique de la Bible parle d’un épilogue pour introduire l’extrait de ce jour. Ne s’agit-il pas plutôt d’un « Avent »… une attente dynamique… liturgique. En effet, nous trouvons l’un des deux emplois dans la Bible du mot « Maranatha ». Cette expression araméenne peut signifier « Viens Seigneur » ou « le Seigneur vient »… Il s’agit vraisemblablement d’une acclamation liturgique au même titre que l’expression « Alléluia » ou « Hosanna » ou aujourd’hui « kyrie e l e i s o n » l o r s d e l a d é m a r c h e pénitentielle.Ce « maranatha » introduit un souhait final de « grâce » comme dans 1 Co 16,22. La nouvelle traduction liturgique passe sous silence les versets qui

précèdent. Or, comme dans la lettre aux Corinthiens, ils sont menaçants : celui qui n’aime pas qu’il soit anathème, et il n’aura pas accès à l’arbre de la vie ni à la ville sainte. Nous retrouvons la même démarche dans un texte connu comme un enseignement des douze Apôtres : « La Didachè ». Au chapitre 10 consacré à l’eucharistie, un dialogue entre l’officiant et la communauté suit le même plan : « souhait de grâce, menace et Maranatha ». Nous sommes ici devant une acclamation qui nous décrit comment les premiers chrétiens priaient. La peur n’a pas de prise sur eux puisque le Seigneur vient. Dans la langue sémitique cela signfie qu’il est là. Pour cela, l’image de l’arbre peut nous y aider. Oui, la foi est comme un arbre qui rejetera si l’on en croit la littérature apocalyptique. Nous trouvons cette thématique dans le livre de Daniel (chap 4) : le roi Nabuchodonosor rêve d’un grand arbre que l’on va abattre, mais on laisse la souche dans le sol. Daniel lui prédit un rejeton… Ceci est magnifiquement illustré dans un manuscrit catalan (La Seu d’Urgel/Lerida). C’est l’arbre de Jessé qui refleurit… (Isaïe 11,1) et d’ailleurs Jésus qui prend liturgiquement la parole (Apoc 22,16) l’affirme : il est le rejeton de David. L’arbre, au tout début de la Bible, dans le livre de la Genèse, s’élève à nouveau dans le ciel biblique, dans ces derniers versets de l’Apocalypse. C’est le même arbre qui étend ses branches et plonge ses racines dans la foi. « Maranatha, maranatha le Seigneur vient », il est l’alpha et l’oméga… il est un arbre de lumière comme nous le rappelle le cierge pascal dans nos églises, représentation « enflammée » de Jésus le Christ Ressuscité. Pensons à prier devant le Cierge pascal, arbre de l’espérance qui éclaire les baptêmes et les funérailles chrétiennes et nos célébrations eucharistique jusqu’à la Pentecôte. Maranatha. Amen.

Thierry MIN

CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016CELEBRATIONS du 7 Mai au 21 Mai 2016Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Défunts de la semaine : André ORY (Magny) ;

André BUTEAU, Marie-Andrée CROUTSCH (Marly)Samedi 7Samedi 7Samedi 7 18  h  30

AUGNY18  h  30AUGNY

Famille LORRAIN GIRRARD PICARD ; Patricia et Thierry KOCHEM ; Camille et Joëlle RICHARD ; Rachel MANZULLINO

Famille LORRAIN GIRRARD PICARD ; Patricia et Thierry KOCHEM ; Camille et Joëlle RICHARD ; Rachel MANZULLINO

Dimanche 8Dimanche 8Dimanche 8 9  h  30CUVRY9  h  30CUVRY

Messe10 h 30 Baptêmes Joy, Léo et MaelieMesse10 h 30 Baptêmes Joy, Léo et Maelie

Dimanche 8Quête ChauffageDimanche 8

Quête ChauffageDimanche 8

Quête Chauffage9  h  30MARLY9  h  30MARLY

Père Robert FURGAUX ; Emilie et Jean BECKER ; pour les victimes de 39-45Père Robert FURGAUX ; Emilie et Jean BECKER ; pour les victimes de 39-45

