XVI CONGRESSO INTERNAZIONALE DI ARCHEOLOGIA … · et la Flaminia où est la petite basilique du...

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XVI CONGRESSO INTERNAZIONALE DI ARCHEOLOGIA CRISTIANA COSTANTINO E I COSTANTINIDI: L’INNOVAZIONE COSTANTINIANA, LE SUE RADICI E I SUOI SVILUPPIRoma, Aula Magna dell’Istituto Patristico Augustinianum (Via Paolo VI, 25) domenica 22 - sabato 28 settembre 2013 Riassunti/abstracts di comunicazioni e posters (segnalare correzioni a [email protected])

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XVI CONGRESSO INTERNAZIONALE

DI ARCHEOLOGIA CRISTIANA

“COSTANTINO E I COSTANTINIDI:

L’INNOVAZIONE COSTANTINIANA, LE

SUE RADICI E I SUOI SVILUPPI”

Roma, Aula Magna dell’Istituto Patristico Augustinianum

(Via Paolo VI, 25)

domenica 22 - sabato 28 settembre 2013

Riassunti/abstracts di comunicazioni e posters

(segnalare correzioni a [email protected])

LA PRESENZA CRISTIANA E LA SUA INCIDENZA TOPOGRAFICA NELLE CITTÀ E NELLE

CAMPAGNE DELL’OCCIDENTE COSTANTINIANO

La présence chrétienne et ses incidences topographiques sur les villes et les campagnes de l’Occident

constantinien

Jean Guyon, François Baratte, Gisella Cantino Wataghin, Marc Heijmans

La visée de ce rapport dont nous assumons chacun la responsabilité entière, indépendamment de l’apport plus

spécifique de tel ou tel d’entre nous à son élaboration, sera décidément topographique. C’est pourquoi nous

commencerons par cartographier les localités où les chrétiens étaient présents en distinguant les données connues par

les sources littéraires et celles que documente l’archéologie. Après cette approche globale, nous nous tournerons vers

Rome dont la parure chrétienne exceptionnellement abondante nous éclairera pour discerner ensuite ce que l’on

entrevoit des incidences topographiques des monuments chrétiens attestés ailleurs en Occident. Cela nous conduira pour

finir à essayer de mesurer quelle importance accorder au « tournant constantinien » objet de nos débats.

1. Les incidences topographiques de la diffusion du christianisme en Occident selon les sources textuelles

Même si les sources, certainement lacunaires, ne fournissent qu’une image a minima de la christianisation, on

commencera par dresser une première carte relative aux communautés chrétiennes attestées en 314. Elle ne permet pas

de douter que la mission chrétienne avait alors largement pénétré l’Afrique où le réseau des évêchés est d’une rare

finesse, particulièrement dans l’ancienne Africa. En Italie en revanche, une trentaine de communautés seulement sont

connues, dont la plupart sont au centre de la péninsule, et l’Illyricum, les Gaules et la Bretagne où sont attestées

respectivement cinq, seize et trois communautés, restent des terres encore largement à christianiser. Dans les Espagnes

enfin, qui comptent une quarantaine de communautés, le contraste très marqué entre le nord de la péninsule où elles

sont clairsemées et le sud plus densément occupé peut tenir au hasard des sources.

Une deuxième carte dressée pour l’an 363 fournit une vingtaine de localités nouvelles en Afrique et le bilan est du

même ordre en Italie, ce qui suffit pourtant en ce cas à augmenter de quelque 66% le nombre des communautés. L’essor

est encore plus marqué dans les Gaules où l’effectif aurait doublé entre 314 et 343, avant de s’accroître d’une demi-

douzaine de communautés dans les deux décennies suivantes. Dans les autres régions, les sources font malheureusement

défaut ou ne mentionnent pas de localités nouvelles. On en conclura à une consolidation du réseau en Afrique et

ailleurs, à un essor certain, mais inégal, de la mission chrétienne.

Tel a été en Occident l’« instant constantinide » de cette mission, qui ne prendrait tout son relief que si l’on pouvait

poursuivre l’enquête pendant la deuxième moitié du siècle. Cela ne permettrait pas cependant de répondre à la question

de savoir ce qui dans cette mission relève d’une dynamique propre aux Églises et ce qu’elle doit à la faveur impériale :

un indéniable appui apporté à l’organisation de la « grande Église », en particulier en Afrique, mais peu de chose sans

doute pour le reste si l’on en juge par le rythme, somme toute assez mesuré, de la christianisation. Cela est vrai en

particulier pour les campagnes qui sont absentes ou presque dans les sources écrites, ce qui ne peut que convaincre

qu’elles n’ont pas connu de véritable mission chrétienne avant (au mieux) le tournant du IVe siècle.

2. Les incidences topographiques de la diffusion du christianisme en Occident selon la documentation archéologique

Les sources archéologiques permettent de préciser cette première approche même si leur validité est plus incertaine non

seulement parce que leur datation est en règle générale bien moins précise mais aussi parce qu’à ce flou chronologique

s’ajoutent d’autres biais : fréquents déplacements pour les sarcophages et les inscriptions, qui rendent souvent leur

localisation problématique ; ancienneté ou difficulté d’interprétation des fouilles pour nombre d’édifices et de

cimetières. Aussi avons-nous cartographié séparément ces deux types de documents.

La première carte a trait aux sarcophages et inscriptions. Les localités qu’elle recense sont naturellement bien moins

nombreuses que celles qui sont connues par les sources textuelles et elles font presque entièrement défaut dans les

régions que documentent médiocrement ces mêmes sources, Bretagne et Illyricum ; nombre d’entre elles en outre

étaient déjà présentes sur les cartes que nous avons dressées précédemment. Et le même discours vaut pour une

seconde carte relative aux localités qui comptaient avant 363 des édifices à décor chrétien, des monuments de culte, des

tombes et mausolées de fidèles.

Ces deux cartes fournissent cependant une belle « défense et illustration » de la discipline archéologique. Car c’est à

elle surtout que l’on doit notamment d’entrevoir une certaine présence du christianisme dans les campagnes que les

textes documentaient avec parcimonie, voire nullement. Mais l’apport de l’archéologie est capital surtout en ce qu’il

témoigne d’incidences topographiques de la christianisation qui sont appréhendables non plus à l’échelle de l’Occident

tout entier, mais en tel ou tel lieu pris isolément. C’est à cette appréhension que nous attacherons désormais en

commençant par nous tourner vers Rome.

3. Les incidences topographiques sur les lieux touchés par la mission chrétienne : Rome, entre exemple et exception

Si Rome est à la fois exceptionnelle et exemplaire, c’est parce qu’il s’agit de la seule ville qui dispose d’une telle

panoplie d’édifices chrétiens que l’on peut mesurer les incidences topographiques de leur construction, car même

Carthage ne peut se prêter à de telles analyses. Sans doute les textes suggèrent-ils qu’elle a connu l’émergence d’une

topographie chrétienne dès le milieu du IIIe siècle, mais ce n’est guère avant le troisième quart du IV

e siècle que

l’archéologie commence à appréhender réellement ces « marqueurs » de la christianisation, de sorte que,

paradoxalement, ce sont des villes moins peuplées qui livrent des éléments plus éclairants en la matière ; aussi

reviendrons-nous sur elles après avoir examiné Rome.

Intra muros, outre les fondations impériales du Latran et de Santa Croce, il faut compter avec les constructions

épiscopales : pour Silvestre, le titulus Silvestri dont le rapport avec le titulus Equitii n’est pas évident ; pour Marc, la

basilique iuxta Pallacinis et le titulus Marci

où les éléments retrouvés par l’archéologie sont bien d’époque

constantinienne ; sous Jules, la basilica trans Tiberim – S. Maria in Trastevere, également connue par des fouilles –, et

une autre basilique iuxta forum, à situer sans doute près de l’église des Saints-Apôtres ; sous Libère enfin une basilique

à son nom sur l’Esquilin, qui reste à identifier ; sans compter S. Lorenzo in Lucina, une basilique à trois nefs datable du

milieu du IVe siècle. C’est dire l’engagement de tous les évêques dans la fondation d’églises qui assurent la desserte

spirituelle de la communauté en complément de la basilique du Latran. Et cela dans le centre de l’Urbs surtout, dont le

caractère « païen » ne semble pas avoir présenté un obstacle.

À l’extérieur de la ville qui était également ponctué de fondations impériales – Saint-Pierre, Saint-Paul et les basiliques

des voies Labicane, Nomentane et Tiburtine, postérieures sans doute à Saint-Sebastien et à l’édifice problématique de la

Prénestine – il faut compter avec la basilica Marci sur l’Ardéatine et les fondations de Jules sur l’Aurelia, la Portuense

et la Flaminia où est la petite basilique du cimetière Saint-Valentin. Ce qui confirme le souci des évêques d’aller du

même pas que l’empereur ; d’ailleurs, les initiatives épiscopales et impériales sont souvent conjuguées, si l’on en juge

par les dotations des édifices.

4. Les incidences topographiques sur les autres lieux touchés par la mission chrétienne en Occident

Faute de disposer ailleurs d’éléments aussi substantiels, on se bornera pour le reste de l’Occident à un tour d’horizon

des monuments connus par l’archéologie qui sera des plus rapide pour le monde rural, non seulement parce qu’il reste

largement inconnu, mais aussi parce que les témoignages qu’il a livrés sont d’un maigre secours. Ainsi pour les

mosaïques d’Hinton Saint Mary et de Frampton, en Bretagne, ou pour la décoration chrétienne de la salle majeure de

Centcelles, en Tarraconaise, qui étaient offertes à la seule vue du maître des villas qu’elles ornent et de ses familiers.

Peu éclairants également sont les inscriptions funéraires et les sarcophages issus du monde rural car faute de connaître

le plus souvent dans quel contexte ils ont été découverts, on ignore quelle a pu être leur incidence topographique. Tout

autre en revanche est le statut des catacombes rurales d’Italie centrale car elles témoignent d’une présence diffuse de

communautés chrétiennes qui répond à la forte densité des évêchés au cœur de la péninsule.

On examinera ensuite les abords des chefs-lieux de cités et leurs nécropoles sur lesquelles nous disposons d’éléments

qui permettent d’esquisser plus sûrement une hiérarchie des marqueurs topographiques de la christianisation. Du

premier degré de cette hiérarchie relèvent les tombes de fidèles qui ont été établies aux côtés de tombes de païens ou de

sépultures ne présentant aucun signe de la foi des défunts, comme dans la nécropole du Jardin d’Hiver à Arles, les

nécropoles de Milan ou les cimetières fouillés en Bretagne, autant de sites exemplaires par leur banalité même, qui

montrent combien les marques de la nouvelle foi y étaient encore discrètes. Et autant vaut pour les rares mausolées

destinés à des fidèles. D’une tout autre importance sont en revanche les cimetières « communautaires » dont la présence

est certaine en Afrique, non seulement à Carthage mais aussi dans des villes comme Tipasa ou Cherchel, voire dans les

catacombes de Sousse et de Salacta à la datation problématique, mais aussi en Italie au travers des catacombes de

Rome, de Naples ou de Sicile.

Le plus sûr « marqueur » d’une présence chrétienne hors les murs tenait cependant aux tombes des martyrs et aux

monuments qui avaient été construits pour les abriter, dont il ne faut pas exagérer l’importance pour la première moitié

du IVe siècle. Même en Afrique, ils sont rares et restent modestes. En Italie, il en va de même pour les petites memoriae

des saints Cantiens, près d’Aquilée, et du martyr Gaudentius à Rimini, mais non pour l’édifice martyrial plus ample et

plus élaboré construit sur les restes de Félix à Cimitile. En Illyrie, seule Salone se signale par des aménagements encore

assez discrets sur la tombe de Domnio et ses compagnons. Dans les Gaules, la seule monumentalisation d’une tombe

sainte serait celle de Saturnin de Toulouse, qui n’est connue que par sa Vita et le bilan est entièrement négatif en

Bretagne. Dans les Espagnes enfin, le mausolée qui semble être à l’origine de la basilique de Sainte-Eulalie de Mérida

est un édifice funéraire parmi d’autres et il en va de même à Emporiae, vers le milieu du IVe siècle, pour la petite cella

memoriae qui serait à l’origine de la nécropole de San Martí ; quant à l’identification de la basilique Saint-Aciscle de

Cordoue, elle reste problématique.

À l’intérieur des villes enfin, il faut peut-être également distinguer des degrés dans l’incidence que les édifices de culte

chrétiens avaient sur la topographie. Cela grâce à la publication récente par Ch. Bonnet de ses recherches exemplaires

sur le groupe épiscopal de Genève. Au-dessous de la cathédrale achevée dans les années 375-380, il a mis en évidence

en effet un petit monument dans lequel il propose de reconnaître un oratoire. Si brillante que soit cette interprétation,

elle ne peut cependant que demeurer une hypothèse parmi d’autres possibles et surtout il s’agirait là d’un édifice ne

pouvant accueillir qu’« un nombre restreint de fidèles, peut-être les membres d’une ou deux familles. »

D’une tout autre importance topographique étaient les monuments ouverts à l’ensemble de la communauté ; aussi les

passera-t-on tous en revue, en commençant par les fondations impériales : en Belgique Première, le groupe épiscopal de

Trèves sur lequel reviendra d’autre part W. Weber ; en Italie, Ostie où les fouilles ont retrouvé la basilique

constantinienne, Naples dont traitera après notre rapport C. Ebanista, Capoue où les identifications divergent ; Albano

enfin où la fondation reste à retrouver.

Pour les édifices autres que les fondations impériales, on mentionnera d’abord ceux de Porto et Aquilée, dont la

différence avec ces fondations est frappante, et, en Italie encore, le groupe épiscopal de Milan dont seul le baptistère est

connu, et la basilique fouillée à Vérone, œuvre probable de Lucillus qui a signé à Sardique en 343. En Afrique, où

textes et fouilles abondent pourtant, la seule basilique à retenir est celle d’Altava connue seulement par sa dédicace

entre 309 et 338. L’Illyricum reste pour l’instant terra incognita et les Gaules ne sont guère mieux loties, car en dehors

de Trèves, on soupçonne plus qu’on ne peut établir l’existence d’édifices antérieurs à 363, les propositions qui ont été

faites en ce sens pour les groupes épiscopaux de Lyon et Poitiers demeurant problématiques. Le bilan est négatif pour la

Bretagne et dans les Espagnes, il n’est nullement assuré que la cathédrale de Barcelone relève de la période qui nous

intéresse.

Malgré l’exiguïté de corpus, quelques traits apparaissent avec clarté. Le plus saillant est que ces marqueurs par

excellence d’une topographie chrétienne qu’étaient les lieux de la liturgie épiscopale sont tous situés intra muros. Et

s’ils sont généralement à l’écart du centre civique, voire très proches du rempart, ils n’occupent pas moins des secteurs-

clés des viles tardo-antiques, comme à Milan, Aquilée ou Vérone. Leur intégration dans le tissu urbain ne fait donc

aucun doute, même si le temps n’était pas encore venu où l’Église pourrait manifester une maîtrise exclusive de la

topographie urbaine.

La nature des terrains sur lesquels ils ont été construits confirme assez ce jugement. Dans les cas où il est possible de le

vérifier, ils ont succédé en effet à des maisons et non à des édifices publics et si l’on ignore si ces maisons ont été

acquises par la communauté ou données par des fidèles, il n’est pas douteux que l’investissement considérable qu’a

nécessité ce premier établissement chrétien a résulté d’une synergie entre divers commanditaires.

Tels sont les éléments qui ont présidé en Occident à l’« instant constantinide » de la mission sur lequel il reste pour

conclure à porter une appréciation d’ensemble. Au titre des nouveautés, on retiendra d’abord le changement de statut

juridique des édifices de culte chrétiens, que l’autorité impériale a tenus comme des monuments publics dès le milieu du

IVe siècle au moins. Ce qui était gros de conséquence car la reconnaissance des lieux de culte chrétiens comme « lieux

sacrés » en leur qualité de lieux publics, n’a pu que précipiter leur « sacralisation » dans une optique chrétienne.

D’autant que grâce aux basiliques fondées par les princes, ces lieux de culte avaient acquis d’autre part une identité

architecturale qui leur faisait défaut jusqu’alors, ce qui n’a pu qu’exalter le désir des Églises de « s’afficher » en se

dotant de bâtiments monumentaux.

Pour autant, ce tournant que l’on perçoit de façon manifeste sous Constantin et ses successeurs participe d’une plus

longue histoire. Car en tant qu’édifice marquant l’émergence d’une topographie chrétienne, l’église existait au moins

dès le tournant du IVe siècle, avec en son sein des aménagements spécifiques dûs à la nécessité d’y célébrer des

fonctions liturgiques différenciées, de sorte que la nouveauté que les basiliques de la « révolution architecturale »

constantinienne a apportée tient surtout à la maîtrise dont ont fait montre leurs architectes pour répondre à ces mêmes

contraintes liturgiques. D’ailleurs, ces bâtiments étaient si fonctionnels qu’on a constitué à en construire sous

Constantin, comme à Aquilée ou Porto : il s’agissait de salles polyvalentes sans caractère architectural bien marqué,

assez analogues à bien des églises que l’on construit aujourd’hui, dont l’identification sera sans doute malaisée pour

l’archéologue qui les fouillera en l’an 3700 lorsqu’elles seront à l’état de ruines. Ce qui peut nous éclairer sur la raison

du petit nombre d’édifices de culte qui sont attestés par l’archéologie avant la mort de Julien. Mais aussi nous autoriser

à ne pas douter que dès l’orée du IVe siècle sans doute et sûrement sous les Constantinides, il n’était pas d’évêque sans

église ; simplement, ces églises n’étaient pas nécessairement monumentales ou a fortiori de plan basilical, de sorte que

nous peinons à les identifier.

Dès lors, la principale nouveauté apportée par le « tournant constantinien » se résume pour l’essentiel, non à

l’émergence, mais à l’affirmation au sein des villes d’une topographie chrétienne par le biais des fondations impériales,

qui ont conduit en retour à des initiatives épiscopales particulièrement manifestes à Rome où les églises construites

avant 363 ont marqué à jamais le paysage de l’Urbs, tout comme la construction d’églises épiscopales a porté une griffe

qui reste encore bien perceptible aujourd’hui dans d’autres cités d’Occident telles Trèves, Milan, Aquilée ou Vérone. Ce

qui n’est pas rien, on en conviendra.

Ces incidences topographiques majeures contrastent cependant avec le vide documentaire quasi-absolu qui prévaut dans

les campagnes où les « marqueurs » de la christianisation tiennent surtout à ces reflets d’une vie urbaine que sont les

sarcophages historiés ou un décor comme celui de Centcelles, qui étaient le fait d’une élite dont la résidence principale

était au chef-lieu de cité. Et en bien des villes, ce n’est pas avant la seconde moitié du IVe siècle – au mieux– qu’ont été

construits des édifices de culte suffisamment monumentaux pour qu’ils aient pu en marquer réellement le paysage.

À cela plusieurs raisons, dont la moindre n’est pas le prix de la construction de tels monuments, qui pouvait excéder les

moyens financiers de bien des communautés. Mais il faut compter aussi sur de possibles dissensions au sein de ces

mêmes communautés où tous, sans doute, n’étaient pas favorables à des constructions trop somptuaires comme le

montre l’insistance mise dès le temps d’Eusèbe de Césarée à marquer que les fondations d’églises répondaient à

une « œuvre de charité » aussi essentielle que l’assistance aux pauvres. Enfin, l’érection d’une église requérait l’accord

au moins tacite de la « société civile » qui pouvait répugner à voir s’élever des signes trop ostensibles de la nouvelle foi,

surtout dans les cités où les fidèles restaient très minoritaires. C’étaient là autant de possibles obstacles qui ont été levés

à partir des années 380 quand une série de mesures impériales a conduit à faire du christianisme la religion de l’empire,

marquant par là moins un « tournant théodosien » que le parachèvement du « tournant constantinien ».

Eodem tempore fecit Constantinus Augustus basilicam in civitatem Neapolim: nuovi dati sull’origine del gruppo

episcopale partenopeo

Carlo Ebanista

L’analisi stratigrafica delle strutture di età imperiale e tardo antica rinvenute dall’arch. Roberto Di Stefano nell’insula

episcopalis di Napoli tra il 1969 e il 1983 ha fornito nuovi dati sulle trasformazioni dell’assetto topografico determinate

dalla costruzione degli edifici cristiani. Il gruppo episcopale sorse in una zona densamente abitata che, nell’originario

impianto urbanistico, era occupata da due insulae che seguivano il declivio naturale digradante da ovest verso est e,

almeno nel settore settentrionale, non erano separate da una strada. Stando ai resti superstiti, in età imperiale l’area era

occupata da quattro peristili (A, B, C, D) pertinenti a complessi residenziali articolati su più livelli, decorati con

affreschi e pavimentazioni musive; ad una delle domus era annesso un impianto termale.

In assenza dei dati di scavo, non abbiamo elementi certi per stabilire se nella tarda antichità i complessi residenziali

furono abbandonati per un certo periodo prima di essere demoliti ovvero se rimasero in uso sino al momento della loro

distruzione. Alcuni indizi lasciano, tuttavia, intendere che le domus vennero ininterrottamente abitate e ristrutturate sino

al III-IV secolo. Un’importante trasformazione del complesso residenziale ubicato nell’insula occidentale è attestata, ad

esempio, dalla costruzione di un muro in opus vittatum nel cortile del peristilio A; appoggiata al pilastro angolare del

peristilio, la parete delimitò uno spazio trapezoidale corrispondente alla porzione sud del portico orientale. Lungo la

faccia est del muro fu costruito un condotto in muratura che tagliò la canaletta in cocciopisto che correva lungo il lato

interno del peristilio. Un utile elemento per la datazione dei lavori di trasformazione è fornito dal bollo Aureli Eutycian

che è stampigliato sulla fistula aquaria in piombo che è alloggiata all’interno del condotto. La mancanza del prenome, il

cognomen tipico del III-IV secolo, lo stesso gentilizio, oltre agli elementi paleografici, depongono per una datazione tra

la fine del III secolo e il IV.

In occasione dell’impianto del gruppo vescovile, le strutture preesistenti non furono abbattute indiscriminatamente, ma

vennero reimpiegate. In particolare nell’area già occupata dal peristilio A fu costruita una basilica, a cinque navate,

corrispondente all’edificio che, come riferisce il Liber Pontificalis, Costantino eresse in civitatem Neapolim. La parete

d’ambito del porticato meridionale del peristilio servì da appoggio al muro di fondo delle navate della basilica che

dall’alto medioevo è nota come S. Restituta. Il colonnato sud del peristilio venne, invece, resecato per costruire le

fondazioni dell’abside della basilica e quelle del vicino battistero di S. Giovanni in Fonte. L’abside fu impiantata su due

strati sovrapposti di conglomerato; su quello superiore venne collocato un filare di tegole per mettere in opera il

paramento a facciavista in blocchetti di tufo, analoghi a quelli impiegati nei muri esterni delle navate. La basilica era

larga circa 31 m ossia poco meno delle insulae dell’impianto urbano greco-romano, la cui ampiezza media si aggira

intorno ai 35 m. Se si escludono le fondazioni e l’impianto a cinque navate, non sussistono elementi riconducibili all’età

costantiniana, a causa dei molteplici interventi di trasformazione che hanno interessato l’edificio nel corso dei secoli.

La basilica, come la maggior parte delle chiese paleocristiane di Napoli, è orientata nord-sud, secondo l’allineamento

delle principali strade. La fiancata sinistra, con ogni probabilità, prospettava sul cardo che separava l’insula da quella

situata immediatamente ad ovest ed era allineato con l’asse stradale nord-sud scoperto, poco più di 500 m a sud,

nell’area di Carminiello ai Mannesi. Alle spalle della basilica il cardo dava luogo ad uno slargo sul quale, oltre

all’ingresso secondario dell’edificio di culto, si affacciavano le due porte affiancate esistenti sul lato ovest del battistero,

sorto nell’area sud-est del cortile del peristilio A, grazie alla rasatura del muro in opus vittatum che ne aveva suddiviso

trasversalmente lo spazio. La parete orientale del battistero, fondata sui resti del muro in opus vittatum, non è in asse

con il perimetrale est della navata destra della basilica, ma rientra di circa 90 cm verso ovest; la circostanza che, sul lato

est (l’unico al momento ispezionabile), la facciavista del perimetrale del battistero comincia a +73 cm rispetto a quella

della chiesa sembra attestare la posteriorità di S. Giovanni in Fonte rispetto alla basilica.

MONUMENTI CRISTIANI E LORO RELAZIONE CON I CENTRI DEL POTERE IMPERIALE

Costantino e l’Esquilino

Mariarosaria Barbera, Marina Magnani Cianetti

La recente mostra organizzata al Colosseo per celebrare il c. d. Editto di Tolleranza (313 d. C.) ha offerto l'occasione

per presentare al grande pubblico alcuni nuovi dati sulla città costantiniana, acquisiti grazie a scavi o studi recenti.

Si conferma l'aspetto di una città caratterizzata sul piano urbanistico da due interventi principali: il trasferimento della

residenza imperiale dal Palatino al Sessorium e la costruzione di una cintura di basiliche circiformi intorno al perimetro

urbano. Tali trasformazioni vengono accompagnate e sottolineate in alcuni casi da nuove soluzioni architettoniche,

fortemente innovative sul piano formale e simbolico.

In questa sede, accanto ad una planimetria aggiornata del Sessorium, nuova sede del potere imperiale, si presenta una

ricostruzione dei rivestimenti interni della basilica civile, elaborata anche sulla base della recente analisi dei frammenti

architettonici provenienti dall'area ed esposti durante la mostra. La basilica civile, verosimilmente destinata a

consistoria e funzioni di rappresentanza, era costituita da un’ampia aula rettangolare in opera laterizia, illuminata e

alleggerita da finestre, con abside rinforzata da speroni e tetto a doppio spiovente, retto da capriate.

Vengono inoltre presentate alcune osservazioni preliminari sul Tempio di Minerva Medica, su cui è in corso dal 2012

un importante intervento per il consolidamento statico, che ha offerto l'occasione per un riesame della struttura e della

documentazione pregressa. Il consolidamento ha reso inoltre necessaria un'indagine mirata in adiacenza alle fondazioni,

dalla quale è possibile ottenere alcune importanti informazioni sulle fondazioni del monumento.

Die frühchristliche Kirchenanlage in Trier von bescheidenem Anfang zu imperialer Größe

Winfried Weber

Vor allem die in den Jahren 2000 – 2003 durchgeführten Grabungen haben erkennen lassen, dass die frühchristliche

Kirchenanlage in Trier, die einst zu den größten kirchlichen Baukomplexen des 4. Jahrhunderts zählte, keineswegs von

Anfang an nach einem einheitlichen Plan errichtet wurde, sondern erst das Ergebnis einer sich über das ganze

Jahrhundert erstreckenden Bautätigkeit gewesen ist. In Folge des sog. Mailänder Ediktes von 313 n. Chr. entstand in

Trier über den Resten römischer Wohnhäuser noch vor 320 n. Chr. zunächst eine dreischiffige Basilika mit

Rechteckchor mit seitlich angeordneten Nebenräumen. Bemerkenswert ist dabei, dass sie ein Wohnhaus überbaute, in

welchem noch vor 300 n. Chr. durch die Zusammenlegung mehrerer Zimmer ein kleiner Apsidensaal eingerichtet

worden war, der gewissermaßen als „Baumaß“ für den Rechteckchor der Basilika diente, denn der Rechteckchor liegt

nicht nur unmittelbar über dem Apsidensaal, sondern entspricht genau der doppelten Größe dieses Saales. Hatte er

bereits dem christlichen Kult gedient?

In den 30er Jahren des 4. Jahrhunderts wurde diese bis dahin bescheidene Trierer Kirche monumentalisiert: sicherlich

nicht ohne kaiserliche Förderung wurde östlich der bisherigen Basilika (nunmehr als Südwestbasilika bezeichnet) im

Bereich der heutigen Liebfrauenkirche ein zweiter dreischiffiger Bau, ebenfalls mit Rechteckchor und Seitenkammern

errichtet (Südostbasilika); gleichzeitig entstanden im Bereich des Domfreihofes und des heutigen Domes zwei weitere

dreischiffige Basiliken (Nordwest- und Nordostbasilika), alle miteinander verbunden. In der Mitte dieser H-förmigen

und eine Fläche von 12.500 qm deckenden Anlage befand sich ein Wasserbecken als Baptisterium. In einer dritten

Bauphase wurde schließlich seit den 40er Jahren des 4. Jahrhunderts die Nordostbasilika niedergelegt und an ihrer

Stelle der sogen. Quadratbau begonnen, der jedoch erst nach einer längeren Bauunterbrechung unter den Kaisern

Valentinian I. und Gratian um 380 n. Chr. fertig gestellt war; er bildet noch heute den „Kern“ des Trierer Domes.

Dank der seit der Mitte des 19. Jahrhunderts währenden Grabungen, deren Ergebnisse nunmehr nach und nach

vorgelegt werden, kann mittlerweile nicht nur eine exakte Chronologie der einzelnen Bauphasen dieses

bemerkenswerten Baukomplexes dargelegt werden, sondern es ermöglichen die zahlreichen Fundobjekte und die

detaillierte Bauanalyse auch eine zuverlässige Rekonstruktion dieser Kirchenanlage, wobei manche architektonische

Innovation erkennbar wird. Die Grabungen der letzten Jahre haben auch gezeigt, dass sich östlich der einst zwei Insulae

der antiken Stadt bedeckenden Kirchenanlage, die nicht länger mehr als „Doppelkirche“, sondern vielmehr besser als

frühchristliches „Kirchenzentrum“ bezeichnet werden sollte, wohl auch das Episkopium befand, etwa dort, wo sich

auch heute noch die Kapitelsbauten und der Bischofshof befinden.

Mit der Errichtung des Südwestbasilika bereits im zweiten Jahrzehnt des 4. Jahrhunderts gehört der Trierer Bau nicht

nur zu den Inkunabeln des konstantinischen Kirchenbaues, sondern zeigt mit seiner weiteren Bauentwicklung

besonders deutlich das für das 4. Jahrhundert charakteristische Suchen nach den dem christlichen Kult gemäßen Bau-

und Raumformen. Manches erwies sich dabei als zukunftsweisend, anderes, wie beispielsweise das mit 64

Quadratmetern viel zu große Baptisterium, als unpraktikabel, nachdem die römischen Wasserleitungen zerstört und ein

Füllen des Wasserbeckens nicht mehr möglich war, so dass nach einer anderen Lösung gesucht werden musste.

Bemerkenswert sind auch die zahlreichen Malereibefunde, die für die großen basilikalen Räume verputzte und bemalte

Flachdecken erweisen. Schließlich stellen auch die in zwei Schrankenmauern der Südostbasilika eingeritzten Graffiti –

Christogramme, Christusakklamationen und kurze Bittgebete – eine Besonderheit dar, denn sie lassen erkennen, dass

seit der Mitte des 4. Jahrhunderts in der Trierer Kirchenanlage offenbar auch ein besonderes Heiligtum verehrt worden

war. War es vielleicht eine Kreuzreliquie?

I primi tituli della chiesa romana: una possibile istituzione di età costantiniana?

Claudia Angelelli, Federico Guidobaldi

I tituli, centri cultuali paleocristiani caratteristici della sola città di Roma, sono stati oggetto di interesse per gli studiosi

di storia ecclesiastica già dal XVI secolo, ma soprattutto in funzione del loro collegamento con le messe stazionali che il

papa celebrava nel periodo quaresimale.

Di fatto, ancora all’inizio del XX secolo, si dava per scontato che essi fossero già istituiti in numero di 25 all’inizio del

II secolo d.C. e che fossero collegati ad ipotetiche domus ecclesiae o, comunque, a luoghi devozionali protocristiani sin

dall’origine.

Johann Peter Kirsch, nel 1918, è stato il primo a cercare una ulteriore conferma di questa tradizione anche in eventuali

resti archeologici e, a questo scopo, ha interpretato i resti di edifici precedenti, rinvenuti al di sotto di molti dei tituli

tuttora esistenti, come testimonianze di insediamenti cristiani precostantiniani anche se essi non recavano indizi reali di

culto.

I suoi risultati, accettati con scarse riserve in un primo tempo, sono stati poi ampiamente riveduti e per lo più

anche confutati dagli studi successivi tra cui quelli di Krautheimer e di Pietri sono certo i più estesi e più circostanziati,

anche se hanno affrontato il problema per casi specifici piuttosto che in generale. Nonostante la necessità di una

revisione globale sia stata comunque ripetutamente espressa da questi e da altri studiosi, a tutt’oggi un riesame generale

dell’argomento non è stato riproposto e quindi, anche tenendo conto dei numerosissimi scavi che si sono svolti nei tituli

romani nello spazio di quasi un secolo –quello intercorso tra la pubblicazione di Kirsch ad oggi – ci è sembrato

opportuno riprendere ex novo lo studio dei tituli della chiesa romana. Tale indagine, che ha come obiettivo una

monografia specifica sul tema, è da tempo in corso ed è in parte conclusa per quanto riguarda il periodo del IV secolo.

In particolare i dati raccolti per l’intera età costantiniana – estesa cioè a tutti i costantinidi - ci permettono di proporre,

già in questa sede, una sintesi relativa al periodo citato, dalla quale risulta innanzitutto che sembra da escludere

l’esistenza di tituli in epoche precedenti al IV secolo, fatta salva, solo con beneficio di inventario, qualche sporadica

possibilità, che comunque si riferirebbe a centri di culto, di natura prototipica e, in ogni caso, di connotazione del tutto

diversa

Ciò permette di collocare le prime istituzioni “titolari” romane come frutto di una nuova politica religiosa da collocare

nella prima metà del IV secolo e quindi di porle in relazione con una prima strutturazione “ufficiale” dell’insediamento

cristiano nell’urbe che non può essere disgiunta dalla politica costantiniana in campo religioso.

Di particolare interesse è risultata anche la ricerca relativa alla denominazione iniziale dei centri di culto in questione,

che sembrano essere indicati, in un primo tempo, con il termine dominicum prima di assumere quella poi consolidatasi

di titulus: questo particolare sembra infatti indicare che, proprio entro la prima metà del IV secolo questi primi nuclei di

taglio “parrocchiale”, erano ancora in una fase “embrionale” e che soltanto poco più tardi assumeranno una

connotazione definita che resterà poi stabile nei secoli successivi.

A conferma della tesi indicata verranno ovviamente esaminati singolarmente quei tituli che possono essere considerati i

più antichi della serie, che si amplierà nel corso del IV secolo e all’inizio del successivo per giungere poi, entro la

prima metà del V secolo ad un “numero chiuso” che resterà immutato per secoli.

Konstantin und die Märtyrer. Die schriftlichen Zeugnisse und ihre Bedeutung für die Bautätigkeit des Kaisers

in Rom und Konstantinopel

Theofried Baumeister

Ausgangspunkt der Überlegungen ist der Brief Konstantins an den vicarius Africae Domitius Celsus wohl vom Herbst

315 (Optatus, appendix 7, bequem bei V. Keil, Quellensammlung zur Religionspolitik Konstantins des Großen,

Darmstadt 21995, 84-87), der zeigt, dass seit dieser Zeit in der Kanzlei und wohl auch beim Herrscher persönlich der

christliche Begriff martyr bekannt war. Wahrscheinlich hatte ein nicht erhaltenes Schreiben des hohen Beamten davon

gesprochen, dass Christen im Zusammenhang mit den Wirren um die Bischofsweihe des Caecilian von Karthago einen

möglichen Tod als Martyrium verstanden. Dagegen bestreitet der kaiserliche Brief, sicherlich unter Rückgriff auf

christliches Insiderwissen in der Kanzlei, die Berechtigung einer solchen Interpretation einer staatlichen Strafe. Spätere

Briefe Konstantins nach Nordafrika zeigen, dass das Thema Martyrium weiterhin bedeutsam blieb.

Einen zweiten Schwerpunkt bildet das Verständnis der beiden Dokumente aus der Zeit unmittelbar nach dem Antritt der

Alleinherrschaft 324, die Eusebius von Caesarea in der Vita Constantini II, 24-42 und II, 48-60 überliefert hat (Keil,

162-183), wobei gerade für das erste auch auf das Resümee des bischöflichen Verfassers in II, 20-21 zu achten ist.

Einmal geht es besonders um die Klassifizierung der Opfer der Christenverfolgung und um Regelungen zu ihrem Erbe;

zum anderen wird die Frage gestellt, ob Konstantin als junger Mann am Hof in Nikomedien Märtyrer bewundert hat.

Ergänzend wird ein Blick auf den Märtyrerkult nach der Oratio ad sanctorum coetum gerichtet. Vor dem Hintergrund

all’ dieser schriftlichen Zeugnisse sollen einige Aspekte der Bautätigkeit in SS. Marcellino e Pietro, S. Sebastiano, S.

Paolo fuori le mura und S. Pietro in Vaticano erörtert werden. Die Quellen erlauben nicht, zwischen Aposteln und

anderen Märtyrern einen grundsätzlichen Unterschied zu machen. So wie der Kaiser für eine innerstädtische

Versammlungsstätte der Christen sorgte (Lateran), so fühlte er sich auch für eine Förderung des christlichen Kultes im

Nekropolenbereich zuständig, indem er Orte für Eucharistie und Totenmahl (refrigerium) bei den Gräbern schuf, wobei

die Nähe zu den Märtyrern ihre Rehabilitation, die Distanzierung von einer als verfehlt beurteilten Politik und die

Erwartung überirdischen Segens für Bestattete und Teilnehmer zum Ausdruck brachte, eingeschlossen die eigene

Familie.

In einem letzten Teil soll die Vita Constantini für Fragen nach der letzten Krankheit Konstantins, seiner Taufe und dem

Tod bei Nikomedien sowie der Bestattung in Konstantinopel ausgewertet werden. Die Überquerung des

Marmarameeres im Frühjahr 337 kann man von der Vorbereitung eines Feldzuges gegen das neupersische Reich her

verstehen; doch schon der Besuch der heißen Quellen von Pythia (Yalova) und des Märtyrerheiligtums in Helenopolis

(Drepanon, nach der Mutter Helena umbenannt) dürfte durch den Wunsch des erkrankten Kaisers nach Heilung diktiert

gewesen sein. Die Taufe Konstantins interpretiert der bischöfliche Verfasser der Vita entsprechend traditioneller

kirchlicher Lehre als vollkommenes christliches Heil, das dem kurz danach Verstorbenen im ganzen Ausmaß zuteil

wird. Zuende gedacht unterscheidet sich das Jenseitsgeschick nach Taufe und unmittelbar folgendem Tod eigentlich

nicht von dem der Märtyrer und Apostel. Wenn trotzdem das Mausoleum Konstantins in Konstantinopel, die in ihm

ausgedrückte Apostelverehrung, das Begräbnis des Kaisers dort und seine Intention breit beschrieben werden, dann

geschieht das natürlich, weil der Historiker an diesen Themen nicht vorbeigehen konnte, obwohl sie nicht nahtlos in das

Konzept des Theologen Eusebius passten. Von hier aus ist zu fragen, ob die Darstellung des Eusebius nicht die

ursprünglichen Intentionen Konstantins, die er beim Bau seines Mausoleums mit den zwölf Kenotaphen der Apostel vor

Augen hatte, in wesentlichen Zügen zutreffend überliefert. Für Konstantin dürfte es wichtig gewesen sein, dass bei den

Gebeten an seinem Sarkophag mächtige Fürsprecher angerufen wurden und wirksam waren. Dass für ein solches

Denken ursprünglich nicht die materielle Gegenwart echter Gräber und von Reliquien entscheidend war, zeigt etwa die

römische Basilica apostolorum (S. Sebastiano), die ebenfalls ohne Reliquien auskam. Die Bedeutung des Eusebius

bestünde also nicht darin, ein anspruchsvolles Konzept des Kaisers (etwa nach dem Bild Christi inmitten der Apostel)

verkirchlicht zu haben, sondern trotz seiner Tauftheologie wesentliche Züge der Absichten Konstantins zu überliefern.

Propaganda imperiale e monumentalizzazione pagana in Oriente nell’età di Costantino

Isabella Baldini

La legislazione costantiniana per la prima volta affronta il problema del rapporto con il passato monumentale pagano

cominciando a porlo in una prospettiva esterna alla società. Nel 320 viene ordinata l’inibizione di forme private del

politeismo (CTh XVI, 10, 1); altri decreti proibiscono il culto e i sacrifici (CTh XVI, 10, 2) e chiudono i templi (Eus.

Chron. ad a. 331) spogliandoli delle sculture e degli arredi (CTh XVI, 10, 4; Eus., Vita Constantini III, 48-54); queste

norme preludono alle disposizioni dei decenni successivi, quando - in maniera sistematica - verranno sottratti i beni dei

santuari ed infine saranno autorizzate la rifunzionalizzazione o la distruzione degli edifici pagani, oppure il riuso dei

materiali per nuove opere pubbliche.

L’atteggiamento dell’autorità imperiale nei confronti degli spazi cultuali pagani è descritto dalle fonti letterarie

attraverso un numero di esempi che possono essere utilizzati per comprendere meglio altre situazioni, note

prevalentemente attraverso l’indagine archeologica. Si possono ricordare, a questo proposito, le azioni ufficiali di

purificazione di luoghi contaminati dalla presenza di elementi religiosi pagani eseguite a Nicomedia, Antiochia, Aigai e

Afaca, o quelle che precedono la costruzione dei complessi cristiani di Mamre e del Santo Sepolcro in Terra Santa o di

Eliopoli in Fenicia. Le pratiche di dissacrazione e riconsacrazione, descritte da Eusebio di Cesarea nella Vita

Constantini e nei capitoli VII e VIII del Triaconteterico, segnalano in tutti questi casi l’esistenza di una prassi ben

precisa da parte dell’autorità pubblica, volta all’inventariazione dei beni e soprattutto all’acquisizione degli oggetti

asportabili (arredi di valore, statue in metallo prezioso e in bronzo, parti architettoniche da riutilizzare). Tale prassi può

essere stata adottata anche in altre situazioni, come comincia via via ad emergere attraverso le ricerche archeologiche

svolte in numerosi siti dell’impero orientale, da Efeso a Didime, da Delfi a Gortina.

Si deve osservare, tuttavia, che è spesso difficile stabilire l’esatta cronologia di tali interventi e che è proprio il IV

secolo a offrire i maggiori problemi di visibilità archeologica. È sempre necessario, pertanto, cercare di valutare

criticamente i dati riguardanti i diversi contesti monumentali, per offrire alle riflessioni sul problema generale strumenti

di riferimento realmente attendibili. Le regioni orientali, per le possibilità di far convergere sullo stesso tema di ricerca

fonti complementari (letterarie e agiografiche, epigrafiche, archeologiche), offrono in questo senso un ambito di

indagine particolarmente significativo e ricco di informazioni.

Nel quadro accennato, la situazione di Costantinopoli presenta caratteristiche peculiari, certamente fondamentali

nell’ambito della propaganda imperiale: per i riti di fondazione si ricorre com’è noto ad un sistema espressivo che

rielabora forme comportamentali di derivazione tradizionale. La Nea Rome viene dotata degli apparati monumentali e

decorativi che di per se stessi la connotano come una capitale, come mostra ad esempio la costruzione dei templi di

Rhea e Tyche nel Tetrastoon e del Capitolium. Nella stessa ottica deve essere considerato il trasporto a Costantinopoli

di sculture e oggetti di notevole significato da parti diverse dell’impero, elemento che colpisce i contemporanei e che

viene a lungo ricordato dalla tradizione scritta. Nel caso dei principali santuari urbani, ereditati dalla città severiana,

quelli di Afrodite, Artemide e Apollo, si deve osservare inoltre che essi sono forse rispettati nella propria integrità

architettonica, ma vengono limitati di fatto nella possibilità di essere frequentati come spazi religiosi significativi. La

costruzione delle prime basiliche cristiane tende infatti a marginalizzarne il ruolo nell’ambito dello sviluppo topografico

della città, ponendoli al di fuori dei percorsi e dei centri di interesse principali. Anche sotto questo aspetto, dunque, la

capitale sembra costituire un modello di riferimento che sperimenta l’applicazione dei nuovi criteri della propaganda

imperiale costantiniana su un terreno che implica scelte ideologiche e una precisa consapevolezza dei risultati da

perseguire. In questa prospettiva l’indagine sul rapporto con l’eredità monumentale preesistente risulta pertanto non

meno significativa di quella sulla nascita della prima architettura ufficiale cristiana.

INNOVAZIONE NELL’ARCHITETTURA COSTANTINIANA

Damnatio memoriae di Massenzio e inventio basilicae di Costantino a Roma

Elżbieta Jastrzębowska

I vincitori non solo hanno sempre ragione, ma di solito vengono loro attribuiti tutti i successi degli avversari sconfitti.