Dimanche 8 Quête Equ.St Vincent

Dimanche 8 Quête Equ.St Vincent

Dimanche 8 Quête Equ.St Vincent

11  hMAGNY11  h

MAGNYLundi 9 8  h  45  Coin  les  

Cuvry8  h  45  Coin  les  

Cuvry8  h  45  Coin  les  

Cuvry8  h  45  Coin  les  

Cuvry8  h  45  Coin  les  

CuvryMardi 10 8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY Messe

Mercredi 11 8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY8  h  45  MARLY MesseJeudi 12 18  h  30  MARLY

suivie  de  l’adoration18  h  30  MARLYsuivie  de  l’adoration18  h  30  MARLYsuivie  de  l’adoration18  h  30  MARLYsuivie  de  l’adoration18  h  30  MARLYsuivie  de  l’adoration

Messe

Vendredi 13 14  h  30  MARLY18  h  30  MAGNY14  h  30  MARLY18  h  30  MAGNY14  h  30  MARLY18  h  30  MAGNY14  h  30  MARLY18  h  30  MAGNY14  h  30  MARLY18  h  30  MAGNY

Chapelet Messe

Samedi 14Samedi 14 MARLY15  h  3016  h  45

MARLY15  h  3016  h  45

mariage de Sébastien FREAU et Adeline SISTIAGAMesse Val de Seille : Blanche et Jacques SENEGAL, famille SERRIER

mariage de Sébastien FREAU et Adeline SISTIAGAMesse Val de Seille : Blanche et Jacques SENEGAL, famille SERRIER

mariage de Sébastien FREAU et Adeline SISTIAGAMesse Val de Seille : Blanche et Jacques SENEGAL, famille SERRIER

Samedi 14Samedi 14 MAGNY17  h

MAGNY17  h

Mariage Anaïs LABRADO et Christophe HUAUXMariage Anaïs LABRADO et Christophe HUAUXMariage Anaïs LABRADO et Christophe HUAUX

Samedi 14PENTECÔTE

Samedi 14PENTECÔTE

FLEURY18  h  30FLEURY18  h  30

Messe Messe Messe

Dimanche 15 PENTECÔTEDimanche 15

PENTECÔTE9  h  30MAGNY9  h  30MAGNY

Catherine STEPHANUS et famille ; Famille BILLET - MERCY ; intention particulière.Catherine STEPHANUS et famille ; Famille BILLET - MERCY ; intention particulière.Catherine STEPHANUS et famille ; Famille BILLET - MERCY ; intention particulière.

Dimanche 15Dimanche 15 10  h  30AUGNY10  h  30AUGNY

Baptêmes Gwenael et ValentinBaptêmes Gwenael et ValentinBaptêmes Gwenael et Valentin

Dimanche 15PENTECÔTEDimanche 15

PENTECÔTE11  hMARLY12  h

11  hMARLY12  h

Monique WAGNER

Baptêmes Louka et Thiago

Monique WAGNER

Baptêmes Louka et Thiago

Monique WAGNER

Baptêmes Louka et ThiagoSamedi 21Samedi 21 16  h  45

MARLY16  h  45MARLY

Messe Val de Seille17 h Mariage Mehdi BATTIKH et Jennifer FOUBETMesse Val de Seille17 h Mariage Mehdi BATTIKH et Jennifer FOUBETMesse Val de Seille17 h Mariage Mehdi BATTIKH et Jennifer FOUBET

Samedi 21Samedi 21 18  h  30AUGNY18  h  30AUGNY

Nicole MULLER ; Catherine MIERICKE ; Madeleine SCHOUMANN ; Conchetta CIMINELLINicole MULLER ; Catherine MIERICKE ; Madeleine SCHOUMANN ; Conchetta CIMINELLINicole MULLER ; Catherine MIERICKE ; Madeleine SCHOUMANN ; Conchetta CIMINELLI

Dimanche 22Dimanche 22 9 h 30 FLEURY et MAGNY ; 11 h MARLY10 h 30 FLEURY Baptême Léa12 h MARLY Baptêmes Capucine et Colin