Fu così che Costantino – in modo naturale e grazie alle fonti unilaterali (Lattanzio ed Eusebio) – venne considerato

dall’opinione generale il primo benefattore dei cristiani e costruttore delle prime chiese, oltre che il grande costruttore di

Roma. L’attuale stato sia degli studi storici riguardanti gli anni 306-312, sia delle ricerche archeologiche condotte a

Roma, permette di supporre che l’imponente effetto finale delle fondazioni di Costantino per la Chiesa di Roma fosse

conseguito a spese di Massenzio. Il titolo proposto per questo congresso obbliga però a verificare la fondatezza di

questa tesi. Nel mio contributo passerò in rassegna le opere urbanistiche ed architettoniche di Massenzio sia nel centro

della Capitale (Basilica Nova nel Foro Romano e il vicino Tempio di Venere e Roma; i palazzi e le terme sul Palatino e

gli altri interventi nei fori) sia in via Appia (il complesso: villa, circo e mausoleo e la Basilica Apostolorum),

sottolineando la loro innovatività, per presentare successivamente i cambiamenti adottati da Costantino nel centro della

città e la voluta mancanza degli interventi in via Appia. Mostrerò anche importanza che hanno avuto la presa e la

distruzione da parte del vincitore delle caserme (Laterano) e del cimitero (via Labicana) delle guardie di Massenzio, gli

Equites Singulares, per la successiva costruzione in quei luoghi delle prime fondazioni costantiniane a Roma,

evidenziando sempre l’influenza delle precedenti soluzioni architettoniche massenziane sia sulla forma che sulle

dimensioni e sul corredo di queste. Per la ricostruzione dell’immagine di Massenzio – tuttavia non tiranno per gli

abitanti di Roma – accanto alle già menzionate testimonianze monumentali citerò le sue opere per il bene della Urbs

(Romae aeternae, conservator urbis suae) riportate sulle monete e cercherò di „scavare” nelle fonti, scarse a causa della

damnatio memoriae, per verificare il suo atteggiamento – tuttavia non di persecutore – verso i cristiani. Parlerò anche

del ruolo che hanno avuto le principali fondazioni cristiane di Costantino (le basiliche dei santi Pietro e Paolo in

Vaticano e in via Ostiense) nella liquidazione dell’antico posto del culto degli Apostoli in via Appia.

Nouvelles observations sur Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique X, 4

Michel-Yves Perrin

Le livre X de l’Histoire ecclésiastique d’Eusèbe de Césarée contient au chapitre 4 le texte d’un discours prononcé par

l’auteur à l’occasion de l’inauguration d’une nouvelle basilique chrétienne à Tyr. En charge d’une traduction

commentée de ce livre dans le cadre d’un projet italo-franco-suisse animé par Lorenzo Perrone (Bologne), je me

propose dans cette communication de réexaminer un certain nombre de questions soulevées par ce fameux document.

Tout d’abord celui de la date de l’événement qu’il faut situer entre 313, soit la défaite de Maximin Daïa devant Licinius,

et, au plus tard, la défaite de Licinius devant Constantin en 324. On essaiera de resserrer cette fourchette chronologique.

On s’interrogera ensuite sur le caractère exceptionnel de ce discours, tant du point de vue de sa rhétorique que du point

de vue de son objet : la cérémonie d’inauguration d’un édifice ecclésiastique dont il constitue le premier témoin dans

l’ordre chronologique. L’histoire de la notion de dédicace d’une église et de la désignation de cet événement sera

évoquée. On insistera sur les contraintes et les choix rhétoriques d’Eusèbe qui commandent l’évocation même de

l’architecture d’un monument qui ne paraît pas avoir été retrouvé jusqu’à ce jour lors des explorations archéologiques

menées sur le site de Tyr. On sera en particulier attentif au lexique qui manifeste le goût d’Eusèbe pour les mots rares et

les hapax, non moins qu'aux réminiscences vétéro- et néotestamentaires aussi bien qu'aux emprunts à Flavius Josèphe

ou à d’autres auteurs. Les systèmes symboliques complexes qui structurent le discours seront aussi examinés. Ces

analyses serviront à préciser les limites des hypothèses de reconstitution planimétrique et graphique de la basilique de

Tyr que la tradition historiographique s’est plu à présenter.

La cristianización del Palacio de Cercadilla en Córdoba

Rafael Hidalgo Prieto

Los rápidos cambios políticos que se producen con el ascenso al poder de Constantino provocan que el palacio de

Cercadilla, construido como edificio representativo y oficial durante la primera Tetrarquía, rápidamente quede sin

contenido. Sabemos con seguridad que al menos a mediados del s. VI el edificio ha cambiado de función para

convertirse en centro de culto cristiano. Sin embargo, es muy probable que ese cambio se produjera ya en época

constantiniana, gracias a la presencia en la ciudad de una figura de la relevancia de Osio, obispo de Córdoba y consejero

de Constantino, quien como nadie pudo conseguir el cambio de función. No obstante, de ninguna manera se puede

considerar que ello estaría encauzado a convertir el edificio en el palacio episcopal, sino que se convierte en uno de los

centros martiriales más destacados de la Corduba tardoantigua, posiblemente dedicado a San Acisclo, uno de los más

importantes mártires de la ciudad, atestiguado por Prudencio, muerto durante las persecuciones tetrárquicas.

LITURGIA E ARCHITETTURA

Hypothesen zur Entstehung und Funktion der Doppelbasilika in Trier

Anna Paranou

Die berühmte Doppelbasilika in Trier hat seit dem 19. Jahrhundert die Aufmerksamkeit der Forschung auf sich

gezogen. Der bestehende Komplex wurde auf eine spätantike Bischofskirche zurückgeführt, da wesentliche Teile eine

spätantike Struktur aufweisen. Inzwischen steht die Interpretation der Anlage als spätantiker Bischofssitz in Frage.

Der älteste Teil der Anlage findet sich westlich der heutigen Liebfrauenkirche. Hier entstand im zweiten Jahrzehnt des

4. Jahrhunderts eine dreischiffige Basilika. Östlich setzte ein rechteckiger und um zwei Stufen erhöhter Raum an. Die

basilikale Struktur und die repräsentative Ausstattung legten ursprünglich die Vermutung nahe, diese Basilika könne als

erste Bischofskirche Triers gedient haben. Inzwischen wurden Einwände erhoben; diesem Gebäude ist keine eindeutige

sakrale Funktion zuzuschreiben. Die kontantinischen Kirchenbasiliken waren üblicherweise nach Westen ausgerichtet,

während diese Basilika nach Osten ausgerichtet war. Die Basilika war außerdem abschnittsweise beheizbar, wie die

berühmte Aula Palatina, der Audienzsaal des Kaisers. Wahrscheinlich diente dieser Raum ursprünglich als Audienzsaal

eines höheren Würdenträgers.

In den dreißigen Jahren des 4. Jahrhunderts erfuhr diese Anlage eine Erweiterung. Die nördlich der Basilika liegenden

Wohnkomplexe wurden abgerissen. So entstand zusätzliches Baugelände. Der Komplex nahm daraufhin eine

Gesamtfläche von 12.500m², zwei Insulae der antiken Stadt, in Anspruch und erreichte eine imperiale Größe. Gleich

drei neue dreischiffige Basiliken fanden ihren Platz, eine im Bereich des Domfreihofes, eine an der Stelle des heutigen

Doms und eine im Bereich der Liebfrauenkirche. Die ältere Basilika aus den 320er Jahren wurde in den Komplex

miteinbezogen; durch einen Quertrakt bildeten die vier Basiliken eine H-förmige Anlage, in deren Zentrum ein 64m²

großes Becken lag. Die zentrale Lage des Raums, in dem sich das Becken befindet, ist hinsichtlich der Interpretation

problematisch. Da sich in der ersten Hälfte des 4. Jahrhunderts die Form des Baptisteriums noch nicht herausgebildet

hatte, ist die Interpretation des Raums als solches möglich. Der Raum kann aber auch als der repräsentative

Eingangsbereich zwischen dem Süd- und Nordteil der Anlage interpretiert werden.

In die gleiche Zeit wie die ältere Süwestbasilika, in das zweite Jahrzehnt des 4. Jahrhunderts, datiert die Errichtung

des Prunksaals mit den berühmten konstantinischen Wandmalereien im Bereich des heutigen Doms. Aufgrund der

großen Nähe zwischen dem Dom und der Aula Palatina lag wohl ein Teil des Palastes an der Stelle des heutigen Doms,

worauf die Entdeckung des Prunksaals hindeutet. Was die jüngere, an dieser Stelle erbaute Nordostbasilika anbelangt,

wurde der Ostbereich in der Regierungszeit der Konstantinssöhne und der valentinischen Dynastie ausgebaut und als

großes Quadrat neu errichtet. Der Raum diente wohl für die herrschaftliche Repräsentation.

Die Südostbasilika war abschnittweise beheizbar; sie erfüllte wohl ursprünglich die gleiche Funktion wie die ältere

Südwestbasilika, die eines Audienzsaals eines höheren Würdenträgers. Der Ostbereich der Südostbasilika wurde später

nach Westen erweitert und begrenzt. Da christliche Graffitis im Verputz dieser Mauer eingeritzt wurden, wurde diese

Abschrankung in Verbindung mit einer dort später eingerichteten Kirche gebracht. Eventuell wurde hier eine

Herrenreliquie verehrt und die Graffitis können in diesem Fall als Pilgerinschriften interpretiert werden. Dies ist der

einzige Ort der Trierer Basilika, der mit besonderer Verehrung in Verbindung gebracht werden kann.

Die Struktur der Nordwestbasilika unterscheidet sich von den anderen Basiliken der Anlagen in einem wesentlichen

Punkt: Im Westbereich tritt ein besonderer Raum hervor. Die Nordwestbasilika orientierte sich folglich von Ost nach

West, im Gegensatz zu der Orientierung der drei weiteren Basiliken. Die konstantinischen Kirchenbasiliken waren

üblicherweise nach Westen ausgerichtet. Die Herausbildung eines besonderen Raums an der Westseite kann als

Hinweis für die Existenz eines Sanktuariums angesehen werden. Eventuell diente diese Basilika von Anfang an als

Kirche, vielleicht sogar als Bischofskirche: der Komplex galt für lange Zeit als die erste Bischofskirche Triers.

Die Interpretation der Anlage als spätantiker Bischofssitz steht jedoch in Frage. Die Errichtung der Anlage wurde für

lange Zeit auf die Bautätigkeit der konstantinischen Dynastie zurückgeführt und ist ohne die materielle Hilfe des

Kaiserhofes schwer vorstellbar. Aufenthalte der Mitglieder der Dynastie in Trier sind dokumentiert. Eine Verbindung

zwischen der dynastischen Krise und der Errichtung dieser Anlage soll ebenfalls bestehen, worauf Münzfunde

hindeuten. Konstantin soll selbst einen Teil seines Palastes für den Komplex zur Verfügung gestellt haben. Grund dafür

könnte seine Buße wegen der dynastischen Krise sein. Aber auch eine Damnatio memoriae kommt als Begründung in

Frage.

Die Untersuchungen haben gezeigt, dass es sich um eine komplizierte, aus mehreren verschiedenen Sälen und

Zwischenräumen sowie verbundenen Baugefügen bestehende Anlage handelte. Dieser Komplex war nicht von Anfang

an als solcher geplant, sondern entstand abschnittweise innerhalb eines längeren Zeitraums. Es ist fraglich, inwieweit

der Anlage ein Gesamtkonzept zugrunde lag. Die Bauten wurden nacheinander errichtet und wuchsen zum Schluss zu

einer monumentalen Anlage zusammen.

Die sakrale Funktion verschiedener Bauteile ist nur schwierig zu beweisen. Es ist fraglich, welche der einzelnen Räume

für die kirchliche Funktion zur Verfügung standen. Die Bestimmung ihrer Funktion im Rahmen von liturgischen

Abläufen oder in ihrer memorialen Funktion lässt sich schwer ermitteln.

Le donazioni costantiniane di ambito liturgico nella testimonianza del Liber pontificalis

Roberto Fusco

Facendo perno sulla lettura del Liber pontificalis e sulla documentazione storico-agiografica, letteraria e liturgica, in

particolar modo quella legata ai sacramentari, è possibile stilare un interessante, oltre che poderoso, prospetto delle

donazioni di epoca costantiniana e post-costantiniana di ambito celebrativo-cultuale, non priva di importanti risvolti

anche sui più tecnici piani lessicologico o funzionale (schyphus, ama, fara coronata, patena christmalis auroclusa,

palleum linostinum, cantharum cirostatum, fastidius battutilis, thymiamaterium, aromaticus etc.). Lo studio che

intenderei proporre in occasione del Convegno internazionale si propone, pertanto, di inquadrare la testimonianza resa

dalle fonti su questo crinale della ricerca, con speciale inerenza all’epoca – e alla relativa sezione del Liber pontificalis

– dei pontificati di Silvestro I, Marco, Giulio I, Silverio, Felice II e Damaso, ponendo come termine ultimo il 381, anno

della definitiva composizione della controversia ariana al I Concilio di Costantinopoli, come contributo a una duplice

ricostruzione: quella delle forme e delle relative categorie culturali del sostegno imperiale al cristianesimo, facente

seguito alla politica di tolleranza sancita nel 313 e capace di una risonanza in campo iconografico decisamente superiore

all’Editto stesso; e quella degli apparati e dei sistemi decorativi delle chiese, con particolare attinenza all’arredo

liturgico che, nello specifico frangente storico, parrebbe di fatto essere stato per un certo tempo l’unico autentico decoro

degli edifici di culto. Lo studio estenderebbe, pertanto, a più diffuso un contesto alcune prospettive di ricerca già

intraprese e delineate, circa un decennio fa, in merito alle donazioni di materiale lato sensu liturgico alle basiliche

Lateranense e Vaticana, cercando di gettare nuova luce sulle conclusioni di Theodor Klaser che nel 1935 presupponeva

l’esistenza più o meno diffusa di altari in metallo prezioso sulla falsariga di quello devoluto da Costantino alla basilica

Lateranense. In tal modo, la proposta, sondando il campo della glittica e dalla manifattura propriamente liturgica, mira a

evidenziare come anche, se non soprattutto, le artes minores finiscano per rientrare all’interno di continuum che unisce

le prime manifestazioni decorative degli edifici di culto alle realizzazioni dei grandi scenari iconografici della matura

età cristiana, proponendosi come coordinata importante, sia pure non sempre facilmente enucleabile né decodificabile,

di un programma decorativo ancora sperimentale, ma già in perfetta coerenza con la laboriosità e la complessità

evolutiva che caratterizzano la creazione e definizione degli elementi d’ornato delle prime sedi del culto.

Ammettendosi, inoltre, il presupposto metodologico di una inclusione di questa manifattura artistica come strettamente

coordinata alla natura omogenea e indifferenziata dell’arte figurativa cristiana, dalla quale temi e schemi figurativi o

elementi esornativi estranei a una logica «globale» si selezionano prevalentemente come frutto dell’intervento delle

esigenze e delle direttive della committenza, la ricerca presenta la possibilità di conseguire alcune possibili conclusioni

in merito all’enucleazione di alcuni spunti iconografici di derivazione propriamente costantiniana. La lettura di tali

elementi, potendosi escludere specifiche finalità teologiche, consente di mettere a fuoco motivi e strumenti della

propaganda imperiale legata alla manifestazione artistica di interesse liturgico.

Baptisteries under Constantine and the Constantinian dynasty

Olof Brandt

The aim of this contribution is to make a critical examination of all those structures which have been identified as

baptisteries and dated within the period which is the object of this Congress, that is from the from the beginning of the

reign of Constantine to the end of the Constantinian dynasty with the death of Julian in 363. Only a very low number of

baptisteries can really be dated to this early period. This often depends on the fact that many monuments were

excavated without modern stratigraphic method, making it almost impossible to date them with certainty. As in most

other contributions to the part of this Congress dedicated to the Constantinian monuments, it will be necessary to

discuss the different criteria used for dating these structures. The low number of certainly Constantinian baptisteries

makes it even more interesting not only to identify them but also to see what they have in common. Features which will

be investigated include the shape and dimensions of the font, its position in the baptistery, the shape and dimensions of

the building, its vertical development, how it was illuminated and what the kind of illumination may tell about the

building’s function. A question which will be discussed concerns cases when a baptistery seems to have been built after

the basilica which it belongs to. The preserved structures will be compared with the few mentions of baptisteries in

contemporary texts like the Itinerarium Burdigalense, Eusebius of Caesarea (HE 10.4.45, in SC 55, ed. G. Bardy

(1958), p. 96s) and the Roman Liber Pontificalis, completed in the sixth century using earier material. The features

which will be identified in the Constantinian baptisteries will be compared with those of later baptisteries in order to

investigate, among other questions, if there are differences which indicate changes in the function of the baptisteries

from the investigated period to the fifth century or later periods. One hypothesis is that the windows became bigger

after the fourth century, when it became more common to celebrate the Easter Vigil already in the afternoon. The most

important function is of course the us for liturgical celebrations, which is why this contribution is proposed for the

section on “Liturgy and Architecture”, but if its coordinator prefers, it can also be proposed for another section.

LA PLASTICA COSTANTINIANA

Konstantin und die Statuen

Carola Jäggi

Die Forschung hat sich immer wieder irritiert gezeigt über die Statuenstiftungen Konstantins, die so gar nicht passen

wollen zum Bild eines christlichen Herrschers. Bereits Euseb hatte sichtlich Mühe mit den zahlreichen

dreidimensionalen Bildwerken, die sein kaiserlicher Heros in Konstantinopel, Rom und andernorts aufstellen ließ. Wie

wenig Konstantin in das eusebische Bild eines christlichen Herrschers, der sich von den herrschaftslegitimatorischen

Formen seiner Vorgänger abgewandt hat, passt, zeigt Eusebs höchst bemühte Passage in seiner Vita Constantini

(III,54), wo versucht wird, Konstantins Ausstattung Konstantinopels mit plastischen Bildwerken, die er aus dem ganzen

Reich heranschaffen ließ, um der neuen Residenzstadt einen Anflug von Alter und Gewachsensein zu geben, als

Maßnahme der öffentlichen Lächerlichmachung der alten Götzen zu verbrämen. Auch Eusebs Schweigen über die

Konstantinsstatue auf der Porphyrsäule am konstantinischen Rundforum ist höchst signifikant; aus jüngeren Quellen

wissen wir, dass diese Statue den Kaiser als Sol-Helios zeigte, was Euseb ganz offensichtlich in einen peinlichen

Erklärungsnotstand brachte und ihn veranlasste, diese für seinen christlichen Herrscherheros so gar nicht passende

Repräsentationsform mit Nichtbeachtung zu übergehen. In meinem Vortrag möchte ich dem geschickten Lavieren

Konstantins zwischen traditionellen Repräsentationsformen und dem Versuch, diese Repräsentationsformen mit der

neuen Religion in Einklang zu bringen, nachgehen. Euseb wird dabei eine mindestens ebenso prominente Rolle spielen

wie der Kaiser selbst, da erst seine Schriften einen differenzierten Einblick geben in die Traditionsgebundenheit seines

kaiserlichen Heros und die Empfindlichkeiten der damaligen Christengemeinde.

Un ritratto ritrovato dell’Augusta Elena dal complesso ad duas lauros?

Raffaella Giuliani

La Soprintendenza Speciale per i Beni Archeologici di Roma, insieme alla Pontificia Commissione di Archeologia

Sacra, sta portando avanti da alcuni anni un progetto di musealizzazione ed apertura al pubblico del restaurato

Mausoleo di Elena sull’antica via Labicana, soprastante le catacombe dei SS. Marcellino e Pietro. In tale ottica, si è

deciso di destinare l’edificio di culto e l’annessa canonica, sorti tra i secoli XVII e XVIII all’interno del mausoleo, ad

un museo eminentemente didattico per illustrare al vasto pubblico le fasi più salienti del sito ad duas lauros, quali

appunto l’insediamento del cimitero degli equites singulares Augusti, le origini dell’utilizzo funerario del sottosuolo da

parte della comunità cristiana, i grandi interventi edificatori voluti dall’imperatore Costantino e le vicende della

catacomba dall’età tardoantica all’alto medioevo. Il progetto museale ha previsto anche un’apposita sezione sulla

dinastia dei Costantinidi e sull’Augusta Elena, destinataria del grandioso mausoleo. Nella selezione dei reperti da

esporre nel museo, revisionando i giornali di scavo conservati presso l’Archivio Storico della Pontificia Commissione

di Archeologia Sacra, è emerso che una testa-ritratto femminile conservata nei depositi della Commissione, che si

riteneva sulla base di notizie orali non corrette provenisse dalle catacombe di S. Callisto, in realtà proveniva proprio

dalle catacombe dei SS. Marcellino e Pietro, e, in particolare, dallo scavo delle gallerie M5-M8, assai prossime al

mausoleo imperiale. Il dato accertato della provenienza rende perciò oggi molto più convincente l’ipotesi, già formulata

da Anna Maria Ramieri, che per prima aveva pubblicato l’importante reperto, che il ritratto possa riferirsi all’Augusta

Elena e quindi far parte dell’allestimento originario del suo sepolcro, a corredo dell’imponente arca in porfido oggi ai

Musei Vaticani che accoglieva le sue spoglie mortali. La ricerca tenterà, sulla base di confronti con contesti di

architettura funeraria pervenuti, di formulare qualche ipotesi circa la collocazione originaria del reperto.

L’identificazione del ritratto con Elena, basata in passato sull’acconciatura “a turbante” e in generale per l’ipostazione

ferma e severa del volto, ha richiamato i confronti soprattutto con il medaglione in bronzo di Nicomedia dell’anno 329

d.C. circa e con il ritratto di Villa Borghese a Roma. Si cercherà pure con la presente ricerca di allargare la possibile

rosa dei confronti, alla luce degli studi più recenti sulla ritrattistica di età constantiniana.

LA PLASTICA COSTANTINIANA: LA PRODUZIONE FUNERARIA

Due sarcofagi sconosciuti e la storia delle sepolture a San Pietro

Jutta Dresken-Weiland

(sarà presentata in lingua italiana)

Bisher galt, dass die ersten Sarkophagbestattungen in St. Peter dem zweiten Drittel des 4. Jhs. angehören, was bedeutet,

dass man annahm, es sei dort erst nach Abschluss der Bauarbeiten bestattet worden. Zwei bisher unpublizierte

Riefelsarkophage, die bei den Ausgrabungen von St. Peter gefunden wurden, erlauben es, diese Aussage zu korrigieren:

Die beiden Sarkophage lassen sich stilistisch zwischen die spätantiken Reliefs des 315 eingeweihten Konstantinsbogens

und Sarkophage aus dem späten ersten Drittel des 4. Jhs. einordnen. Somit wird man davon ausgehen können, dass

diese beiden Stücke bereits während der Erbauung der Peterskirche in diese eingebracht wurden, wie auch für S.

Sebastiano Bestattungen während der Bauzeit beobachtet werden konnten.

Die beiden Stücke, die für einen Mann und eine Frau bestimmt waren, sind in dreifacher Hinsicht bemerkenswert:

Erstens sind sie sich in ihrer handwerklichen Ausführung so ähnlich, dass sie in einer Werkstatt hergestellt worden sein

müssen, was sich bei stadtrömischen frühchristlichen Sarkophagen äußerst selten beobachten lässt. Dies lässt darauf

schließen, dass das auftraggebende Ehepaar bereits zu Lebzeiten die Sarkophage bestellte und in der Kirche

unterbringen ließ.

Zweitens macht die Ikonographie Aussagen über die Besteller: Der Mann trägt eindeutig eine Toga und campagi und

muss daher der Oberschicht angehört haben. Diese Beobachtung bestätigt die bedeutende Rolle von St. Peter als

Friedhof der Oberschicht bereits in konstantinischer Zeit; möglicherweise spielte eine Rolle, dass auch in früheren

Zeiten bereits vermögende und einflussreiche Personen in der an diesem Ort bestehenden Nekropole bestatten ließen.

Zu überlegen ist, ob vielleicht in einige Fällen Personen mit entsprechenden Kontakten als Ersatz für ihr Familiengrab

die Möglichkeit zur Bestattung in der Kirche gegeben worden sein könnte.

Drittens ist darauf hinzuweisen, dass die Ikonographie der beiden Sarkophage keine eindeutig christlichen Elemente

aufnimmt: der Togatus hält eine Buchrolle und ist mit einem weiteren Buchrollenbündel und einer capsa zu seinen

Füßen dargestellt; die Frau erscheint als Orans, einem vor allem auf frühchristlichen Sarkophagen beliebten Bildthema,

das jedoch ohne einen eindeutig christlichen Kontext nicht als sicher christlich interpretiert werden kann. Beide Kästen

sind von Hirten gerahmt; die Deckel mit Delphinen geschmückt, so dass eine ausgesprochen traditionelle Ikonographie

gewählt wurde, die keine Aussage über die religiöse Zugehörigkeit der Inhaber zulässt.

Über die drei genannten Punkte hinaus lenken die beiden Sarkophage die Aufmerksamkeit auf die Frage, wie die

begehrten Grabplätze an heiligem Ort vergeben wurden. Dazu lassen sich verschiedene Möglichkeiten aufzeigen, die

nebeneinander existiert haben dürften.

Relaciones de taller y comercio interprovincial en la producción de sarcófagos cristianos decorados. El tritón

timonel y otros motivos iconográficos secundarios en la plástica funeraria constantiniana

Miguel Ángel García García

Los importantes avances alcanzados en el estudio y sistematización del conjunto conocido de sarcófagos romanos con

decoración cristiana han permitido durante los últimos años ampliar el conocimiento sobre los procesos de producción,

adquisición, transporte y utilización de estos significativos exponentes de la cultura material tardoantigua, así como

profundizar en la relación existente entre clientes y talleres productores. Estas líneas de investigación se presentan en la

actualidad como la principal vía para la resolución de algunas importantes problemáticas que aún son objeto de abierto

debate.

Durante las últimas décadas, diferentes autores han fundamentado sus estudios en la identificación de los sarcófagos

decorados como resultado de un sistema productivo en serie, llegando a hablar de una industria de sarcófagos romana.

Desde esta perspectiva, resulta pertinente plantear que una producción en serie, o al menos una producción basada en la

generación de stock, implicaría un cierto grado de estandarización en los productos, refiriéndonos tanto a las técnicas de

fabricación como a los motivos iconográficos utilizados. En este sentido, y asumiendo cierta flexibilidad en el

desarrollo de variaciones sobre los motivos utilizados, una cuestión que este argumento deja abierta es la presencia de

unica iconográficos. Sobre este aspecto, y considerando el nivel actual de sistematización del conjunto conocido, resulta

cada vez más evidente que la consideración de estas excepcionalidades aporta claves significativas para la

investigación.

Algunos argumentos permiten explicar la presencia de un unicum iconográfico. Por un lado, y de forma opuesta a los

presupuestos de una producción basada en la generación de stock, la fabricación de un objeto bajo encargo directo, en el

que el cliente tendría un cierto nivel de elección de los motivo, posibilitaría la aparición de estos unica. Este tipo de

producción bajo encargo y la diversidad iconográfica que posibilita parece corresponder ampliamente con la

problemática planteada por la existencia de talleres locales frente a los grandes talleres especializados del entorno

metropolitano. Esta cuestión afecta directamente a la hipótesis tradicional que ha identificado mayoritariamente como

productos de importación procedentes de los talleres romanos a los sarcófagos de la primera mitad del siglo IV

documentados en ámbitos provinciales, y sobre la que autores como Koch han propuesto una reconsideración.

La convergencia de dos cuestiones planteadas como la excepcionalidad iconográfica y la estandarización de los

procesos productivos, permite arrojar información sobre la adscripción de piezas a talleres de origen y exponer nuevas

hipótesis sobre materiales del siglo IV considerados tradicionalmente como importados desde talleres metropolitanos.

Así pues, considerando que la fabricación de estos objetos corresponde a un sistema organizado de trabajo de taller, es

factible plantear que los motivos decorativos de carácter secundario fueran más sensibles a la estandarización, formando

parte de esquemas compositivos prefijados sobre los que se desarrollan los motivos principales. De este modo, cuando

la decoración secundaria presenta peculiaridades iconográficas significativas estas podrían ser consideradas como un

indicador válido para la identificación de un taller.

Un ejemplo de esta cuestión es la utilización de un motivo pagano, el tritón timonel que hace sonar una caracola, en la

decoración secundaria de algunos sarcófagos del siglo IV. Este motivo aparece decorando las enjutas de la decoración

arquitectónica de un grupo compuesto por una decena de sarcófagos columnados repartidos geográficamente entre el

sur de Hispania y Galia. La ausencia de paralelos conocidos en el conjunto metropolitano, que por otro lado supone la

mayor parte del volumen total de ejemplares documentados, es un hecho relevante y permite lanzar la hipótesis del

origen común de estas piezas en un taller provincial. De otra parte, otras relaciones en base a la presencia de

particularidades iconográficas parecen ratificar igualmente este argumento. Por un lado la utilización, igualmente

inédita en el ámbito romano, de algunos motivos del ciclo de Jonás en las enjutas de la decoración arquitectónica de

algunos de los ejemplares del grupo, destacando el sarcófago de Huerta de San Rafael de Córdoba y el sarcófago de

Leyden, cuyas relaciones iconográficas y formales ya fueron puestas en evidencia por Sotomayor. La utilización de este

motivo sirve asimismo para relacionar con el conjunto mencionado otros ejemplares béticos.

Las conclusiones que arrojan las relaciones existentes dentro de este conjunto permiten plantear no sólo que durante la

primera mitad del siglo IV existen talleres locales activos que producen materiales del mismo nivel de calidad que

elaborados en el foco metropolitano, sino que compiten con ellos en el mercado interprovincial. De otra parte, este

hecho obliga a matizar la naturaleza de ciertos procesos en la génesis de la iconografía cristiana constantiniana, al igual

que parece diferirse de las características iconográficas presentes en otras producciones contemporáneas como el caso

de la TSC con decoración de relieve aplicado.

What did the sarcophagus of Symmachus look like? Late Antique pagan sarcophagi

Niels Hannestad

One of the most prominent figures in the pagan resistance against rising Christianity was the city prefect of Rome,

politician and rhetor Q Aurelius Symmachus (c. 345-402) who was a descendent of an old aristocratic family. The circle

to which he belonged comprised high-ranking members of society. They were in opposition to the Christian capital of

Constantinople, but apparently this did not affect their careers. Symmachus is perhaps the best remembered of this

group due to his authorship and letters edited by his son.

An extraordinary piece of luxury craft, crucial to the discussion, is an ivory diptych uniting the two families of the

Symmachi and the Nicomachi, another leading pagan family. The diptych can be dated to the years 388-401 due to the

combination of the names, each placed on one of the two leaves. The motifs are deliberately pagan and the diptych

belongs to a minor group of ivory diptychs that can with reason be attributed to the pagan upper class in Rome.

Despite differences in beliefs, the pagan and the Christian aristocracy shared the same cultural values; values that came

from the learning tradition developed from the works of Cicero. Likewise ideas about how best to embellish one’s home

were standard across the aristocracy, which meant that the décor of a stately home revealed nothing about the belief of

the owner. Only the funeral sphere provided a forum for displaying belief.

A splendid example of a huge and exquisitely carved Christian sarcophagus is the one of the city prefect Junius Bassus,

who died in 359. Despite such an overt display of his Christianity, Junius Bassus also built a basilica-like structure on

the Esquiline decorated with an opus sectile floor featuring among other themes the myth of Hylas attacked by the

nymphs surrounded by Egyptian gods. To contemporary society such reference to both Christianity and paganism

would form no contrast.

From the above it seems that the answer to the question posed in the title - what did the sarcophagus of Symmachus

look like – should be relatively straightforward, although the topic has never been discussed. No doubt the sarcophagus

of Symmachus would have matched the one of Bassus, but the type was bound to be different. With reason we can

presume that pagan members of this same social circle were buried in mythological sarcophagi. The tradition of

mythological sculpture in the round, at least, is known to have remained vital long after 400 AD.

According to traditional chronology the never defined group of ‘Prunksarkofagen’ had its peak during the reign of

Gallienus. Then they went out of fashion and production dwindled to leave space for the Christian sarcophagi.

However, there is also a question mark over whether the supposed ‘peak’ ever happened. The empire was falling apart

at the time it was supposed to have occurred and the idea of sculptors leaving the quarries to work in Rome on

sarcophagi production is unlikely. Also the transport of heavy goods had become very difficult.

In reality the conventional chronology is based on the idea that the Roman Empire became Christian with the reign of

Constantine. However the literary sources tell a different story, as do the monuments. It has been accepted that

traditional pagan-style mosaics in private contexts continued to be laid such as in the Basilica of Junius Bassus, but

mythological sculptures found in late houses were, and very often still are, wrongly dated to the second century. The

majority are dated to the Antonine period, despite the fact that this seems impossible simply for reasons of logistics.

Where, for instance, were all these sculptures stored during the troubled years of the 3rd

century?

In many ways the discussion of late Antique mythological sarcophagi relates to discussion of late Antique mythological

sculpture in the round. Both groups of monuments follow the same stylistic development. However, they do diverge

when it comes to matters of distribution and workshops. While mythological sculpture spread all over the Empire the

distribution of sarcophagi, pagan as well as Christian, was much more limited due to problems of transport.

Late Antique pagan sarcophagi were produced in Rome presumably also Milan, and we should not forget Athens which

retained its pagan tradition to the end of Antiquity. For this reason we can conclude that the number of workshops

involved were limited compared to those that produced sculpture in the round. There may, however, have been changes

in traditional structures in work practices in that the sculptors may have become more flexible: the same person could

carve Christian or pagan sarcophagi as well as pagan sculpture in the round.

The number of late Antique sarcophagi will be limited but we can expect a high quality. Some have already been

identified as belonging to this group and more examples are sure to follow.

Radici e sviluppi della produzione urbana dei sarcofagi costantiniani, fra committenza e officine

Umberto Utro

Nel contributo si evidenzieranno le problematiche relative alla produzione urbana dei sarcofagi figurati a tematiche

cristiane lungo il primo cinquantennio del IV secolo. In particolare, si tenterà di focalizzare il rapporto esistente – nella

creazione, promozione e conseguente affermazione di nuovi temi figurativi – fra le scelte operate nelle singole

ricostruibili officine e il ruolo giocato dalla committenza. Si tenterà di verificare la ricorrenza di determinati motivi

iconografici in nuclei di opere riconducibili a uno stesso centro di produzione, cercando di risalire le «vie della

creazione» di tali motivi, indagando le ragioni commerciali di un’offerta produttiva ideata per venire incontro alle

esigenze delle committenze, e la forza propositiva delle stesse committenze (comunitarie e private), probabilmente

influenzate da motivazioni cultuali contingenti e topograficamente circoscritte.

Metteremo, così, in luce la singolare corrispondenza di alcuni innovativi temi iconografici che compaiono sui sarcofagi

della prima metà del IV secolo con la forte attrazione devozionale dei centri santuariali più importanti della Roma

cristiana del tempo: in primis quelli sorti intorno ai luoghi venerati della sepoltura dei principi degli Apostoli, i santi

martiri Pietro e Paolo.

Tra le "radici" dell’innovazione costantiniana nell’arte dei sarcofagi figurati romani va senz’altro collocato il sarcofago

cosiddetto di Giona, oggi custodito nel Museo Pio Cristiano, entro i Musei Vaticani. Il sarcofago fu rinvenuto integro

alla fine del Cinquecento nei lavori per la nuova basilica e fu poi restaurato ed integrato (nonché ridotto alla sola fronte)

al tempo della sua esposizione nel Museo Sacro della Biblioteca Apostolica Vaticana, voluto dal papa Benedetto XIV

nel 1756. Il sarcofago, scolpito intorno all’anno 300, fu ideato per una sepoltura della cristianizzata necropoli vaticana,

presso la tomba venerata di Pietro. Si assiste in esso, accanto alla sorprendente rilevanza riservata al ciclo di Giona,

inedita in questi termini nell’arte dei sarcofagi, anche alla nascita del ciclo petrino, con le due scene dell’arresto e del

battesimo dei carcerieri, a lungo dibattute dagli studiosi. Intendiamo in questa sede approfondire quanto abbiamo già

anticipato in altra occasione (cfr. U. Utro, in Petros eni…, 2006), e cioè la rilevante evenienza della nascita del ciclo

iconografico petrino su un manufatto collocato presso la tomba di Pietro, verosimilmente realizzato da un’officina

operante non lontano da quel potente catalizzatore di devozione! Dalla stessa officina esce anche, a nostro parere, quel

piccolo “sarcofago di Giona” oggi alla Gliptoteca di Copenaghen, ma rinvenuto a Roma «presso porta Angelica». Ci

riserviamo di apportare ulteriori contributi a questa ipotizzata officina operante a servizio dell’area cimiteriale cristiana

del Vaticano.

Un altro elemento di riflessione per la conoscenza dell’innovazione costantiniana riguardo alla plastica funeraria

cristiana è dato dalla rilevante frequenza della scena della traditio Legis su sarcofagi rinvenuti nell’area dell’ormai

realizzata Basilica vaticana, a cominciare da quello a colonne oggi custodito nelle Sale archeologiche delle Grotte

Vaticane, forse collocabile intorno alla metà del IV secolo. Il tema della traditio Legis è un esempio centrale del

rinnovamento del repertorio iconografico cristiano costantiniano. L’ipotizzata grande composizione musiva dell’abside

della Basilica, riprodotta su un vetro dorato del Museo Sacro o sui rilievi lignei della Capsella di Samagher, trova

molteplici attestazioni su sarcofagi rinvenuti o ancora custoditi nell’area della Basilica dell’apostolo Pietro. Intendiamo,

in questa sede, approfondire tale incidenza anche in rapporto a possibili gruppi produttivi che sia possibile individuare e

proporre alla comunità degli studiosi.

Pure tra gli "sviluppi" dell’innovazione costantiniana nell’arte dei sarcofagi figurati va collocato il pregevole sarcofago

ad alberi con l’Anàstasis proveniente dalla Basilica di S. Paolo fuori le mura. Il programma dottrinale e le valutazioni

stilistiche sul manufatto, che richiamano il ricco repertorio di sarcofagi degli anni centrali del IV secolo, ne assicurano

l’attribuzione ad un’officina operante alla fine del primo cinquantennio di quel secolo, proponendolo quale prototipo dei

numerosi sarcofagi d’identica tipologia collocabili, da questo momento iniziale, entro l’arco dell’intera seconda metà

del secolo.

Intendiamo in questa sede valorizzare quanto abbiamo già anticipato (U. Utro, I sarcofagi paleocristiani dal complesso

di S. Paolo fuori le mura, in San Paolo in Vaticano, 2008, p. 63): se questo sarcofago è il prototipo di quelli ad alberi

con l’Anàstasis, ed essendo nata per tale tipologia la scena del martirio dell’apostolo Paolo, ci troviamo in presenza

della più antica apparizione della decollatio Pauli nell’iconografia cristiana: ancora una volta un tema iconografico

nuovo, legato ad un forte culto martiriale, nasce presso un luogo chiave di quel culto! Fu una bottega dell'Ostiense a

proporlo ai suoi potenziali clienti? O si trattò di una richiesta esplicita del committente? E, se sì, si trattò di una

committenza privata o comunitaria?

Oltre ai volumi del Repertorium der christlich-antiken Sarkophage (integrati, per la penisola iberica, dai Sarcofagos

romano-cristianos de España di Manuel Sotomayor) e in particolare, per l’area romana, al primo volume della serie,

curato da F.W. Deichmann, contiamo di attingere agli studi più recenti di Guntram Koch (tra cui specialmente

Früchlistiche Sarkophage, München 2000), nonché ai contributi di molti degli studiosi che si sono occupati nei decenni

passati della tematica iconografica e produttiva dei sarcofagi cristiani romani (J. Engemann, H. Brandenburg, F.

Bisconti, eccetera), molti dei quali contenuti negli Atti del Simposio sui Früchristliche Sarkophage (Marburg, 30.06. -

04.07.1999), curati dallo stesso Koch, e in quelli della giornata tematica dei Seminari di archeologia cristiana (École

française de Rome, 8 maggio 2002) sui Sarcofagi tardoantichi, paleocristiani e altomedievali, curati da Fabrizio

Bisconti e Hugo Brandenburg.

Particolari spunti di riflessione saranno colti, poi, dalla lettura comparata dei contributi di Klaus Eichner (Die Werkstatt

des sogen. dogmatischen Sarkophags: Untersuchungen zur Technik der Konstantinischen Sarkophagplastik in Rom, I-

II, Mannheim 1977; Technische Voraussetzungen für die Massenproduktion von Sarkophagen in konstantinischer Zeit,

nei citati Atti sui Früchristliche Sarkophage) e di Jutta Dresken Weiland, Sarkophagbestattungen des 4.-6.

Jahrhunderts im Westen des Römischen Reiches, Rom-Freiburg-Wien 2003.

LA CULTURA FIGURATIVA TRA PITTURA E MOSAICO

I mausolei, le cupole, le decorazioni: tra committenza imperiale ed emulazione privata

Matteo Braconi

Sotto l’impulso dei Costantinidi, l’arte cristiana conosce la sua prima stagione monumentale, si svincola dalla sola

dimensione privata delle catacombe, delle necropoli o della più generica produzione figurativa di ambito funerario e si

manifesta all’interno dei potenti e nuovi organismi architettonici del sopratterra, promossi e voluti dalla committenza

imperiale.

Tuttavia, come è noto, se per le costruzioni basilicali riferibili al IV secolo, il silenzio iconografico è pressoché

assoluto, al contrario l’architettura funeraria dei Costantinidi offre ancora alcuni spunti di riflessione per comprendere le

soluzioni iconografiche scaturite dai desiderata della famiglia imperiale, da una parte proiettati verso i temi biblici della

nuova religione e dell’altra ancorati alle tradizioni figurative del passato o, ancora meglio, agli schemi iconografici

standardizzati dell’arte ufficiale.

In particolare, si vogliono presentare come riferimenti incipitari gli esempi delle decorazioni del mausoleo

romano di Costantina e di quello spagnolo di Centcelles, entrambi configurati architettonicamente come ambienti a

pianta centrale provvisti di una copertura a cupola.

Nel primo caso, malgrado il programma figurativo della volta sia andato completamente perduto, buona parte

di esso è ancora ricostruibile grazie ad una serie di disegni eseguiti prima che il mosaico dell’edificio fosse distrutto per

volere del cardinale Fabrizio Veralli (1620). L’intera decorazione si dispiegava in pieno rispetto all’andamento circolare

della cupola, dando vita ad una serie contigua di tre fasce concentriche, delle quali, la più esterna proponeva un

paesaggio marino, popolato da pesci, volatili ed eroti; quella intermedia presentava un fitto campionario di scene

bibliche tratte dalle storie del Vecchio Testamento, mentre quella interna doveva essere interessata da un ciclo a materia

evangelica. Soltanto il primo ordine si scioglieva, lungo il perimetro della circonferenza, senza soluzione di continuità,

mentre le scene che componevano gli altri due registri erano isolate l’una dall’altra mediante una sequenza di candelieri

disposti a raggiera e costituiti da cariatidi ed elementi fitomorfi.

La medesima organizzazione tettonica dei materiali iconografici torna anche nel mausoleo spagnolo di

Centcelles e, segnatamente, nella cupola, dove la decorazione, ancora integra in alcuni settori, si risolve nuovamente

rispettando la conformazione circolare della volta, con tre fasce figurative incastonate l’una nell’altra e con una serie di

colonne, che, come nel caso dei candelieri del monumento romano, scandiscono in verticale la successione delle scene

bibliche del registro intermedio, mentre i quattro riquadri dell’ordine più interno, vengono separati da altrettante

personificazioni stagionali.

La fascia più esterna, invece, rispetta l’idea del fregio continuo che si osservava nel medesimo settore del

mausoleo di S. Costanza, ma cambia il suo tenore figurativo, abbandonando i temi marittimi e proponendo una

sequenza ininterrotta di scene a carattere venatorio, connotate da un accento fortemente autobiografico, che caratterizza

anche le quattro scene del registro più interno. Proprio queste ultime raffigurazioni sono state oggetto di una particolare

attenzione da parte della critica, che vi ha voluto riconoscere ora la manifestazione degli imperatori della “quasi

tetrarchia” del 350, ora la narrazione figurata delle cerimonie di un vescovo ed ora, ancora, degli enfatici quadretti

autorappresentativi del dominus e della domina proprietari del monumento.

A prescindere dalla natura della committenza, tra il mausoleo di Centcelles e quello di S. Costanza, si evince

un’uniformità inequivocabile degli impianti figurativi e dell’organizzazione tettonica dei materiali iconografici,

sistemati secondo un climax ascendente che posiziona le scene di repertorio e i fregi continui lungo il margine esterno

della cupola, con un crescendo semantico che lascia agli episodi biblici la postazione privilegiata dei settori centrali.

Il programma decorativo dei due edifici, da cui non doveva differenziarsi neanche quello del mausoleo di

Elena sulla via Labicana, a mio modo di vedere, è il tipo o il prototipo a cui si ispirano alcuni prodotti artistici dell’

orbis, riferibili al IV secolo d.C.; il tutto doveva svolgersi secondo un processo di “migrazione iconografica”, già noto

per quanto attiene le decorazioni degli edifici di culto costantiniani, che, per un fenomeno di mimesi devozionale,

venivano riprodotte, in scala ridotta, nei vetri dorati, nelle pitture delle catacombe o negli oggetti destinati ad uso

liturgico.

Dalla devozione all’emulazione, quindi, dalla committenza imperiale a quella privata, come nel caso del

mausoleo dell’Esodo ad El-Bagawat, dove la decorazione della cupola si risolve in due fasce concentriche campite da

scene bibliche, talvolta estranee al repertorio canonico dell’arte paleocristiana, ma comunque caratterizzate dalla

peculiarità dell’alternanza tra il racconto continuato dell’ordine interno e quello frammentato, con immagini

giustapposte, del registro esterno. Un simile linguaggio iconografico interessa anche il mausoleo della Pace ancora ad

El-Bagawat, dove, ormai nel V secolo, il recupero degli schemi e dei temi pregressi, coincide con una progressiva

rielaborazione dei prototipi originari. E se non mancano casi in cui le volte di alcuni cubicoli catacombali sembrano

tener conto di questo milieu artistico incipitario, alcuni vetri incisi, che nella forma circolare rievocano naturalmente

l’aspetto geometrico della cupola, propongono impianti iconografici straordinariamente simili ai due mausolei da cui si

sono mossi i nostri ragionamenti, come dimostra il piatto vitreo di Podgorica o quello conservato al British Museum,

dove addirittura si ritrova la peculiarità delle colonne verticali disposte in sequenza per isolare le varie scene bibliche.

La decorazione pittorica nella catacomba di Villagrazia di Carini nel contesto della cultura figurativa

costantiniana di area mediterranea

R.M. Carra Bonacasa, G. Cipriano

Le ricerche condotte dal 2000 ad oggi nella catacomba di Villagrazia di Carini, per conto della Pontificia Commissione

di Archeologia Sacra, hanno consentito di esplorare in maniera sistematica alcuni settori del cimitero e di interpretarne

gli apparati decorativi che presentano soluzioni di “avanguardia” sia per l'adesione a temi iconografici esplicitamente

cristiani, sia per i richiami ricorrenti all’ambientazione paradisiaca.

Rispetto ad altre realtà siciliane (Lilibeo, Siracusa), di pieno IV secolo in cui risulta più rallentato il processo di

“aggiornamento” delle iconografie verso una dichiarata componente cristiana, la committenza di Villagrazia, ancorché

“provinciale”, si distingue per l’adesione a soggetti di ispirazione biblica che richiamano esempi romani. Lo dimostrano

sia l’adorazione dei Magi, con le sue forti implicazioni teologiche, sia il sacrifico di Isacco e l’episodio di Mosè che

batte la rupe, che, nell'arcosolio VII.21, si accompagnano ad una figura femminile orante. Alla tradizione figurativa

ellenistica rimanda invece il ritratto femminile dell’arcosolio VIII.32, un unicum per il volto delicatamente affinato,

esaltato da toni e sottotoni di colore rosa e per la posa elegante della testa dalla ricercata acconciatura che si ispira alla

moda della Augusta Elena.

Il repertorio iconografico di Villagrazia si impone nel panorama mediterraneo della pittura funeraria tardo antica per i

suoi caratteri innovativi rispetto ai contesti siciliani, dell’Italia meridionale e del Nord Africa e per la sua forte adesione

ai modelli di Roma che confermano lo stretto legame che, in età costantiniana e per tutto il IV secolo, l’Isola ebbe con

la Capitale in ragione della presenza sempre più assidua di membri della aristocrazia senatoria detentori di patrimoni nel

contesto di un territorio a forte vocazione rurale.

La pittura scomparsa del vestibolo del palazzo imperiale di Costantinopoli tra retaggi biblici, segni ideologici

cristiani e sviluppi iconografici

Clementina Rizzardi

E’ noto che a Costantinopoli, Nuova Roma ed epifania dell’Impero romano universale, si esplica già in età costantiniana

una stretta coesione tra ordine provvidenziale della storia e Impero: Costantino è il basileus, nuovo Mosè nella sua

missione di salvezza del genere umano, di cui è pastore e nuovo rappresentante di Dio sulla terra(De vita Constantini).

Ebbene, proprio davanti al vestibolo del palazzo, sulla sommità del protiro, l’Imperatore Costantino fece raffigurare una

pittura ad encausto, ricca di colori, affinché fosse visibile a tutti particolarmente significativa”…sopra il capo

dell’Imperatore era rappresentato il segno salvifico,mentre la fiera nemica e ostile che aveva perseguitato la chiesa di

Dio era stata raffigurata in basso con l’aspetto di un drago. Infatti le Scritture nei libri dei profeti di Dio la chiamano

drago e sinuoso serpente. Pertanto anche l’Imperatore la volle mostrare, in questo dipinto ad encausto, sotto i piedi suoi

e dei suoi figli, trafitta da un dardo proprio nel mezzo del corpo e gettata negli abissi del mare, e in questo modo

rappresentava il nemico invisibile del genere umano…”(III,1-2).

Numerose e profonde sono le problematiche che si agitano intorno a tale pittura che vedeva raffigurato quindi,a

dimensioni statuarie, l’Imperatore Costantino, col capo sormontato dal “segno salvifico” accanto ai suoi figli Costanzo

II e Costantino II, nell’atto di trafiggere un drago rotolante verso gli abissi marini(Bisconti 2005): pittura intesa da

alcuni critici esclusivamente in chiave biblica,come la chiesa di Dio assalita dal diavolo-serpente;oppure,da altri, come

simbolo della vittoria imperiale di Costantino sul nemico Licinio, da lui sconfitto a Chrisopolis.

In realtà tale riquadro, semplice solo in apparenza, mi pare esprima compiutamente quel complesso periodo

costantiniano in cui il centro del potere tende ad operare una giusta coesione tra ordine provvidenziale della storia e

impero, ricollegando inoltre l’eredità storica e iconografica dell’antico Egitto e dell’antica Roma al Cristianesimo

trionfante. E’ indubbio che tale raffigurazione affonda le sue radici nelle antiche profezie bibliche,espresse sia da

Is.27,1 e da altri salmi(73 e 74), in cui si diffonde l’immagine della potenza divina che trafigge il drago-satana.

Analoghe concezioni si rilevano nell’arte dell’antico Egitto: è noto infatti che,secondo l’antica mitologia egiziana il

Sole-re, durante il suo viaggio notturno attraverso il paese dei morti,regno di Osiride,doveva combattere un enorme

serpente (Apophis)su cui riusciva vittorioso.

Si afferma quindi in età costantiniana una tematica imperiale- avente come protagonista Costantino, nuovo Mosè-

che,suggestionata dalla tradizione messianica,dall’arte alto egiziana,ma anche dall’iconografia della calcatio colli

dell’arte romana,intende tradurre in chiave cristiana,con l’ausilio del simbolo niceforo, l’idea del trionfo imperiale. E’

l’Imperatore cristiano stesso il primo e autentico sauroctonos, l’uccisore del drago,da intendersi tuttavia non solo come

il nemico personale, ma come espressione della paganità intera, dell’eresia e del peccato, secondo quanto chiarisce

ulteriormente l’Apocalisse di Giovanni(Ap.12,9).

Se tale ideologia politica tardo antica e alto bizantina si diffonde dapprima nell’iconografia monetale che, a partire da

Costantino e dai suoi primi discendenti,emana il concetto di vittoria imperiale, è poi a Ravenna,capitale dell’Impero

romano d’Occidente a partire dal 402, che si attua chiaramente la traduzione cristiana dell’immagine imperiale:essa

trova la più alta esaltazione sia nella scultura che nella decorazione musiva che in quella a stucco. Presente sul

sarcofago Pignatta(in.V sec.),essa dominava inoltre la facciata interna della basilica di S.Croce,di età placidiana dove,

secondo quanto ricorda il Liber Pontificalis Ecclesiae Ravennatis,era realizzata a mosaico una scena raffigurante il

Cristo vittorioso nell’atto di calpestare i saeva crimina e cioè il leone e il serpente(Salmo 90), sul monte del

Paradiso,fiancheggiato dai quattro Esseri viventi dell’Apocalisse; e ancora tale scena dominava in uno stucco del

Battistero ortodosso, nella lunetta sovrastante la porta della città di Ravenna, nei mosaici teodericiani di S.Apollinare

Nuovo e infine nella lunetta posta nel vestibolo della cappella Arcivescovile,dove il Cristo,Logos trionfante in veste di

giovane imperatore in abiti militari, ha la croce sulla spalla e calpesta con il piede il dorso di un leone e la testa di un

serpente. Raffigurazioni queste, che assumono particolarità,nuovi elementi iconografici e sfumature di significato

diverso a seconda del contesto monumentale e dello specifico periodo storico cui esse si riferiscono. Ulteriori

testimonianze di tale iconografia si riscontrano inoltre al di fuori di Ravenna,in altre località dell’Occidente, ma anche

nello stesso Egitto dove, ad Alessandria, nella pittura scomparsa di un ipogeo sotterraneo, doveva essere raffigurato

Cristo Sol et Victor, mentre calpestava un serpente e un leone. Particolare diffusione assume quindi nel mondo tardo

antico tale tematica che,traendo lontane origini dall’antica cultura religiosa egizia,mediata dal mondo ellenistico-

romano,trova alla corte di Costantinopoli una significativa elaborazione imperiale-cristiana, diffondendosi poi nel

mondo bizantino e a Ravenna in particolare.

LE ALTRE ARTI: DAI MATERIALI DI LUSSO AGLI OGGETTI DI USO QUOTIDIANO

Des objets de luxe à ceux de la vie quotidienne

François Baratte

Jusqu’à la fin du IIIe siècle, l’usage des images et des symboles chrétiens sur les objets de la vie quotidienne, même

luxueux, reste exceptionnel. Pourtant des exemples africains, connus par les textes, celui de la cathédrale de Carthage

vers 306 et plus précisément encore celui de Cirta (Constantine) témoignent de la constitution de « trésors », c’est-à-

dire de collections d’objets précieux offerts à une église, donc de l’usage de plus en plus répandu de tels objets en

milieu chrétien. Les donations de Constantin ne font que prolonger un mouvement déjà bien amorcé, qui s’inscrivait lui-

même dans la continuité de la tradition romaine, en lui donnant seulement une ampleur particulièrement remarquable.

Lorsqu’il s’agit cependant d’analyser le développement de ce matériel chrétien, précieux ou plus modeste, une difficulté

majeure se présente : celle de datations qui reposent trop souvent sur des bases incertaines, interdisant ainsi de suivre de

manière précise les évolutions. La plupart des pièces d’argenterie à décor figuré chrétien, qu’elles appartiennent à des

laïcs ou aux églises, sont ainsi globalement ramenées à l’époque théodosienne, au dernier quart du IVe s., comme autant

d’exemples du « classicisme » attribué à cette période : une réexamen des datations serait souhaitable, comme l’a

montré le dossier du trésor de l’Esquilin. Il n’en demeure pas moins que ces objets d’argent restent, dans l’état actuel

des connaissances, rares pour la période des Constantinides : le plus ancien trésor d’église parvenu jusqu’à nous, celui

de Water Newton, en Bretagne, ne peut être daté avant le troisième quart du IVe s. ; plusieurs de ses objets sont

caractérisés comme chrétiens par des inscriptions ou des symboles, aucun ne porte de décor figuré chrétien, et un

certain nombre ont une allure purement profane. Il en va de même dans la vaisselle de table, où un des rares exemples

que l’on trouve est un cure-dent du trésor de Kaiseraugst (350) décoré d’un chrisme. La situation n’est pas différente sur

les plats appartenant aux distributions impériales : les symboles chrétiens y sont très rares. Ce constat, décevant, est

d’autant plus étonnant que d’autres objets métalliques, moins précieux, comme les « coffrets pannoniens », portent plus

tôt et en abondance des images chrétiennes

L’argenterie toutefois ne recouvre pas la totalité de la production des objets de luxe, ni, bien évidemment, de ceux de la

vie quotidienne. La situation apparaît différente dans d’autres domaines, la verrerie notamment, souvent mieux datée

car appartenant à des mobiliers funéraires. Une partie des vases à décor gravé – parmi lesquels les décors chrétiens sont

nombreux - ou certaines pièces exceptionnelles comme la coupe en verre bleu de Cologne, se placent dans le deuxième

tiers du IVe siècle, voir plus tôt encore. Et le dossier des verres dorés, quelque complexe qu’il soit, témoigne lui aussi de

la mise en place plutôt rapide d’un répertoire chrétien sur des objets de la vie courante.

Parmi les produits de moindre valeur, le dossier de la céramique sigillée africaine est lui aussi éclairant : les décors

figurés chrétiens, nombreux, sont généralement datés après 350, mais il paraît possible d’envisager de remonter un peu

dans le temps cette chronologie.

L’analyse met donc en évidence l’évolution qui conduit en une cinquantaine d’années d’une situation dans laquelle les

objets à décor chrétien sont plutôt rares, notamment sur les objets les plus courant, à une autre de banalisation. Mais le

rythme du développement semble différent suivant les domaines, plus lent dans l’argenterie, sans qu’on comprenne

exactement les raisons, ou dans la céramique, plus rapide dans la verrerie. Au début du siècle, on n’éprouve guère le

besoin de manifester sa foi sur les objets quotidiens. Soixante ans plus tard il va de soi de les utiliser très largement,

peut-être pour faire pièce aux manifestations encore vigoureuses de l’imagerie païenne.

The ‘Language’ of Clothing. On the Degree of Reality in Dress Depictions of the Constantinian Period

Sabine Schrenk

It is surprisingly difficult to find out through archaeological studies, what clothing people in the streets of Constantinian

Rome or other mayor later antique cities were wearing. There are quite a number of treaties on the definition of a tunic,

a pallium, an alicula or on other clothes, also on how these clothes could be worn. But did people actually wear all these

in reality? Do, for example, the many and densely arranged paliati on Constantinian sarcophagi or the different

costumes in catacomb paintings have anything in common with the "street clothes" of those times? The pallium is the

cloak being depicted most frequently. In representations of women the so called dalmatica is increasingly shown. Does

this reflect reality of fashion? One might be tempted to ask: Why not?

However, there are some obstacles on the way to answer positively. Originals of the Constantinian period are hardly

known so far and cannot give a reliable insight into fashion. And analysing pictorial sources in these questions leads to

a surprising conclusion, not widely recognized so far, which has nothing to do with the frequency a cloth is depicted:

With clear regularity deceased persons on sepulchral monuments are wearing costumes quite different from those of

biblical figures. The latter are shown in tunic and pallium, whereas the mail deceased are depicted in a medium length

tunic and a cloak with fibula or a paenula. Female biblical or mythological figures would be wearing tunic and palla, a

chiton or a double girded, thin peplos, in contrast to a tunic or a dalmatic on the deceased "historical" female figures.

Monuments of non-sepulchral contexts reflect the same picture. Here as well contemporary figures (e. g. participants of

non-mythological hunts resp. the owner of estates on mosaic floors) are wearing a dress different from biblical or

mythological figures. In short: Certain groups are represented in certain costumes and the artists did hardly ever vary

between them.

Do all the groups reflect contemporary clothing? As a first assumption it seems likely that – if any – the deceased are

depicted in the actual clothing of the time of their representation and the enormous amount of pictorial sources above all

of the Constantinian period can verify this theory. The question why then the pallium does endue figures like apostles

and prophets and what this means for this cloak as real clothing item (which is not found on pictures of the defunct)

leads to a different level of discussion: the "language" of dress. The clear division into different groups clad in particular

clothing shows that demarcation is a key to the understanding of the depictions. It becomes apparent to what amount –

and how easy – biblical figures where differentiated from profane ones with the help of clothing and that like this they

were virtually prescind from realty. So it seems rather unlikely that the pallium was still worn in the Constantinian

period.

This shows that deliberately the level or reality is not the same in all depictions of clothing. Different messages were

connected with different costumes, a matter which has to be checked in literal sources.

Whereas different layers of perception are known in particular concerning the pallium also a certain iconographical

tradition could lead to the choice of a depicted dress. This is very likely the case with representations of Victoria and the

personifications of cities. Their thin, double girded peplos is known at the latest since Hellenistic times and they keep

this gown until the 6th

century (minimum), as silver plates can prove. Like this they can be recognized more easily – and

again are lifted into a different sphere, apart from reality. It is interesting to observe, however, that not all

iconographical traditions persist. One may suppose that a "change of costume", as to be observed on the transformation

from the pagan pietas to the Christian orans would have a special meaning as well.

In conclusion the paper wants to show that Constantinian depictions of clothing cannot be translated 1:1 into reality of

those times. Nothing speaks against assuming the actual habit of clothing in the representations of contemporary

figures. However, with other figures there are reasons for the choice of their costume beyond the wish to show reality.

To decipher this "language" of clothing will become important also in the post-Constantinian period, when the Christian

liturgical costume and its representations come into existence.

CARATTERI DELL’EPIGRAFIA CRISTIANA IN OCCIDENTE

Caratteri dell’epigrafia cristiana a Roma

Danilo Mazzoleni

Non essendo materialmente possibile affrontare un argomento tanto vasto in un tempo limitato, si è pensato di

privilegiare un aspetto particolare e finora non evidenziato, ovvero la presenza di epigrafi datate nelle catacombe

romane, in base ai testi editi nei dieci volumi delle Inscriptiones Christianae Urbis Romae septimo saeculo antiquiores

e ad alcune scoperte successive. Il periodo considerato è compreso fra l’avvento al potere imperiale di Costantino (312)

e la morte dell’ultimo dei suoi figli, Costanzo II (361).

Per la prima volta si presenteranno quadri statistici relativi al numero delle epigrafi datate, nel periodo in esame, note a

Roma, alla loro frequenza nelle singole catacombe e alla consistenza di iscrizioni ancora in situ, per concludere con

alcuni esempi, che mostrano le caratteristiche tipiche dei formulari adoperati in quell’arco cronologico.

Caratteri dell’epigrafia cristiana in Italia (esclusa Roma)

Giuseppe Cuscito

Dopo sintomi evidenti di regressione dell’epigrafia, nel corso dell’età costantiniana si registra, anche per l’emergenza

del fenomeno cristiano, una ripresa del medium epigrafico sia per la memoria individuale sia per quella collettiva.

Quest’ultima si esprime soprattutto nelle testimonianze onorarie di carattere pubblico da parte di una società ancora con

forti resistenze pagane, come nel famoso rescritto di Spello (CIL XI 5265) o in numerose epigrafi attestanti le evergesie

dei costanti nidi; la prima si riflette invece nell’epigrafia sepolcrale con moduli formulari e segni identitari ormai

improntati alla nuova fede. In questo secondo caso però si tratta di limitare l’analisi a quei documenti epigrafici

compresi entro la metà del sec. IV in base alla data consolare o al contesto di pertinenza. Ma, nella grande quantità di

titoli paleocristiani noti, la scarsità di quelli riferibili con certezza all’età dei costantinidi non garantisce, a parte possibili

valutazioni statistiche, esiti promettenti e innovativi alla ricerca, le cui conclusioni possono essere riportate a quanto è

già stato osservato in generale per la terza età dell’epigrafia. La realizzazione dei primi complessi cultuali all’aperto

dopo la pace della Chiesa permette di documentare il passaggio dall’evergetismo del principe all’evergetismo del

vescovo, di cui è testimonianza più unica che rara in Italia l’iscrizione musiva del vescovo Teodoro di Aquileia. Se poi

passiamo al più cospicuo gruppo delle iscrizioni sepolcrali, si può dire che sintomi di questo “mondo nuovo” sono il

“rientro” dei dati retrospettivi del defunto, così che l’epitaffio dei cristiani ritorna ai modelli della prassi funeraria

romana con la memoria della vita terrena, con la costante menzione della depositio, che fissa la cadenza delle ricorrenze

anniversarie, e con segni evocativi del credo religioso dei committenti. Ne sono testimonianza significativa alcune

epigrafi della Sicilia, della Calabria, di Aquileia, di Milano e dell’Italia centrale, dove pare rilevabile una

concentrazione più accentuata.

Una lunga “svolta costantiniana”: mutamenti e tradizione epigrafica romana nella prassi dei cristiani (260-360)

Antonio Enrico Felle

Nel seguire il progressivo sviluppo della prassi epigrafica di committenza cristiana si considera l’età di Costantino

prevalentemente come il momento -quasi improvviso- dell’emersione finalmente libera di formulari, termini, segni,

immagini che esplicitamente e apertamente dichiarano l’identità religiosa dei cristiani. Appare meno evidenziato invece

per il medesimo periodo - a dispetto già del semplice dato quantitativo - il peso specifico rilevante della consolidata

tradizione epigrafica romana che proprio a partire dall’età di Costantino riconquista tutti i propri spazi, anche e

soprattutto tra le fila di chi – quali i membri delle comunità cristiane – aveva pure realizzato nelle proprie generazioni

precedenti un modello di espressione epigrafica volutamente alternativo a quello dominante, come esito di una visione

del mondo e della morte totalmente opposta a quello della cultura tradizionale. Un modello “eversivo” (la svolta reale)

che comunque, pur prevalente tra le iscrizioni dei fratres delle comunità cristiane del secolo III e sicuramente

perseguito dai relativi responsabili ecclesiastici, non appare essere stato seguito in modo assoluto. Contemporaneamente

ai documenti permeati del cosiddetto “laconismo” compaiono epigrafi riconducibili pienamente nell’alveo della prassi

epigrafica romana tradizionale. Già prima della “svolta costantiniana” si manifestano, negli ultimi decenni del secolo

III, forme di simbiosi con le forme espressive della tradizione; infine, nei decenni dei Constantinidi, la prassi

tradizionale – di fatto mai completamente interrotta - giunge a comprendere con un processo di inclusione attiva nel

proprio repertorio espressivo formule, termini e segni espliciti del Cristianesimo, ricevendone un rinnovato impulso

vitale.

Pausat in pace - Inschriften als früheste Zeugnisse des Christentums in Trier

Hiltrud Merten

Die Bedeutung der Stadt Trier in der Spätantike ist treffend zu beschreiben mit ihrer Doppelrolle als Kaiserresidenz und

Bischofssitz. Konstantin d. Gr. selbst, seine Vorgänger Maximian und Constantius Chlorus wie auch viele seiner

Nachfolger residierten seit dem ausgehenden 3. bis zum Ende des 4. Jahrhunderts in Trier. Zugleich war die Stadt der

Sitz des praefectus praetorio Galliarum. Die gallische Präfektur gehörte zu den vier großen Verwaltungseinheiten des

Römischen Reiches; ihr unterstand der gesamte Westen des Reiches von Schottland bis Nordafrika. Beide

Einrichtungen – Kaiserresidenz und Verwaltungszentrale - verliehen Trier im 4. Jahrhundert den Rang und die

Bedeutung einer Weltstadt wie Rom, Konstantinopel und Alexandria.

Das Christentum erreichte Trier vielleicht schon am Ende des 2. Jahrhunderts. Der Trierer Bischofssitz ist der älteste

nördlich der Alpen; seine Einrichtung dürfte in der 2. Hälfte des 3. Jahrhunderts liegen. Die Trierer Bischofsliste nennt

im 4. Jahrhundert berühmte Namen wie Agricius, Maximin und Paulin. Die Bischöfe dieser frühen Zeit förderten nicht

nur den christlichen Glauben und seine Verbreitung, auch auf politische Entscheidungen nahmen sie energisch und

richtungweisend Einfluß.

Unter den Quellen, die Auskunft über diese bedeutendste Phase des antiken Trier geben, bieten die epigraphischen

Zeugnisse den unmittelbarsten Einblick in die Lebensverhältnisse und die gesellschaftlichen Strukturen der Zeit. Die

spätantike Kaiserresidenz Trier verfügt mit annähernd 1300 frühchristlichen Inschriften über die größte Fundmenge

dieser Denkmälergruppe außerhalb der Stadt Rom. Die Tituli sind zeitlich überwiegend in zwei Phasen einzuordnen:

Die erste erstreckt sich vom 4. bis zum Ende des 5. Jahrhunderts, die zweite umfasst das 7. und 8. Jahrhundert.

Besonderes Augenmerk ist auf die frühesten Belege aus der Zeit der Herrschaft Konstantins d. Gr. und seiner Söhne bis

zur Mitte des 4. Jahrhunderts zu richten, denn in diesen Grabinschriften sind erstmals die Angehörigen der frühen

Trierer Christengemeinde zu fassen. Die Frage nach der Struktur dieser Gemeinde lässt sich anhand des reichen

Namenmaterials untersuchen: Es zeigt sich, dass die frühen Christen in Trier zum einen aus der ortsansässigen

Bevölkerung kamen, doch auch zu einem hohen Anteil Fremde waren. Besonders deutlich wird dieses „Fremd-Sein“

durch die Verwendung der griechischen Sprache; etwa ein Dutzend griechischsprachiger Inschriften ist aus Trier

bekannt. Diese Zeugnisse erlauben es, das Bild einer aus dem Osten eingewanderten kleinen griechischsprachigen

Gemeinschaft zu zeichnen, die die Anziehungskraft der Weltstadt Trier in den lateinischen Westen geführt hatte.

Das Formular der Inschriften ist in dieser frühen Zeit oft sehr schlicht, die Inschriften sind eher wortkarg und begnügen

sich mit nur wenigen Angaben zur Person des Verstorbenen. Es fehlen in dieser Zeit metrische Texte, die an der Wende

zum 5. Jahrhundert beliebt werden. Eine Standardisierung der gängigen Formularelemente ist in der 1. Hälfte des 4.

Jahrhunderts noch nicht erfolgt. Dennoch fallen ungewöhnliche Wendungen auf; sie weisen wie manche Namen auf

eine fremde Herkunft des Grabinhabers hin und bezeugen zugleich das Bemühen um die Wahrung der eigenen

kulturellen Identität.

Die hohe soziale Stellung vieler christlicher Familien der frühen Zeit ist auffallend. Die gesellschaftliche Position ist

außer an den Standes- oder Berufsbezeichnungen vor allem daran zu erkennen, dass diese Familien über die Mittel

verfügten, kunsthandwerklich anspruchsvolle Grabinschriften fertigen zu lassen. Sowohl in der Gestaltung der

Ornamente als auch in paläographischer Hinsicht finden sich unter den Trierer Zeugnissen Beispiele von

beeindruckender Qualität.

Der gesellschaftliche Rang einer Familie wird ebenfalls deutlich durch die Wahl eines prominenten Begräbnisplatzes

wie ihn die prachtvolle Coemeterialbasilika von St. Maximin auf dem nördlichen Gräberfeld von Trier darstellt. Die

Auswertung der frühen christlichen Inschriften unter Beachtung des archäologischen Kontextes eröffnet die

Möglichkeit zur engeren zeitlichen Einordnung der Zeugnisse: Beigaben und Fundzusammenhänge erlauben eine

verlässlichere Datierung der Inschriften als dies bislang überwiegend mit Hilfe des Formulars oder der Paläographie zu

erreichen war.

Die Untersuchung der frühesten christlichen Inschriften aus Trier läßt die Sonderstellung dieser Denkmälergruppe im

Vergleich zu den Zeugnissen der Region zwischen Rhein und Maas deutlich erkennen. In den Inschriften tritt eine

wohlhabende, hochgebildete und einflussreiche Schicht von Personen auf, die im Umfeld von Kaiserresidenz und

Bischofssitz in den ersten Jahrzehnten des 4. Jahrhundert in Trier ihren christlichen Glauben lebte und die junge Trierer

Gemeinde entscheidend geprägt hat.

SESSIONI DEDICATE ALLE NOVITÀ

TEMATICHE COSTANTINIANE

Presenze ed echi costantiniani in Cispadana

Roberta Budriesi

Si tratta di un periodo su cui riflettere molto, che può gettare nuova luce sul territorio in oggetto, quasi totalmente da

indagare da un punto di vista archeologico. Ad esempio un concilio come quello di Rimini (359), che cade all’interno

del periodo dei Costantinidi, non può essere sottovalutato per quanto può sottendere anche sull’aspetto archeologico-

monumentale, così come la sicura presenza di un vescovo a Ravenna nel 342-343 o situazioni relative ad altre località.

La stessa esistenza di un martyrium ricordato a Imola già nei primissimi anni del V secolo rimanda all’età precedente.

Esistono poi, ad esempio, importanti spie dell'iconografia costantiniana dell'edicola del S. Sepolcro in riprese

paleocristiane desinenti da ampolle, da elementi di cultura materiale o di scultura. Richiami all’icnografia del complesso

gerosolimitano inducono a riflettere. Per le città si ricordano anche sepolture in urbe riferibili al periodo di Costantino e

dei Costantinidi, con tutto quanto ne discende in un quadro che, anche solo da quanto velocemente si è accennato, è ben

più ricco ed ampio ed entra, pure nel territorio, in ulteriori questioni relative a un interessante periodo per quanto

riguarda un Cristianesimo in itinere.

The Picture of Early Christian Communities in Pannonia during the pre-Constantine and the Constantine time

Marija Buzov, Vesna Lalošević

Conquered Pannonia the Romans established authority of the Pannonian ancient settlements and part of this were

incorporated in the new Roman authority. The Romans built two main main longitudinal roads in the area between the

two rivers, which ran through the basins of the Sava and the Drava, and which connected Rome with the Pannonian

provincial centres, Siscia and Sirmium. In the administrative division of the Empire, carried out by Diocletian in the

year 297 of Christian era both Pannonias (Pannonia Superior and Pannonia Inferior) were subdivided into four small

provinces each into two parts: Upper Pannonia was divided into First Pannonia (Pannonia Prima), north of the Drava

river, and Pannonia Savia (Pannonia Savia, Savia Riparienses, Interamnensis), south of the Drava with the seat in

Siscia. On the territory of the First Pannonia and Pannonia Savia exists the wrriten sources and archaeological materials

about the presence of Christians in the first half of 4th

century.

Passio Sancti Quirini reveal a whole series of interesting facts from the early Christian history, of Siscia and Savaria as

well Scarabantia. The document is based on the record of a judicial investigation of the Roman authorities in Siscia and

Savaria. It should be pointed out that two Pannonian provinces are mentioned in the description of Kvirin’s passion, as

well as their capitals, cities along the Danube and two provincial governors, by name. Those administrators were

included in the lists of provincial governors only on account of the fact that they were mentioned in Kvirin’s passion, so

our legend is added to those hagiographic sources that have an indubitable historical value. History is mute about the

life of Kvirin’s devotees, but there are somewhat more rare archaeological monuments from the years of bloody

persecutions (303-311), to which we are directed by the document Passio Sancti Quirini, from the period of

Constantine’s rule or later.

The legend can be dated to the 4th

century, so it is the earliest source for the Christian community in Siscia, and the

present of Christian on countryside Savia and First Panonia. Although the archaeological finds from Sisak an early

Christian diocesan see, are still insufficiently informative about that period of the antiquity, future research will

certainly contribute to the understanding and illumination of that earliest period of Christianity in the territory of

Pannonia Savia, in relation with that period of the city’s life, as well as the entire area of the diocese, but also the

territory under its influence. And finally, Kvirin’s passion, by virtue of the mention of two provincial governors, who

were included in the lists of provincial governors only on account of having been mentioned in it, is included among the

hagiographic sources with an indisputable historical value. Kvirin’s passion, in spite of its focus on religious issues and

stereotypic form, offers interesting information in the context of ecclesiastic and general history. According to historical

records, Christianity in the continental part of Croatia (Croatian section of Pannonia) in various periods or even

contemporaneously, was under subject to influences of the Christian centre from the east (Sirmium), the west (Aquileia)

and the south (Thessalonica).

Considering quantity of archaeological material, and particularly architecture this work will have to show in which

party of antiques Siscia Christian presence is confirm with material remains. According to onomastic data from written

and epigraphical sources, would indicate that the continental part of Croatia was mainly under the influence of the

western part of the Empire in the period of the 4th

to 7th

centuries A.D.

Costantino, il Lupercale, il titulus Anastasiae: riflessioni sulla fondazione della basilica alle pendici del Palatino

(Roma)

Alessandra Cerrito

La prima attestazione dell’esistenza della chiesa si ricava da un’iscrizione perduta, nota dalla tradizione manoscritta,

che ci informa riguardo ad una primitiva e non meglio conosciuta decorazione dell’aula ad opera di papa Damaso (366 -

384) e su un posteriore intervento musivo di papa Ilaro (461 - 468), il quale sostituì la più antica ornamentazione con un

nuovo apparato decorativo. Non abbiamo altre informazioni circa la data di fondazione dell’edificio, che dobbiamo

supporre già esistente al tempo di Damaso o istituito proprio negli anni del suo pontificato, come tende a ritenere una

parte della critica. I dati epigrafici provenienti dai cimiteri suburbani (ICUR IV 12303, 12394, 12426) e le sottoscrizioni

dei presbiteri titolari alla sinodo romana del 499 confermano l’attività della basilica nell’arco del IV e del V secolo.

Piuttosto controversa è invece l’esistenza di un battistero annesso alla chiesa, che potrebbe essere stato realizzato

intorno agli inizi del V secolo dal praefectus Urbi Longinianus. Lo rammenta ancora una volta un’iscrizione perduta,

nota dalla silloge di Lorsch, che la segnala “ad fontes”. In passato la critica ha voluto talvolta riferire il testo epigrafico

al battistero di S. Pietro in Vaticano, inquadrandolo in un gruppo di iscrizioni di IV e V secolo, che testimoniano atti di

evergetismo da parte di membri dell’aristocrazia romana in favore del santuario petrino. Antonio Silvagni ha messo in

rilievo la possibilità che tra i benefattori ricordati nelle suddette iscrizioni vi sia stata la famiglia imperiale ed in

particolare Anastasia, sorella di Costantino e l’omonima nipote. Ed è proprio alla sorella dell’imperatore, Anastasia, che

alcuni studiosi attribuiscono la costruzione della basilica del Palatino; questa ipotesi merita a nostro parere ulteriori

approfondimenti, che ci proponiamo di presentare in questa sede.

Il secondo aspetto sul quale intendiamo soffermarci riguarda la possibilità di un rapporto antitetico tra la basilica titolare

di S. Anastasia e la grotta del Lupercale. Il tema della sovrapposizione ideologica e fisica dei luoghi sacri pagani agli

spazi deputati ad accogliere il nuovo culto cristiano non è nuovo, anche se è da prendere con le dovute cautele; nel caso

che ci interessa, è stato già avanzato da Carlo Cecchelli.

Non riteniamo opportuno entrare in questa sede nel merito del problema strettamente topografico concernente

l’ubicazione esatta dell’antro legato al mito delle origini di Roma -localizzazione sulla quale peraltro gli studiosi non

hanno raggiunto una posizione unanime- perché esula dalla nostra trattazione; tuttavia, il problema del suo

posizionamento ci riguarda marginalmente a proposito di una recente ricostruzione di Andrea Carandini, che ha

riportato in auge l’ipotesi di Carlo Cecchelli, inquadrandola in una globale rilettura della topografia del Palatino, con

particolare riferimento alla localizzazione del Lupercale, alle strutture sottostanti la chiesa titolare e più in generale al

complesso augusteo. La questione induce a nostro parere ad avanzare qualche osservazione, che intendiamo presentare

avvalendoci dello studio delle fonti, del confronto con altri importanti centri della cristianità e di una riflessione sulle

dinamiche insediative degli edifici cristiani nel tessuto urbano e del modus operandi della committenza laica ed

ecclesiastica nel IV secolo.

Nuove ricerche sulle donazioni costantiniane

Daniela De Francesco

Un impulso decisivo alla formazione del vasto patrimonio fondiario della Chiesa si deve notoriamente all’imperatore

Costantino, promotore di vaste donazioni terriere ad alcune basiliche di Roma e del suburbio, elencate nella vita di papa

Silvestro contenuta nel Liber Pontificalis. Il lungo elenco di tali donazioni, che seguono in modo suggestivo, nella loro

distribuzione, la geografia patrimoniale delle famiglie senatorie romane, si offre a molteplici spunti di riflessione e

costituisce un panorama privilegiato non solo per lo studio della proprietà fondiaria nella tarda antichità, ma anche per

la conoscenza della cristianizzazione delle campagne, con particolare ricchezza di informazioni per quanto attiene al

Lazio.

Una lettura completa e sistematica della documentazione medievale disponibile ha consentito di aggiungere nuove

localizzazioni a quelle già proposte; una precisa collocazione topografica di tali proprietà, inoltre, permette di cogliere

in più casi un preciso legame tra la donazione di terreni alla Chiesa operata da Costantino e l’istituzione in tali luoghi di

diocesi rurali, e di chiarire in modo più efficace il rapporto esistente tra grande proprietà fondiaria e realtà minori

presenti al suo interno.

Epigrafia celebrativa e d’apparato nell’Occidente costantiniano: manufatti, testi e sottotesti di una propaganda

lapidea

Flavia Frauzel

Il contributo intende sintetizzare i caratteri delle scritture esposte di diretta emanazione imperiale – in particolare

celebrative e d’apparato, eccezionali media del tempo – prodotte sotto il governo di Costantino nella pars occidentalis

dell’Impero. Incominciando dall’analisi del linguaggio utilizzato nel celebre Arco posto in Roma a suggello della

vittoria su Massenzio, confrontando i dati con un campionario di precedenti d’età classica, si tenterà di verificare se e

con quali modalità l’epigrafia monumentale promossa da Costantino si discosti dalla tradizione o, al contrario, vi si

inserisca.

Oggetto d’esame saranno tanto i contenuti e le forme (titolature, formulari, messaggi propagandistici, paleografia),

quanto gli aspetti materiali (supporti, contesti) del set d’iscrizioni indagate.

Un gruppo statuario di età costantiniana dal Sessorio

Serena Guglielmi

Risale al XVI secolo un interessante passo di Pirro Ligorio del Codice Torino, nel quale l’antiquario ricorda la scoperta

delle statue di Elena, Costantino e i suoi figli in abiti militari durante alcuni scavi realizzati da Monsignor Sebastiano

Gualtiero nell’orto di S. Croce in Gerusalemme. Le statue dovevano essere state poste, in origine, su basi che recavano

il nome del dedicante. La notizia non sembra essere priva di fondamento: delle due basi viste e descritte da Pirro

Ligorio, è possibile riconoscerne una, oggi conservata nella chiesa di S. Croce in Gerusalemme, nella cappella di S.

Gregorio. La base, donata

tra il 326 e il 333 d.C., reca una dedica ad Elena da parte del comes Iulius Maximilianus; sul suo piano superiore sono

visibili due fori per l’aggancio dei piedi di una statua.

Alcuni frammenti dello stesso gruppo statuario vennero in luce nel 1902 durante alcuni lavori nei quali fu demolito un

muro moderno che fiancheggiava la strada di collegamento tra la chiesa di S. Croce in Gerusalemme e la Porta

Maggiore: si tratta di alcuni resti di un’altra dedica ad Elena da parte dello stesso Iulius Maximilianus, di un piedistallo

marmoreo con piedi e un frammento di tronco d’albero, di un torso virile corazzato. Le caratteristiche di questi

frammenti, riconosciuti tra i materiali oggi in deposito presso l’Antiquarium comunale del Celio, avvalorano l’ipotesi

della provenienza dal Sessorio di un gruppo scultoreo rappresentante Elena, Costantino e i suoi figli in abiti militari.

Questo doveva presentarsi simile al noto gruppo proveniente dal Quirinale composto, almeno nel XV secolo, da due

statue loricate di Costantino e da quelle dei figli Costantino II e Costanzo II. La presenza di Elena nel gruppo del

Sessorio se da una parte è spiegabile per il noto legame tra l’Augusta e questo palazzo, dall’altra trova anche dei

puntuali confronti nelle fonti: Eusebio, nella vita di Costatino, narra che nella piazza del Philadelphion a Costantinopoli

la statua di Elena troneggiava assieme a quelle del figlio e dei nipoti sopra una base di porfido; l’arco centrale dei Foro

di Costantinopoli era decorato dalle statue di Costantino ed Elena.

Della statua di Elena “ (…) vestita d’una stola longha insinio alli piedi e palliata cioè con un bello mantello intorno”,

secondo la descrizione di Pirro Ligorio, non sembra esservi più alcuna notizia dopo la sua scoperta. Eppure doveva

essere ben conservata, se l’antiquario poté farne una tale descrizione. E’ facile pensare che di questa si impossessò lo

stesso Sebastiano Gualtiero vescovo di Viterbo che eseguì gli scavi nell’orto di S. Croce; il personaggio è in effetti noto

come collezionista di sculture e cammei antichi, ed è probabile che avesse intrapreso gli scavi nel tentativo di scoprire

tesori che andassero ad implementare la sua collezione privata. Secondo complessi passaggi di proprietà e vendite di

collezioni, in parte documentati, la statua di Elena potrebbe essere confluita nella collezione di Scipione Borghese,

formatasi contestualmente alla edificazione della Villa Pinciana. La statua può forse essere individuata in una scultura

oggi conservata nei depositi della Galleria Borghese. Quest’ultima presenta una testa ritratto i cui caratteri del volto

sono assimilabili a quelli della madre di Costantino, così come l’acconciatura dei capelli, ornati dal pesante “turbante”

intrecciato sostenuto da spilloni. Si tratterebbe di una delle rare immagini di Elena conservate, forse una replica dei

ritratti nelle statue sedute dell’Augusta dei Musei Capitolini e degli Uffizi.

Recherches sur les dénominations des édifices du culte chrétien dans les textes latins à l’époque constantinienne

et post constantinienne

Gaëlle Herbert de la Portbarré-Viard

L’avènement de Constantin marqua la re-naissance de l’édifice chrétien dans l’ensemble du monde romain, et il eut

pour conséquence, sur l’initiative impériale ou sur celle des évêques, la multiplication d’édifices de culte sur l’existence

desquels on ne disposait auparavant que d’un petit nombre de témoignages textuels et archéologiques. Comme l’ont

montré les travaux des archéologues, le règne de Constantin fut également marqué par un certain nombre d’innovations

architecturales qui, si elles ne concernent pas exclusivement les édifices chrétiens, entretiennent des affinités

particulières avec la symbolique et la spiritualité chrétiennes.

Les descriptions d’édifices chrétiens présentes dans l’œuvre d’Eusèbe de Césarée sont les premières de ce genre, et, en

dépit de leurs liens évidents avec la rhétorique de l’éloge et tout particulièrement avec les discours d’apparat, elles

constituent en quelque sorte l’acte de naissance d’une pratique littéraire et spirituelle qui connaîtra une longue postérité

dans la littérature antique et ses prolongements.

Á une époque où nous ne disposons pas sur les édifices chrétiens de textes littéraires descriptifs, à proprement parler, en

latin, il s’agira, après avoir déterminé les différentes sources à envisager, de cerner, à partir d’un certain nombre de

termes - basilica et ecclesia, qui ont attiré l’essentiel de l’attention et suscité de nombreux travaux, ne seront envisagés

qu’à titre comparatif- la naissance du vocabulaire latin de la dénomination de l’édifice chrétien, et d’évaluer

l’importance de la période constantinienne dans la genèse d’une terminologie qui va considérablement s’enrichir dans

les décennies successives.

C’est en effet à des auteurs chrétiens de la génération post-constantinienne, Ambroise de Milan, Prudence et Paulin de

Nole, que l’on doit les premières descriptions d’édifices chrétiens dans la littérature latine. Ces textes littéraires, même

s’ils ne constituent qu’une partie des témoignages sur les édifices chrétiens, nous semblent constituer un terrain

d’observation intéressant en ce qui concerne notamment la fixation de la terminologie des édifices de culte. Et il est

difficile de ne pas établir un lien entre la fixation de cette terminologie et l’activité édilitaire chrétienne, de Constantin

aux évêques bâtisseurs de la fin du IVe et du début du Ve siècle.

C’est à partir des textes d’Ambroise, de Paulin et de Prudence que nous avons constitué une liste de termes relatifs à la

dénomination des édifices chrétiens, parmi lesquels figurent aedes, arx, aula, baptisterium, domus, templum et

oratorium. Notre étude se propose donc de rechercher parmi ces termes, présents au début du V e siècle chez un ou

plusieurs des auteurs sus mentionnés, et parfois promis à une longue postérité, quels sont ceux qui étaient déjà présents

avec une signification similaire dans les différents types de sources écrites (littéraires, épigraphiques, conciliaires,

administratives et juridiques) en latin à l’époque constantinienne.

Ces termes, dans leur diversité, nous semblent indiquer une extension considérable du champ sémantique de la

dénomination des monuments. Les chrétiens eurent en effet recours à des termes de l’architecture domestique, mais

aussi à des termes de l’architecture religieuse ou civile, à des créations de termes nouveaux ou à la transformation de la

signification de termes existants. Certains de ces termes, qui ont également une signification spirituelle, nous rappellent

qu’avant l’établissement matériel de l’église à l’époque constantinienne, existait une sorte d’équivalence entre la

communauté des croyants et les lieux de prière, cette communauté étant considérée comme le vrai temple du Christ. Il

n’en reste pas moins que l’extension et la diversification des dénominations des édifices dessinent l’espace d’une

conversion spatiale et temporelle, mais aussi sémantique, qui ne peut être comprise qu’en liaison avec le contexte

politique, religieux et culturel initié par Constantin et ses successeurs .

Transitions in Mosaic in the Age of Constantine

Ruth E. Kolarik

During the reign of Constantine, monumental Christian buildings, like those at Aquileia in northern Italy, provided new

settings for floor mosaics. Often Christian subjects were combined with traditional themes, marine scenes, the vintage,

allegories of the seasons, and an unusual series of portraits--perhaps of donors. By the end of the century there were

many ecclesiastical floor mosaics. At this time a vogue for a strictly geometric style--in churches, synagogues, and

secular buildings alike--dominated the eastern Mediterranean regions, e.g. the Kaoussie Church at Antioch; a churches

and synagogue at Apamea in Syria; a church and villa at Epidaurus; and churches at Salona. On the other hand, figural

mosaics remained continually popular in North Africa and Italy.

The function and nature of mosaics clearly changed during the course of the fourth century. This paper will examine

mosaics that can be dated to the reign of the Tetrarchs and Constantine and his sons to ascertain how the increasing

prominence of Christian architecture affected the craft of mosaic making. The medium is, of course, intimately related

to its architectural setting. Mosaics continued to be laid in private residences, baths, and meeting halls as in earlier

Roman times, but they were also placed in new settings, most obviously, church interiors. Mythological scenes had

commonly been placed on floors of Roman houses, often in a manner appropriate to the space. That is, marine deities

were placed in baths; scenes of Dionysus in dining rooms; good-luck charms on thresholds. Romans apparently had no

misgivings about locating such images on the floor. In fact, the same subjects placed on walls and ceilings also

occurred on floors.

During the early fourth century traditional patterns persisted in some regions; in others style and/or subject matter

changed significantly. The tetrarchs, who built on a colossal scale and established their capitals in far-flung locations,

seem to have disseminated local regional styles beyond their places of origin. Polychrome hunting and marine mosaics

with two-dimensional figures distributed across the entire floor, such as those of Roman North Africa, became popular

in other regions, like Italy. At Gamzigrad (Romuliana) in eastern Serbia, the tetrarch Galerius decorated his palace with

hunting mosaics and images of Dionysus. The largest ensemble of early-fourth-century mosaics, at Piazza Armerina,

included subjects--hunts, marine scenes, putti harvesting grapes--close to contemporary mosaics in Carthage. The

eastern regions were particularly conservative. Illusionistic mythological scenes still dominated mosaic floors at

Antioch and Nea Paphos well after mid-century. Hunting mosaics were rare in the eastern Mediterranean, those in the

"Constantinian Villa" at Antioch are exceptional.

Gradually a more cautious and self-conscious system for placing images on pavements evolved. In some mosaics from

the first half of the century Christians had used imagery in a manner comparable to pagan mosaics. A "portrait" of

Christ himself appeared on the floor of a villa at Hinton St. Mary; Jonah and the Good Shepherd decorate the floors at

Aquileia. Signs of the cross were used in much the same way as pagan lucky symbols. By the end of the century

figural imagery in general was less common than all-over geometric patterns that assert the two-dimensional nature of

the floor. Inscriptions with Biblical texts, moral maxims or commemorations of donors became common. The figural

imagery used on floors tended to be restricted and innocuous: vases of vines, wreaths, other plants and animals which

may have had symbolic meaning, but were not in themselves sacred. Eventually in 427, the emperor Theodosius II

decreed it illegal to place the sign of the cross on the floor.

Parallel to the changes in floor mosaics was the appearance of imagery traditional in floor mosaics on walls and vaults

of interiors such as Santa Costanza. Christians also increasingly used mosaics for monumental sacred imagery on the

walls of churches. A study of the key examples of mosaics of the early fourth century will help to ascertain how and

why art changed so fundamentally in this period and to answer some key questions. What was the extent and

significance of Christian borrowing from pagan prototypes? Was there a difference in the way pagans and Christians

regarded images, particularly pictures on the floor? Why did mosaics become such a popular means of decorating

churches in the course of the fourth century? What changes occurred during the age of Constantine?

Il monumento e la voce

Paolo Liverani

In età costantiniana appare una nuova modalità di comunicazione pubblica, che integra in modo forte e sostanzialmente

inedito la parola e l’immagine. Gli esempi più precoci – ma già dotati di tutti i tratti distintivi chiaramente delineati – si

osservano nelle basiliche occidentali e romane in particolare, solo più tardi compaiono anche nella parte orientale

dell’impero. Alla frontalità dell’immagine – declinata con diverse sfumature di significato – corrisponde nelle “scritture

esposte” delle basiliche l’utilizzo della prima o della seconda persona singolare e della forma metrica (soprattutto distici

elegiaci). In tale maniera viene apostrofato lo spettatore-lettore o gli viene data voce in dialogo con l’immagine musiva

in maniera paraliturgica. Viene perciò data una forte accentuazione alla dimensione pragmatica e perlocutiva rispetto a

quella cognitiva e si assiste a una personalizzazione e soggettivizzazione della comunicazione, tendenza opposta a

quella tradizionale dell’iscrizione pubblica imperiale classica (ma anche a gran parte dell’arte figurativa di

rappresentanza), che si presenta invece come “oggettiva” e impersonale.

Tale personalizzazione si limitava in precedenza quasi esclusivamente all’ambito privato – soprattutto funerario: si

pensi alle formule siste viator, o sit tibi terra levis – oppure in ambito pubblico si limitava alle acclamazioni – ancora

relativamente poco diffuse fino al III secolo. L’apparato epigrafico non raggiungeva un’integrazione altrettanto forte

con l’immagine e viene inoltre fortemente accentuato l’hic et nunc della comunicazione, riferito alla condizione dello

spettatore-lettore in una continua riattualizzazione del messaggio.

Questa nuova modalità di comunicazione pubblica inizia in ambito ecclesiale con i mosaici e le iscrizioni della basilica

vaticana di S. Pietro, ma si ritrova in ambito civile già nell’iscrizione dedicatoria dell’obelisco di Costanzo II, che

mostra diversi punti di contatto con le iscrizioni vaticane pur nel diverso genere in cui vanno inquadrate. Questi precoci

modelli, avranno fortuna e sviluppo in epoca successiva sia in ambito ecclesiastico che civile. Sotto questa luce possono

infatti essere riesaminate alcune iscrizioni dedicatorie di basiliche di IV secolo, che presentano caratteristiche simili, e

di qualche monumento civile – come l’iscrizione CIL VI, 1207, di datazione discussa e assai oscillante, ma da riferire

invece al IV secolo per oggettivi elementi interni. Ciò consente qualche deduzione sulla decorazione musiva delle

basiliche pioù antiche, purtroppo perduta quasi totalmente, ma sulla quale si possono avanzare alcune ipotesi per

integrare almeno in piccola parte una grave lacuna nelle nostre conoscenze sui grandi monumenti figurati del periodo.

Questa assenza di documentazione figurata, infatti, aveva fatto parlare – forse troppo frettolosamente – addirittura di un

periodo aniconico, idea corroborata anche da alcuni luoghi comuni derivati da una lettura di passi del Liber Pontificalis

concernenti la decorazione delle prime basiliche romane, la cui interpretazione negli ultimi ha subito revisioni

sostanziali.

Tale cambiamento nella modalità di comunicazione figurata ed epigrafica ha interessanti implicazioni sulla questione

dell’oralità (o auralità) nella società tardoantica, sulla presenza di mediatori per la lettura delle iscrizioni e per

l’interpretazione delle immagini, e – infine – sul processo di (auto)identificazione della comunità cristiana, che viene

costituita come spettatore e attore collettivo anche grazie a questa nuova strategia comunicativa.

The different faces of power: Realism and ideology in the competing iconographies of Licinius and Constantine

Gitte Lønstrup Dal Santo

ACQUISITION

In the 1980s a defaced but anonymous late antique marble portrait was sold at Sotheby’s. It was purchased by the

Classics Museum at The Australian National University (ANU). According to the curator’s report, the acquisition of

this head was not related to the growing interest in late antiquity, but rather to style. The portrait was thought to be a

representative specimen of late Roman realism. It was purchased for the collection with the purpose of contrasting the

idealized portraits of the Augustan age with a face of ‘a real Roman’. This intention is extremely interesting, as it

demonstrates the striking power of the image itself: Even in the perception of modern man, this portrait succeeds in

creating an illusion of realism rather than idealism. Indeed, as this paper will argue, the portrait now at ANU was

intended to communicate a deeply ideological message through the clever use of a seemingly realistic, and thus neutral,

image.

IDENTIFICATION

In 1997 R.R.R. Smith attributed this head to the Emperor Valerius Licinius Licinianus (308-24). The identification was

based on a comparison with the colossal head of this emperor found at the theater of Ephesus (now in Vienna). Both

portraits testify to the apparatus of damnatio memoriae that was set in motion after Licinius’ death. As an act of

shaming the memory of the late emperor, Licinius’ public images were decapitated, as in Ephesus, and disfigured. The

portrait at ANU reveals traces of defacement on the right eye, on the forehead, nose, mouth, chin, both ears and the

right cheek. Hence, surviving portraits of Licinius are rare and prestigious. The provenance of the ANU-portrait is

unknown, but the dense fine white marble is similar to that found in Asia Minor. Whether it was commissioned for

Licinius’ residential city of Chrysopolis remains uncertain, but is, indeed, a possibility.

BACKGROUND – APPROACH – ARGUMENT

The sixteen-year reign of Licinius, eleven of which he was sole-ruler in the east (313-324), marks the fascinating

boundary between a Roman Empire where Christianity was not yet accepted and one in which it became the dominant

and imperially supported religion. In the history of Roman imperial portraiture, Licinius’ reign – parallel to that of his

brother-in-law Constantine – presents a striking example of the power of images. It is within this context of great

cultural change and unstable political relationships that the present paper attempts to understand the extraordinary

portraits of Licinius I now at ANU and in Vienna. Departing from a comparative analysis of the portraiture of

Constantine and Licinius, this paper argues for the strategic use of contrasting iconic role models that employ realism

and idealism to promote competing political images and ideologies. Despite the alliance struck between Constantine

and Licinius in Milan in 313, these two emperors became ferocious rivals in a deadly dispute. The battle was concluded

on September 8th

324, when Licinius’ army was defeated by that of Constantine at Chrysopolis.

PERSPECTIVE

The phase of Constantine’s reign following the execution of Licinius witnessed the re-foundation of Byzantion as

Constantinople immediately opposite the battleground on the other side of the Bosporus, thus subtly marking the site

where Constantine slew his last rival to the imperial throne. In this phase, Constantine’s public image changed by

incorporating the well-known diadem, which sat his imperial portraiture aside from those of former Roman emperors –

and sat a standard for that of his successors. As scholars have noted, the diadem pertained to the portraiture of Hellenic

king’s whose cultural influence was obviously felt in Byzantion. The concluding remarks of this paper are concerned

with this feature, as it presents an unpublished portrait of an imperial youth, also belonging to the Classics Museum at

ANU. When inserted into the collection, this portrait was dated to the late-third century AD, but due to the undisputable

presence of the diadem, the dating must be reconsidered. At a conference honoring the house of Constantine, it seems

fitting to end the present paper by drawing attention to this unidentified young man, who may have been one of the

heirs to the empire and to the iconographic legacy established by Constantine – in fierce competition with Licinius.

Das Zusammenspiel von Bild und Legende in der konstantinischen Münzprägung: Ein hermeneutisches

Fallbeispiel

Markus Löx

Die konstantinische Münzprägung unterscheidet sich in ihrem Variantenreichtum deutlich vom Gesamtbild, das die

Münzen tetrarchischer Zeit vermitteln. Anhand der Revers-Bilder sollen folgende eng miteinander verbundene Fragen

im Fokus des Beitrages stehen:

1. Welche Münz-Legenden sind erstmals in konstantinisch belegt?

2. Welche neuen Bildentwürfe erscheinen erstmals auf konstantinischen Münzen?

3. Verhalten sich Bild und Legende kongruent oder komplementär zueinander, sprich nehmen die Legenden

Bezug auf das im Bild dargestellte und umgekehrt?

In den Jahren vor Konstantins Alleinherrschaft dominierten unter den Münzbildern Darstellungen des Genius Populi

Romani sowie insbesondere Schutzgottheiten der Tetrarchie Iuppiter und Hercules, Bildthemen, die die Einheit des

Kaiserkollegiums unterstreichen sollten. Die Darstellung des Genius Populi Romani als Standard-Revers-Bild der folles

folgte der seit der Kaiserzeit gängigen Ikonographie (vgl. Follis, Lugdunum, 307 n. Chr., RIC 212b). Auch die

Reversbilder mit Darstellungen der tetrarchischen Schutzgottheiten samt ihrer Legenden lassen sich ohne Weiteres aus

dem gängigen Repertoire kaiserzeitlicher Münzbilder ableiten. Abweichend von dieser traditionellen Münzsprache

fallen im untersuchten Material neue Legenden und zum Teil auch neue Bilder auf, bei denen die Münzmeister einige

Kreativität zeigten. Als Auswahl der Legenden seien genannt: CLARITAS REIPVBLICAE, PRINCIPIS

PROVIDENTISSIMI, DEBELLATORI GENTIVM BARBARVM, FELICITAS ROMANORVM, FELICITAS

REIPVBLICAE, SAECVLI, GAVDIVM ROMANORVM. Ein Teil dieser Legenden bezieht sich auf abstrakte Begriffe

wie felicitas, pietas oder claritas, die auf kaiserzeitlichen Münzen beinahe ausnahmslos als Personifikationen auf den

Münzrückseiten erschienen und zur Identifizierung nicht selten einer entsprechenden Legende bedurften. Die

Darstellung dieser Tugenden – ein Standardthema, sowohl in Inschrift wie im Bildformular – erfährt unter Konstantin

bemerkenswerte Veränderungen. Auf dem Revers eines Solidus vom Jahre 312/313 n. Chr. (RIC 810 / VI 221)

erscheint beispielsweise als Legende FELICITAS mit dem im frühen 4. Jahrhundert häufigen Zusatz REI PVBLICAE,

dabei überrascht besonders die beigefügte Szene: Das Bild zeigt den Kaisers, der auf einem Podest auf einer sella

curulis sitzend mehrere Gefangene empfängt, die sich ihm unterwerfen. Vergleichbare Szenen werden im Allgemeinen

mit Schlagworten wie submissio, clementia, oder liberalitas umschrieben, die Bilder entsprechend gedeutet. Der

Konstantinische Münzmeister entschied sich in unserem Fall aber für die Legende FELICITAS, obwohl hierfür eine

andere feststehende Ikonographie existierte, nämlich die Darstellung als weibliche Personifikation. Die bekannte

Legende kombinierte man in 4. Jahrhundert also mit einer Bildchiffre, die am ehesten mit der Tugend der clementia in

Einklang zu bringen ist, für die sich meines Wissens keine eindeutige und allgemeine Ikonographie durchsetzen konnte.

So kommt es zu einer auffälligen Diskrepanzen zwischen Bild und Legende. Positiv formuliert wird die Aussage der

Münze durch eine überraschende Kombination von Bild und Legende erweitert. Zeichnete es die Münzbilder der frühen

und hohen Kaiserzeit aus einen abstrakten Begriff wie felicitas, securitas oder salus durch die Darstellung einer

Personifikation zu konkretisieren, funktioniert die konstantinischen Münzsprache komplexer: Einem konkretes Bild, z.

B. Einer submissio-Szene wird ein abstrakter Begriff, wie FELICITAS REI PVBLICAE beigefügt. Die Legende

erläutert das Bild nicht einfach, vielmehr erweitert es dessen Bedeutungsspektrum. Bild und Legend stehen dabei in

einem ambivalenten Verhältnis zueinander. Der Betrachter ist gefordert sich hierauf einzulassen um die gesamte

Botschaft der Münze zu entschlüsseln.

Neben diesen neuartigen Kombinationsmöglichkeiten, die eine aktualisierte Interpretation althergebrachter Legenden

und Bildchiffren erlauben, manifestiert sich die Kreativität kontantinischer Münzprägung in gänzlich neuen Legenden

und neuen Bildentwürfen. Dabei werden neue Legenden, wie GAVDIVM ROMANORVM bzw. GAVDIUM POPVLI

ROMANI mit bekannten Münzbildern, z. B. Der Personifikation einer unterworfenen Provinz in sinnfälliger Art und

Weise verbunden (vgl. Solidus, 312–313 n. Chr., RIC 824). Einen Höhepunkt an Innovation bildet schließlich die

Verbindung einer bislang nicht bekannten Legende mit einem neu entworfenem Münzbild, wie sie ein seltener Solidus

Konstantins aus Arles geprägt im Jahre 313 n. Chr. (RIC 1) zeigt. Umschrieben mit PRINCIPIS PROVIDENTISSIMI

ziert das Revers eine Säule, die ihrerseits die Inschrift SAPIENTIA trägt, die Voraussetzung der kaiserlichen Tugend

der prouidentia, die in der Legende angesprochen wird. Auch hier wird erst durch das Zusammenspiel von Bild und

Legende die Botschaft der Münze in ihrer Komplexität ersichtlich und verständlich.

Die ausgewählten Beispielen lassen die konstantinische Münzen m. E. zu einem hermeneutischen Fallbeispiel in Bezug

auf die Funktionsweise der spätantiken Bildsprache werden. Nahezu identischen Bildchiffren können durch die

Legende eine neue Bedeutungsebene erhalten. Auf den ersten Blick eindeutig benennbare ikonographische Typen

werden dank der Legende konkretisiert und in manchen Fällen regelrecht korrigiert. Diese Beispiele mahnen schließlich

zur Vorsicht bei der Interpretation vermeintlich unmissverständlicher ikonographischer Lösungen auch in anderen

Medien.

Testimonianze di architettura costantiniana nelle due grandi metropoli di Cipro, Salamis/Constantia e Nea Pafos

Doria Nicolaou

Le metropoli di Nea Pafos e Salamina/Constantia sono probabilmente i due più grandi centri dell’isola di Cipro che

abbiano restituito testimonianze, o quantomeno echi, di un’architettura ecclesiastica di impronta costantiniana. Nea

Pafos conservò lo statuto di capitale dell’isola fino alla prima metà del IV secolo, quando esso passò alla città di

Salamis, contestualmente rifondata dopo un evento sismico col nome di Constantia. Sebbene Malalas ritenga possibile

collegare tale nuovo nome a un intervento di Costantino I, che avrebbe ricostruito la città in seguito al terremoto del 333

(Mal. Chron.12.48), la maggior parte degli studiosi concorda tuttavia sull’attribuzione di un intervento imperiale a

Costanzo II in relazione al sisma del 342 (Theoph. Chron. AM5834; Eus. Hieron. Chron. 235c). Sia al Concilio di

Nicea (325), infatti, che a quello di Serdica (343), è il vescovo di Pafos a firmare per primo, mentre nel 368 Salamina è

già nota come metropoli dell’isola (Sozomenos VI, 32, 2).

Le fonti storiche e le testimonianze epigrafiche non sono, certo, del tutto esplicite riguardo agli interventi della dinastia

costantiniana a Cipro; ciò nonostante l’interesse imperiale verso questa provincia dell’impero romano d’Oriente sembra

variamente attestato. Esso si manifestò, anzitutto, nella rapida repressione della rivolta di Calocero nel 334, nella

fondazione di insediamenti coloniali militari sulla costa nord, e nell’esenzione di Salamis dal pagamento delle tasse per

quattro anni in seguito al sisma che aveva colpito la città. E forse, anche, è questo stesso interesse imperiale alla base

delle diverse leggende sorte intorno all’evergetismo dell’imperatrice Elena a Cipro (Hackett 1923, vol. 1, 18-20; Hill

1940, 246).

D’altra parte la presenza di una serie di impianti basilicali di dimensioni davvero considerevoli riflette certamente

l’influsso dell’architettura costantiniana sull’isola. Trattasi: della basilica di Chrysopolitissa a Nea Pafos, della basilica

di Sant’Epifanio a Salamis/Constantia, della basilica di Acheiropoitos a Lampousa e della cosiddetta basilica A’ di

Soloi, tutte sedi episcopali di queste grandi città. Ma mentre i complessi di Nea Pafos e Salamis/Constantia sono

generalmente datati alla seconda metà del IV secolo, e saranno perciò oggetto delle nostre riflessioni, la basilica di

Acheiropoitos a Lampousa, mai interamente scavata né studiata scientificamente, e per di più ad oggi inaccessibile, non

può inserirsi in un discorso critico d’insieme. Lo stesso vale per la cosiddetta basilica A’ di Soloi, che è stata sì scavata

e pubblicata, ma per la quale è stata proposta un’ipotesi di datazione assai poco attendibile.

Al contrario, la basilica costruita dal vescovo Epifanio nella sua sede di Salamis/Constantia e la Chrysopolitissa di Nea

Pafos, entrambe con impianto originario a sette navate, ben riflettono i caratteri dell’architettura costantiniana della

seconda metà del IV secolo. Sull’analisi di questi monumenti pesa purtroppo la mancata pubblicazione degli scavi,

condotti per giunta secondo i metodi degli anni 30’, 50’ e 70’, nonché la perdita di numerosi dati a causa dello stesso

stato di conservazione dei siti, e in particolare della basilica di Sant’Epifanios, ricadente nella zona occupata dalle

truppe turche dal 1974. Nessuno di questi impianti conserva inoltre strutture in alzato, ragion per cui la nostra analisi

architettonica si baserà sui resti rinvenuti a livello di fondazioni.

Scopo del nostro intervento sarà dunque quello di mettere in evidenza caratteri e influssi costantiniani nell’architettura

ecclesiastica di Cipro, sulla base anche di confronti ad ampio raggio con l’architettura costantiniana dell’Orbis

christianus antiquus. Tale discorso sarà accompagnato da una revisione delle fonti che attestano un interesse imperiale

di Costantino e dei sui successori per Cipro, nonché da una lettura critica delle tradizioni sorte sull’isola, e ancora oggi

fortemente presenti, aventi a oggetto la visita di Elena e il culto della Santa Croce.

Ritratti tetrarchici e costantiniani da Ostia

Ilaria Romeo

La fase tetrarchico-costantiniana di Ostia segna un momento di rinnovata prosperità per il centro portuale, come

dimostrano anche recenti analisi dello sviluppo urbanistico ed architettonico della città. Il quadro delle conoscenze si

arricchisce ora con lo studio della ritrattistica di questa fase cronologica, nell'ambito di un' analisi più vasta che viene a

completare l'edizione dei ritratti ostiensi successivi alla metà del III secolo, lasciata incompiuta da Raissa Calza.

Alla fine del III - inizi del IV secolo d.C. appartiene un complesso di ritratti tetrarchici da Ostia che include immagini di

Diocleziano, Costanzo Cloro e dello stesso Massenzio, cui si deve la pur breve apertura della zecca ostiense ed un

nuovo impulso alla vita economica e culturale della città. Alcuni ritratti sono invece, talvolta a torto, ricondotti all'età di

Costantino: tra questi le immagini tradizionalmente identificate con Fausta e Crispo, ed un ritratto giovanile di

Costantino II. Di grande interesse inoltre un cospicuo numero di ritratti privati tetrarchici e dell'inizio del IV secolo,

spesso di elevata fattura, alcuni dei quali riconducibili a importanti esperienze di botteghe locali. Ne emerge un quadro

articolato e complesso, in gran parte inedito, che bene illustra la transizione della città da vivace centro portuale a

località di residenza esclusiva e di rango.

Fecit basilicam sub arenario cryptae. La basilica maior di san Lorenzo fuori le mura: nuove considerazioni sulla

cronologia e l’architettura

Simonetta Serra

A più di cinquant’anni dalla sua scoperta, la basilica a deambulatorio della via Tiburtina casualmente rinvenuta durante

i lavori di ricostruzione del muro di cinta del cimitero nel 1950 ed parzialmente indagata nel 1957, è ancora oggetto di

dibattito tra gli studiosi. A differenza delle analoghe strutture note del suburbio romano che sono state oggetto di

indagini archeologiche più o meno estensive, l’edificio della via Tiburtina venne indagato soltanto attraverso pochi

saggi eseguiti nelle aree lasciate libere dalle tombe del Camposanto. La sola parte che si era conservata, e cioè il muro

perimetrale nord, venne distrutta senza che ne venisse effettuata alcuna documentazione.

Dopo la pubblicazione dei dati di scavo nel Corpus basilicarum christianarum Romae, nessun ulteriore studio è stato

fatto per rileggere i dati strettamente archeologici.

Negli ultimi decenni, studi di carattere generale (Torelli, La Rocca) hanno appuntato la loro attenzione soprattutto sulla

forma e funzione delle basiliche a deambulatorio, mentre, partendo dall’analisi delle fonti scritte ed in particolare dal

Liber Pontificalis, H. Geertman ha proposto nuove ipotesi ricostruttive dell’intero complesso laurenziano, giungendo

anche a formulare nuove teorie sulla cronologia del monumento.

Come è noto, la struttura è unanimemente riconosciuta nella basilica maior nota dalle fonti documentarie e attestata in

almeno due iscrizioni, prive purtroppo di data consolare. La basilica maior è poi dai più identificata con la basilica

beato Laurentio martyri posta via Tiburtina sub (o supra) arenario cryptae la cui costruzione è attribuita dal Liber

Pontificalis a papa Silvestro. Nella seconda metà degli anni Settanta del Novecento, Hermann Geertman ha proposto di

fissare la data di edificazione dell’edificio a deambulatorio al pontificato di Sisto III (432-440), proponendo di attribuire

alla basilica maior la notizia del Liber Pontificalis relativa alla costruzione di una basilica sancto Laurentio quod

Valentiano Augusto concessit e che in precedenza era stata riferita alla basilica urbana di san Lorenzo in Lucina.

In questa sede si intende presentare un nuovo esame del monumento partendo dai dati più strettamente archeologici:

- le strutture della basilica: attualmente analizzabili soltanto attraverso l’esame comparato tra la documentazione

fotografica e la – scarsa – documentazione grafica pubblicata nel Corpus basilicarum christianarum Romae.

Una porzione della muratura dovrebbe ancora essere visibile all’interno del cimitero sotto una botola, ma lo

stato di conservazione di queste strutture non è al momento valutabile;

- le strutture dei mausolei: recenti rinvenimenti lungo il muro di recinzione del Verano hanno individuato una

serie di strutture riferibili con molta probabilità ai mausolei che dovevano, verosimilmente, aprirsi lungo i

fianchi della basilica a somiglianza delle altre strutture note (soprattutto s. Sebastiano);

- gli elementi di arredo superstiti: Krautheimer ipotizza che per i colonnati della basilica onoriana siano state

riutilizzati fusti provenienti dalla basilica maior;

- le iscrizioni: tra il materiale epigrafico rinvenuto a partire dalla costruzione del cimitero negli anni Trenta

dell’Ottocento, sono chiaramente identificabili un buon numero di iscrizioni, alcune delle quali provviste di

data consolare, che per dimensioni o luogo di rinvenimento possono essere attribuite con una maggiore o

minore certezza alla struttura della basilica maior;

Dall’insieme di questi elementi si cercherà di giungere alla definizione dell’ambito cronologico entro il quale la basilica

del Verano nacque e si sviluppò.

Accanto all’esame dei dati archeologici, si intende inoltre proporre una riflessione sul significato del termine maior

utilizzato sia nel Liber Pontificalis (e quindi in una fonte ufficiale) sia nelle iscrizioni funerarie (e dunque in testi che

potrebbero risentire in maniera più o meno forte del linguaggio corrente).

Constans, Constantius, and the Verse Inscriptions of Old St. Peter’s

Dennis Trout

This paper addresses the long-standing problem of the building inscriptions of old St. Peter’s. Both the quod duce te

distich (ICUR 2.4092) located on the basilica’s triumphal arch and the iustiitae sedis tetrastich (ICUR 2.4094) of the

church’s apse have been variously dated and assigned to different phases of the construction of the Constantinian period

building on the Vatican. Both early dating schemes (e.g., R. Krautheimer) and late ones (e.g., G. Bowersock) have been

offered in recent years, but without any single argument leading to consensus. Moreover, the literary, archaeological,

and archival sources for Old St. Peter’s have proven inadequate to resolution of the problems, leaving the basilica’s

dating stranded between the 320s and the 360s or later (e.g., the review of evidence at H. Brandenburg, LTUR).

The building inscriptions of St. Peter’s, however, have never been adequately situated within the context of the

epigraphic environment of Constantinian Rome. Two Constantinian age carmina epigraphica are, in fact, fairly

securely dated: (1) Constantina deum venerans (ICUR 8.20752), installed at S. Agnese in the 340s by Constantina, and

(2) the twenty-four hexameters of patris opus munusque (CIL 6.1163) adorning the granite base of the obelisk that

Constantius II erected on the spina of the Circus Maximus in 357/58. These two verse inscriptions, I argue, provide

crucial evidence for the dating and interpretation of the epigrams of Old St. Peter’s. In the first instance, the metrical

inscriptions of Constantina and Constantius signal a largely unappreciated epigraphic revolution at the ancient capital of

the empire—the unprecedented recourse to inscribed epigrams as a medium of imperial self-representation at Rome by

the successors of Constantine I. Second, parallels in aims as well as language strongly suggest that the verse

inscriptions of St. Peter’s belong to the same poetic and ideological environment that inspired Constantina at S. Agnese

and Constantius in the Circus Maximus. Both of these latter inscriptions aimed at promoting the heirs of Constantine

with the senate and people of Rome by highlighting images of victory and divine aid; so too, it seems, did the epigrams

of Old St. Peter’s.

On the basis of this evidence it is very likely, then, that the two verse inscriptions of Old St. Peter’s date from between

the mid-340s and the mid-350s. If Richard Krautheimer’s argument that the iustitiae sedis inscription refers to the

completion of the apse mosaic is correct, then the “son” in question (filius and auctor) would be either Constans or

Constantius II. If Charles Pietri and Jean-Marie Lassère are right that the mundus of the quod duce te epigram is best

translated as “pure” rather than “world” then that text, too, was composed after the death of Constantine and

presumably installed by either Constans or Constanius. Although the two building inscriptions cannot be taken as

absolute proof for the dating of the construction phases of the basilica, a reading of them that takes full account of the

novelty of metrical building inscriptions in late Constantinian Rome as well as the literary and political context of the

two epigrams supports other arguments that the basilica was sufficiently completed in the 340s and 350s for mosaic

decorations to be added to its walls.

Die spätantike Deckenmalerei unter dem Trierer Dom - Eine bildliche Inszenierung der konstantinischen

Dynastie?

Barbara Weber-Dellacroce

Bekanntlich war es für Konstantin nach seinem Herrschaftsantritt eine Notwenigkeit, seinen Anspruch zu legitimieren,

da er nach den Regeln der Tetrarchie als Usurpator galt. Ein bedeutender Aspekt in seinem Legitimationssystem waren

die familiären Bindungen. So instrumentalisierte er seine Eltern, Constantius Chlorus und Helena. Darüber hinaus

stellte er seine Gattin Fausta und vor allem seine Nachkommen in den Fokus. Hierfür nutzte er zahlreiche Medien, vor

allem die Münzemissionen, aber auch Statuenweihungen mit Inschriften, in literarischen Quellen wird die Familie

ebenfalls gepriesen. Hierbei bediente er sich im Laufe der Kaiserzeit erprobter Bildformulierungen und stellt sich damit

in eine lange Bildtradition, die allgemein verständlich war.

Einige Darstellungen, die immer wieder als Bilder der konstantinischen Kaiserfamilie gedeutet wurden, sollen hier einer

erneuten ikonographisch - ikonologischen Untersuchung unterzogen werden. Im Zentrum sollen zwei Trierer Objekte

stehen, der sog. Ada-Kameo sowie die konstantinischen Deckengemälde aus dem Wohngebäude unter dem Trierer

Dom. Mit guten Gründen sind diese Objekte dem kaiserlichen Umfeld zuzuordnen. Zumindest im Falle des Ada-Kameo

ist es communis opinio, dass hier im Rahmen eines dynastischen Familienbildes Mitglieder der Kaiserfamilie gezeigt

sind. Aber auch im Falle der Deckenmalerei ist zumindest die Identifizierung des Mittelbildes als Fausta zu diskutieren.

Diese außergewöhnlichen Objekte, die heute einem breiten Publikum zugänglich sind, waren dies in der Spätantike

wohl nicht. Es ist also nicht nur zu fragen, welche Bildaussagen in den Bildern zu fassen sind, es ist auch die Frage nach

den Auftraggebern und den Rezipienten zu stellen.

Die Bildprogramme beider Darstellungen geben zahlreiche Fragen auf, die vielleicht nur durch eine Entschlüsselung

aller enthaltenen Bildchiffren beantwortet werden können. Die Untersuchung der Bildformulierungen zeigt die starke

Gewichtung gerade der Frauen des Kaiserhauses und ihre Rolle als Erhalterinnen der Dynastie; nach dem Tode der

Fausta rückt Konstantin vor allem seine Mutter Helena in den Mittelpunkt.

Beide Trierer Objekte sind konkreten Ereignissen in der Kaiserfamilie zuzuweisen. Auf diesem Wege ist eine präzisere

Datierung des Entstehungszeitraumes möglich. Sowohl der Kameo als auch die Malereien übernehmen eine

vermittelnde Rolle. Beide Darstellungen zeigen zumindest einem ausgewählten Personenkreis die Strategien

Konstantins auf, wie er durch seine Familienbeziehungen und besonders durch die Frauen seiner Familie eine Dynastie

kreieren wollte.

Den Trierer Objekten werden weitere Darstellungen gegenübergestellt, die bisher immer wieder als Bilder der

konstantinischen Familie gedeutet wurden, so vor allem das Medaillon in Nantes. Dieses Medaillon, das eine Familie

mit Christogramm zeigt, wäre die einzige erhaltene Darstellung der Helena, in der auch das Christusmonogramm

auftaucht. Dies wäre ein höchst bedeutsames Denkmal, das etwas über das Verhältnis der Kaisermutter zum

Christentum aussagen könnte. Doch zeigt sich, dass diese Deutung aus formalen und historischen Gründen abzulehnen

und das Medaillon in Nantes demnach nicht in die Reihe der konstantinischen Familienbilder aufzunehmen ist.

Die Inszenierung der konstantinischen Familie in Malerei und Kleinkunst ist nur in wenigen Objekten überliefert, zeigt

aber eine innovative Herangehensweise. Konstantin nutzt zwar die althergebrachten Bildformulierungen, die jedoch in

noch nicht da gewesener Form eingesetzt werden. So greift der Ada-Kameo die Form des römischen Familienbildes

auf, das sowohl in der Kleinkunst als auch der Sepulkralkunst bekannt ist, wandelt es aber ab zu einem kaiserlichen

Repräsentationsbild der konstantinischen Familie. Dass in diesem Familienbild auch die Kaisermutter erscheint,

unterstreicht in besonderer Weise das Bemühen um die Schaffung einer neuen Dynastie. Und so verwundert es nicht,

dass auch in der Deckenmalerei aus dem ehemaligen Wohnhaus unter dem Trierer Dom ungewöhnliche Lösungen

gewählt wurden, für die es keine Parallelen zu geben scheint. Umso mehr wird es darum gehen müssen, durch eine

sorgfältige Bildanalyse Argumente zu finden, die eine sichere Zuweisung zur kaiserlichen Repräsentationskunst

erlauben.

SESSIONI DEDICATE ALLE NOVITÀ

ARCHITETTURA

Il battistero dei Ss. Quattro Coronati a Roma: le acquisizioni dell'ultima campagna di scavo (2012)

Lia Barelli e Raffaele Pugliese

I resti del battistero, per la cui datazione i pochi dati ancora in corso di studio sembrano indirizzare verso il V secolo

d.C., sono stati individuati, come noto, nel settore sud ovest del complesso dei Ss. Quattro Coronati al di sotto delle

strutture del monastero benedettino, sul fianco sud dell'attuale basilica.

Gli ultimi scavi, condotti all'interno di alcuni locali adiacenti al chiostro, hanno confermato le ipotesi scaturite a seguito

della campagna del 2003-2005, durante la quale si era scoperto l'edificio. Si era infatti supposto in base agli scarsi resti

murari che il battistero avesse una pianta circolare di 12 metri di diametro, un deambulatorio largo circa tre metri e un

fonte battesimale circolare di ben 6 metri di diametro.

Lo scavo del 2012 ha messo in luce un nuovo consistente tratto del muro perimetrale in opera listata che conserva le

impronte delle crustae marmoree, appartenenti però a due fasi distinte, e ha rivelato altri resti delle due pavimentazioni

sovrapposte del deambulatorio, una originaria realizzata con piccole lastre di marmi policromi, la successiva forse di IX

secolo fatta con grandi lastre marmoree di spoglio. L'elevato numero di tubuli rinvenuti nell'interro definitivo, risalente

al XII secolo, di quanto rimaneva del battistero danneggiato nell'incendio del 1084, insieme a numerose tessere vitree

multicolori e ancor più numerosi frammenti di strati di preparazione che delle tessere mostrano le tracce, contribuiscono

a rafforzare l'ipotesi che il battistero fosse coperto da una volta rivestita di mosaico.

Addossate all'esterno del battistero sono state rinvenute sepolture sovrapposte di cui le più tarde risalenti

all'altomedioevo. Sempre all'esterno sono stati individuati numerosi livelli di frequentazione dell'area, di cui quello

altomedievale legato al grande intervento di Leone IV vide il battistero ancora in uso, mentre gli ultimi prima delle

radicali trasformazioni rinascimentali furono invece successivi alla sua totale obliterazione e connessi con la

lavorazione di materiali da costruzione e forse segnalano l'area di cantiere del chiostro cosmatesco.

I nuovi scavi, infine, hanno messo in luce che il battistero fu inserito all'interno di un'area già costruita e stratificata,

dove convivevano importanti strutture laterizie di età imperiale con altre più tarde in opera listata. Indifferentemente

dall'epoca di costruzione tali strutture erano dotate di diversi orientamenti che trovavano il punto di 'scontro' proprio

nell'area in cui fu per così dire calato il battistero. La forma circolare in tale contesto, al di là di ogni altra possibile

considerazione di natura simbolica o evocativa, si rivelava utile per risolvere il complesso nodo architettonico, secondo

soluzioni già presenti nell'architettura romana.

Nuevos datos sobre el primer cristianismo en Barcino: los orígenes de la iglesia de sant Just y Pastor de

Barcelona

Julia Beltrán de Heredia Bercero

Barcino, es en el siglo IV una ciudad cristianizada. Por las fuentes documentales sabemos de la existencia de tres

obispos Pretextato (343), Paciano (370-390) y Lampio (391-400). La arqueología ha puesto de relieve la existencia de

un baptisterio que se puede datar en el siglo IV, del que se conserva parte de una pila bautismal de planta cuadrada y el

sistema de evacuación de agua que es aprovechado en el baptisterio posterior, datado en el siglo V. Respecto a la

basílica relacionada con este baptisterio se la ha de suponer bajo la catedral actual pero la ausencia de excavaciones

impide cualquier tipo de comprobación. La importancia de la ciudad episcopal se verá reflejada en el crecimiento del

grupo episcopal que acabara ocupando un cuarto de la ciudad romana.

La organización funeraria de la ciudad estaba bien establecida ya en el siglo IV, aunque será, sobre todo, a partir del

siglo V, cuando quedará patente esta transformación del espacio suburbano a partir de la topografía cristiana. La

mayoría de la población se enterraba en el suburbium, buscando la protección de los mártires, solo unos pocos

privilegiados se enterraban en el interior de la ciudad, junto a los edificios del grupo episcopal. Los muertos se suceden

en el suburbium a lo largo de las vías y caminos., ocupando grandes extensiones. Las inhumaciones se concentran de

una manera muy importante junto a las basílicas martiriales, las actuales iglesias de Santa María del Mar y San

Cucufate, que tienen un precedente cultual muy antiguo.

Les élites urbanas también tienen sus espacios funerarios. En el interior del grupo episcopal se localizan varias zonas

funerarias: una necrópolis de inhumaciones (la mitad de ellas infantiles) vinculada a una iglesia cruciforme, unas areae

localizadas frente a la basílica principal y un corredor o galería funeraria que se ubica al oeste de la sala de recepción

del obispo. En todos los casos, se tratan de inhumaciones privilegiadas, relacionadas con la jerarquía eclesiástica.

Destacan también varios enterramientos infantiles localizados en edificios tan singulares como el baptisterio, o una

estancia comunicada con el aula de recepción del obispo. No podemos olvidar tampoco la localización de cuatro

fragmentos de sarcófagos del siglo IV de iconografía cristiana en el interior de la ciudad. Fuera muralla se localiza un

edificio funerario de plata rectangular y cabecera absidiada, que acoge varias tumbas significadas, una de ellas presenta

una lauda musivaria con un crismón. Las características del mismo nos llevan a pensar en un espacio relacionado con la

alta jerarquía eclesiástica.

Las familias más importante de Barcino, parece que tuvieron una espacio funerario en la zona del Convento medieval

de Santa Caterina derribado en el siglo XIX. Allí se localizan una serie de areae contiguas y agrupadas. En estos

recintos se concentra un número muy alto de monumentos funerarios, los únicos conocidos de estas características en

Barcelona. Se trata de “mausoleos” con pinturas de planta cuadrada o rectangular que albergan varios enterramientos,

seguramente de carácter familiar.

Archeologia dell’Architettura nella Basilica della Natività a Betlemme

Giovanna Bianchi, Stefano Campana, Giuseppe Fichera

Nell’intervento saranno illustrati i risultati acquisiti durante la campagna di analisi delle architetture della basilica svolte

nell’ottobre 2010. Le indagini sono state effettuate in occasione di un generale studio dell’edificio finalizzato ad

acquisire informazioni in previsione del progetto di restauro del suo tetto. Il gruppo di lavoro, formato da ricercatori

italiani ed internazionali è stato coordinato dal prof. Claudio Alessandri dell’Università di Ferrara. All’Unità di Siena

spettava il compito di studiare la sequenza storica di costruzione della basilica alla luce delle passate e più recenti

ricerche archeologiche.

L’indagine, che ha riguardato soprattutto i paramenti esterni dell’edificio e le strutture presenti all’interno del sistema

delle grotte, ha consentito di verificare la contemporaneità di buona parte delle strutture architettoniche oggi visibili in

elevato, rapportando la loro costruzione all’età giustinianea. Tale dato è stato inoltre supportato da specifiche indagini

archeometriche svolte da altre unità di ricerca partecipanti al progetto.

La basilique de Khirbet el-Libneh

Anna Chok

En 1998, une mosaïque géométrique d’une superficie de 240 m² a été découverte dans la zone industrielle de Tartous

(sur la côte syrienne). Depuis, neuf campagnes de fouilles successives, réalisées sous la Direction Générale de

l’Antiquité et des Musées en Syrie, ont mis au jour un ensemble protobyzantin étendu sur un terrain de 11400 m² et

limité sur ses quatre côtés par des installations modernes. La grande structure à laquelle appartient le pavement dégagé

occupe l’angle nord-est du site de Khirbet el-Libneh et elle était vraisemblablement entourée de plusieurs salles

dépendantes. L’analyse du matériel semble indiquer une datation du début du cinquième siècle de notre ère. La

disposition des panneaux de mosaïque et des vestiges demeurant sur place permettent de déduire qu’il s’agissait d’une

salle basilicale à trois nefs orientée selon un axe est-ouest et composée de deux parties. Certains détails de construction

attestent du fait que l’une de ces deux parties a été ajoutée postérieurement à la construction de la première. La partie

est comporte une cuve carrée à deux niveaux, d’une profondeur totale de cinquante centimètres. Cette petite taille ne

plaide pas en faveur de l’hypothèse d’un baptistère antérieur au sixième siècle. D’autres possibilités sont toujours en

cours d’étude. En revanche, la pièce occidentale semble avoir été dotée, au centre, d’un aménagement important ; on en

reconnaît l’emplacement grâce au négatif d’un espace rectangulaire, le sol étant dépourvu de pavement à ce niveau. Les

deux extrémités est et ouest de l’édifice sont presque complètement détruites. Le manque de vestiges nous empêche

ainsi de vérifier si l’une ou l’autre s’achevait par une abside placée entre deux salles annexes, comme c’est le cas dans

la plupart des églises syriennes. Aucune trace d’emplacement d’un autel ou d’un reliquaire n’a par ailleurs été signalée.

Les autres vestiges de Khirbet el-Libneh se composent de surfaces dallées, d’une vingtaine de salles pourvues de

pressoirs, de petits fours et de jarres, d’une grande citerne et de canalisations et, en fin, des restes d’un mur immense qui

s’étend sur une centaine de mètres dans un axe nord-sud à la limite est du site. Aucun élément archéologique ou

architectural ne permet jusqu’à présent d’attribuer de manière certaine une fonction religieuse à la basilique ou à l’une

des salles du site. Cependant, la présence d’une salle si importante, aussi bien au niveau des dimensions qu’au niveau de

la décoration, à quelques mètres d’un complexe agricole et à l’intérieur d’une enceinte éloignée de la ville antique rend

le cas de ce site, très peu fréquent en Phénicie Maritime, particulièrement intéressant.

Le site de Khirbet el-Libneh fait l’objet de mon travail de thèse, réalisé sous la direction de Monsieur Marc

GRIESHEIMER à l’Université d’Aix-Marseille. Une étude comparative avec des ensembles monastiques syriens a été

effectuée, sans aboutir à des résultats décisifs concernant l’identification de la fonction du site. Une deuxième étape de

recherche, basée sur des confrontations architecturales avec des ensembles comportant des basiliques non religieuses ou

avec des compositions semblables au Proche-Orient, devrait permettre de progresser dans l’analyse fonctionnelle de ce

bâtiment. À l’occasion de cette rencontre, au XVIe Congrès International d’Archéologie Chrétienne, je souhaiterais

présenter les résultats de cette recherche, notamment dans le cadre de la thématique « Liturgie et architecture », et avoir

la possibilité d’en discuter avec les autres participants.

The Architectural Features and Plastic Findings of Gereme Panagia Church in Develi at Kayseri

Nilay Çorağan Karakaya

The rescue excavation for Gereme Panagia Church in Develi of Kayseri was carried out in the year 2005 within the

scope of a European Union project which Kayseri Governorship conducted with the Directorate for Archeological

Museum in Kayseri and my scientific supervision. The settlement of Gereme, situated in the town Develi, is in the south

of Mount Erciyes and a considerably important settlement in the early Byzantine period especially in Constantine

period. The earliest scientific studies about Panagia Church in the north-west of the settlement date back to the first half

of 19th century. As a result of excavation, it has been determined that Panagia Church has some distinctions when

compared with the available plans which were already published.

H. Rott suggests that the church was called Panagia Church based on an inscription; on the other hand,M.Restle

reports that the church might have dedicated to Michael. As a result of the studies, it has been determined that Panagia

Church has some distinctions when compared with the available plans which were already published. The rectangular-

planned naos in north-south direction was originally divided into three naves with four pillars at each side in two lines.

While the pillars in the north currently stand in their original places, those in the south, except for one in the east, have

been placed into a different part of the southern nave. With the wall built in east-west direction behind the pillars in the

north, the central nave was separated from the northern nave. Also, some piers were added to both the corners of the

western wall and the south-east. An octagonal altar at the crypt at bema draws attention. The technique of the wall,

separating the central nave behind the walls from the northern nave, is not very different from that of the side walls. The

ranges of pillar which divide the southern nave, except for the ones in the east, have been taken from their original spots

and placed before the southern wall. In place of two pillars in the middle, a bearing wall has been built in the same

technique with the additional wall in the north. Also, the northern additional wall and some bearing walls in the same

technique with the southern bearing wall have been joined into the south-eastern and south-western corners. Eventually,

the function of the northern additional wall built between the pillars and the pillar placed at the same level of the corner

bearing walls along with the bearing wall constructed in place of the southern pillars must be something to meet the

load of stone roof built instead of its wooden roof which disappeared due to an unknown reason. The thicker pillar in

the northern nave both supports the top-cover system, and points out the burial function of the nave

The architectural plastic findings of stone at the end of the excavation bear a certain level of significance as much as

the architectural characteristics of the church in question. Especially the octagonal altar decorated with a cross in

engraving technique at the crypt just beneath the bema is a unique sample throughout the region. As the architectural

plastic works in situ, there can be encountered with the capitals with the acanthus leaves, strips and consoles. The

consoles with the acanthus leaves display the similar decoration characteristics compared with those at the consoles and

capitals of the piers at the other wall churches through the region. Also, the geared friezes just under the covering

system are a very common application at the other wall churches in Cappadocia. There has been encountered with many

gathered findings of stone at the church. Especially the column placed inversely in the northern side nave stresses the

burial function of the nave with the pearled cross on. Many stone works have been carried from the villages nearby to

the church site. The architectural data obtained from the excavation generally points to the early period. Thus, it is

something possible to assess these stone works within the same period.

The church is dated to the 4th century based on its architectural characteristics. However, the annexes to the church

display the traces of 11th century. Not only do the coins dated to the 4th and 11th centuries found at the excavations

provide evidence for human life in this settlement, but they also confirm our prediction of the dating for the

architectural characteristics of the building.

Costantino e Licinio e il palazzo imperiale di Milano

Massimiliano David

Nuove e vecchie indagini archeologiche nel centro di Milano aiutano a ricostituire lo scenario che accolse i due

imperatori nel 313. La prevalente reticenza delle fonti letterarie e' progressivamente colmata dall'archeologia. Il

quartiere tra porta Vercellina e porta Ticinese (e oltre verso sud) svela il caso di un tessuto urbano cresciuto nel segno di

una promiscua contiguita' dell'edilizia residenziale e dell'architettura di potenza in apparente uniformita'. Si impone oggi

l'evidente necessita' di un bilancio delle risorse del sottosuolo del centro storico e una pianificazione capace di prevenire

le continue emergenze.

Das Baptisterium im 4. Jahrhundert. Überlegungen zur Bauform und Taufliturgie anhand literarischer

Überlieferung und dem archäologischkunsthistorischen Befund

Claudia S. Dobrinski

Die Baptisterien des Frühen Christentums, von der Spätantike bis zur frühbyzantinischen Epoche, gehören – neben den

verschiedenen Kirchenbautypen – zu den bedeutenden christlichen Baudenkmälern.

Während sich bekannte Taufhäuser wie das Neon-Baptisterium in Ravenna oder die wunderbar mosaizierten

Taufbecken im ehemaligen Königreich der Wandalen in Nordafrika aufgrund historischer und stilkritischer Indizien

sicher in das 5. Jahrhundert datieren lassen, sind Baptisterien, die bewiesenermaßen im 4. Jahrhundert erbaut wurden,

schwierig zu lokalisieren und identifizieren.

Das Baptisterium im Lateran gilt als eines der sicher dem 4. Jahrhundert zuzuordnenden Taufhäuser.

Für den Vortrag sollen nun zwei hauptsächliche Überlegungen zu diesem spärlichen archäologischen bzw.

bauhistorischen Befund dargelegt und verfolgt werden: Zum Einen scheint es nachvollziehbar, dass, wenn sich das

Christentum unter Konstantin als Religion frei und verstärkt entwickeln konnte, sich die Frage stellt, warum sich bisher

ein Kirchenbautypus, nämlich die Basilika, als konstantinische Innovation mit einem klar definierten Begriff erklären

und erkennen lässt – der Bau eines Taufhauses im 4. Jahrhundert aber anscheinend (bislang) nicht?

Das Sakrament der Taufe ist ein maßgeblicher Teil des Christentums, zumal in der Frühzeit der Kirche, in der in einer

jüdischen, paganen und polytheistischen Gesellschaft die christliche Missionierung durch die Taufzeremonie ihre vielen

neuen Glaubensbrüder und -schwestern in die Kirchengemeinschaft aufnimmt. Was verdeutlicht somit der allseits

verwendete Zentralbautypus, ob nun polygonal, rund oder quadratisch ausgeführt, für das Baptisterium der frühen

Christenheit? Und wie fügt sich dieser Bau in das Kirchenareal ein? Diese Fragestellungen ziehen die zweite

Überlegung nach sich, nämlich inwieweit die „Nutzung“, die Liturgie der Taufzeremonie, das heißt vor allem zur Oster-

und Pfingstzeit, zu diesem bevorzugten Bautypus führt.

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Die erhaltenen Bauten, oftmals noch mit einer erstrangigen Ausstattung überliefert, können erste Anhaltspunkte eines

programmatischen Ablaufs durch Portale, Stufen zum Taufbecken, wie auch Blickrichtungen der Bildzyklen bieten –

die gesamte Durchführung der Taufzeremonie aber, z.B. die Entkleidung der Katechumenen und deren Neueinkleidung

nach der Zeremonie, sind doch unbefriedigend in den vorhandenen Baptisterien (und ihren Nebenbauten) abzulesen.

Hierzu können schriftliche Überlieferungen, Anleitungen und Ablaufbeschreibungen, der Taufliturgie für die weitere

Deutung der Bauten und Einrichtungen helfen. Diese Informationen sind nicht minutiös und detailgenau

niedergeschrieben und zeigen somit auch das frühchristliche Variantenreichtum der Taufliturgie – und solche Quellen

sind leider auch kaum zu einem vorhandenen frühchristlichen Baptisterium überliefert. Die römischen Quellen bieten

hierfür verschiedene Hinweise zur Taufliturgie in den Titelkirchen, Hinweise, die die historischen Quellen über das

Vorhandensein des jeweiligen Taufhauses stützen.

Abschließend stellt sich die Frage, inwieweit sich die Ergebnisse dann aufeinander abstimmen lassen, oder ob eine

verallgemeinernde Aussage in die Irre führen wird. Und wie sind stadtrömische Quellen und Befunde auf andere Teile

des Römischen Reiches des 4. Jahrhunderts zu übertragen? Zeigt die Frühzeit hier noch lokaltypische Entwicklungen

und Eigenheiten, oder gibt es bereits nachweisbare Richtlinien in der Taufliturgie? Das 4. Jahrhundert zeugt von den

Findungsphasen der Frühen Kirche, Konzile legen die gültige Lehre fest; und zeitgleich entstehen die ersten

Splittergruppen, die zunehmend der Häresie und nicht rechtgläubigen Glaubensausübung verdächtigt und darum

verfolgt werden. Das heißt auch, dass erhaltene Baptisterien oftmals auch verschiedene Traditionen und

Glaubensrichtungen widerspiegeln können – was, wie eingangs erwähnt, auch gerade in den prachtvoll ausgestatteten

Taufhäusern in Ravenna und den Taufbecken im westgotischen Wandalenreich, Bauzeugnisse des 5. Jahrhunderts,

immer wieder zu neuen Erklärungsversuchen der Handhabung der Taufliturgie anhand der scheinbar eindeutigen

Zuordnung dieser Bauten führt.

Edilizia residenziale di prestigio ad Aquileia: l’esempio della domus lungo la via Gemina

Federica Fontana

Le conoscenze relative all’edilizia residenziale tardo-antica nell’Italia settentrionale si sono arricchite grazie alla

scoperta di una lussuosa domus, scavata ad Aquileia dall’Università degli Studi di Trieste, in un punto nevralgico della

città antica, tra Foro e Porto fluviale. La domus, detta “dei Putti danzanti”, deve il suo nome ad uno splendido

pavimento musivo policromo, con eroti all’interno di ghirlande fiorite, che decorava uno degli ambienti riservati al

dominus. Questa stanza, assieme all’ambiente adiacente, anch’esso decorato da un raffinato tessellato bicromo

geometrico, gravitava intorno ad un piccolo peristilio ed era in connessione con gli ambienti d’ingresso alla casa sul lato

meridionale, tra i quali si annovera, probabilmente, quello con il noto mosaico del “Tappeto Fiorito”.

Allo stato attuale della ricerca, l’impianto della dimora tardo-antica, estesa verosimilmente sull’intera l’insula, alterò

almeno in parte, l’assetto catastale originario dell’isolato, che, pur conservando l’originario perimetro, mutò nella

distribuzione del reticolo viario interno, ad ulteriore attestazione del noto fenomeno di sopravanzamento del privato sul

tessuto urbano in età tardo-antica, che si registra, ad esempio, anche a Ravenna e a Luni. L’accesso principale doveva

collocarsi lungo l’antica via Gemina, da alcuni indicata come il decumano principale della città antica, posta a sud della

strada moderna; un accesso secondario alla casa è stato in parte scavato sul lato orientale della casa, in rapporto con il

cardine che delimitava l’insula. Si tratta di un tratto di cortile lastricato con un pozzo, sito probabilmente al margine

esterno della casa. Un dato di grande rilievo è stato il rinvenimento di monete datanti nelle preparazioni di alcuni

pavimenti, che ha consentito di datare con estremo rigore l’impianto originario della dimora agli anni 337-340 d.C.;

alcuni importanti restauri dovettero verificarsi, inoltre, intorno agli anni ’70 del medesimo secolo, senza alterare in

modo significativo la planimetria della casa tardo-antica. Un ultimo intervento edilizio, non privo di qualità esecutiva,

sembra registrarsi negli anni iniziali del V secolo d.C. Della casa sono noti più di una ventina di ambienti. Sono state

individuate le stanze di servizio, l'ampia cucina, gli ambienti termali, un vasto peristilio con colonnato tuscanico. Molti

gli ambienti connotati da un notevole livello decorativo: oltre al raffinato mosaico con eroti, si possono citare un

pavimento tessellato policromo con disegno geometrico all’interno del quale si inserisce un ampio campo centrale in

sectile (impiegati ardesia, fior di pesco, rosso antico, giallo antico, marmo bardiglio più cipollino, marmo bianco greco

insulare o proconnesio), un mosaico con figure animali e vegetali, che trova confronto con il repertorio dell’aula

teodosiana meridionale, un mosaico policromo a grandi riquadri all’interno dei quali si alternano recipienti di varie

forme ed elementi vegetali, delimitati da una cornice a cordone dentato, etc.

Di notevole qualità anche la decorazione scultorea, gli arredi e gli oggetti d’uso quotidiano rinvenuti nell’area: tra i

reperti vale la pena di ricordare il frammento di una mano sinistra in marmo, di dimensioni maggiori del vero,

probabilmente pertinente ad una statua di divinità, di imperatore o di un membro della famiglia imperiale, posta

presumibilmente nei pressi dell’ingresso principale lungo la via Gemina. Questa collocazione sarebbe coerente con la

consuetudine, nota nelle dimore tardo-antiche di prestigio, di porre statue onorarie dei proprietari o dei loro antenati

negli ambienti di ingresso. Pertinente alla decorazione di un giardino potrebbero essere una testa, con capelli raccolti in

un fiocco e un arto inferiore femminile, non panneggiato, rinvenuti presso il grande peristilio settentrionale, di cui

costituivano verosimilmente elementi d’arredo.

L’apparato decorativo della domus nel suo insieme rivela una tendenza al conservatorismo e una sobrietà nelle forme

degli ambienti, soprattutto nella prima fase, che ben si collocano nella prima metà del IV secolo d.C., momento in cui

cominciano a manifestarsi a Roma i primi cambiamenti planimetrici nelle strutture residenziali. La decorazione musiva,

in particolar modo quella della fase originaria della casa, si rifà a modelli e motivi di chiara derivazione classicista, sia

nella scelta decorativa del campo centrale sia nelle fasce di contorno, mentre la seconda fase pare caratterizzata da

scelte decorative più in sintonia con le “mode dell’epoca”.

Le scelte topografiche, architettoniche e decorative sono state valutate come indicatori dell’ambito economico, sociale e

culturale del proprietario della domus, individuato in Septimius Theodulus, primo governatore, corrector, cristiano della

Venetia et Histria.

Pityus in Abkhazia, a Bishop’s residence in the Age of Constantine:

excavations of 2007-2009

Liudmila G. Khrushkova

The city of Pityus, modern Pitsunda, is situated on East Coast of the Black Sea. The Bishop Stratophilus was the only

Caucasian representative of the First Council at Niceae. His cathedral was the starting point for the development of this

Christian centre, which went on for over a thousand years. Our excavations of the two architectural monuments in the

years 2007-2009 allow for a better understanding of certain phases of this development between Late Antiquity and the

Middle Ages (preliminary communication: L. Khrushkova, L’ancienne ville de Pityus en Abkhazie: nouvelles

archéologiques, 2006-2008, in: XV Congreso internacional de arqeologia cristiana, Libro de Pre-Actas, Toledo, 2008, p.

102). We investigated the residential complex to the north of the large domed church. The ground floor of the building

survives. It consisted of several rooms, with a large hall in the centre and a gallery on the west side and small ancillary

rooms on the east side. A coin of Constantius (337-361), found on the floor of the south room, dates the time of

construction approximately to the end of the 4th

century. The residential construction was related to the early Christian

complex of the 5th

century, situated to the north-west. That complex comprised a small rectangular martyrium and a

chapel.

The residential complex burned down in 542, during the Byzantine-Persian War, according to Procopius of Caesarea.

Later the building was renewed. When the large (over 43 m in length) domed church was being built in the early 10th

century, the choice of its location and position had been related to the ancient residential construction. It is very

probable that the two buildings were connected by a passage. The domed church served as the centre of the

Soterioupolis Archbishopric of the Constantinople Patriarchy. Around the middle of the 16th

century, a chapel was built

in the narthex of the church, it was painted by masters from Mount Athos. According to the Catholic missionary Don

Castelli (middle of the 17th

century), Christian liturgy in the church went on even during Turkish dominion over the

region.

In 2009, we also studied the “double” church with its two aisles and two apses, situated on the sea shore, in the

cemetery area. It consists of two symmetrical parts, separated by a single massive pier. Each part has an apse,

polygonal on the outside and horseshoe-shaped on the inside. The church had been excavated in the 1950’s, though not

completely. We discovered several previously unknown elements of the plan: the side porches, arranged symmetrically

in the east part of the church, and the west gallery, which covered both parts of the building. In the interior of the north

aisle, we found remains of a synthronon, and in the south aisle - a wall that separated the aisle into two parts. It is

obvious that the north part of the construction had Eucharistic functions. Thus, the excavations gave us the original

plan of the church. We also excavated a part of the early medieval cemetery adjacent to the south façade. The church

dates to the Justinian era, it functioned at least until the 10th

-11th

century. The architectural remains were badly

damaged; we carried out conservation works after the excavations.

The obtained materials therefore present the following picture of the development of this oldest Christian city in the

Caucasus. During the age of Constantine, the Bishop’s church is outside the city walls of Pityus, later, after a fire, a

basilica is erected on its remains. The city significantly expands, and the basilica is now found inside the city walls.

Simultaneously, there continues to exist another complex that comprises the residential building we excavated. During

the Middle Ages it becomes the centre of the city, which in the 10th

century becomes the Archbishop’s residence. As for

the Early Byzantine double church in the cemetery, it existed for at least five centuries. Its original plan presents a type

of the “double” church that is unique in the Caucasus and the Black Sea Coast area.

Observations concerning the architectural form and function of the episcopal complexes in the early Christian

Greece

Athanassios Mailis

The subject of the paper derives from my monograph titled: The annexes at the early Christian basilicas of Greece (4th

-

6th

c.). Architecture and function. In the forthcoming speech there will be presented (in English) the study of three

groups of annexes, which are adjusted at cathedrals of the Helladic part of Illyricum Orientale and display common

architectural as well as functional arrangements.

The first example is localized at the NW. part of basilica B, Nikopolis. The topographical limits of this complex are

defined from the basilica (from N.) and the anterior Roman street (from W.). The initial core of the complex is traced at

a small courtyard of the Roman period. During the second construction phase (5th

c.) there was constructed the largest

part of the ensemble, which was characterized by the circumferential arrangement of edifices around the anterior

courtyard. At the N. part of the complex was built a large room (with apsis oriented towards W.), which was organically

interrelated with the basilica and functioned as a sacristy on the basis of its arrangement and findings. The W. part of

the complex was dominated by the presence of a second room (with apsis oriented towards S.). The elaborate masonry

as well as the luxurious furnishings of the room suggest that it was used as a triclinos, thus an official hall for

celebratory or official gatherings. Along the S. part of the complex there was constructed an oblong edifice, while the

E. end of the quarter was equipped with a semicircular exedra. The third phase of the Nikopolitan complex (491-516)

comprised the annexation of a small chapel-like room at its NW. section. As implied by the single epigraphic evidence

in the complex, this construction phase is connected with the building activity carried out by the local bishop Alkison.

The complex probably acquires its present form during the 4th

phase (6th

c.) including minor modifications and

additions.

The initial excavation research of the basilica that was carried out by Orlandos-Soteriou between 1925-1938 had

revealed a diminished part of the complex (NW. chapel and courtyard). Despite the fragmentary archaeological

evidence these two areas have been interpreted as the diaconicon and its accompanying atrium on the basis of the

textual information of the canonistic text of Testamentum Domini. Yet the posterior excavation research that resulted to

a more coherent image of the complex permits us to interpret it in a different way. The form of the Nikopolitan

ensemble –in comparison to the parallels of Late Roman Villas- suggests its dependence from the anterior architectural

tradition of Late Roman mansions with central atrium and circumferential edifices- thus implying a multifunctional

usage both cultic and secular.

The second example is traced at the NW. annexes of basilica C, Nea Anchialos (Fthotidai Thebai). The complex

comprised two spatial units. The eastern one included the circumferential arrangement of rooms around a central

courtyard. One of the rooms was equipped with an apsis oriented towards E., an encainion and a semicircular cathedra.

The second unit was formatted as a series of three rooms. The design of the complex reflects the counterpart

arrangement of a Late Roman Villa that was situated nearby basilica A of the same city, thus implying the dependence

of the ecclesiastical complex from the native secular architectural tradition.

The last example is localized at the N. part of the atrium and basilica of Ermioni. The ensemble follows the same

architectural pattern as the previous two complexes. Along the E. side of the complex there was constructed a large

chapel-like room. The southern wing of the ensemble was organically interrelated with the atrium through two divelon

entrances, thus signaling a significant movement from the annexes to the atrium.

All three examples exhibit common arrangements such as their adjustment to cathedrals, their formal dependence by the

architectural designs of the secular architecture as well as the existence of a chapel like room that could be interpreted

as an Episcopal chapel on the basis of the findings and the sources. These characteristis suggest a typological and

functional uniformity and allow the interpretation of the complexes as Episkopeia. The basic pattern of these complexes

appears to integrate elements from the Roman secular architecture of Late Romanedifices (of a private of public

character), subsequently modifying them so as to accommodate the functional purposes and needs of the new Christian

context.

Il battistero di Mitropolis: fabbrica di tradizione romana o sapiente riuso di edifici precedenti

Maria Ricciardi, Vassiliki Sithiakaki

Il battistero scoperto in anni recenti a Gortina, località Mitropolis, tuttora in corso di scavo, ha evidenziato fin dalle

prime campagne caratteri architettonici e decorativi peculiari sia per quanto riguarda la struttura planimetrica sia per la

ricchezza della scultura architettonica. L'edificio è posizionato circa 30 metri a Nord della grande basilica metropolita

con cinque navate.

Il fulcro della costruzione è costituito dal vano centrale di forma circolare, polilobato all'interno e circondato da un

deambulatorio, anch'esso circolare, al quale è collegato attraverso quattro aperture. I ruderi murari si conservano per

circa tre metri di altezza e portano i segni di numerosi rifacimenti e riusi; sono rifacimenti che sembrano non aver

modificato sostanzialmente la struttura del vano centrale del battistero. Altri vani appena delineati in superficie e non

ancora scavati testimoniano l'ampiezza del complesso che si espande verso ovest, ma soprattutto verso la basilica.

Per quanto riguarda l'arredo architettonico particolarmente ricco e di rara qualità, rinvenuto completo di basi, colonne,

capitelli e mensole in crollo -almeno per quanto concerne l'ordine inferiore- suggerisce una realizzazione omogenea

dell'apparato decorativo tutto coevo collocabile tra la fine del V e non oltre la prima metà del VI.

La struttura muraria e planimetrica mostra i caratteri della tradizione costruttiva romana, sebbene le murature siano state

realizzate con una gran quantità di elementi di reimpiego i quali suggeriscono di collocarne la datazione all’indomani di

uno dei disastrosi terremoti che hanno caratterizzato la vita della città. Anche la scelta di un impianto planimetrico così

vasto e fastoso, unico nel panorama architettonico della città, aveva suggerito l' ipotesi che l'edificio, dopo la

fondazione, sia stato ingrandito e restaurato in sintonia con lo sviluppo e l'importanza della basilica.

Questo rassicurante panorama nel quale si sono mosse le nostre ricerche in questi ultimi anni potrebbe essere

completamente sovvertito da piccoli, ma puntuali ritrovamenti.

Alcuni saggi di scavo di limitate dimensioni, condotti sotto il livello di pavimentazione in un settore del deambulatorio,

hanno rivelato la presenza di condotti non relativi al battistero; questo ritrovamento ha portato a riconsiderare con

maggiore attenzione una serie di indizi, già a suo tempo rinvenuti ed attribuiti ai diversi rifacimenti realizzati

nell’ambito del battistero.

Si tratta finora di piccoli, ma numerosi indizi raccolti che possono rivelare la riutilizzazione di una struttura circolare

relativa ad altro e più vasto complesso monumentale.

L'esposizione dei dati raccolti, la puntualizzazione dei problemi e la proposta interpretativa saranno l'oggetto della

presentazione proposta.

SESSIONI DEDICATE ALLE NOVITÀ

TOPOGRAFIA

Autorité episcopale: changements topographiques dans les villes du Pont Gauche à l'epoque de Justinien

Octavian Bounegru

Située au centre de la ville romano-byzantine, la basilique épiscopale d’Histria est son monument le plus important,

ayant une planimétrie qui reflète exactement la fonctionnalité liturgique de l’époque de sa construction. Il s’agit de

l’époque de Justinien, l’empereur qui a manifesté, tout au long de son règne, un intérêt particulier pour la réfection des

anciennes basiliques, mais, surtout, pour la construction des nouvelles et imposantes basiliques dans toutes les villes de

l’Empire, afin de refléter, du point de vue architectural l’importance de la religion chrétienne. C’est l’époque où, à la

suite d’une synthèse des éléments architecturaux orientaux et anatoliens, la planimétrie des basiliques chrétiennes est

pleinement achevée: l’atrium, le nartex, parfois l’exonartex, les nefs, le presbyterium et les annexes, vers le sud et le

nord. Le programme édilitaire concernant les édifices chrétiens du VIe

siècle ap. J.-C. a été conçu et soutenu à l’aide

des deux architectes célèbres, Anthemnios de Tralleis et Isidore de Milet – nommés, pour leur science ; mechanopoioi –

et ensuite, ce programme a été appliqué dans tout l’Empire. Il s’agissait, en fait, de l’une des parties importante de son

programme idéologique, afin de consolider l’unité de l’Etat. L’architecture religieuse acquiert, dans cette période, des

contours nouveaux, imposés par les modifications du services liturgique. L’une des plus intéressantes conséquences de

ce programme a été l’emplacement de la basilique dans l’espace urbain, en tant que reflet du rôle déterminant de la

basilique (et surtout de celle épiscopale) dans vie de la ville. La basilique épiscopale d’Histria est, donc, le produit de

cette époque, de ce programme, à la fois religieux et idéologique.

Scavi archeologici di Pava, nuovi risultati, nuove prospettive

di Stefano Campana e Cristina Felici

con i contributi di F. Brogi, F. Fontanelli, L. Marasco, C. Musson, E. Rubegni.

C’è una chiesa altomedievale sepolta a Pava? Questa è una delle domande originali che insieme a problematiche

territoriali di ampio respiro hanno ispirato la ricerca avviata nel 2000. La sintesi complessivadei risultati emersi in poco

più di un decennio di ricerche sul contesto di Pavae i riflessi sulle dinamiche dei paesaggi delle valli dell’Asso e

dell’Orcia può iniziare con la cronologia della chiesa che non solo ha confermato la presenza della stessa in fase

altomedievale, ma ha alzato la datazione della fondazione alla fine del V secolo. Oltre alla datazione un elemento di

forte interesse è dovuto alla planimetria della struttura dell’edificio religioso, una soluzione complessa e originale,

caratterizzata da due absidi contrapposte. Questa soluzione è risultata l’esito della modifica di una struttura precedente

della quale è stata conservata l’abside occidentale costruendone una nuova ad est. Nel complesso si ottiene una chiesa

lunga oltre trenta metri, a pianta basilicale, con un ambiente centrale (largo 10 m) e alcuni ambienti laterali (laghi 5 m).

La chiesa di Pava, che possiamo associarea quella battesimale di S. Pietro in Pava, attestata con questa titolazione dagli

inizi dell’VIII secolo, non sorge nel nulla. L’impianto della prima struttura religiosa avviene come già accennato,

recuperando in parte strutture murarie preesistenti solo parzialmente abbandonate. Questo fenomeno è rintracciabile ad

esempio in una grande una grande absideappartenuta ad un edificio precedente che viene rasata e in parte spoliata

probabilmente poiché sarebbe venuta a trovarsi al centro della navata. Le novità più recenti hanno riguardato

l’individuazione di evidenze di attività funzionalia convertire l’edifico o gli edifici preesistenti in chiesa. E’ stato infatti

possibile, in alcuni punti, documentarele diverse fasi dei cantieri, le fasi di abbandono e di costruzione, che tra metà V e

inizio VI secolo si sono accavallate.

Gli interventi nell’area presbiteriale hanno permesso di mettere in luce elementi pertinenti alla prima fase che mostra

chiari elementi di trasformazione rispetto all’assetto che assumerà la stessa areaprima dell’abbandono alla fine del X

secolo. L’organizzazione planimetrica originaria prevede due colonne poste all’estremità dei due bracci del banco, non

sappiamo per il momento cosa si trovasse al centro di questa sorta di nicchia. Alla prima fase appartiene anche un

recinto presbiteriale colonnato (otto colonne, due delle quali chiudono un probabile cancello). Non abbiamo traccia per

il momento di eventuali trabeazioni. Oltre la navata, in direzione ovest è chiaro il riutilizzo di un’abside precedente con

pavimento in cocciopesto, diviso dalla navata da tre pilastri intonacati ai quali si fronteggiano altri tre dando forma ad

un endonartece con ingresso posto a sud. I confronti per l’esistenza dell’abside occidentale portano alla presenza di un

elemento di culto aggiuntivo che poteva essere, nel caso specifico, un culto di reliquie potendo escludere la presenza sia

del battistero sia di una tomba privilegiata.

L’indagine stratigrafica si è concentrata negli anni recenti a scavare l’interno dell’ambiente più occidentale tra quelli

presenti a nord dell’area di scavo che termina con una vasca circolare che offre ancora molte incognite. La vasca

(diametro di 2 m), sicuramente precedente alla chiesa, ha il fondo in cocciopesto e un foro di scolo sulla parte nord, essa

subisce una fase di abbandono e una di spoliazione dopo la qualeuna parte viene riutilizzata per la realizzazione di

un’abside che risulta in fase con la prima chiesa.Nel corso dei secoli successivi la chiesa ha subito modifiche che

tendenzialmente hanno portato al ridimensionamento della struttura che è iniziata con l’abbandono degli ambienti

laterali che in fase altomedievale già non erano più in uso. Come abbiamo già accennato, alla fine del X secolo l’abside

est era crollata e l’area presbiteriale originaria non più in uso. Ma è proprio in fase altomedievale che avviene un evento

che potrebbe configurarsi come l’input per la formazione del vasto cimitero di Pava (circa 900 sepolture scavate):

all’interno del banco presbiteriale, di fronte al banco si colloca una (per ora l’unica) tomba privilegiata, che secondo le

analisi antropologiche, paleo patologiche, tafonomiche, chimiche, può essere appartenuto all’élite della Valle

dell’Asso.La chiesa verrà del tutto abbandonata all’inizio del XII secolo.

Il Progetto Pava già dai primi anni ha avuto una forte valenza territoriale e le domande dalle quali si sono mosse le

indagini si sono spesso rivolte ad inquadrare il rapporto fra questa grande chiesa e il territorio.Negli ultimi anni, dopo

aver eseguito indagini territoriali altamente intensive - in particolare, oltre alle ricognizioni di superficie e aeree,

abbiamo acquisito più di 50 ettari di magnetometria intorno alla contesto in esame senza soluzione di continuità -

abbiamo implementato lo scavo di alcuni contesti. I maggiori contributi sono venuti da due saggi archeologici. In

entrambi i casi sono state individuate le tracce di abitazioni (in un caso sono più labili) di età tardo antica (IV – VI

secolo) che presumibilmente facevano parte di un abitato sparso o più esattamente a maglie larghe gravitante intorno

alla chiesa di Pava. Tra i principali obiettivi delle prossime campagne ci proponiamo di definire meglio la struttura di

età romana e tardo antica sulla quale la chiesa è sorta nonché intensificare ancora le ricerche nel territorio al fine di

meglio definire l’abitato e le trasformazioni nel corso del medioevo.

Aggiornamenti e riflessioni su Genova cristiana in età tardo antica e altomedievale

Alessandra Frondoni

Come noto dalle fonti, a Genova resta memoria del più antico episcopato ligure, rappresentato dal vescovo Diogene

(380 d.C.),mentre tuttora labili sono le tracce di una prima topografia cristiana, anche per la dispersione dei documenti

epigrafici anteriori al V secolo. Le più recenti scoperte e la revisione degli studi sulla città tardo antica,insieme al

definitivo riconoscimento dell’esistenza di una prima Cattedrale nell’area dell’attuale basilica di San Siro (ora, in

genere, comunemente accettata) entro il IV secolo, sembrano lasciare aperta l’ipotesi che alcuni tra i numerosi

sarcofagi,datati al III-IV secolo o ad età postcostantiniana -prima ritenuti tutti di importazione, per lo più in epoca

medievale- possano forse in parte attribuirsi ad officine locali,al pari di alcuni esemplari documentati nei vecchi scavi

di piazza San Lorenzo, o almeno essere stati oggetto di importazione già in età antica. Le indagini archeologiche del

2000-2007 e le ultime ricerche (2010-2011) della Soprintendenza per i Beni archeologici della Liguria –ancora in gran

parte inedite- hanno inoltre messo in luce ,dietro l’altare della Cattedrale di San Lorenzo,tratti della muratura absidale

dell’edificio religioso primitivo, fondato nel VI secolo e in uso per tutto l’Altomedioevo quando divenne nuova

Cattedrale,dotata di battistero ottagonale. Recenti scavi urbani e nuovi studi hanno infine arricchito la conoscenza di

Genova e del suo territorio nel periodo della dominazione bizantina della Liguria e dell’esilio dei vescovi milanesi in

città (VI-VII sec.),con il rinvenimento,tra l’altro, di traccia delle fondazioni dell’antica cappella vescovile di

Sant’Ambrogio e dell’adiacente quartiere abitativo.

La presenza cristiana nei centri urbani e rurali in Arabia e in Palaestina Tertia: l’impronta costantiniana

Basema Hamarneh

La presenza cristiana in Arabia e in Palestina Tertia nei centri urbani e rurali appare delineata a partire dalla metà del IV

secolo. Le fonti scritte fanno cenno all’esistenza di memorie e santuari nelle aree adiacenti al fiume Giordano, come ad

esempio il luogo del Battesimo di Cristo ad Ainun Saphsaphas, il santuario di Mosè sul Monte Nebo, Tisbeh località

legata al Profeta Elia e altri. Le recenti indagini archeologiche hanno permesso di evidenziare la complessità dei

progetti architettonici e lo sviluppo di insediamenti rurali intorno a questi luoghi divenuti centri privilegiati

dell’evergesia ecclesiale e laica.

La progressiva e sistematica cristianizzazione dei centri urbani e rurali si colloca invece nel regno di Costanzo (337-

361), ove si assiste alla trasformazione graduale della morfologia insediativa attraverso progetti architettonici atti a

mutare l’assetto delle antiche polis ellenistiche.

Le principali modifiche interessarono altresì l’assetto istituzionale e nello specifico quello dell'amministrazione

provinciale e locale, completamente riorganizzate, infatti gli ufficiali della chiesa emergevano come i nuovi detentori

del potere ecclesiastico e civile ravvisabile nella progressiva diminuzione d’importanza del governo centrale e nella

formazione, nel corso del IV e soprattutto nel V secolo, delle diocesi Episcopali.

In tale quadro, basato su un’analisi topografica saranno esposte le acquisizioni della ricerca archeologica relativamente

ai primi nuclei monumentali cristiani nel territorio che non solo radicarono il disegno costantiniano ma offrirono le basi

per l’articolata e cronologicamente successiva rinascita giustinianea.

Tracce del primo cristianesimo a Naissus

Tony Čerškov, Aleksandra Filipovic, Gordana Jeremić

Antica città di Naissus (Niš, Serbia) si è sviluppata nella valle del fertile fiume del Nišava, nella provincia della Moesia

superior, nella tarda antichità Dacia mediterranea. La città fortificata romana è stata collocata sul plateau destro

dell'omonima riva del fiume, mentre la città civile si estendeva su ambo i lati del fiume. In questa città sono nati gli

imperatori Costantino I e Costanzo III; le fonti testimoniano che qui hanno dimorato diversi imperatori da Licinio a

Costantino I e i suoi eredi fino al Teodosio I. È stato testimoniato che nella città c'era una officina per la produzione di

oggetti di metalli preziosi; la Notitia dignitatum menziona una fabbrica di armi per i militari. La città ha vissuto una

crescita economica e politica fino alla fine del II secolo, particolarmente durante il regno di Costantino I che magnifice

ornavit la sua città natale.

Le indagini archeologiche a partire dagli anni 50 del secolo scorso fino a oggi eseguite sull’area della città fortificata

hanno scoperto solo una piccola parte di essa: parzialmente le mura meridionali e orientali, alcune strade, una parte del

foro, una parte di un edificio importante con i pavimenti mosaicati (posto nella parte nord-est della stessa fortezza). Le

indagini extra muros hanno indagato sistematicamente le terme e tabernae; è stato registrato la presenza di alune ville

sulle sponde intorno alla città. La maggior parte degli edifici sono stati costruiti o sono stati attivi nel perido della tarda

antichità. Le indagini sulla sponda sinistra del fiume, per ora non sono state eseguite sistematicamente, ma alcuni lavori

edili hanno notato l’esistenza di diversi edifici tardoantichi, delle tombe e dei sepolcri.

A Naissus sono stati registrati e esaminati relativamente pochi monumenti del primo cristianesimo; si tratta di edifici ad

est rispetto alla fortificazione, sull’area dell’odierno insediamento Jagodin mala e sono in realtà una basilica con la

cripta e quattro chiese sepolcrali. Questi edifici sono stati scavati negli anni 1933-1934 e 1952-1962; durante questi

scavi vengono trovati epigrafi sepolcrali, plastica scultorea e un sarcofago in piombo con i simboli cristiani.

Le indagini archeologiche eseguite fino agli anni 60 del secolo scorso hanno scoperto una parte della più grande

necropoli della città con ca. 200 tombe registrate. Si tratta di sepolture a fossa, scavate semplicemente, in barre di legno

e altre costruite in laterizio. Inoltre sono state trovate una trentina di tombe in muratura voltate e con cupola di cui

alcune affrescate. Alcune scoperte casuali e gli scavi sistematici nel 2010, quando furono indagate 50 diverse tombe,

hanno portato dei dati preziosi sui costumi sepolcrali dei primi cristiani di questa area geografica. I risultati dello scavo

dimostrano che la sepoltura si eseguiva dalla metà del IV fino alla fine del VI - inizi del VII secolo.

Il nucleo della città tardo antica di Naissus, che oggi si trova sulle aree libere sotto gli strati secolari degli insediamenti

necessita nuove indagini che potrebbero mostrare un quadro più completo del suo assetto urbano. L’intento di questo

contributo sarà di presentare la prima topografia della città che divenne sede vescovile nel IV secolo.

Christian footprints in the city of Nea Paphos (Cyprus)

Rania Michail

The island of Cyprus had acquired significant status during Roman times and Late Antiquity. Its capital, the city of Nea

Paphos, founded on an even promontory projecting to the west in 320 B.C. by Nikokles, the last king of Palaipaphos,

managed to become a new economic and political centre of the island. Under Ptolemaic rule, Nea Paphos replaced

Salamis as the seat of the Strategos-governor who ruled the island on behalf of the Ptolemies and remained the capital

of the island. The city enjoyed the stability and prosperity of the Pax Romana for almost eight centuries, until the

devastating Arab raids of the mid-7th

century, when the city became the Arab garrison’s seat on the island.

Cyprus suffered during the 4th

century (in 332, in 342 and in 372) from a series of devastating earthquakes which caused

extensive damages to the most important cities of the island. The cities, including Nea Paphos, were rebuilt, entirely or

partially, with imperial help, but preference was given to Salamis, which was renamed Constantia, in honour of emperor

Constantius II, and became the new capital of the island. The choice of Constantia was due to the fact that the city was

closer to Antioch, the seat of the comes Orientis, than Paphos.

The city of Nea Paphos lost its political power in favour of Salamis-Constantia and it seems like it also lost its

ecclesiastical primacy until the year 368. In the First Ecumenical Council held at Nicea in 325, the names of three

Cypriot bishops are mentioned. The surviving manuscripts bearing the names of the bishops who signed the Council’s

decisions, are dated later than the 4th

century and are quite problematic. Cyrillus of Paphos is mentioned first on the list,

followed by Gelasios of Salamis and then Spyridon of Tremithous. The fact that the bishop of Paphos is mentioned first

on the list of the Cypriot bishops reflects the importance of his See. At the Council of Serdica in 343/344 Paphos was

still the most important bishopric but by 368 Constantia was the metropolis. This was also confirmed by the Council of

Ephesus in 431 A.D.

This presentation aims to highlight the arrival and establishment of Christianity in the city of Nea Paphos by evaluating

the literary sources, such as the Acts of the Apostles and some hagiographic texts on the one hand, and the

archaeological evidence on the other, all of which offering glimpses of the city’s life. The purpose of this paper is to

present the integration of Christianity within the urban space and the changes made in the city with the establishment of

the new religion, which replaced the cult of the Paphian Aphrodite. Hellenistic and Roman Paphos has been thoroughly

studied but research concerning Early Christian Paphos is rather limited; as a result an attempt is being made for

collecting and evaluating all the available evidence.

Although, according to the Acts of the Apostles, the appearance of Christianity can be placed in 45 A.D. with the arrival

of Paul the Apostle, accompanied by Barnabas, this is not attested in the archaeological record. Between the arrival of

the apostles in the 1st century and the Council of Nicea in 325 we do not possess much information at hand about the

establishment of Christianity in the city before the late 4th

century. We assume, though, that Christianity quickly took

over in the cities of the island, but only in the late fourth century we have concrete information and archaeological data

that bishops built large basilicas. The establishment of Christianity was favoured by the social and ideological crisis on

the island caused by the catastrophic earthquakes, the weakened economy and the imperial neglect. These factors led to

the strengthening of the Church which re-sacralised the urban space.

Information about the city’s character during the Early Christian period can be drawn from the hagiographic texts such

as the Life of Saint Hilarion, written by Saint Jerome, who describes the city after a devastating earthquake which

occurred around 370 A.D., from the scripts of Clement of Alexandria and other contemporary writers.

According to the archaeological record, the first basilica in the city, the Basilica of Chrysopolitissa, was constructed

during the late 4th

century, following the earthquakes which caused the reformation of the urban space. This basilica can

be identified, without hesitation, as the Episcopal basilica of Nea Paphos. The Episcopal precinct occupied a space close

to the Sea Walls, on the east part of the city. Another church, the so-called Panayia Limeniotissa, was probably built at

the beginning of the 5th

century close to the harbour. Close to the city’s North Gate another church was constructed,

over a group of underground rooms, identified by some scholars as the chthonian sanctuary of Apollo.

Parallel to the ecclesiastical buildings, we can also identify civil buildings of public character and private dwellings that

maintain their pagan character until the 5th

century. An example of a building with public and private character is the

Villa of Theseus, which was rebuilt after the earthquakes, its mosaic floors were restored and new mosaics were added

up to the 5th

century. Another case is the House of Aion furnished with new figurative mosaic floors in the same period,

which, according to certain scholars, gave a strong message against Christianity which was becoming dominant. A big

problem that concerns the city’s topography is the absence of a clearly Christian necropolis. Another major problem

concerns the city’s defensive works. Did the defensive line follow the same line as those of the Hellenistic and Roman

periods? This and more other questions we will be tacked with in this presentation.

Aachen – Frühes Christentum und Kontinuität. Was fand Karl der Große vor?

Sebastian Ristow

Die Bilanz frühchristlicher Funde aus Aachen fiel bisher ernüchternd aus. Auch die Indizien zu Befunden einer

vorkarolingerzeitlichen Kirche waren kaum nachvollziehbar. Dennoch muss es nach den historischen Quellen eine

solche gegeben haben. Neue Untersuchungen und die Aufarbeitung der Altgrabungen zeigen nun, dass es ein

spätantikes Zentrum Aachen gab. Funde aus dem 5. Jahrhundert belegen jetzt frühes Christentum und Kontinuität. Karl

der Große fand also bei seiner Pfalzgründung bestehende Strukturen vor. Der Vortrag informiert über die

Neubearbeitung von Funden und Befunden und die bis 2013 erreichten Ergebnisse.

Aspetti archeologici e monumentali della prima età cristiana nell'area Aquileiese

Luca Villa

Il contributo riguarda le nuove proposte interpretative sul complesso episcopale teodoriano di età costantiniana e sui

suoi sviluppi, come emerge dalla rilettura dei dati esistenti e dalla più recente verifica delle strutture tuttora conservate.

Un altro elemento di particolare rilevo è poi quello collegato all'analisi delle testimonianze della diffusione del

cristianesimo tra l'età pre-costantiniana e la successiva affermazione del culto, in particolare di quello martiriale. Di

particolare interesse sono le nuove testimonianze relative a San Canzian d'Isonzo e alla nuova sequenza che si può

ricostruire dopo le recenti ricerche presso le basiliche dei martiri Canziani.

Late Antique and Byzantine Monuments and the Topography of the Gulf of Mandalya (Caria) in the light of

Recent Archaeological Evidence

Ufuk Serin

The present research, which is part of a larger, long-term project entitled the ‘Archaeological Survey of the Gulf of

Mandalya’,1 aims to offer a historical, archaeological, and art historical study of the Late Antique and Byzantine

monuments, sites, and settlements in Caria, drawing on nine years of fieldwork (2003-2011) conducted in the Gulf of

Mandalya. In Antiquity the survey-area largely remained under the jurisdiction of Iasos (mod. Kıyıkışlacık) – the major

extinct city in the area – giving its name to the entire territory.

As for the Late Antique and Byzantine periods, the archaeological evidence in the survey-area comprises the remains of

Late Antique villages, numerous churches (isolated in the countryside or associated with other structures), small

provincial bath buildings (of the so-called ‘row’ or ‘linear’ arrangement, common on the southwestern coast of Asia

Minor from the Roman through to the Early Byzantine period), as well as the ruins of a range of identified (cisterns,

necropolises, fortifications, and towers) and unidentified buildings and building groups. These discoveries are supported

by the evidence base of surface finds, particularly architectural sculpture and pottery, which help to place these sites

chronologically.

This paper thus investigates the types of buildings, sites, and settlements identified in the survey-area, the positioning

and distribution of these buildings and sites in the territory, and the possible factors influencing this distribution

throughout the process of Christianization. It also explores the relationship amongst the settlement areas and their

influence on the countryside, as well as their association with the major ancient cities in the area, namely Iasos and

Bargylia.

In comparison to some other regions of the Eastern Mediterranean (e.g., Greece, Jordan, Palestine, Syria), there has

been little systematic archaeological investigation into the Late Antique and Byzantine countryside and topography of

Asia Minor, with the exception of Central Anatolia, Cilicia, Isauria, and Lycia during Late Antiquity and the medieval

settlements in Bithynia and the Euphrates Valley in Southern Turkey. Archaeological survey and excavations in major

Anatolian sites have more regularly begun to include a territorial investigation especially during the last decade.

With regard to Western Asia Minor, in particular, some scholars assume that the extensive network of major cities, such

as Ephesus, Miletus, Priene, and Didyma (located not very far from each other), absorbed part of rural population and

settlements, however, the scarcity of data from this area is due primarily to a paucity of field surveys. Written sources,

especially the Lives of the Saints, such as the Vita of St. Theodore of Sykeôn and that of St. Nicholas of Sion, indicate

the presence of prosperous villages in Late Antique Anatolia. The ‘Archaeological Survey of the Gulf of Mandalya’ has

also confirmed the density of settlement areas and the continuity of life throughout Late Antiquity and Byzantium either

1 The Mandalya Project includes a comprehensive archaeological survey and investigation of the Gulf of Mandalya at

least from the Hellenistic through to the Byzantine periods (Field Director: Professor R. Pierobon Benoit, University of

Naples Federico II).

in already existing settlements (Hellenistic, Roman, or earlier) or those founded de novo on the sites of earlier

settlements. The presence of several villages, along with innumerable settlement units, farms, agricultural

establishments, and remains of numerous churches in the countryside, confirms the prosperity of urban territoria and a

proliferation of rural settlements in Caria through the process of Christianization.

Die Sakrallandschaft von Resafa (Sergiupolis) - Liturgie einer Pilgerstadt in der östlichen Peripherie

Axel Schuhmann

Ausgangspunkt ist die erneute Aufnahme von Arbeiten am Zentralbau in Resafa (Sergiupolis)/Syrien, an dem nach

seiner Freilegung in den 1950/60er Jahren vertiefte bauarchäologische Untersuchungen und ergänzende archäologische

Sondagen durchgeführt wurden. Im zweiten Schritt werden die anderen Kirchen des Pilgerortes einer Neubetrachtung

und Neubewertung unterzogen. Dafür werden die liturgische Ausstattung der einzelnen Kirchen verglichen und die an

ihnen vorgenommen Veränderungen im Hinblick auf mögliche Funktionswechsel überprüft. Die damit verbundenen

Vorschläge zur Nutzung fließen in das rekonstruierte Bild einer sakralen Topographie Resafas ein. Schließlich werden

die gewonnenen Erkenntnisse in einem hypothetischen Bild einer Sakraltopographie der Pilgerstadt zusammengefasst.

Da die Schriftquellen zu Resafa weitestgehend schweigen, werden für die Kontextualisierung und Rekonstruktion

besser überlieferte Beispiele aus der Region hinzugezogen.

Bei den Neu- und Nachuntersuchungen des Zentralbaus konnte festgestellt werden, dass sich an der Stelle seiner

Errichtung bereits eine Vorgängerbebauung aus der ersten Hälfte des 5. Jahrhunderts befunden hatte. Zudem sind

Veränderungen der dekorativen Ausstattung und der liturgischen Einbauten nachzuweisen, die erst in einer sekundären

Bauphase entstanden sind. Die qualitative Verbesserung der Ausstattung unter Verwendung von Importmaterialien und

die Umgestaltung der liturgisch wichtigen Bereiche sind als Hinweise für eine Neubestimmung der Funktion und eine

Nutzung als Metropolitankirche anzusehen. Die Aufwertung dürfte zu einem Zeitpunkt erfolgt sein, als die Stadt bereits

zur Metropole erhoben worden war, während ihr infrastruktureller Ausbau schon an der Wende vom 5. zum 6.

Jahrhundert begonnen hatte. Er diente einer städtebaulichen Anpassung für den seit der Mitte des 5. Jahrhunderts stetig

angewachsenen Pilgerbetrieb zum Schrein des Heiligen Sergios ebenso wie der fortifikatorischen Ertüchtigung des für

die Sicherung der östlichen Reichsgrenze wichtigen Ortes. Dass mit dem Bauplatz des Zentralbaus und durch die

besondere räumliche Disposition der ursprünglichen Kirche der Ort des Martyriums des Stadtheiligen Sergios Bezug

genommen wurde, muss bis auf weiteres hypothetisch bleiben. Eine mögliche Deutung könnte darin bestehen, dass

zunächst die Stelle der Hinrichtung des Sergios architektonisch gefasst wurde, bis durch die neuen Anforderungen des

Metropolitansitzes ein Funktionswandel vorgenommen wurde.

Ausgehend von diesem Einzelmonument ergab sich für die anderen Kirchen der Stadt ein sehr reichhaltiges und

differenziertes Bild in Bezug auf Funktion und Nutzung. Der Komplex der Basilika A war älteste, größte und seit der

Translation der Reliquien des Stadtheiligen Sergios zu Beginn des 6. Jahrhunderts auch die Hauptkirche der Pilgerstadt.

Der Komplex besaß einen polyfunktionalen Charakter, wo sich neben dem Schrein des Stadtheiligen in einer später

hinzugefügten Kapelle auch eine Reliquie des Heiligen Kreuzes befunden haben könnte. Beide Kulte konnten sowohl

innerhalb der Kirche als auch unter freiem Himmel durchgeführt werden: durch die räumliche Anbindung des an die

Basilika anschließenden Nordhofes konnte dort eine große Zahl von Menschen an der Liturgie teilhaben. Zudem gab es

innerhalb des Komplexes die Möglichkeit sich in räumlicher Nähe zum Schrein des Sergios taufen zu lassen.

Im Zuge der sich spätestens ab der Mitte des 6. Jahrhunderts manifestierenden Nutzung des Zentralbaus als

Metropolitankirche, gab es auch dort die Möglichkeit, das Taufsakrament zu empfangen. Seine Bedeutung wird durch

die Bestattung eines Bischofs unterstrichen, der sowohl mit dieser Umgestaltung als auch mit regen baulichen

Aktivitäten an anderen Kirchen der Stadt in Verbindung gebracht werden kann.

Basilika B liegt an der Stelle, an der sich die erste baulich gefasste Verehrungsstätte der Sergiosreliquien innerhalb der

Mauern der Stadt befunden hatte, bevor ihre Translation in die Basilika A und damit die endgültige Festlegung als

Martyrion vorgenommen worden war. Ihr Baubeginn ist inschriftlich für das Jahr 518 belegt. Auch Basilika B verfügte

über Reliquien, die vermutlich den Heiligen Bakchos und Leontios zuzuordnen sind. Damit dürfte auch in Sergiupolis

die weit verbreitete gemeinschaftliche Verehrung dieser drei Heiligen bestanden haben.

Zwei zu den bisher erwähnten Kirchen vergleichsweise relativ kleine Kirchenbauten, Basilika C und D, dürften

ebenfalls aus der ersten Hälfte des 6. Jahrhunderts stammen. An ihnen lassen sich strukturell ähnliche dekorative und

bauliche Veränderungen feststellen, während eine Zuweisung des Patronats jedoch unklar ist.

In der Zusammenschau ergibt sich für die Sakrallandschaft von Sergiupolis folgendes Bild: der am nächsten zum

Haupttor der Stadt gelegene Zentralbau könnte prominenter Ausgangs- und Sammlungspunkt möglicher Prozessionen

gewesen sein. Die an der Stelle des ersten Sergiosmartyrions errichtete Basilika B beherbergte die Reliquien der

Heiligen Bakchos und Leontios, deren gemeinschaftliche Verehrung mit Sergios auch an anderen Orten des Orients

belegt ist. Sie stellte eine Zwischenstation auf dem Weg zur Basilika A dar, wo als Höhepunkt eines Pilgeraufenthalts

der weithin bekannte Schrein des Sergios und eine Kreuzesreliquie verehrt wurden.

The Christian Topography of the Anonymous, Late Antique City

at Golemo Gradište, Konjuh, Republic of Macedonia

Carolyn Snively

The archaeological site at Golemo Gradište, Konjuh, Republic of Macedonia, has been under investigation by a

Macedonian-American project since 1998. This large but anonymous, Late Antique settlement was located near the

southeastern boundary of the province of Dardania. Although there was earlier occupation in the vicinity, the city at

Golemo Gradište was established during the 5th

century and rebuilt in the second quarter of the 6th

century. Thus it was

a new city without the advantages and disadvantages of earlier Roman plan and structures.

Three churches have been excavated at the site, and the location of a fourth one is known. The Rotunda stood on a low

rise ca. 200 m south of the city, near a hagiasma of unknown antiquity. Excavated by local villagers in 1919, the

Rotunda was published in 1952 by Svetozar Radojčić, who had visited the site in 1938. The church had been

constructed in the 6th

century on an almost sterile site. The ground plan shows a trapezoid, wider at the west, with a

protruding, three-sided eastern apse and with two small towers or buttresses at the eastern corners. A plan made

recently with the use of a Total Station indicates that the building was planned and constructed with great precision.

Within the trapezoid, two apsidal rooms flanked the narthex; a tribelon provided access to a horseshoe-shaped aisle with

slightly defined spaces at the east ends. The aisle embraced the round nave and the presbyterium. Although these

features are no longer preserved, Radojčić’s plan and photographs show a wall separating the apse from the

presbyterium. A steep staircase at the middle of that wall once allowed the presiding clergyman to ascend to his seat;

an opening at the south end of the wall provided access to an annular corridor or kyklion that was closed at the north

end. Fragmentary sculpture from an ambo was found in the Rotunda.

A small three aisle basilica, discovered during salvage excavations in 1995, stood ca. 500 m to the northwest of the city

in a cemetery area. The eastern end of the church had been destroyed to the foundations, but at the west a narthex with

a staircase to an upper storey is still preserved. The outstanding feature of the basilica is a large vaulted tomb

occupying the entire west end of the south aisle. A spring was located a few meters from the apse of the church.

In 2008 a large three aisle basilica was discovered in a central location on the northern terrace below the acropolis of

Golemo Gradište, i.e., in the lower town. The ecclesiastical complex occupied its own terrace on the sloping terrain. A

massive, east-west terrace wall marked the southern edge of the complex and provided space between itself and the

south wall of the basilica for a number of annexes; they include a ca. 16 m long room with an eastern apse. By the end

of the 2011 season, the apse, nave and aisles, and narthex as well as parts of several annexes had been revealed. The

basilica is 33 m in length from the apse through the narthex. Walls extending to the west of the narthex suggest the

presence of an atrium or other compartment. The basilica presents several unusual features: 1) an annular corridor

opening at the south side of the apse and connecting with a tomb in the apse; 2) two ambos, a small one at the west side

of the presbyterium and a larger one at the south side of the nave; the relief sculpture is similar to that from the ambo in

the Rotunda and suggests a local workshop; 3) a low wall running between the columns of the stylobate and supporting

screen slabs, which were held in place by a moulding on top; and 4) a horseshoe-shaped enclosure located on the south

side of the nave just west of the base of the large ambo. Some evidence points to a smaller church preceding this

basilica dated to the middle or second quarter of the 6th

century. Various changes were made before its abandonment

toward the end of that century.

This complex with numerous annexes, auxiliary structures, and unusual liturgical features may have been connected

with a large, 6th

century residence nearby. The basilica and the Rotunda show similarities in plain floors of inexpensive

materials, architectural sculpture decorated only with crosses, kyklia in the apse, and figural relief sculptures from the

same workshop decorating the ambos. The evidence suggests that the city was the seat of a bishop and that in the 6th

century an energetic, learned, and well-traveled bishop with an interest in liturgy was responsible for the construction of

the Rotunda and the reconstruction of the Episcopal Basilica on the terrace.

The impact of the religious policy of Theodosius the Great on the urbanization

of Philippopolis, Thrace

Ivo Topalilov

The time of the emperor Theodosius I (369-395) was a crucial moment for the prevailing of the Christianity in each

aspect of life in Thrace despite its closeness to the capital Constantinople. The archaeological excavations reveal this

process. Thus, most of the martyria built in the fourth century date to that time, most of the biggest and monumental

Early Basilicas were also built during that time; even the Christian necropolises become differentiated from the pagan

ones that time, as reveals the example in Augusta Traiana. In fact, most of these changes were visible in the rural

settlements where the pagan sanctuaries were demolished and replaced by Christian churches. The reasons for this

change vary. The capital of the province, Philippopolis, was not an exception.

The archaeological excavations which were undertaken in the last fifty years reveal a crucial change that happened in

Philippopolis. It was not only the construction of the biggest bishop’s basilica in Thrace which should be dated, based

on its mosaic floor decoration, to this period, but what is most important – the emergence of new core of the city

distinct from the old pagan one concentrated on the agora and administrative buildings around. This new centre was an

entirely Christian one consisting of the Bishop’s basilica, the so-called complex ‘Eastern Gate’ with Early Christian

martyrium and another religious building and a huge paved street richly decorated on both sides with a massive

colonnade which connected both places. Its importance is seen not only by its massive structures, but also by its

architectural decoration of the colonnaded street that may in fact have been taken from the complex of Agora. The

architectural order of both complexes reassembled despite the late date of the new complex when comparing with the

second century date of the architectural decoration of the Agora; the lack of capitals in the Agora is also a strong point

for this suggestion. The new core, however, did not gain an importance for the Christians only. The fact that in the

second half of V c. and more precisely 471 AD a statue of Basiliscus as triumphator was set up by the citizens not on

the Agora, but in the ‘Eastern Gate’ complex, is a clear mark for its also administrative importance.

So, this paper will deal with this new centre of Philippopolis, its creature, various features, development and the

grounds for its existence.

Recherches et découvertes nouvelles autour de la topographie chrétienne de l’habitat fortifié de Saint-Blaise

(Ugium) - complexes cultuels et espaces funéraires (Ve-X

e siècles)

Marie Valenciano

L'oppidum de Saint-Blaise (l’Ugium de l'Antiquité tardive), situé dans un environnement lagunaire à mi-chemin entre

les cités d'Arles et de Marseille, est sans conteste une référence incontournable de l'archéologie chrétienne en Gaule

méridionale.

Depuis les recherches entreprises par Henri Rolland en 1935, cet établissement structuré et fortifié de plus de cinq

hectares n'a cessé de susciter l'intérêt des archéologues protohistoriens et médiévistes. Gabrielle Démians d'Archimbaud

(fondatrice du Laboratoire d'Archéologie Médiévale Méditerranéenne à l’Université d’Aix-Marseille, devenu

aujourd’hui Laboratoire d'Archéologie Médiévale et Moderne en Méditerranée), dans les années 1980, a entrepris ici

l’étude pionnière du phénomène de l'habitat perché, qui semble apparaître de manière systématique au seuil du Ve siècle

et décline souvent à partir du VIIe siècle.

La recherche doctorale que j’ai entreprise permet de dresser ce premier constat: outre l'apport d'Ugium à la

connaissance de la topographie des "agglomérations secondaires", ce site majeur offre également un contexte privilégié

pour une approche centrée sur les sources essentiellement archéologiques concernant l’enracinement du christianisme

en milieu rural en Méditerranée nord occidentale. En effet, cette agglomération a été dotée d’au moins deux pôles

ecclésiaux aux destinées radicalement différentes.

Cette communication a pour objectif de dresser le bilan d'un nouvel élan donné à la recherche sur Saint-Blaise par le

biais d’une étude plus approfondie autour de ses établissements chrétiens. Les sources littéraires disponibles (Cartulaire

de Saint-Victor, Authentique du Chapitre d'Arles, Gallia Christiana novissima…) permettent d’aborder la genèse et la

marque de la christianisation sur ce territoire. Ce sont cependant les données archéologiques, en grande partie inédites et

révélées par mes études récentes, qui amènent les données les plus éloquentes et permettent de replacer les édifices

religieux d’Ugium dans un plus vaste contexte local et régional.

Alors qu’Ugium (ou parfois Ug) est mentionné régulièrement parmi les sources écrites médiévales de la région, telles

les chartes de donations, les extraits de cartulaires régionaux ou les testaments, les mentions antérieures sont plutôt des

témoignages indirects. Le premier texte qu’il est possible d’associer à Ugium en mentionne indirectement le territoire ;

il renvoie à un court épisode de la Vita Hilarii: l'évêque d'Arles, Hilaire, se rend aux salines situées à trente milles pour

participer au labeur du peuple. Par ce geste, nous percevons l'importance que revêt Ugium et les relations étroites que le

site pouvait entretenir avec l'évêché d'Arles, dont il semble dépendre dès le Ve siècle et jusqu’en 1054.

Les autres sources historiques dont nous disposons sont essentiellement des documents officiels postérieurs au

IXe siècle. Malgré l'absence de mention directe des vocables des deux églises du site, ils fournissent toutefois des

renseignements capitaux relatifs au statut de cette agglomération secondaire et à son importance au sein du territoire en

question.

Les recherches entreprises à Ugium concernent à la fois les archives et le mobilier des fouilles anciennes, de nouvelles

analyses des vestiges exhumés, mais aussi la reprise des fouilles. Cet établissement, protégé au sud et à l'est par un

rempart monumental scandé de tours, abrite un urbanisme complexe réparti sur un Quartier Haut et un Quartier Bas.

L'organisation se calque parfois sur l'héritage protohistorique mais parvient souvent à s'en affranchir pour développer un

programme architectural propre où les cellules d'habitat sont desservies par des axes de circulation internes. L'Eglise,

tout comme l'élite rurale associée à l'implantation chrétienne, sont clairement visibles à Ugium. Ainsi, le site est doté

d’au moins deux édifices religieux durant l'Antiquité tardive. Renommées "église A" et "église B", ces monuments, qui

sembleraient contemporains, se situent tous les deux dans le Quartier Bas de la ville, intramuros. Ils sont néanmoins

établis à l'opposé: l'"église A" se situe au sud-ouest du Quartier Bas; l'"église B", au nord-est, domine la falaise.

L'"église A", encore visible aujourd'hui et ayant fait l'objet d'une opération archéologique en 2010 (la dernière fouille

remontant à 1968), conserve les attributs de sa richesse. En effet, elle est dotée d'un important dispositif marquant la

limite du chœur liturgique: une barrière de chancel et une avancée dans la nef (ambon ou solea?). Les archives mettent

également en exergue un décor architectural riche (plaques de chancel, mosaïque dans le chœur, chapiteau, etc.). Loin

d'être un monument figé, nos recherches ont prouvé un dynamisme fort de l'espace (visible dans les multiples

remaniements entre la deuxième moitié du Ve siècle et le début du VII

e siècle), reflet des soubresauts de l'occupation

d'Ugium.

En outre, l'"église B", moins connue par l'archéologie, s'avère jouer un rôle tout à fait différent. Seule l’emprise

de ses murs est connue mais sa monumentalité particulière apparaît à l’évidence: plus vaste que l'"église A", elle a

conservé son rôle de pôle ecclésial jusqu'à l'époque moderne par au moins trois bâtis successifs dans le même secteur.

Les opérations archéologiques futures nous permettront certainement d'obtenir des éléments de réponse.

Enfin, la nécropole confirme le rôle prépondérant de l'Eglise à Ugium. Se développant tout autour du rempart, selon les

lois antiques en vigueur, ce sont plus de quatre-cents tombes rupestres qui ont été excavées et dont la chronologie nous

échappe pour l'instant.

Mes recherches, in fine, ont également démontré que la présence de l'élite se manifeste plus généralement dans

l'ensemble du Quartier Bas (quartier le plus vaste du site intramuros) par une volonté de monumentalisation de cet

espace, suggérant ainsi un contraste avec le reste de l'agglomération.

Enfin, elles tendent à prouver qu'Ugium n'est pas un établissement modeste ni isolé: l'agglomération témoigne

de plusieurs courants d’échanges et de commerces. Rattachée à la cité d'Arles, l'essor de cette « ville » serait un des

effets du transfert d’Augusta Trevererorum de la Préfecture du Prétoire des Gaules à Arles au début du Ve siècle. Ugium

a pu jouer un rôle économique et stratégique dans le conflit qui opposa les évêchés d'Arles et de Marseille au VIe siècle.

SESSIONI DEDICATE ALLE NOVITÀ

ICONOGRAFIA

Dalla scoperta della ‘memoria’ di Schenute archimandrita del “Convento Bianco”: una nuova luce sull’ampia

eredità di Costantino-Eusebio nell’arte «in parietibus» del V secolo

Silvana Casartelli Novelli

Negli anni 2000-2005, dalla cattedra di “Roma Tre” ho assunto la direzione scientifica del Progetto Pilota Deir el-

Ahmar “Convento Rosso”; sorto nel vastissimo bacino monastico dell’Alto Egitto dominato dal ‘gemello’ Convento

Bianco fondato da Shenute, morto ultracentenario alla metà del V secolo, il cui dies natalis risulta celebrato al

Convento Bianco almeno fino al XII secolo. Negli stessi anni l'Egyptian Supreme Council of Antiquities (SCA)

riportava alla luce, a nord del Convento Bianco, una nuova area archeologica, con una nuova basilica triconca, di minori

dimensioni, affiancata lungo il lato Sud da una piccola struttura ipogeica, dalla straordinaria decorazione in cui

protagonista assoluta delle "visioni paradisiache" è la croce aurea e "gemmata" di codice "costantiniano-eusebiano".

Una scoperta di valore storico, documentario e culturale, di straordinaria importanza, che l'équipe di ricerca di "Roma

Tre" ha avuto unicamente, alla sua scoperta, la possibilità di 'visionare'. Nel 2006-2009 lo SCA affidava all'équipe

diretta per la Temple University da Elisabeth Bolman il completamento dell'indagine della nuova area archeologica e il

restauro delle nuove scoperte, compresa la "funerary chapel" di Schenute; non prima però che la sua decorazione, come

mostra la documentazione prodotta, sia stata oggetto di gravi danneggiamenti. Non tali però da inficiarne la

straordinaria testimonianza, in ordine all'ampio raggio dell'eredità costantiniana-eusebiana nelle "metafore decorative"

copte e romane e bizantine della prima metà del V secolo.

Inedita lamina d’ oro con il Trisagio nel Museo Bizantino di Atene

Eugenia Chalkia

Nella collezione di oggetti d’ arte minore del Museo Bizantino e Cristiano di Atene è inclusa una lamina d’ oro

circolare, di dimensioni molto ridotte, rinvenuta durante gli scavi eseguiti dal Georgios Sotiriou dal 1924 al 1928 a Tebe

di Tessaglia (Nea Anchialos). Tale oggetto viene citato molto brevemente dallo studioso nella pubblicazione

riguardante le basiliche della nota città paleocristiana, in Archaeologike Ephemeris del 1929 (p. 107, fig. 145).

La lamina è stata trovata nell’ ambiente absidato situato a sud dell’ atrio della basilica A e definito dal Sotiriou come

σκευοφυλάκιον. Il suo diametro è di 1,45 cm. e il suo spessore di 0,1 cm. ed è circondata da una cornice con una

decorazione incisa, a spina di pesce, oggi staccata. Nella parte centrale della superficie della lamina è inciso, su quattro

linee, il testo dell’ inno del Trisagio Αγιος ο Θεός/ άγιος ισχυρός/, άγιος αθάνατος/ ελέησον ημάς (Santo Dio, santo forte,

santo immortale, pietà di noi). Sopra il testo sono cesellate una croce, una stella a otto punte ed una mezzaluna, mentre

sotto di esso due colombe, e tra loro una composizione che potrebbe essere interpretata sia come un monogramma, sia

come una barca affiancata dalle lettere X e P. Il tipo delle lettere suggerisce una datazione per il manufatto al VI secolo.

Il testo del Trisagio, introdotto nelle liturgie orientali verso la metà del V secolo e più tardi in quelle occidentali, appare

certe volte su oggetti sia religiosi, quali le croci da processione, sia profani, come anelli o amuleti e anche su iscrizioni

funerarie. Molto più diffusa inoltre nella stessa categoria di oggettti è la formula΄Αγιος, άγιος άγιος Κύριος Σαβαώθ,

ispirata dalla visione del profeta Isaia e nota anche essa come Trisagio. In ambedue i casi la natura apotropaica del testo

inciso dei Trisagi su oggetti profani è ovvia.

Per quanto riguarda la lamina di Nea Anchialos sicuramente, la sua estrema sottilezza esclude un uso autonomo della

stessa e fa pensare che fosse applicata ad un’ altro manufatto. Di che tipo e di che carattere potrebbe essere quest’

ultimo? Il ritrovamento della lamina in una chiesa fa pensare che essa probabilmente faceva parte della decorazione di

un oggetto liturgico. In questo caso il monogramma della parte inferiore della lamina, se si tratta di un monogramma,

farebbe riferimento al donatore di tale oggetto. Non è però da escludere l'ipotesi che la lamina decorasse un oggetto

personale, al quale conferiva una qualità apotropaica, protettiva per il suo proprietario il cui nome appariva nel

monogramma. E' da notare che una lamina, nella Collezione C. S. a Monaco, di forma simile, circondata da una cornice

dello stesso tipo e portante un’ iscrizione puramente apotropaica è considerata quale elemento di una fibbia o di una

cintura. Lo stesso vale anche per altri manufatti analoghi, alcuni dei quali sono di materiali preziosi e probabilmente

appartenenti a funzionari di alto rango. Si potrebbe allora attribuire una funzione del genere alla lamina di Nea

Anchialos? Qualunque fosse stato il suo uso, è certo che si tratta di un manufatto di lusso, forse importato, e dell’ unico

oggetto d’ oro trovato nella basilica A.

Skulpturfragmente konstantinischer und nachkonstantinischer Zeit aus Bulgarien – heutiger Stand der

archäologischen Forschung

Emil Ivanov

Der Beitrag befasst sich mit Befunde – ganz Stücke wie Fragmente christlich-antiker Skulptur, die sich während

archälogischer Arbeiten in den letzteren fünf Jahren in Bulgarien angesammelt haben.

Die Schilderung erfolgt zuerst chronologisch in bezug auf die Ergebnise der vergangenen Jahren, die auf dem

archäologischen Feld gewonnen sind. Anschliesslich wird eine allgemeine Grupierung aller erwähnten Zeugnisse nach

derer Funktion angegeben. Dabei werden nicht nur die bei archaeologischen Kampagnien gewonnen Stücke

berücksichtigt, sondern auch solche, die in Depots von Museen oder durch Handel in Pravtsammlungen festgestellt und

noch nicht dokumentiert worden sind.

Begründet von dem Neuaufbau des bulgarischen Staates wurde in den letzten Jahren auch die archäologischen

Erforschung des Boden, das vor allem den Bau von Straßen und Wegen störte, geschleudert. In dem Kontext wurde

auch die Erforschung einer Reihe von bisher nicht genug und gar nicht untersuchten Objekten – Festungen, Stadteile,

Kirchen, Privathäuser, Bäder, Befestigungsreste u.a. Bei den meisten Ausgrabungsorten wurden auch Fragmente

christlich-antiker Plastik aufgefunden, die mit wenigen gut erhaltenen Beispielen vor allem als Spolien im Mauerwerk

aus späterer Zeit beibehalten sind.

Nach allgemeiner Feststellung findet man unter den meisten mittelalterlichen Anlagen auch spätantike Baute. Das trifft

an erster Stelle die frühchristlichen Kirchen und Basiliken zu, die während des Mittelalters überbaut worden sind und

Teile derer Innenausstattung in Baute in unmittelabarer Nähe wieder veramauert worden waren. Dazu gehören vor

allem die Funde von Kirchen, die Teil eines Wohnkomplex oder einer Festungsanlage waren. Die registrierten Spolien

sind Architekturfragmente aus Säulen oder Kapiteln.

Eine zweite Gruppe bilden Stücke, die ebenfalls in situ bei archaheologischen Arbeiten in Kirchenanlagen und

Komplexe aufgefunden wurden und eindeutig als Teil der liturgischen Innenausstatung einer Kirche zu identifizieren

sind. Dazu gehören Fragmente von Altarplatten, Altarsäulchen, Cyborien, Altartischen oder Ambos, die alle aufgrund

des sperlichen Materials nicht mehr zu rekonstruieren sind. Wichtig ist jedoch, dass eine Beschäftigung mit diesen

Fragmenten erstmals vorgenommen und an die christlich-archäologische Gesellschaft als Vergleichsmaterial angeboten

wird.

Die dritte Gruppe besteht aus Stücken, die in Depos von Mueseen festgestellt wurden, und die aufgrund ihren Schmuck

als christlich bezeichnet werden können. Wie bei den oben genannten Gruppen werden auch hier nur solche Beispiele in

Betracht gezogen, die der christlich-antiken Plastik der konstantinischen und der nachkonstantinischen Zeit angehören.

Die frühchristliche Plastik, die in den Depots der Archäologischen Museen von Varna und Sofia aufbewahrt werden,

sind noch nicht wissenschaftlich erforscht. Die Stücke, derer Anzahl sowie Auffindungsort sind auch nicht richtig

festgelegt und gehören verschiedenen Bereichen der christlichen Plastik an. Daruntrer sind vor allem die Altarplatten,

Altarsaeulen sowie rielefierte Architekturkompenenten zu nennen.

Bisher fehlt es an Kenntnissen über die Stellung der christlichen Plastik aus diesem Gebiet des Balkans in der

gesammten Herrstellungstradition im Osten des Römischen Reiches. Deswegen kann die Bewertung von Fragmenten

frühchristlicher Plastik konstantinischer und nachkonstantinischer Zeit aus Bulgarien zugleich ein sicherer

Ausgangspunkt zum Vergleich mit anderen verwandten Denkmälern in Europa und Kleinasien werden.

Il sarcofago di Giunio Basso nel primo museo cristiano (a Berlino)

Tomas Lehmann

Am 23. Mai 1849 wurde auf Betreiben von Ferdinand Piper in Berlin das weltweit erste christlich-archäologische

Museum gegründet. Die aus Kopien und Originalen bestehende Sammlung war der evangelisch-theologischen Fakultät

der Berliner Universität angegliedert, jedoch der allgemeinen Öffentlichkeit zugänglich. Zu den frühesten ausgestellten

Objekten gehörte die eigens für das Museum angefertigte Kopie des 1595 unter der Peterskirche in Rom gefundenen

Sarkophages des Iunius Bassus (im Jahr 359 verstorbener Stadtpräfekt von Rom). Die Gipsabformung dieses

berühmtesten aller frühchristlichen Sarkophage hatte F. Piper nur durch persönliche Intervention bei Papst Pius IX.

erreichen können. Auch andere Sarkophage aus Rom und Mailand gelangten Mitte des 19. Jahrhunderts in

Abformungen aus Gips in das Museum. Neben Kopien wurden jedoch zunehmend auch originale Artefakte, vor allem

aus Rom, erworben. Am Ende des zweiten Weltkrieges wurde die Sammlung verschleppt, offenbar nur sehr wenige

Objekte haben sich erhalten. In dem Vortrag soll ein Überblick in den Aufbau und Objektbestand der heute nahezu

vergessenen Sammlung gegeben werden, die schon bald nach ihrer Einrichtung Vorbild für ähnliche

Museumsgründungen im In- und Ausland wurde.

Il cubicolo “dei fornai” nelle catacombe di Domitilla a Roma alla luce dei recenti restauri

Barbara Mazzei

Il cubicolo “dei fornai” delle catacombe di Domitilla è stato recentemente interessato da un cantiere di restauro volto

alla messa a punto della pulitura da concrezioni calcare delle pitture murali ipogee. Il cantiere pilota è stato affiancato e

sostenuto da un’ampia gamma di indagini analitiche e studi paralleli, che hanno fornito utili elementi per la

comprensione della tecnica esecutiva del ciclo decorativo.

L’eliminazione degli strati concrezioni hanno riportato ad un sufficiente grado di lettura l’intero apparato decorativo ed,

in particolare hanno permesso il recupero di due riquadri decorati, ignorati dai descrittori del passato; altri particolari

iconografici sono stati precisati e reinseriti nel loro contesto compositivo, così da spiegare alcune anomalie; lo studio

dei pigmenti e l’osservazione diretta e ravvicinata della stesura degli intonaci ha permesso di comprendere la dinamica

della stesura degli intonaci, nonché di attribuire a mani di differenti artifices il ciclo professionale e le due grandi

megalografie absidali.

L’attenzione si è quindi concentrata sulla composizione con il collegio apostolico, che dal confronto con altre pitture

presenti nella medesima catacomba e dall’individuazione di repliche dello stesso soggetto su manufatti pertinenti ad

altre classi artistiche acquisisce un’importante valenza di replica esemplare di un tema iconografico evidentemente

tratto da un prototipo monumentale autorevole.

Infine, la confluenza dei dati analitici, delle indagini topografiche, delle linee evolutive dello schema iconografico

conducono ad una maggiore definizione della cronologia da assegnare al ciclo pittorico.

Vetri di lusso ad Aquileia: nota su una coppa diatreta di recente scoperta

Emanuela Murgia

Nel panorama della produzione vetraria antica è ben nota agli specialisti sia la rarità sia la pregevolezza dei cosiddetti

diatreta, manufatti lavorati a giorno, tuttora oggetto di discussione relativamente alla tecnica di fabbricazione, ai centri

di produzione, ai limiti cronologici e alla destinazione. Tali caratteristiche rendono estremamente significativo il

rinvenimento di un esemplare frammentario di coppa diatreta da uno dei livelli di distruzione della cosiddetta “domus

dei putti danzanti”, individuata ad Aquileia, nell’area tra foro e porto fluviale, dall’équipe archeologica dell’Università

di Trieste. La ricca collezione di vetri aquileiesi, oggetto di una completa e aggiornata opera di riedizione, si arricchisce

così di un prezioso documento che, seppur frammentario, costituisce l’unico esempio di questa produzione di lusso

nella città altoadriatica. I frammenti (H 6,2/4,3, sp. 0,3) di vetro soffiato entro stampo e intagliato, sono pertinenti, così

come si evince anche dalla ricostruzione grafica, a una coppa con corpo probabilmente campaniforme (diam. max.

10,8), con orlo molato e labbro svasato. L’esemplare presenta inoltre un suggestivo effetto ottico noto come dicroismo:

il vetro, verde chiaro, appare alla luce di un intenso color ambra. La decorazione era divisa in tre zone: poco sotto il

labbro, si dispone una raffinata corona di alloro, composta da piccole foglie con solcatura centrale; a 1 cm dalla corona,

correva un’iscrizione a traforo, di cui si conservano tre lettere, realizzata in caratteri capitali, e ponticelli dello stesso

colore del corpo del vaso. Più in basso, a circa 1,2 cm, seguiva, verosimilmente, la gabbia a rete. In considerazione della

perizia necessaria per realizzarli, della loro preziosità e della loro elevatissimo costo, i vasa diatreta erano riservati, al

pari di altri prodotti suntuari, a funzionari o notabili in rapporto con la corte imperiale se non a esponenti della stessa,

destinazione che potrebbe ben spiegare anche la rarità delle attestazioni di tale classe. Indicativo, in tal senso, sarebbe il

fatto che alcuni vasa diatreta siano stati rinvenuti nelle capitali tardo-antiche: oltre che a Roma, si contano esemplari a

Treviri e a Milano; esistono, inoltre, frammenti provenienti dall’Italia settentrionale, dall’Europa centrale e balcanica,

dalla Grecia, dalla Siria. Una così vasta distribuzione rende impossibile determinare se i vasa fossero realizzati in poche

officine, a volte connesse alle sedi imperiali, a volte, invece, decentrate: in questo caso i preziosi oggetti sarebbero stati

trasportati da funzionari appartenenti a famiglie aristocratiche nelle varie città dell'Impero; un’altra possibilità è quella

che i diatreta fossero fabbricati da artigiani itineranti, al seguito della corte o dei potenziali committenti. Il

rinvenimento della coppa diatreta ad Aquileia, potrebbe avvalorare l’ipotesi, più volte suggerita, di una produzione

locale di questi manufatti. La proposta si rivela tanto più verosimile se si considera che la città, sede di fiorenti officine

vetrarie, si configurò, tra IV e V secolo d.C., come importante punto di riferimento della vita politica, economica,

religiosa e culturale, capace di attirare funzionari e famiglie senatorie romane, nuovamente interessate ad investimenti

in area cisalpina. Si avrebbe, così, la presenza di artigiani altamente specializzati legati ad una committenza imperiale o,

comunque, d’alto rango. Non si può escludere, però, che, come in altri casi, la diatreta aquileiese sia stata prodotta in

altra sede e divenuta, tramite dono o acquisto, proprietà del dominus della casa dei “putti danzanti” individuato, seppur

in via del tutto ipotetica, in Septimius Theodulus, primo governatore, corrector, cristiano della Venetia et Histria. Con

molta probabilità questo personaggio partecipò alle operazioni condotte tra il 356 e il 357 d.C. da Giuliano Cesare

contro gli Alemanni, conclusesi vittoriosamente sulle rive del Reno a presso Argentorate. Poiché si propone che

Septimius Theodulus sia giunto ad Aquileia poco prima del 361 d.C., pare suggestiva, anche se del tutto ipotetica,

l’eventualità che abbia portato con sé la preziosa coppa proprio da quell’area, la Renania, dove si suppone fosse attiva

una produzione di diatreta.

Le pitture del Cubicolo delle Colonne nella catacomba dei Ss. Marco e Marcelliano. Il rapporto con l’arte

megalografica d’età costantiniana

Agnese Pergola

Gli studi condotti da P. Saint-Roch negli anni Novanta del secolo scorso nella catacomba dei Ss. Marco e Marcelliano

hanno permesso di avere un quadro più chiaro dello sviluppo topografico del cimitero e dei suoi programmi decorativi

ma, come egli stesso riferisce, emerge la necessità di una prosecuzione delle ricerche. Manca, infatti, un quadro

completo che interessi, non solamente l’aspetto topografico e agiografico, ma anche quelli relativi alla committenza,

alle maestranze che vi operarono, alla relazione che la catacomba intrattiene con gli altri grandi complessi cimiteriali

posti tra il II e il III miglio delle vie Appia e Ardeatina.

Il cimitero offre una discreta quantità di materiale iconografico, scultoreo e pittorico, che si inserisce pienamente nella

corrente artistica che va dall’età costantiniana al periodo teodosiano, con una preminenza per l’ultima decade della

dinastia dei Costantinidi. Un cubicolo, in particolare, emerge per monumentalità e decorazione, il cosiddetto “cubicolo

delle colonne”, che presenta un apparato decorativo di ampio respiro. Il programma pittorico propone scene

megalografiche delle quali, purtroppo, sopravvivono solamente le estremità inferiori che, tuttavia, permettono di intuire

la grandiosità delle immagini che dovevano raggiungere i 2 metri di altezza all’interno di un ambiente che arrivava a

quasi 7 metri. Ci troviamo davanti a figurazioni uniche nel loro genere, seppure le tematiche rappresentate rientrano

perfettamente nell’ambito dell’iconografia catacombale più frequente. Infatti, scorrono lungo le pareti il sacrificio di

Abramo, Mosè che batte la rupe (così identificato dal Wilpert, ma di difficile lettura), la moltiplicazione dei pani, Mosè

che si scioglie i calzari. Sulla parete di fondo del grande nicchione, attribuito in origine alle sepolture dei santi Marco e

Marcelliano, si riconoscono due figure maschili che accompagnano una donna, mentre al centro del sottarco non resta

quasi più nulla rispetto a ciò che riuscì a scorgere il Wilpert. Come si diceva, la grandezza di queste immagini non trova

diretti confronti nelle raffigurazioni presenti nelle catacombe, ma rimanda, piuttosto, alla monumentalità che si sviluppa

nei grandi cicli pittorici degli edifici del sopraterra appartenenti alla più ricca aristocrazia romana.

Pertanto, il presente contributo si propone di tracciare quelle coordinate artistiche relative agli apparati pittorici

megalografici che, prendendo avvio nella piena età costantiniana, compiono un percorso evolutivo che li conduce fino

alle soglie dell'epoca teodosiana. Così, le pitture sovradimensionate della catacomba dei Ss. Marco e Marcelliano

trovano i loro punti di contatto con le monumentali raffigurazioni palaziali del secondo venticinquennio del IV secolo,

come attesta la teoria di personaggi stanti della cosiddetta domus Faustae o come ricorda lo stesso Eusebio di Cesarea,

parlando del megalografico ritratto della famiglia imperiale posto in corrispondenza dell'ingresso della residenza

costantinopolitana. La tipologia pittorica in questione rimanda alla solennità plastica delle immagini scultoree e si fa

continuatrice di una tradizione che proietterà queste monumentali testimonianze nei ritratti imperiali di Treviri, nei

programmi decorativi delle basiliche sopraterra e degli annessi mausolei imperiali. Tali scelte iconografiche diverranno

strumento di autorappresentazione anche dell'aristocrazia romana che riprodurrà nei propri monumenti funerari questo

genere di immagini, come avviene nell'ipogeo di Trebio Giusto e, parallelamente, nel cubicolo delle colonne del

cimitero di Basileo, con un diverso intento programmatico. La catacomba dei Ss. Marco e Marcelliano diventa, infatti,

espressione di cicli didascalici e complessi che rimandano alla fede religiosa dei committenti e permettono di progettare

e sperimentare nuovi linguaggi figurativi e stilistici ai più capaci artifices degli ateliers romani.

Le rappresentazioni di Cristo: l’ipogeo di via Dino Compagni come spunto per una riflessione sulle radici e gli

sviluppi di un’evoluzione iconografica

Cecilia Proverbio

Il noto ipogeo di via Dino Compagni continua a fornire, a oltre cinquant’anni dalla sua scoperta, utili e stimolanti spunti

per una riflessione sulle modalità decorative di un ampio lasso cronologico, che si estende dai decenni centrali della

prima metà del IV secolo, fino a superare tale margine cronologico.

Il repertorio di immagini ivi conservato offre un punto di vista privilegiato per osservare non solo un ricco e variegato

campionario di soluzioni iconografiche, ma permette, altresì, di osservarne l’evoluzione all’interno di un contesto

privato di elevata committenza sociale.

Il progressivo sviluppo degli ambienti così come mostra diverse forme di articolazione spaziale, evidenzia al contempo

anche l’adozione di soluzioni figurative differenti. Se da un lato si nota il ricorso a immagini acquisite in virtù di una

ben consolidata cultura iconografica, che merita ormai a pieno titolo l’appellativo di tradizionale, dall’altro, accanto a

quest’aspetto, si possono contestualmente rintracciare veri e propri spunti innovativi, che molto hanno fatto riflettere sui

relativi modelli di riferimento.

L’analisi e lo studio dei processi di assimilazione dei prototipi sono stati in particolare esaminati in riferimento alle

specifiche unità monumentali, sia che con tale terminologia si intenda un particolare documento pittorico, come nel

caso dell’ormai celebre affresco definito da padre Antonio Ferrua “lezione di medicina”, sia che l’espressione si voglia

riferire ad un intero e più ampio progetto decorativo, che corrisponda ad un cubicolo o altro vano sepolcrale, come nel

caso del cubicolo A.

In riferimento allo sviluppo delle tematiche, un terreno particolarmente fertile di indagine si è rivelato la materia vetero-

testamentaria, la cui trattazione, soprattutto nei cubicoli B-C e O, ha permesso di instaurare precisi termini di confronto,

rintracciando una corrispondenza che si configura come una voluta citazione.

Da un punto di vista strettamente quantitativo la materia figurativa relativa alle vicende del Nuovo Testamento risulta

sicuramente minoritaria, sia in termini assoluti, che in riferimento ai singoli ambienti. Ad eccezione del cubicolo A,

dove possiamo riferire a temi neotestamentari sia la raffigurazione del collegio apostolico (sull’arcosolio di fronte

all’ingresso), che i tre pannelli superstiti della volta, negli altri cubicoli sembra potersi rintracciare una precisa selezione

di episodi, nei quali viene rappresentato il Cristo. L’esiguo numero di tali rappresentazioni non impedisce, tuttavia, una

certa differenziazione nei caratteri con i quali la figura viene riprodotta, non solamente dal punto di vista fisionomico,

ma anche in relazione alla monumentalità che sottende alla concezione del personaggio. Un esempio ne sia

l’articolazione del Cristo-docente, in veste di unico riferimento neotestamentario, che campeggia sulla volta del

cubicolo B come elemento unificante e dominante di tutta la decorazione parietale che esprime, al contrario, una

materia vetero-testamentaria. Ancora, nell’intradosso dell’arcosolio di fondo del cubicolo O, pertinente all’ultima fase

decorativa del complesso, un pinax di ridotte dimensioni illustra il miracolo della moltiplicazione dei pani secondo

formule del tutto stereotipate, in cui Cristo figura in aspetto giovanile imberbe. Al contrario, sulla lunetta dell’arcosolio

occidentale del precedente cubicolo I, ci si trova già di fronte al maturo esito della maiestas Domini, in cui il Cristo

barbato figura tra Pietro e Paolo.

Tali specifiche scelte sembrano, dunque, impostate su criteri tipologici ben precisi, ai quali la committenza si ispira,

compiendo una consapevole operazione di selezione. L’esempio di via Dino Compagni contribuisce a fornire una

testimonianza che attesti l’acquisizione cosciente di tipi differenti in relazione ai diversi contenuti.

Die Malereien der Domitilla-Katakombe. Neue Methoden und neue Ergebnisse in Vorbereitung des

Repertoriums

Norbert Zimmermann

Seit dem Trierer Kongress 1965 mit der Auseinandersetzung zwischen den Protagonisten L. De Bryne und J. Kollwitz

um die Datierung der Malerei und der Fortsetzung der Diskussion insbesondere für die Katakombe SS. Marcellino e

Pietro zwischen J. Gyon und J. G. Deckers hat es zwar einige Versuche der Vermittlung gegeben, aber in der Forschung

ist nach wie vor darüber keine Einigkeit erreicht. Das Problem besteht im wesentlichen weiterhin darin, ob man die

wichtigsten Entwicklungen in der Malerei der konstatinischen Zeit bereits im Jahrzeht unmittelbar nach der

konstantinischen Wende vollendet sieht oder mit den Auswirkungen des Kirchenfriedens über einen längeren Zeitraum

hinweg rechnet.

Mit der Vorlage des Repertoriums der Malereien der Domitilla-Katakombe ergibt sich eine neue Perspektive, da jetzt

auch die größte römische Katakombe mit besonders vielen Malereien des mittleren und späteren 4. Jhs. komplemetär

für die Diskussion erschlossen ist. Angesichts der Unsicherheit stilistischer Datierungen sind für die Bewertung der

Katakombenmalereien nur kontextuelle Analysen zielführend: aus der Ikonographie der Bilder, der Szenenkombination,

der Architektur der Räume und der Verteilung der Bilder im Raum sowie nicht zuletzt der Topographie der Katakombe

ergeben sich jetzt ausreichend Kriterien, die Malereien innerhalb ihrer Katakombe, zugleich aber auch im Vergleich mit

den übrigen Katakomben zu beurteilen. Ausgehend von den wenigen sicher datierten Malereien der konstantinischen

Zeit soll im Referat die Entwicklung der Malerei dieses Zeitraumes (Konstantin und Söhne) nachverfolgt und in ihren

wichtigsten Etappen charakterisiert werden. Die zentrale Materialgruppe dazu bildet die römische Katakombenmalerei,

insbesondere aus Marcellino e Pietro, via Latina, Anapo, Maius und jetzt Domitilla. Auf der Grundlage der

ikonographischen Entwicklung des 3. Jhs. ist ab dem Kirchenfrieden mit der Christianisierung großer und jetzt

zunehmend reicher Bevölkerungsteile eine Monumentalisierung der Räume, des ornamentalen Apparats und der

einzelnen Bilder zu beobachten. Während direkt über dem Grab, oft in Arkosollunetten, die Selbstrepräsentation der

Verstorbenen ihren Platz findet, wird in Decken- und Wandsystemen eine geordnete Auswahl alt- und

neutestamentlicher Szenen in Beziehung zueinander gebracht. Der Trend zur Monumentalisierung setzt sich über die

Mitte des 4. Jhs. hin fort, zugleich lösen christologische Bilder mit dem thronenden Christus, oft zwischen Petrus und

Paulus oder seinen Aposteln, biblische Szenen im Zentrum des Bildgefüges ab. Die Betonung der Person Christi führt

zu einer weiteren Verschiebung der übrigen Darstellungen, die ihm in der Regel untergeordnet werden. Die

Katakombenmalerei wird nun weniger innovativ als vielmehr reflexiv, da sie Formen der jetzt entstehenden

oberirdischen Monumentalbauten und deren Ausstattung nachzuahmen sucht.

In seiner exeptionellen Bilderfülle der Katakomben nimmt Rom speziell für die hier interessierende Zeit eine

Sonderstellung ein, doch lassen sich durch neue Forschungen viele weitere Monumente auch außerhalb von Rom jetzt

schlüssiger als bislang in die Entwicklung einfügen. Genannt seien nur die Mosaiken und Malereien in Aquileia, Trier,

Piazza Armerina, Centcelles, Thessaloniki und nicht zuletzt, als größte Gruppe von Malereien der östlichen

Reichshälfte, aus Ephesos. Durch die Ausweitung des Blickwinkelsaus von der lokalen römischen Bilderwelt auf die

Referenzmonumente in anderen Teilen des Reichs und aus nicht unbedingt christlichem Kontext treten schließlich auch

die Züge eines Zeitstils hervor. Dieser hat sich insbesondere seit der tetrarchischen Zeit grundlegend gewandelt kann

mitunter unterschiedliche lokale Ausprägungen haben, er findet aber in der konstantinischen Zeit eine eigene,

charakteristische Forrmensprache.

Sollte keine Möglichkeit für ein mündliches Referat zu diesem Thema bestehen, würde ich mich im Rahmen eines

Posters gerne entweder auf die Datierung der Malereien von Marcellino e Pietro und den Zusammenhang von

Werkstattbezug und topographischer Lage thematisieren, oder alternativ das Domitilla-Projekt und die technischen

Innovationen, das Repertorium der Domitilla-Malereien und insbesondere dessen Beitrag zur konstantinischen Malerei

vorstellen.

SESSIONI DEDICATE ALLE NOVITÀ

EPIGRAFIA, FONTI, STORIA

Zur Rechtssituation frühchristlicher Gemeinden

Tatjana Bink

Mit dem Aufkommen des Christentums steht das Römische Reich vor der Aufgabe, diese „Neuerscheinung“ in sein

Rechts- und Sozialgefüge zu integrieren. Eine eindeutige Klärung der Rechtsstellung(en) christlicher Gemeinden bis zu

Beginn des 4. Jahrhunderts erbrachte die bisherige Forschung jedoch noch nicht, obgleich sie für (rechts-)historische

Aussagen zu Entstehung und früher Entwicklungsphase des Christentums sowie für die Bewertung archäologischer

Denkmäler grundlegend ist.

Der Vortrag versucht – entgegen der bisherigen Forschung – zu zeigen, dass antike Vereinigungen und damit auch das

Christentum als juristische Personen galten. Das Referat zeichnet zunächst die sich verändernde Wahrnehmung des

Christentums von einer „ignorierten Gruppierung“ innerhalb des Judentums über eine staatsgefährdende Vereinigung

bis zur anerkannten Religionsgemeinschaft nach. Nach der Ablösung des Christentums vom Judentum werden die

Christen zunächst als eine unerlaubte, aber in Friedenszeiten tolerierte Vereinigung religionis causa im sozialen Gefüge

des Römischen Reiches rechtlich verortet. Als solche ist die christliche Gemeinde geschäftsfähig und im Besitz von

Gebäuden und Grundstücken, über die sie gemeinschaftlich verfügen kann. Literarische Zeugnisse, die auf

gemeinschaftlichen Besitz schließen lassen, belegen diese These, wenngleich die antike Rechtswissenschaft das

Phänomen der „juristischen Person“ nicht explizit formuliert.

Bis zur Loslösung des Christentums vom Judentum gelten die Christen als sektiererische Gruppe innerhalb der

jüdischen Religion und erfahren damit dieselben Rechte und Verpflichtungen wie die Juden im Römischen Reich. Der

römische Staat betrachtet das Judentum als religio licita (vgl. Suet. Iul. 42,3; Ios. ant. 14,215), also als eine neben dem

Kaiserkult gleichwertige Form der kaiserlichen Verehrung. Der Vollzug des Kaiserkults wird für die Juden damit

überflüssig. U.a. infolge der Dezentralisierung des Judentums und der Entstehung des Diasporajudentums sucht die

„jesuanische Gruppe“ selbständig zu werden und löst sich von ihrer Mutterreligion ab. Damit verbunden ist jedoch der

Verlust des Privilegs, erlaubte Religionsgemeinschaft zu sein: Die Christen gelten nunmehr als unerlaubte religiöse

Gruppierung und geraten in eine juristische Grauzone.

Dies bedeutet für das Christentum aber nicht per se Illegalität. Soziale Gruppierungen ohne staatliche Genehmigung,

sog. Vereine oder Genossenschaften im Kontext von Beruf und Kult, sind im Römischen Reich zahlreich. Der römische

Staat ignoriert sie, solange sie der salus rei publicae nicht abträglich sind. Verboten und streng verfolgt werden dagegen

seit je her alle Vereinigungen, die den Anschein erwecken, politischen Einfluss nehmen zu wollen; denn sie stehen

unter dem Verdacht, staatsgefährdend zu sein (vgl. Suet. Aug. 32,1; Plin. ep. 10,34; 10,96,7). Einen derartigen Eindruck

gewinnt der römische Staat vom Christentum bis zum Erlass des Toleranzedikts immer wieder und verfolgt es bisweilen

nachhaltig. Diese Verfolgungsphasen kennzeichnen u.a. Verbote und Konfiskationen. Dabei handelt es sich

vornehmlich um den Einzug von Versammlungsgebäuden und Grundstücken, die für Bestattungszwecke genutzt

werden, bzw. um das Verbot, diese zu betreten (vgl. Acta procons. Cypr. 1; Eus. h. e. 7,11). Dass sich diese

Besitzungen im Verfügungsbereich der Gemeinde befunden haben müssen, darauf lässt auch die Verwaltungs- und

Organisationsstruktur der gemeinschaftlich genutzten Begräbnisareale schließen (vgl. Hipp. ref. 9,12,14; ILCV 3458).

Nach dem Ende der Verfolgungen betreiben die Bischöfe dann die Revision dieser Maßnahmen (vgl. Eus. h. e. 7,13).

Da die Bischöfe diese Aufgabe stellvertretend für die Gemeinde übernehmen, lässt sich spätestens für die Mitte des 3.

Jahrhunderts die Existenz von Besitzungen belegen, die sich nicht im Privatbesitz befunden haben können.

Möglicherweise muss bereits Anfang des 2. Jahrhunderts mit der Existenz von Grundstücken, über die die Gemeinde

verfügen kann, mit gemeinschaftlichem Besitz gerechnet werden (vgl. Tert. apol. 37,2; Hipp. trad. apost. 40). Auch

wenn den antiken Juristen die Rechtsfigur der juristischen Person noch nicht geläufig ist, so liegt sie diesen

Überlegungen doch implizit zugrunde (vgl. Dig. 46,1,22). Demnach ist es Vereinigungen jeglicher Art, auch wenn sie

keine staatliche Konzession besitzen, möglich, gemeinschaftliches Eigentum zu erwerben und dieses ihren Mitgliedern

zur Verfügung zu stellen.

Hintergrund der Verfolgungen ist die im 3. Jahrhundert eskalierende Reichskrise und die damit verbundene restaurative

Religionspolitik. Als die religiöse Restauration nicht die gewünschte Wirkung nach sich zieht, konzediert Kaiser

Galerius 311 mit der (erneuten) Anerkennung der Christen als erlaubter Religionsgemeinschaft den Misserfolg seiner

Politik (vgl. Lact. mort. pers. 34). Als religio licita ist nun auch den Christen der Kaiserkult erlassen, da sie in der

Ausübung ihrer Religion dem Kaiser in äquivalenter Weise Verehrung erweisen. Mit der Mailänder Vereinbarung

bekräftigen Konstantin und Licinius diese Ansicht, indem sie das Christentum als corpus bezeichnen und es so als

Körperschaft des öffentlichen Rechts im antiken Rechtssystem verankern (vgl. Eus. h. e. 10,10).

Aus diesen Beobachtungen lassen sich mehrere rechtshistorische Konsequenzen ziehen. Die Christen erhalten bis 313

schrittweise den Rechtsstatus einer erlaubten Religion, das Christentum wird mit den Begriffen religio licita, collegium

(licitum) und corpus (licitum) umschrieben. Damit gelingt Konstantin und Licinius das, was Galerius mit dem Vorwurf

des tertium genus, eines Staates im Staat, nicht umsetzen konnte: die Christen in die römischen Gesellschaft

einzubinden. Zuvor zählen diese zu der breiten Masse der tolerierten, aber unerlaubten, weil ohne staatliche

Genehmigung existierenden Vereinigungen. Als solche erlangen sie spätestens seit der Mitte des 3. Jahrhunderts das

Recht auf Vermögenserwerb. Die Anerkennung als religio licita hat für das Christentum demnach weniger vermögens-

oder personenrechtliche Folgen, denn diese Vorzüge erhält es bereits als unerlaubte Vereinigung. Vielmehr erfährt es in

Staat und Gesellschaft eine Positionierung, die zur seiner nachhaltigen Etablierung im Römischen Reich führen wird.

Il monogramma costantiniano e altri cristogrammi nelle epigrafi tardoantiche della Campania (IV- VII sec.)

Chiara Lambert

Il patrimonio epigrafico tardoantico della Campania è stato oggetto di recenti revisioni sistematiche, già confluite in

alcuni volumi delle Inscriptiones Christianae Italiae saeculo septimo antiquiores - Hirpini, Beneventum ed Aeclanum

(Felle 1993, CIL VIII); Abellinum (Solin in cds) - o ad essi destinati - Salernum (Lambert, in preparazione). Non sono

mancate, altresì, ricerche finalizzate ad una lettura multidisciplinare del manufatto iscritto, le quali, senza prescindere

dagli aspetti filologici e paleografici che lo caratterizzano, né trascurarne la fondamentale dimensione storica, hanno

affrontato anche tematiche propriamente archeologiche e sperimentato nuove applicazioni archeometriche (Lambert

2008; 2012). Tale documentazione - incrementata da qualche recupero e da nuove acquisizioni in parte ancora inedite

(Salernum; Aeclanum), che ampliano il panorama di una produzione cospicua e diversificata - consente oggi di

affrontare anche il tema dell'uso epigrafico del signum crucis nelle sue varie formulazioni, che si ritiene riflettano

sicuramente delle variabili cronologiche, ma possano essere anche l'esito di una diversa sensibilità di fronte al

significato di cui il segno è portatore.

Il contributo, prendendo in esame i circa 500 documenti noti, rinvenuti in una quarantina di località facenti capo

principalmente alle sedi episcopali paleocristiane di Abellinum, Aeclanum, Beneventum, Capua, Neapolis, Nola,

Nuceria, Salernum, Paestum, alcune delle quali (in particolare Abellinum) vantano un corpus assai consistente e

qualitativamente rilevante, si propone di offrire il censimento della presenza del monogramma costantiniano e di altri

segni cristologici sui manufatti di età compresa tra il IV ed il VII secolo d. C.. Al di là della semplice catalogazione,

l'intento è verificarne la frequenza numerica, le varianti tipologiche e la distribuzione; tali indicazioni verranno pertanto

messe a loro volta in relazione con la cronologia intrinseca dei testi, nei numerosi casi (il 47%) in cui essa è presente

nella forma dell'eponimía consolare, o con una datazione cui si è pervenuti in base ad altri criteri - archeologici o

paleografici - ritenuti, singolarmente e specificamente, affidabili.

I dati verranno presentati anche sotto forma di tabella, per facilitarne la lettura incrociata e favorirne l'interpretazione:

seguendo un ordine topografico e, al suo interno, cronologico, per ciascuna diocesi antica e per ogni località si darà

evidenza del singolo manufatto iscritto che rechi la presenza di tali segni, della loro tipologia (chrismòn, staurogramma,

signum crucis), delle occorrenze (singoli/ iterati/ reiterati), della posizione rispetto al testo (isolati, in posizione centrale

e gerarchicamente evidente/ in apertura del testo e sullo stesso rigo/ al centro dello specchio epigrafico, a determinare

una quadripartizione del testo/ in apertura e in chiusura del testo) e dell'eventuale relazione (di posizione e/o significato)

con altri simboli iconografici.

In ultimo, dall'analisi degli elementi raccolti, correlati con gli indicatori di status dei destinatari della memoria

epigrafica, si cercherà di trarre un quadro interpretativo d'insieme, che evidenzi il peso del segno/simbolo in rapporto al

testo iscritto e se il grafema, attraverso l'uso nel tempo e la documentata evoluzione, abbia mantenuto il valore

semantico originario, oppure se e quando, divenendo consuetudinario, questo sia stato assorbito all'interno delle formule

locativo-obituarie, con una progressiva perdita di consapevolezza della valenza escatologica propria del signum

crucis/signum salutis.

Epigrafi inedite dalla catacomba paleocristiana di Villagrazia di Carini (PA)

Giuseppina Cipriano, Giuseppe Falzone

Il contributo intende porre all’attenzione della comunità scientifica le iscrizioni estemporanee della catacomba di

Villagrazia di Carini (PA). Si tratta di testimonianze assolutamente nuove ed inedite provenienti da un contesto finora

apparentemente anepigrafe che, unitamente alle iconografie, alle caratteristiche topografiche ed agli elementi di cultura

materiale, contribuiscono in maniera significativa a far luce circa la possibile committenza e le dinamiche di fruizione

dello spazio funerario in esame. Sono stati rinvenuti testi in lingua latina e greca, che dal IV secolo giungono sino al

pieno VII, con formulari assai eterogenei, incisi sull’intonaco di copertura di formae e tombe in arcosolio rinvenute in

occasione delle campagne di scavo degli anni 2010-2013 lungo le gallerie VII e IX.

Diversi monogrammi, eusebiani e compositi di “tipo siciliano”, sono stati intercettati sia nelle gallerie che all’interno

dei cubicoli, incisi direttamente sulla roccia ovvero sull’intonaco di rivestimento delle singole sepolture. Per la peculiare

tipologia, costituisce un unicum il grande cristogramma corredato da due sigma lunati, inciso a solco profondo sul

rivestimento intonacato di una forma di adulto del cubicolo X15. Sarà, infine, dato conto di un sigillo plumbeo

rinvenuto nel territorio dell’antica Hyccara che consente di integrare la cronotassi episcopale palermitana e far luce sui

rapporti fra la sede urbana e la diocesi rurale della quale la catacomba rappresenta uno degli elementi più significativi

circa le dinamiche di organizzazione del territorio.

SESSIONI DEDICATE ALLE NOVITÀ

AREE FUNERARIE

Heiligenverehrung und Stifterwesen in Neapel. Untersuchungen zum Katakombenkomplex von San Gennaro

Dieter Korol

Neapel stellte im 4. Jh. n. Chr. eine keineswegs unbedeutende Größe unter den christlichen Gemeinschaften Italiens dar,

wie die kaiserliche Stiftung eines innerstädtischen Kirchenbaus bereits unter Konstantin dem Großen in aller

Deutlichkeit belegt. In den folgenden Jahrzehnten und Jahrhunderten entwickelte sich in der Stadt ein überaus vitales

Kirchenleben, das sich unter anderem in einer regen bischöflichen Baupolitik sowie in der Initialisierung eines an die

von Papst Damasus I. exzessiv geförderte stadtrömische Märtyrerverehrung erinnernden Heiligenkultes äußerte. Beide

Aspekte stehen im Fokus eines seit Ende 2010 laufenden interdisziplinären Projektes, indem zwei zum Teil nur

ungenügend erforschte spätantike Denkmälerkomplexe in Neapel (die Kernbereiche der Katakomben- und

Kirchenanlagen von San Severo und von San Gennaro) archäologisch, kunstgeschichtlich und kirchenhistorisch

aufgearbeitet sowie neu bewertet werden. Bei San Severo handelt es sich um eine Kirchengründung und die

ursprüngliche Grablege des gleichnamigen Bischofs (ca. 362–408), der als Nachfolger des Arianers Zosimus eine Phase

innerkirchlicher Differenzen überwand, die in Neapel wie vielerorts im Reich der Konstantiniden ausgebrochen waren,

und der während seines Episkopats in der 2. Hälfte des 4. Jhs. eine erstaunlich rege Bautätigkeit entfaltete. San Gennaro

hingegen ist die größte Katakombe der Stadt, die ihren Namen von dem Märtyrer erhalten hat, dessen Gebeine unter

dem zweiten Nachfolger des Bischofs Severus, Johannes I. († 432), dorthin verbracht worden waren.

Die in diesen Monumenten erhaltenen, thematisch eng verwandten Malerei- und Mosaikzeugnisse liefern in

Verbindung mit ausgewählten Vergleichsdenkmälern substanzielle Erkenntnisse über die Ikonographie von

Heiligenfiguren des 4.–6. Jh., über die Repräsentation hochrangiger staatlicher und kirchlicher Stifter sowie über die

Stilentwicklung nicht nur der neapolitanischen, sondern auch generell der italischen und teilweise auch der

oströmischen Malerei (einschließlich vergleichbarer Mosaikbildnisse).

Im Falle beider Denkmäler besteht die glückliche Situation, dass die archäologischen Befunde eng mit hagiografischem

und kirchenhistorischem Quellenmaterial verbunden werden können, so dass eine sinnvolle Aufarbeitung und

Kontextualisierung dieser Neapeler Sepulkral- und Sakralbauten und ihrer Malerei- und Mosaikausstattung

gewährleistet ist.

Neben der Möglichkeit zur Verortung der Monumente innerhalb der Neapler Kirchengeschichte bieten die literarischen

Zeugnisse in Ergänzung zu den archäologischen Quellen Einblick in die frühe Entwicklung der lokalen

Heiligenverehrung und des örtlichen Reliquienkultes zwischen dem späten 4. und 6. Jh. Hinsichtlich dieser Phänomene

beleuchten sie nicht zuletzt auch wesentliche Handlungsmaximen der ansässigen Bischöfe.

Die Nähe des eingehend untersuchten und quellenmäßig gut fassbaren Nolaner Pilgerzentrums, das um 400 von

Paulinus zu einem Zentrum der Heiligenverehrung und Drehscheibe des Reliquienhandels ausgebaut worden ist, bietet

in diesem Zusammenhang einen hervorragenden Anknüpfungspunkt für weitergehende regionale Studien, die für das

Begreifen historischer Vernetzungen und Zusammenhänge unabdingbar sind. Der Heiligenkult in Neapel hat sich im

Spannungsfeld zwischen Beeinflussung, Kommunikation und auch Konkurrenz benachbarter Kulte bzw. kirchlicher

Zentren ausgebildet und entwickelt. Er beeinflusste in einer gleichsam symbiotischen Wechselbeziehung einerseits das

Bischofsamt und die Stellung der Bischöfe in Stadt und Umfeld und wurde andererseits selbst vom Episkopat

entscheidend geprägt. Die erstmals auf allen verfügbaren Quellen basierenden Studien zu den beiden Neapeler

Denkmälern führen hier nicht nur zu neuen Erkenntnissen über die Kirchengeschichte Neapels und Kampaniens,

sondern induktiv auch über die der gesamten spätantiken Welt.

Dal sepolcreto dell’Arenario alla memoria Apostolorum: occupazione funeraria e frequentazione cultuale nel

cimitero “ad catacumbas”

Francesca Taccalite

L’area necropolare portata alla luce sotto la basilica di San Sebastiano fuori le mura a partire dalla fine dell’Ottocento si

distingue per l’eccezionale stato di conservazione dei monumenti, la cui successione, in alzato, risulta ancor oggi in

gran parte leggibile. La costruzione della basilica nel periodo costantiniano ha celato le preesistenze, in parte

riutilizzandole e, al tempo stesso, ha nascosto la forte disomogeneità morfologica del terreno caratterizzato dalla

presenza di cave di arenaria. Il toponimo ad catacumbas, con cui veniva ricordata a partire dalla prima metà del IV

secolo d.C. l’area che si estende fra la basilica di S. Sebastiano e il complesso massenziano, è infatti testimonianza della

particolare conformazione geomorfologica del terreno, in forte pendenza verso occidente, dove si localizza il peribolo

dell’antica basilica cimiteriale inizialmente dedicata al culto congiunto dei santi Pietro e Paolo. Recenti indagini hanno

aperto una fase innovativa nella storia degli studi del monumento, contribuendo così, da un lato, a riportare

nuovamente all’attenzione degli studiosi uno dei complessi archeologici più importanti del suburbio romano e,

dall’altro, ad approfondirne la conoscenza. Se è vero che si possono dire ormai chiarite le fasi occupazionali del

cimitero nel periodo tardo-antico (Anna Maria Nieddu) e che nuovi dati sono stati forniti per una migliore

comprensione delle fasi di età imperiale (Francesca Taccalite), è pur vero che si avverte ancora oggi la mancanza di uno

studio complessivo ed approfondito sulle origini di un monumento che è stato sì oggetto di studi, anche molto

importanti, ma in gran parte settoriali. Manca infatti tuttora una indagine organica sul cimitero sorto nelle cavità

arenarie localizzate sotto il settore centrale e meridionale della basilica, indagine di primaria importanza per ricostruire

non solo la fruizione funeraria, ma anche le dinamiche connesse con la costruzione della memoria Apostolorum. I primi

interventi connessi con attività antropiche nel sito sono infatti da riferire allo sfruttamento della pozzolana quando le

pareti delle cavità arenarie, a circa m – 12 di profondità dall’attuale piano di calpestio, iniziarono ad essere riutilizzate a

scopo funerario. La nascita di questo cimitero, i successivi interramenti, il sorgere in luogo del più antico di un

sepolcreto monumentale denominato “piazzola” - perché appunto veniva ad occupare l’invaso ovoidale della cava -, e le

trasformazioni verificatesi sino alla costruzione della memoria, sono state, è vero, oggetto di molti studi, anche

importanti. In particolare, si deve ad Antonio Prandi ed a Francesco Tolotti il tentativo di distinguere, seppur con alcune

sostanziali differenze, le fasi d’uso di questo settore cimiteriale, dalla nascita all’obliterazione. Negli anni si sono poi

susseguite diverse analisi tra le quali è importante menzionare almeno quelle di Antonio Ferrua, di Elizabeth

Jastrzebowska e di Lucrezia Spera, mai però specifiche sull’Arenario; inoltre, molte ipotesi sono state fatte, anche

recentemente (C. Carletti), sul credo degli occupanti del cimitero, sia nella fase più antica, sia, soprattutto, in relazione

alla “piazzola” ed alle trasformazioni tarde, ma non si è raggiunta sino ad ora una visione univoca e chiara. In

conclusione, nonostante le importanti analisi condotte sino ad ora sul monumento, per il sepolcreto dell’Arenario ed il

cimitero della “piazzola” manca, come si è detto, uno studio organico ed esaustivo. E’ per questo motivo che con il

presente contributo, alla luce dei recenti studi ed in base a dati inediti, si vuole proporre una nuova ricostruzione

diacronica del più antico nucleo cimiteriale nato dal riutilizzo delle cavità tufacee, non solo per seguire gli aspetti

connessi con l’occupazione funeraria e la frequentazione cultuale - in particolar modo per tentare di chiarire la natura

degli interramenti (naturali o volontari) e la conseguente realizzazione di nuovi spazi sepolcrali e cultuali -, ma anche

per tentare di ricostruire i “ritmi della conversione” dalle origini fino al sorgere di uno dei più importanti poli cultuali

della cristianità: la memoria dedicata ai due apostoli fondatori della comunità cristiana romana.

Nuovi dati sulla catacomba di Sabratha (Libia)

Emma Vitale

La ricerca è stata condotta in collaborazione con Giuseppina Cipriano per la parte archeologica e Francesco Scirè per il

rilievo topografico e diretto, nell’ambito del Progetto PRIN 2008 dal titolo: Pagani e cristiani a Sabratha e Leptis

Magna tra III e VI secolo d.C. Monumenti e reperti, tradizione e immagini, coordinato da Rosa Maria Carra.

La catacomba di Sabratha è uno dei pochi esempi di cimitero comunitario cristiano finora noti nell’Africa Romana.

L’ingresso, lungo il tracciato del decumano minore proveniente dal complesso episcopale della Regio III, si trova a soli

200 metri dall’attuale linea di costa, a metà strada fra il grande santuario suburbano di Iside e l’Anfiteatro e nei pressi di

una delle cave di pietra utilizzata nel II secolo per l’edilizia pubblica e privata del quartiere del Teatro.

Scoperto nel 1942, il monumento fu oggetto di una prima indagine nel 1974 da parte di Aldo Nestori che, al termine di

un lungo lavoro di sgombero delle gallerie dai riempimenti recenti, pubblicò un primo resoconto sulla rivista Lybia

Antiqua, corredando i brevi riferimenti agli aspetti topografici, alle tipologie funerarie e al ricco apparato epigrafico con

uno schizzo misurato del cimitero, e proponendo un arco cronologico di frequentazione compreso fra la fine del III e

tutto il V secolo.

A trentasei anni di distanza, sono state riprese le ricerche sul campo, nel corso di due missioni svolte a Sabratha nel

giugno e nell’ottobre 2010 con la finalità di realizzare un rilievo strumentale e diretto delle Gallerie A e B utile al

posizionamento della catacomba nel contesto di un GIS archeologico previsto per le Regiones III-V del Quartiere del

Teatro. L’analisi strutturale delle due gallerie, la schedatura delle tipologie funerarie, la ricognizione della

documentazione epigrafica, corredate da un robusto apparato iconografico, hanno consentito un pregevole

aggiornamento dei dati, da cui è emersa la corretta pianificazione degli spazi in relazione ai tipi funerari ed ai momenti

di frequentazione. Infatti dai monumentali nicchioni della Galleria A relativi alla fase progettuale del cimitero si passa

in momenti successivi allo sfruttamento intensivo delle pareti con pile di loculi proprio della Galleria B, fino ai sistemi

di formae e casse litiche che, occupando il piano di calpestio di tutti i settori finora agibili, si connotano come i momenti

più tardi della frequentazione del cimitero.

Il gruppo di ricerca dell’Università di Palermo ritiene un dovere presentare in questa sede i risultati raggiunti (anche se

parziali a causa del conflitto bellico che ha sconvolto la Libia nel 2011), non solo per la mole di dati ancora inediti su

questa importante testimonianza della cristianizzazione della Regio Tripolitana, ma soprattutto nel rispetto della

pluriennale collaborazione tra il Dipartimento alle Antichità di Sabratha e la Missione Archeologica dell’Università di

Palermo, diretta dal Prof. Nicola Bonacasa.

SESSIONE DEDICATA AI POSTERS

Il cosiddetto Tempio di Romolo sulla via Sacra: Massenzio o Costantino?

Agostina Appetecchia

E' nota la problematica relativa all'attribuzione a Massenzio o Costantino dell'esecuzione o conclusione dei grandi

monumenti che si affacciano sulla Velia e le sue pendici sul Foro Romano.

Anche se per il Tempio di Venere e Roma non sussistono dubbi sulla totale paternità massenziana, il problema è ancora

aperto riguardo la componente costantiniana nella Basilica Nova ed è ancor più indefinito riguardo il monumento

denominato erroneamente Tempio di Romolo che si trova più ad est lungo la via Sacra.

E' a questo monumento che è rivolta la presente analisi che prende in esame sia le strutture murarie che le pur limitate

fonti storiche ed epigrafiche, al fine di riesaminare delle problematiche inerenti. Particolare attenzione viene dedicata

alla struttura del monumento nel quale si ravvisano componenti della cultura architettonica costantiniana che fanno

propendere per un intervento più incisivo da parte di questo imperatore.

Il “tempio di Venere e Cupidine” nel quadro delle testimonianze dell'architettura costantiniana a Roma

Claudia Angelelli

Noto fin dagli inizi del XV secolo (anonimo Magliabechiano, 1410) con l'impropria denominazione di Templum

Veneris et Cupidinis (per il rinvenimento, nell'area, della statua colossale di Sallustia Orbiana, moglie di Alessandro

Severo, raffigurata come “Venus felix” e accompagnata da un erote), il monumentale rudere ubicato nei pressi della

basilica di S. Croce in Gerusalemme, all'interno del giardino del Museo di Fanteria, è quanto rimane di un'imponente

aula rettangolare absidata con funzioni di rappresentanza inclusa nel perimetro della lussuosa residenza imperiale ad

Spem Veterem, stabilita già in età severiana e trasformata in epoca costantiniana nel Palatium Sessorianum (F.

Guidobaldi, s.v. Sessorium, in LTUR, IV, Roma 1999, pp. 304-308). L'edificio, rappresentato in dettaglio nella pianta

del Bufalini (1551) e in buona parte ancora conservato fino alla prima metà del XVIII secolo, fu ulteriormente spogliato

e demolito fra 1742 e 1744, per cavarne materiale da costruzione, in occasione dei lavori di restauro della facciata della

vicina basilica (R. Venuti, Accurata e succinta descrizione delle antichità di Roma, Roma 1763, pp. 231-232).

L'appartenenza dell'aula alla fase costantiniana della residenza imperiale era stata riconosciuta già dal Nardini (Roma

antica, Roma 1661, p. 185) e poi ulteriormente precisata dal Nibby, che ne sottolineava le differenza tecnico-costruttive

con gli altri resti murari di età severiana presenti nell'area (A. Nibby, Roma nell'anno MDCCCXVIII, Roma 1839, pp.

371-372).

Dell'edificio sussistono ancora la parete di fondo (largh. m 24,60; alt. max m 21,00) e l'imponente abside semicircolare

(conservata in elevato fino alla base del catino e dell'arco), allungata a forma di U (prof. m 10,50, per una luce di m

17,25) ed impostata con un risalto di m 3,40 dai muri laterali. La parete dell'abside, spessa m 1,45, era in origine

traforata da cinque ampi finestroni (m 3,50 x 4,90), dei quali due soltanto oggi conservati; su di essa poggiava il catino

absidale, in opera cementizia rinforzata da nervature radiali. Dell'aula sopravvive inoltre l'attacco delle pareti laterali,

sulle quali si impostava la copertura, a doppio spiovente retta da capriate lignee. La parete di fondo, come quelle laterali

di spessore relativamente esiguo (m 1,05), è sostenuta da massicci contrafforti dello spessore di m 2,40 e lunghi

rispettivamente m 13,00 quello a N a nord dell'abside e m 17,75 quello a S (sul quale si aprono tre arcate ampie da m

3,60 a 4,50), soluzione architettonica che trova riscontro, ad esempio, nella grandiosa aula decagona nota come

“Tempio di Minerva Medica” (M. Cima, Gli Horti Liciniani: una residenza imperiale della tarda antichità, in Horti

Romani, Atti del Convegno Internazionale, Roma, 4-6 maggio 1995, Roma 1998, p. 451), ricondotta da recenti studi del

Guidobaldi ad un settore privato del Sessorium costantiniano. Nulla sopravvive in situ della lussuosa decorazione

pavimentale e parietale in opus sectile, la cui esistenza è comunque documentata sia da una notizia del Fauno (Delle

antichità di Roma, Roma 1552, p. 100), sia dai numerosissimi fori di grappe per il fissaggio delle lastre di rivestimento

visibili per tutta l'altezza dell'edificio.

Il precario stato di conservazione e la scarsa leggibilità delle strutture murarie (fino a circa un decennio fa in buona

parte coperte da una fitta vegetazione) non hanno certamente impedito agli studiosi di prendere in considerazione il

grandioso monumento, a partire dai brevi cenni contenuti nel contributo di A.M. Colini (Horti Spei Veteris-Palatium

Sessorianum, in RendPontAcc, VIII, 1955, pp. 164-168), per arrivare – in tempi più recenti – a studi di un certo

dettaglio come quello di D. Colli (Il palazzo sessoriano nell'area di S. Croce in Gerusalemme: ultima sede imperiale a

Roma?, in MÉFRA, 108, 1996, pp. 771-815, in part. pp. 782-789).

Il vasto programma di riqualificazione attuato tra il 1996 e il 2008 nell'area di S. Croce in Gerusalemme (M. Barbera, Il

recupero di S. Croce in Gerusalemme sull'Esquilino, in Fastionline, 45, 2005; E. Borgia et alii, Horti Spei Veteris e

Palatium Sessorianum. Nuove acquisizioni da interventi urbani. Parte I e II, in Fastionline, 124-125, 2008), che ha

interessato la piazza, il convento annesso alla Basilica, le domus costantiniane all'interno del comprensorio, la cisterna

delle Terme Eleniane e via Eleniana, ha riguardato (già nel 1999, in occasione del Giubileo: M. Barbera, L. Vergantini,

in F. Filippi (a cura di), Archeologia e Giubileo. Gli interventi a Roma e nel Lazio nel piano per il grande Giubileo del

2000, Napoli 2001, p. 259) anche il monumento in esame, oggetto di interventi di manutenzione e consolidamento che

permettono ora di apprezzare meglio strutture murarie ed articolazione dell'elevato, di eseguirne uno studio più

dettagliato e, soprattutto, di ricollegare l'edificio – nel quale si deve probabilmente identificare una grande aula di

carattere pubblico destinata alle udienze imperiali – ad altri monumenti simili per dimensioni e committenza (ad es.

basilica di Massenzio nel Foro Romano, basilica di Treviri etc.) e, più in generale, alla produzione architettonica di età

costantiniana.

Aule tricliniari e mausolei cristiani minori nella nuova architettura di età costantiniana: confronti strutturali e

funzionali

Giulia Berardi

Le domus dell’età tardoantica soprattutto a partire dall’età costantiniana si arricchiscono sempre più frequentemente di

ambienti di forme assai variate. Frequentissime, anzi imprescindibili, sembrano essere le aule a pianta rettangolare

absidata, ma non di rado, a fianco o in sostituzione di esse, vengono inserite nel tessuto abitativo di taglio unifamiliare

anche ambienti di articolazione più complessa, come triconchi o altre strutture poliabsidate e vani a pianta centrale di

forma circolare, esagonale, ottagonale, spesso dotati anche di cupole o articolati ulteriormente con nicchie, absidi,

esedre, etc. La funzione di tali ambienti è spesso quella tricliniare o comunque di rappresentanza e la presenza di essi

era certamente intesa come qualificante e rappresentativa dello status dei proprietari; in particolare i casi in cui uno o

più di tali ambienti erano inclusi in una singola domus indicavano un particolare livello sociale del dominus. È stato già

osservato come queste strutture, unite a cortili con fontane e ad articolazioni spesso originalissime della pianta

dell’intero complesso abitativo, siano uno degli elementi più caratteristici e connotanti dell’innovazione che si registra

nella produzione architettonica dell’età costantiniana. Nella stessa epoca anche gli edifici destinati alla sepoltura

privilegiata assumono forme diverse da quelle comunemente adottate in precedenza e spesso paragonabili a quelle delle

citate aule tricliniari o di rappresentanza, con la ovvia differenza di essere unità strutturali singole e semmai annesse ad

una basilica cristiana.

La città di Roma offre un vasto repertorio delle due classi di edifici appena citate: basterà ricordare, da un lato le aule

di domus tardoantiche che sempre più frequentemente vengono poste in evidenza e, dall’altro, i piccoli mausolei che si

affiancano alle grandi basiliche cimiteriali nel suburbio di Roma e che sono particolarmente numerosi intorno alla

basilica di S. Sebastiano fuori le mura.

Nel presente lavoro i monumenti dell’area romana sono stati raccolti, classificati e, talvolta, utilmente integrati, non

soltanto con quelli di altri centri geograficamente prossimi e più facilmente analizzabili (ad esempio i casi ostiensi), ma

anche con quelli di aree più distanti, con particolare riferimento sia alle domus urbane, che alle villae di età tardoantica

diffuse in gran parte dell’impero.

Il campionario così raccolto è stato sottoposto ad un’analisi partita che ha permesso di inquadrare le varie tipologie

architettoniche, sia in ambito domestico che in ambito sepolcrale e di porle a confronto non solo nelle planimetrie, ma

anche negli alzati e nelle soluzioni decorative adottate; anche i riti delle commemorazioni funerarie verranno

ovviamente presi in considerazione per gli opportuni riferimenti.

Le numerose analogie strutturali sono state poste in evidenza ed hanno spesso rivelato una probabile identità delle

matrici di derivazione, pur se su scale dimensionali non di rado assai diverse. A fianco delle coincidenze si sono

registrate anche precise discordanze delle quali sono state proposte alcune interpretazioni basate sulla diversa funzione

delle due classi di edifici, domestici e sepolcrali.

L’ascesa della civitas Flavia Constantiniana Portuensis tra liberalitas principis e munificentia privata. L’apporto

delle fonti epigrafiche

Gaetano Bevelacqua

Questo studio intende analizzare l’ascesa del Portus Romae e la sua crescente autonomia, amministrativa ed

ecclesiastica, nei confronti di Ostia nei febbrili e cruciali decenni successivi all’adventus di Costantino a Roma.

Data l’esiguità di fonti letterarie, la ricerca si svolgerà anche su base documentaria monumentale, soprattutto epigrafica.

Le fonti epigrafiche del II secolo fanno menzione esclusivamente di un procurator portus Ostiensis o portus utriusque

che gestiva il complesso portuale e almeno fino al III secolo non fanno cenno alcuno ad una città di Porto; solo nel IV

secolo con il riferimento alla partecipazione al Concilio di Arles (314) del vescovo Gregorio qui est in Portu Romae, il

porto verrà espressamente collegato non più con Ostia, ma con Roma. Questa notizia, insieme a ciò che si desume

dall’iscrizione del prefetto dell’annona Crepereius Madalianus (337-341), in cui per la prima volta si dice che

all’aggregato attorno agli impianti portuali sia stato dato il titolo di civitas, attesta inequivocabilmente che la città di

Porto, cresciuta enormemente in importanza, spezza definitivamente l’equilibrio nell’economia dei flussi commerciali

che sino ad allora aveva condiviso con Ostia; ha un proprio vescovo (l’istituzione della cattedra episcopale, appena un

anno dopo quella di Ostia, potrebbe risalire direttamente a Costantino); ha acquisito autonomia amministrativa – quasi

all’indomani dell’avvento al potere di Costantino – ed è gestita non più dal procurator, ma dal prefetto dell’annona di

Roma, in quanto ormai porto dell’Urbe.

Conferma del processo di “emancipazione” della città, innescato o varato definitivamente da Costantino, può essere

anche l’intensa attività costruttiva che essa conobbe nel IV secolo e che coinvolge chiaramente anche l’Isola Sacra, che,

considerato un quartiere portuense a tutti gli effetti, in un continuum spaziale che va al di là del confine artificiale, è ben

lungi dall’essere un’emanazione di Ostia e si connota sempre più come quartiere commerciale e di sacertà indiscussa.

Anzi, dopo che Costantino, con politica tanto ambigua, quanto sagace, riconobbe l’autonomia amministrativa ed

ecclesiastica dei due centri, gli abitanti di Porto furono sospinti, per emulare o superare Ostia, da un’urgenza costruttiva

che li portò ad erigere chiese e memorie per i loro martiri (l’evidenza archeologica testimonia che il primo impianto

della basilica urbana di Porto risalirebbe già agli inizi del IV secolo al più tardi e che la prima memoria di S. Ippolito

venne impiantata nei decenni successivi alla Pace della Chiesa), al punto che, dopo la fervida attività edilizia della fine

del IV secolo, nel secolo successivo l’area dovette presentarsi già come uno dei più grandi centri di pellegrinaggio

immediatamente alle porte di Roma.

Un sottile ed indistinto gioco di evergesie alimenta i cantieri della città sotto Costantino e i suoi eredi nella corsa alla

monumentalizzazione, un gioco che spesso può essere solo vagamente intuito, che si farà esplicito solo con gli

interventi di Damaso ed Heraclida nell’ultimo quarto del secolo, quali atti di evergetismo episcopale che, in

competizione con i provvedimenti imperiali per i lavori di manutenzione del tempio di Iside (iscrizione del prefetto

dell’annona Sempronius Faustus del 375-376), mostrano, in filigrana, la coesistenza di culti tradizionali e

Cristianesimo, che anche nei decenni precedenti non dovette essere estranea alla città.

The architectural decoration of basilicas in Chersonesos Taurica

Andrzej B. Biernacki

The corpus of early Christian architectural elements and details which has been acquired over the almost 185 years of

studies of Chersonesos Taurica, is now undoubtedly the most numerous and richest collection of this type on the

northern and western coast of the Black Sea.

Most architectural elements and details, including various types of Corinthian capitals, the panels of intercolumnar

railing, alter partitions, under-window partitions and imposts, are dated to the first sixty years of the 6th

cent.

The extremely numerous collection of architectural elements and details in Chersonesos Taurica has only one, yet

serious, shortcoming: its significant part lacks detailed data on the original locations of the items, as they have been

destroyed or erased over decades. Yet another obstacle to the identification and reconstruction of the original interior

decoration of the sacred building of Chersonesos Taurica is the maintenance and restoration works.

In spite of all these difficulties, based on the available data on the original locations of the items and comparative

studies within each category of architectural elements and details, in terms of their dimensions and similarities of

decoration, artistic design and technical execution, certain corpora have been identified as belonging to specific early-

Christian basilicas of Chersonesos Taurica. So far, this has been feasible only with respect to the following churches:

the Basilica of 1935, the Uvarov Basilica, the Basilica-in-a Basilica, the Basilica of 1932 and the Basilica on the Hill.

The characteristics of the interior decoration of these five basilicas allow certain more general conclusions. In every

church, each of the five categories of architectural elements and details has different properties. Each complete set of

architectural elements and details intended for a certain church was separately ordered and produced at the workshops

of Proconnesos or Constantinople. In terms of the technical execution and decoration, there items are comparable with

the architectural elements and details of the largest and most prestigious churches of Constantinople or Thessaloniki.

The interior decoration of the basilicas of Chersonesos testifies to the high standing and great importance of Christian in

the ancient city, as well as to their considerable financial potential, which let them not only erect such vast expensive

churches, but also furnish them with interior decorations and fixtures of the highest caliber.

Un nuovo sistema iconografico di epoca costantiniana: la nascita del fenomeno delle sostituzioni zoomorfe

Dimitri Cascianelli

L’intervento indaga le origini del fenomeno delle sostituzioni zoomorfe, quel sistema iconografico che induce a

rappresentare le figure umane in forma animale. Nella cultura figurativa paleocristiana tale consuetudine compare alla

metà del IV secolo: il Cristo e gli apostoli, ed, in parte minore, anche i personaggi del Vecchio e del Nuovo Testamento,

vengono raffigurati sottoforma di ovini o, più raramente di colombe, secondo un “gioco” iconografico che trova

giustificazione sia nella tradizione scritturistica sia nell’esegesi patristica.

Le prime testimonianze materiali di questa invenzione figurativa, che troverà la sua piena diffusione dagli ultimi

decenni del IV secolo, certificano che la nascita di questo fenomeno iconografico va riferita esclusivamente alla Roma

post-costantiniana.

Conoscendo l’influenza esercitata dall’arte monumentale degli edifici di culto costantiniani sulla produzione pittorica

cimiteriale romana e sulla plastica funeraria, nonché sulle arti minori, sarebbe plausibile collegare la genesi del

simbolismo zoomorfo a un autorevole prototipo romano, che, a mio avviso, può essere individuato nei programmi

decorativi della basilica di S. Pietro in Vaticano e del battistero lateranense.

Le Thermae Agrippae in via dell'Arco della Ciambella: una testimonianza dell'architettura di età

tardocostantiniana a Roma

Giuseppe Conte

Esiste tuttora a Roma la Via dell’Arco della Ciambella, curioso nome che ricorda alcune strutture oggi in gran parte

perdute, tra le quali la più vistosa era il resto di una sala rotonda di notevoli dimensioni che dal XV secolo fu

denominata”lo Ruotolo” e poi “la Ciambella”, nome che rimase per secoli ad indicare l’area che occupava.

Prescindendo dalle numerose etimologie e/o origini che sono state proposte in varie epoche per questa denominazione,

dobbiamo ricordare che il monumento rotondo in questione era certamente una parte delle Thermae Agrippae, fondate,

insieme all’ adiacente Pantheon, da Agrippa, il ben noto amico fraterno e genero di Augusto, che fu più volte console.

Degli edifici agrippiani, comunque, sembra non sia sopravvissuto nulla, poiché, già nel II secolo Adriano ricostruì

interamente il Pantheon e le terme, pur se, per una sua apprezzabile consuetudine, preferì apporre poi sul frontone del

nuovo Tempio il nome di Agrippa. E’ noto inoltre che le terme stesse subirono in seguito ricostruzioni o incisive

ristrutturazioni nel III e nel IV secolo (G.Ghini, LTUR V, 1999, pp. 40-42) ed è altrettanto noto che a partire dal XVI

secolo i resti del grande complesso termale furono in gran parte demoliti per la costruzione di vari palazzi nobiliari,

alcuni dei quali sono tuttora esistenti.

Il fatto che le strutture – specialmente quelle della “Ciambella” - siano da tempo scomparse giustifica in parte la relativa

carenza degli studi relativi a questo importante complesso termale del quale sono stati presi in considerazione

soprattutto i resti monumentali supersiti, cioè quelli aderenti alla parte posteriore del Pantheon.

Vari autori hanno comunque ricordato i numerosi restauri alle terme, documentati da iscrizioni, da menzioni delle fonti

e dalle strutture sopravvissute e sono concordi nell’attribuirne ad Adriano il più radicale rifacimento mentre a Settimio

Severo, a Massenzio e poi a Costante e/o Costanzo II sono assegnati altri interventi, l’entità dei quali non è tuttavia

stabilita in modo esplicito.

Le enormi dimensioni dell’edificio rotondo perduto che doveva avere una copertura a cupola del diametro di circa m 25,

quindi pari a quella del costantiniano edificio detto Tempio di Minerva Medica, suggeriscono di approfondire l’indagine

relativa alla eventuale datazione di quella parte dell’edificio e quindi di tentare di chiarire il problema dell’attribuzione

di queste imponenti strutture architettoniche.

Scopo del presente lavoro è dunque quello di raccogliere i dati ricavabili dai resti esistenti e dai documenti grafici e

descrittivi delle parti strutturali oggi perdute, per tentare un riesame del complesso delle terme di Agrippa e, in

particolare, del suo settore centrale, attraverso l’analisi delle strutture architettoniche, delle quali si proporrà un

confronto con quelle di altri edifici che rientrano nell’ambito della vasta produzione monumentale dell’età di Costantino

e dei suoi figli, testimoniata ampiamente a Roma e in molte altre metropoli dell’impero tardoantico.

El complejo monumental de Cercadilla (Córdoba) y los orígenes de la arquitectura cristiana en Hispania

Ramón Corzo Sánchez

El complejo monumental de Cercadilla (Córdoba), está formado por una gran plaza rectangular bordeada por pequeñas

dependencias, y un gran patio semicircular con una galería en forma de criptopórtico; en los extremos de la galería

semicircular hay dos salas bordeadas de pequeños ábsides, en las que se han encontrado lápidas y enterramientos de los

primeros obispos cristianos de la ciudad. Desde la parte alta de la galería se abren tres grandes aulas basilicales y varias

galerías que acceden a los edificios más alejados. El análisis de la documentación arqueológica y planimétrica obtenida

en la excavación de este complejo monumental puede servir como punto de partida para el estudio de la arquitectura

cristiana en Hispania, ya que su empleo como sede episcopal hasta la invasión islámica permite deducir que fue uno de

los complejos más conocidos y copiados en el resto del territorio hispano.

La tipología de los edificios ofrece elementos claros de relación con otros complejos monumentales del siglo IV

vinculados a los comienzos de la actividad pública de la Iglesia cristiana. En el complejo de Cercadilla se puede

estudiar la combinación en el mismo conjunto de estructuras de planta basilical, otras de planta central, edificios de

ábsides múltiples y conjuntos con galerías procesionales que ofrecen un repertorio muy variado de toda la tipología

conocida en el arte cristiano posterior. Los edificios de Cercadilla corresponden a la adaptación de tipos arquitectónicos

romanos a los usos necesarios para la liturgia cristiana, que se desarrollaron a partir de ellos en construcciones menores

de otros muchos lugares.

De otra parte, la ordenación de los distintos espacios que forman el complejo, basada en una gran galería semicircular

de la que parten los accesos al resto de las construcciones está formada con reglas geométricas y metrológicas que

pueden servir para encontrar los módulos del trazado. De acuerdo con las mediciones que pueden establecerse, hay unos

sistemas de proporcionalidad en las dimensiones que corresponden al uso de las mismas unidades métricas que se

observan en otros edificios cristianos de Hispania.

El repertorio de los edificios de Cercadilla contiene los modelos de muchos edificios religiosos conocidos y revela que

el prestigio del obispo Osio y la importancia de su sede episcopal actuaron como un ejemplo de referencia durante

varios siglos. La mayoría de las novedades tipológicas de estas construcciones deben atribuirse al propio Osio y a las

ideas originarias de los obispos más destacados de la primera mitad del siglo IV, entre los que Osio destacaba como uno

de los más influyentes por su relación personal con el emperador Constantino. La gran actividad desarrollada por Osio

en los concilios y su amistad personal con Atanasio de Alejandría y otros Padres de la Iglesia opuestos al arrianismo,

pueden explicar también los vínculos del complejo de Cercadilla con otros edificios monumentales cristianos de

Oriente.

Por todo ello, el complejo de Cercadilla resulta un monumento clave para apreciar las ideas arquitectónicas que se

desarrollaron en los inicios de la actividad pública del cristianismo hispano.

Terrecotte di soggetto cristiano dalla località Murella (Magliano Sabina, RI)

Lucilla D’Alessandro

Le testimonianze archeologiche di epoca paleocristiana provenienti dal territorio dell’antica Forum Novum (odierna loc.

Vescovio nel Comune di Torri in Sabina, RI) ci restituiscono l’immagine di un territorio investito di importanza

strategica e aperto dai collegamenti stradali e fluviali a diversi influssi. Precocemente cristianizzato almeno con

riguardo al centro urbano e all’area prospiciente il Tevere e sicuramente organizzato dal punto di vista ecclesiastico nel

V sec., il territorio diocesano crebbe in importanza e dimensioni nel corso dell’Alto Medioevo, sino a divenire l’unica

sede vescovile rappresentativa della Sabina tiberina.

Interessanti testimonianze provengono in particolare dal territorio dell’attuale cittadina di Magliano Sabina (RI), ricco

di presenze archeologiche. Il contesto più interessante è rappresentato dalla località Murella - rilievo di modesta entità

prospiciente il Tevere su uno stradello che si stacca in località Casa Cantoniera dalla S.S. Sabina, in direzione SO –

dove, nell’ambito di una diffusa area di frammenti riferibile ad un insediamento databile tra età ellenistica ed epoca

tardo-antica, emerge dal piano di campagna una base in calcestruzzo o piuttosto il nucleo di vere e proprie strutture

murarie estremamente deteriorate, cui si deve il toponimo del sito. Nell’area, secondo quanto rappresentato nella Forma

Italiae dell’ager Foronovanus (F. Verga, Ager Foronovanus (IGM 138 III SO / 1144 IV NO), Forma Italiae 44, Città di

Castello, PG, 2006, pp. 43-45, nr. 20), sono stati rinvenuti due esemplari derivati dalla stessa matrice di decorazione

architettonica tardo-antica in terracotta, antefisse o piuttosto elementi angolari di coronamento di un tetto o di un

piccolo frontone, con testa maschile barbata, nella quale è stata riconosciuta l’immagine di S. Paolo, la cui iconografia,

desunta da quella del filosofo antico, si consolidò e diffuse a partire dal IV sec. Ai due manufatti erano associate la

parte terminale di una terza terracotta con iscrizione a lettere impresse (bollo?) PETRI e la parte inferiore di una quarta

con busto panneggiato di personaggio maschile, forse rappresentato in atto di benedire e di sorreggere un rotolo con il

palmo della sinistra aperto, rivolto verso l’alto. L’ultima terracotta risulta l’unica attualmente reperibile presso il Museo

Civico Archeologico di Magliano Sabina.

I reperti suscitano numerosi interrogativi non essendo stato possibile rintracciare che generici confronti tipologici e

tematici con materiali tardo-antichi ed alto-medievali. Sarebbero inoltre da indagare la collocazione, il significato e la

funzione delle terrecotte nell’ambito del contesto di rinvenimento. L’eccezionale acquisizione da un lato getta nuova

luce sugli esiti estremi di una tipologia di decorazione architettonica fittile che per lo più si riteneva estinta nella tarda

età imperiale, dall’altro si pone quale probabile incunabolo della nascente iconografia dei principi degli Apostoli.

Osservazioni sull'epigrafia cristiana di Sirmium

Darija Damjanović Barišić

Le iscrizioni paleocristiane della città antica di Sirmium rappresentano un gruppo particolarmente interessante per

diversi aspetti. Sirmium, la capitale della provincia romana di Pannonia Secunda, odierna Sremska Mitrovica

(Repubblica di Serbia) è conosciuta dalle numerose fonti storiche, agiografiche e archeologiche. Essa è stata un centro

importante nel periodo romano. La città nel Limes danubiano diventa nel corso del IV secolo metropolita ed il vescovo

ottiene la giurisdizione ecclesiastica sulle chiese della Pannonia Savia e della Pannonia Inferior.

Purtroppo finora non esiste una pubblicazone intera delle iscrizioni paleocristiane dell'antica città. L'ultima collezione è

stata edita nel 1909 dal Brunšmid, nella quale sono incluse iscrizioni pubblicate nel terzo volume del CIL. Altre epigrafi

scoperte durante il XX secolo non sono state ancora studiate e pubblicate.

Le iscrizioni prese in considerazione e studiate sono quelle fino ad oggi pubblicate, alcune di esse edite in vari articoli

senza uno studio esaustivo dal punto di vista epigrafico. Sono 25 epigrafi alle quali si aggiungono cinque mense

funerarie pubblicate da Duval. Vengono escluse tutte le iscrizioni che durante lo studio si sono presentate troppo

frammentarie e quindi problematiche dal punto di vista interpretativo. Si rivelano i dati significativi come la grafia, la

tipologia del materiale, il supporto su cui i testi sono stati incisi e l'apparato decorativo qualora sia presente. La maggior

parte delle epigrafi è incisa in lingua latina (23 iscrizioni), meno in lingua greca, nonostante la vicinanza della città

all'area orientale dell'Impero, e la presenza di cittadini greci noti anche dalle fonti letterarie.

Nell'articolo si è cercato di dare un quadro generale dell'epigrafia cristiana sirmiense dal IV al VI secolo d.C. Poche

sono le iscrizioni che riportano informazioni sulla vita quotidiana e religiosa dei fedeli dell'antica comunità cristiana.

Esse hanno un formulario laconico, proprio delle iscrizioni cristiane.

Benchè poche, ci danno un quadro tangibile dei rapporti familiari, ci fanno comprendere aspetti della vita sociale, ed

anche la devozione religiosa dei fedeli nella vita quotidiana della comunità cristiana di Sirmium; alcune menzionano

mestieri, altre corpi militari, altre la gerarchia ecclesiastica.

Attraverso di esse è, quindi, possibile capire lo sviluppo del culto martiriale nel suburbio sirminese. È evidente la

venerazione dei martiri sirmiensi, lo sviluppo del retro sanctus nei cimiteri cristiani, e nella basilica paleocristiana di

sant'Ireneo sono state individuate numerose mensae funerarie.

Concludendo, si cercherà di dare un rapido sguardo alle caratteristiche epigrafiche delle iscrizioni sirmiensi nel corso

dei due secoli ed attraverso di esse di recuperare quel modus vivendi proprio dell'antica comunità della città di Sirmium.

Early Christian Elis. The Christian presence in the cradle of the Olympic Games

Demetrios Eliopoulos

Elis was one of the major cities of the ancient Greek world and has been the city hosts of the Olympic Games of

Antiquity for nearly a thousand years. During the Roman period the city prospered greatly thanks to the benefaction of

the Roman conquerors who reconstructed and adorned the sanctuary of Olympia and the city of Elis with

impressive buildings in accordance with the Roman and late Roman tradition of public benefaction. However, in Late

Antiquity the successive waves of barbarian raids (Heruli, Visigiths, and Vandals) caused serious damages to civic

buildings and led the population to impoverishment.

The Christian presence in Elis is detected both on the few remains of buildings and in a sufficient number of movable

finds, dated to the early Christian period. It seems that the city shrank during this period to a limited area in the center of

the urban fabric. Workshops, shops and few remnants of houses continued to be used during the early Christian times

until at least the 6th century AD. They constitute rough careless constructions which are mere shadows of the past

grandeur of the city. Worthy of mention is a special complex of rooms located at the intersection

of two major roads and used to house workshops’ facilities and shops. It remained in operation until the 6th century and

it was probably destroyed during an earthquake in the mid-sixth century.

The broad avenues of the city were decreased in width, but continued to be used until the end of Late Antiquity as it is

evidenced by the bronze coins found there. Similarly, only some limited areas of public buildings, such as a bath

complex at the heart of the city, seem to be used up to that time.

Christian worship was hosted in the basilica which occupied the site of the ruined South (Corcyrean) stoa at the Agora.

Only an extensive floor mosaic and some scattered architectural members of a Christian church survived. The

mosaic with a geometric decoration dates to the second half of the fifth century AD, and has been associated with a

known workshop active in Crete and the Peloponnese. The basilica was destroyed probably due to earthquakes in the

6th century as two thorakia reused as two cist tombs coverage immediately at the east of basilica suggest.

The Christian presence in the city is also attested by the existence of early Christian tombs in various places of the

city. Christian graves, except for the two mentioned above, were detected in the ancient Theatre, the Octagon and

the main city. In fact two of them mention inscribed names of the buried Christians. Similarly, many finds, such as

lamps, small objects (some of which bear inscriptions and Christian symbols) and coins date to the same period.

The fate of Elis was inextricably linked with the fate of the sanctuary of Olympia. The abolition of the Olympic Games

and the closing of the ancient Greek temple caused the city’s decline. The barbarian invasions in combination with

two powerful earthquakes in the 6th century completed the destruction forcing the urban residents to abandon the

city forever at the end of the century.

Stralci di decorazione dal cimitero di Ciriaca: due arcosoli superstiti

Giovanna Ferri

Il cimitero di Ciriaca – noto anche come coemeterium Sancti Laurentii - sulla via Tiburtina, si sviluppa partire dal III

secolo accanto alla tomba del diacono martire Lorenzo, che conobbe presto un culto eccezionale. L’area cimiteriale

ipogea ha una storia piuttosto travagliata, che trova il suo culmine nella distruzione di molte gallerie a seguito della

costruzione del Campo Santo del Verano, a partire dal 1836. Pochissimo rimane della sua decorazione, che doveva

essere ricca: coloro che visitarono l’area e le gallerie prima del XIX secolo ricordano, accanto ad ambienti semplici,

cubicoli piuttosto sontuosi, con affreschi e mosaici, rivestimenti marmorei, altari, cattedre. Da uno di questi ambienti

provengono i tanto celebri – quanto ingiudicabili – ritratti musivi di Flavius Iulianus e Simplicia Rustica, conservati ai

Musei Vaticani. Uniche testimonianze pittoriche esistenti, allo stato attuale, sono un loculo con motivi decorativi in

monocromia e due arcosoli. Il primo, detto di Zosimiane dall'iscrizione dipinta, presenta, insieme a scene che

appartengono al repertorio più scontato dell'arte cristiana, anche situazioni figurative non legate al referente

scritturistico oppure connesse alla figura della defunta. Il secondo arcosolio, rinvenuto introno al 1863, venne ricostruito

nei pressi del nucleo de Romanis ed è ora totalmente decontestualizzato; la sua decorazione insolita è il motivo

principale per cui non subì la sorte di molti altri ambienti sacrificati per la costruzione del cimitero. Alcune delle scene

che vi trovano posto, infatti, sono scarsamente attestate nell’arte paleocristiana; sia la raccolta della manna che la

parabola delle vergini sagge e delle vergini folli sono riprodotte in pochissimi casi, spesso con schemi differenti. La

decorazione di questi arcosoli assume un indubbio rilievo, poiché si tratta di stralci della decorazione di un’area

cimiteriale tra le più frequentate del suburbio romano.

La Porticus Constantini: status quaestionis

Simona Giorgetti

Per quanto i Cataloghi Regionari collochino la Porticus Constantini nella Regio VII augustea, ancora oggi non è emerso

alcun dato materiale certo che identifichi l'esistenza e la corretta ubicazione di tale manufatto e, dato che quella dei

cataloghi stessi è l’unica menzione esplicita di questa Porticus nelle fonti antiche, alcuni studiosi sono arrivati a

dubitare della esistenza di essa. Dai rari approfondimenti finora proposti sul tema (cfr. S.Vilucchi, LTUR IV, 1999,

pp.119-120), possiamo dedurre comunque che finora non è stato possibile elaborare una ricostruzione del complesso né

tantomeno comprendere con precisione la posizione ed estensione, anche se, almeno per l’ ambito topografico, sono

state avanzate varie ipotesi: Lanciani, sul finire del XIX secolo, ha proposto di posizionare la Porticus Constantini ai

piedi del Quirinale, tra le antiche via Lata e via Biberatica, e in stretta connessione con il Tempio detto di Serapide (ma

oggi identificato con quello di Ercole e Dioniso), al quale la Porticus si sarebbe legata, fungendo quasi da vestibolo

all’enorme edificio sacro (che era però di età severiana). Altri studiosi ritengono che l'opera costantiniana sia da

posizionare sempre nella zona del Quirinale ma sotto un'ala del Palazzo Pontificio detto della Panetteria, poiché è qui

che Winckelmann ha rinvenuto un pavimento a mosaico grossolano e degli archi di notevole grandezza, che

inizialmente sono sembrati, allo studioso stesso, di difficile attribuzione, ma che successivamente sono stati ritenuti

coerenti, anche per l'imponenza delle dimensioni degli elementi rinvenuti, con il tipo di costruzione che si poteva

ipotizzare per la Porticus Constantini. Altri studiosi ancora, infine, pongono il manufatto di Costantino in stretta

connessione con le sue terme.

Date le citate incertezze, ancora in essere, è sembrato opportuno riprendere e tentare di approfondire la tematica

relativa alla Porticus Constantini, partendo da una ulteriore analisi non solo dell’ unica fonte antica specifica , ma anche

di fonti indirette sia medievali che più tarde ancora, e tenendo conto delle risultanze di scavi antichi e recenti nellle

diverse aree nelle quali è stata ritenuto possibile ipotizzare l’ubicazione di questo importante intervento costantiniano,

in modo da cercare qualche ulteriore indizio circa la sua esistenza, la sua collocazione e, in modo particolare, la sua

architettura e la qualità dei materiali usati. Ovviamente si tenterà anche di raccogliere quanto è noto o ricostruibile, più

in generale, sulle delle altre porticus di epoca tardoantica e, per questo motivo, la ricerca sarà estesa non solo alle strade

porticate note a Roma, ma anche alla vasta bibliografia relativa alle più numerose e meglio studiate strade porticate

delle altre metropoli della tarda antichità - prima tra tutte quella della nuova Roma costantiniana sul Bosforo - allo

scopo di fissare uno scema di riferimento anche in senso diacronico che permetta di inquadrare quanto rilevato a

riguardo della Roma tardoantica nel più ampio fenomeno della diffusione di questa particolare forma architettonica di

notevole impatto urbanistico nelle metropoli del IV secolo.

Beitrag zur konstantinischen Architektur – der sog. Ianus Quadrifrons

Pia Gremmelspacher

Dem sog. Ianus Quadrifrons, einem vierbogigen Tormonument, welches sich in nächster Nähe zum Forum Boarium –

vor der Kirche S. Giorgio in Velabro – befindet, wurde in der Forschung wenig Beachtung geschenkt. Dabei handelt es

sich um ein Monument, welches noch bis zu einer Höhe von ca. 16 m aufrecht steht. Da sich keine Bauinschrift in situ

erhalten hat, aus der hervorgeht, von wem, für wen, aus welchem Grund, mit welcher Funktion dieser Bogen errichtet

worden ist – versucht dieses Paper die verschiedenen Forschungsmeinungen zusammenzufassen und den Bogen in

seinem topographischen Kontext zu sehen.

Errichtet wurde der Bogen sehr wahrscheinlich in spätantiker Zeit – das lässt sich vor allem aufgrund der

Konstruktionstechnik (Ziegelkern mit Marmorverkleidung – wieder verwendet) schliessen, sowie aufgrund von

stilistischen Vergleichen der Bauornamentik und statuarischen Ausstattung. Stellt sich die Frage, wer für die Errichtung

in Frage kommt – und aus welchem Grund. Zuletzt nochmal von Mühlenbrock betont – kommt nur ein kaiserliches

Umfeld in Frage - Monumentalität und Lage.

Vorgeschlagen wurde zum einen eine Errichtung zu Ehren Konstantins, da ein arcus divi Constantini im

Regionenverzeichnis Reg. XI vorkommt. (literarische Quelle) – Problematisch hierbei ist, dass DER Arcus Constantini

NICHT genannt wird – es könnte sich also auch um einen Fehler handeln.

Eine weitere Möglichkeit wäre eine Errichtung unter Constantius II. – zu Ehren dessen Besuchs in Rom 357 n. Chr.

und somit die Zuweisung des Baus an eine konkrete historische Situation.

Es haben sich zudem Fragmente einer monumentalen Inschrift erhalten – die heute eingemauert in der Kirche San

Giorgio in Velabro sind. Hierbei ist die Rede von dem Sieg eines Imperators über einen Tyrannen (CIL VI, 30364, nn.

5, 6, 7)

Versucht man den Bogen in seinem topographischen Kontext zu sehen – fällt auf, dass er sich u.U. auf der Wegstrecke

der pompa triumphalis befunden haben könnte und zudem in nächster Nähe zum Palatin errichtet wurde.

Serbia as Bridge and Internal Border. The Topography of Christianization between Orient und Occident

Displayed on Several Examples

Marko Kaplarević

The "official" meeting between Christianity and the state and society of late antiquity, as well as the events that

occurred in Roman Empire in direct correlation to that at the beginning of the 4th century, determined in many ways

and to a large extent, the future course of European and world civilization. The so-called Constantine's shift and the

process of Christianization that followed significantly influenced the development of the late antique society.

Within the studies of the late Roman society Christianization, it is of particular importance to emphasize the

prominence of the Balkan Peninsula and to explore its’ role of a natural link and later boundary between the western

and eastern part of the empire, in this process. As such, this area was a point of transfer and permeation of various

political, cultural and religious influences, especially during the displacement of power to the East. From the times of

the military anarchy, Diocletian's Tetrarchy and civil wars, to the self-rule of Constantine the Great, his sons and

successors throughout the 4th century and later, even today, the Balkan region became a witness of tumultuous events

that have left traces in the archaeological material.

The territory of Serbia is located in the central part of the Balkan Peninsula, within the area of the late Roman

Prefecture of Illyricum. It covers parts of the territory of four late Roman provinces whose importance stemmed, among

other things, from their geo-strategic location and the fact that many Roman emperors were born there. The presence of

Roman and later Christian civilizations archeologically is most evident in towns, military camps and smaller settlements

in Pannonia, along the Danube limes, on the crossroads and along major roads and places related to the exploitation of

mineral and natural resources of the region.

The preparation of my dissertation with the working title Early Christianity in Serbia has several objectives:

· To investigate the evolution and the role of cities within the framework of the new (Christian) religion and the

systematic development of the historical, archaeological remains. This is especially the case for the numerous graves

and churches, which have emerged in recent years and became known, among others, through emergency excavations.

· To integrate into the existing databases all of the detailed historical and archaeological information on the sites from

various published and especially, those unpublished sources in Serbia and abroad.

· To prepare bibliography with picture database.

· To work out an overall study on early Christian cities and sites on the territory of modern day Serbia in comparison

with contrasting evidences in nearby states.

My poster presentation would, through visualization, enable the representation of topographic image of early

Christianity in Serbia and offer an overview of the most important results of the research. The image and the

topography of the early Christian communities on the territory of Serbia have been derived from literary sources and the

archaeological data. In this regard, I would also like to mention the project Early Christianity in Naissus and Environs

in the Context of Other Countries of the Balkan Region, which was instrumental in establishing the cooperation between

the Institute for the Study of Ancient Culture (IKAnt) in Vienna and Archaeological Institute in Belgrade (AIB) on the

further study of Christianization and transformation processes of the late Roman society in the Balkans. The joint work

will be published in a monograph dedicated to the late Roman necropolis in Jagodin Mala in Niš, which is not only one

of the largest of its kind, but due to the findings of early Christian sacred and sepulchral paintings certainly one of the

most important.

Recently, the studying of this period has been increasingly relied on the results of archaeological excavations whose

importance continues to be confirmed by maintaining of the 16th International Congress of Christian Archaeology in

Rome this year. Also this year, by organizing various activities and events, Serbia celebrates the 1700th anniversary of

the so-called Edict of Milan. One of the most important events is certainly the exhibition called Constantine and the

Edict of Milan (313) The Birth of Christianity in the Roman provinces on the territory of Serbia, organized by the

National Museum in Belgrade and accompanied with the catalog that includes seventeen articles of the most prominent

Serbian experts in this field. During the month of June 2013, the 12th International Symposium Niš and Byzantium was

held in the birthplace of the Emperor Constantine Naissus.

Taking part in the conference in Rome would be an ideal opportunity not only to discuss the most important early

Christian sites and finds from Serbia, but also to present these and other projects and events that are organized in Serbia

this year.

Circo Massimo: un intervento di restauro di età costantiniana

Ivana Kvetánová

È noto, che il grande obelisco, che oggi si trova a fianco del Laterano, fu portato a Roma per ordine di Costantino per

essere innalzato nel Circo Massimo e che soltanto suo figlio Costanzo II concluse questa operazione nel 357 durante la

sua breve e unica visita a Roma. Meno noto è invece l’intervento di restauro e abbellimento che lo stesso Costantino e

fece eseguire sul quel monumento, probabilmente nell’ultimo periodo del suo regno. Il Panegirico che Nazario dedicò

all’imperatore nel 321 sembra piuttosto esplicito in tal senso e anche i riferimenti a rutilantes auro columnae contenuti

in quel testo, si prestano ad interpretazioni che meritano di essere approfondite. Questi ed gli altri dati documentari

vengono presi in considerazione e confrontati con i documenti iconografici e archeologici.

The early-Christian churches architecture of Chersonesos Taurica

Lena Klenina

The remnants of the Ancient city of Chersonesos have been explored for 185 years now. In 1827, first three early-

Christian churches were uncovered by a lieutenant of the Russian Black Sea fleet K. Kruze. Archeologists and

historians have shown particular interest in the topography of this Byzantine city, whose buildings have been fairly well

preserved. Modern scholars were at first interested in the early-Christian relics located on the territory of the site. In

1888, the Imperial Archaeological Commission (St. Petersburg) started the program of excavations in Chersonesos,

conducted by K. Koscjuško-Valjužinič. During twenty years of his work, this scholar discovered several basilicas and

cruciform churches of the Early-Byzantine period.

This paper will be focused on the Christian topography of Chersonesos and architecture of the early-Christian churches

of the 5th–6th cent.

The churches are divided into two essential categories. One is basilicas with apses which are semicircular both outside

and inside. There are three such edifices in Chersonesos: the Uvarov basilica (the 5th–6th cent.), the 1935 basilica (built

in the mid-6th cent.) and the Basilica in a Basilica (whose first period of construction was in the 6th cent.). Another

category consists of six basilicas whose apses are polygonal outside. These are: the Western basilica (6th–7th cent.), the

Basilica on the hill (6th–7th cent.), the Northern basilica (6th cent.), the 1932 basilica (6th–7th cent.), the basilica at the

cathedral (6th cent.) and the Eastern basilica (6th–7th cent.).

The walls of the principal basilicas of Chersonesos were erected in the opus mixtum technique. Clear evidence of this is

provided by the Uvarov basilica and the baptistery in the Uvarov complex as well as the Western basilica. All the

Chersonesos churches had similar roofs: earthenware ridge roofs laid on wooden rafter framing above the nave, and

pent roofs above the aisles and the narthexes. The apses were covered with conchae.

The proposed classifications, based on the similarities of designs and forms, demonstrate that the early-Christian

churches of Chersonesos. At the same time, a variety of influences is also noticeable, resulting in a highly interesting

mixture of building forms and techniques of various origins. Still, the main source of inspiration was

Constantinopolitan, Greek and Syrian rather than Western Roman.

Mosaic inscriptions in the Basilica of Sv. Nikola (St. Nicholas) on the island of Krk

Anamarija Kurilić, Zrinka Serventi

The excavations at the site of St. Nicholas' basilica in Jurandvor (Baška) on the island of Krk revealed a complex sacral

building with three naves, narthex, an apse inscribed into the straight back wall, and additional rooms (secretaria) next

to the apse. Also, several graves and a sarcophagus, all pertaining to the local higher social class, were discovered

within the narthex. Almost all of the floors in the basilica were decorated with mosaics, both two-tone and polychromic.

The mosaic itself was damaged, due to the subsequent agricultural activity but also due to the inadequate foundation for

the tesserae. The first mosaic to be discovered was the one mentioning the donor Saprilla who financed the construction

of the apse and secretariae together with mosaics within them. Most recent archaeological excavations revealed the

extensive polychromic mosaic pavement in the central nave which, apart from several standard Christian motives,

consists of numerous donors' inscriptions, mentioning merely their names and simple phrases such as cum suis fecit (or

fecerunt)

Although the mosaics were, during the late antiquity, widespread and popular, the mosaics with inscriptions are not so

numerous in Eastern Adriatic and its hinterland. The nearest similar mosaic inscriptions were discovered in ancient

Rijeka (Tarsatica) and Pula (Pola) but the most notable ones are still preserved in the Euphrasian basilica in Poreč

(Parentium). The similar mosaics can also be found in other, more distant places, such as Aquileia, Grado, Celeia,

Emona and others. We shall compare and contrast such inscriptions in order to emphasize the existence of local elites,

in spite of the political turmoil and conflict taking place throughout the Roman world, and show how Christian art was

at that time the true successor of classical Roman culture. Furthermore, the epigraphic and palaeographic characteristics

of these inscriptions will be discussed in detail, especially in the wider context of Eastern Adriatic late antiquity.

Considering that the area of Baščanska kotlina is abundant with archaeological sites (e.g. Baška, Jurandvor, Veli grad,

Sutvid etc.) the question of importance of this territory arises and the vicinity of another sacral building, the St. Mark's

basilica, with similar polychromic mosaics attests to that claim as well. We shall present the overall implications of the

discovery of St. Nicholas' basilica for the wider territory of Eastern Adriatic, as well as for the micro-geographical area

of Baška. Also, in order to determine the changes taking place in the late Roman society, we shall discuss the quite

obvious shift in donations, which during the early Roman times concentrated on public and administrative buildings

while during the late antiquity focused more on sacral architecture. The prolific building activities taking place during

the late antiquity on the island of Krk were certainly an indicator of social and political circumstances somewhat

specific for this island. The implications of such numerous and well built sacral buildings and their distribution on the

island will be presented here as well.

The church of St. Nicholas was used for at least two centuries and the remains of charred beams and fallen roof tiles

(tegulae and imbrices) indicate a quite violent cessation of use of this church. The pagan character of several early

medieval graves dated to the 9th century found nearby indicate the full expansion and settling of new populations.

Therefore we shall place this church and all of its components into the wider context of historical events in order to

clarify the changes taking place in this territory.

Il sarcofago della Passione del Museo Pio Cristiano

Alessandra Lazzara

Nell’ambito della produzione della plastica funeraria costantiniana, si sviluppa, nei decenni centrali del IV secolo, una

nuova e curiosa classe di sarcofagi, incentrati sulla raffigurazione di episodi altamente drammatici e cruenti come la

Passio Christi, la cattura dei Principi degli Apostoli e la decollatio Pauli. Ma il vero e proprio fulcro significativo dei

sarcofagi di passione è individuabile nell’immagine dell’Anastasis che domina incontrastata, con una posizione di

assoluto rilievo, i programmi figurativi di questa tipologia di manufatti. Costantino, legato indissolubilmente alla storia

del monogramma eusebiano, ne diviene anche il più importante sostenitore e promulgatore, favorendo la sua fortuna

nello sviluppo dei programmi decorativi, ma, al contempo il suo interesse, insieme a quello della madre Elena, investì il

settore dell’edilizia cristiana.

Il particolare interesse dimostrato, dall’imperatore ed Elena, per la valenza semantica dell’Anastasis e della Croce del

Salvatore divengono le tematiche preponderanti del sarcofago, conosciuto con la denominazione ex-lateranense n. 171,

proveniente da Tor Marancia, nell’area del sopraterra del cimitero romano di Domitilla. Sono presenti scene

cristologiche dalle peculiarità figurative uniche tanto da rimanere dei veri e propri unica iconografici nell’arte cristiana

delle origini. Ci troviamo di fronte a ben due episodi relativi alla Passio Christi: la cosiddetta coronazione di spine del

figlio di Dio e il trasporto della Croce da parte del Cireneo. Se la tematica dell’incoronazione di spine trova un riscontro

nell’affresco presente nel cubicolo, detto appunto della “coronatio”, della catacomba romana di Pretestato,

assolutamente unica nel suo genere è la raffigurazione con Simone di Cirene costretto, contro la sua volontà, a

trasportare la croce per l’ultimo tratto del Calvario, vista l’impossibilità del Cristo di continuare sotto il gravoso peso.

É probabile che tali scene ebbero poca fortuna per la complessità esegetica del soggetto trattato, tanto che, risultando

assai poco comprensibili dai fedeli, non furono più riproposte, ma, al contempo, non è escluso che queste tematiche,

esistenti un tempo, siano andate semplicemente perdute nel corso dei secoli, tanto che non se ne serba alcuna traccia,

tranne alcuni flebili, ma significativi, esempi nelle cosiddette arti minori.

L’imago clipeata nei sarcofagi di età costantiniana: continuità e divergenze rispetto all’arte classica

Luca Mazzocco

Questa proposta di comunicazione prende spunto dall’argomento della mia tesi di dottorato in Iconografia presso il

Pontificio Istituto di Archeologia Cristiana, riguardante lo studio dell’origine artistica dell’imago clipeata e il suo

progressivo inserirsi nell’arte paleocristiana. Ho scelto quest’argomento perché si tratta di una tematica che, pur essendo

già stata oggetto di alcuni articoli, non è stata ancora studiata nella sua evoluzione in maniera sistematica.

La tecnica dell’imago clipeata, che racchiude il vivente oppure il defunto all’interno di un elemento circolare o clipeo,

simile come forma agli scudi rotondi, risente di una concezione che affonda le sue radici nella storia del pensiero antico.

Infatti il clipeus (in greco ἀσπίς) è visto come immagine del cosmo già a partire dal mondo classico, dove possiamo

anche ipotizzare anche un rapporto con il Vicino Oriente e in particolare con l’arte persiana al cui interno le divinità

vengono rappresentate all’interno del disco solare. Quindi originariamente l’imago clipeata è concepita come qualcosa

connesso alla divinità, passando solo in un periodo successivo ad essere utilizzata anche per rappresentazioni di

personaggi umani (εἰκών γραπτή εν ὅπλω).

Questo passaggio si viene a verificare a partire dall’età ellenistica, fungendo da strumento di rappresentazione da parte

delle personalità politiche e militari. Questo comporta che le immagini vengano poste nei templi e nei monumenti di

maggiore rilevanza, con un intento prevalentemente di tipo celebrativo. Questa pratica di rappresentare personaggi

pubblici in vere e proprie gallerie d’immagini continua fino al Tardo Impero in ambiti culturali diversi come

testimoniato da una galleria di ritratti rinvenuti in un edificio di Dura Europos, raffiguranti una serie di impiegati della

legione.

Questa tecnica viene poi ad essere trasportata all’interno dell’arte funeraria romana, in cui il defunto è posto

frequentemente all’interno di un clipeo, sia in contesti pittorici che sui sarcofagi. Il carattere ultraterreno della

rappresentazione è esaltato dal fatto che spesso il clipeo è decorato con i simboli zodiacali ed è sostenuto da Vittorie o

genii alati, che rimarcano la nuova condizione del defunto.

Nell’arte paleocristiana abbiamo numerose attestazioni dell’uso di questa modalità di rappresentazione, che riguardano

sia l’arte monumentale (scultura, pittura, mosaico) che le cosiddette “arti minori” (vetri, avori), in un arco cronologico

che va dal IV secolo in poi e con una distribuzione geografica quasi uniforme.

Il contesto su cui voglio maggiormente puntare l’attenzione nel corso della presente comunicazione è quello dei

sarcofagi in cui questo motivo è mutuato dalla tradizione precedente, con alcune varianti di grande importanza come la

trasformazione del clipeo che può diventare una corona, oppure subire una monumentalizzazione a forma di conchiglia,

ed essere sorretto da personaggi alati, che mutuano in un contesto cristiano le immagini precedentemente utilizzate.

Andando ulteriormente a focalizzare la mia ricerca, in corrispondenza con la tematica del Congresso, voglio presentare

in quest’occasione una riflessioni dei sarcofagi paleocristiani di età costantiniana, cercando di compiere uno studio

approfondito verificando le diverse occorrenze in cui tale tecnica di rappresentazione viene ad apparire, sia in contesti

romani che provinciali, senza dimenticare di effettuare dei confronti con la coeva produzione pagana.

Per quanto concerne l’elemento della ritrattistica mi propongo, nei limiti del possibile, di verificare in quali casi si

cerchi di dare una visione semplicemente idealizzata del ritratto, oppure si voglia rappresentare il defunto con tratti

realistici, tenendo conto anche dei casi in cui i ritratti sono lasciati incompleti.

The episcopal group of Egitania in Late Antiquity. An archeological approach

Jorge Morín de Pablos, Isabel Sánchez Ramos

The spread of Early Christianity throughout the territories of the Medieval Europe was essentially based on the

establishment of bishoprics, aterialized in the construction of large episcopal groups. As bishoprics were the new

centres of power, it is key to learn about them to understand the development of medieval cities in Europe and the

western Mediterranean. Yet, knowledge of episcopal architectural and topography ensembles tends to be based on

written sources rather than on their material conservation. Among the Late Antique episcopal groups documented by

archaeologists in present-day Western Europe, we will focus our participation with the presentation of an

interdisciplinary research about the episcopal group of ancient Egitania (Idanha-a-Velha, Portugal). The objective is to

obtain technological knowledge of this complex by applying a multidisciplinary methodology that includes concepts

related to history, archaeology, geomatics and remote sensing. Its main historical importance lies in its excellent

conservation status. It can be considered an archaeological reserve, which makes it a unique reference in present-day

Europe. The constructions around the cathedral are a historic object of analysis that has been under discussion since

Fernando de Almeida began the first archaeological and restoration work in 1954. Yet, the rest of the site surrounding

the Christian complex and the archaeological reality of the city during Late Antiquity and the Early Middle Ages is yet

to be explored.

Alle origini di Albintimilium cristiana: Rilettura di dati archeologici editi e inediti

Carlo Pampararo

Il municipio romano di Ventimiglia e il sito di altura della città medievale, nella Liguria di Ponente, sono noti da tempo

per studi e ricerche archeologiche e storiche di età classica e pienamente medievale, mentre la realtà paleocristiana,

tardo antica e altomedievale sono state piuttosto trascurate.

Le successioni cronologiche che caratterizzarono la storia dell’Albintimilium romana sono state ben documentate e

pubblicate soprattutto da Nino Lamboglia e da Francisca Pallarés, in seguito ai numerosi scavi compiuti essenzialmente

dagli anni ’40 agli anni ’80 del XX secolo in diversi settori a ponente del fiume Nervia. Rimangono da valorizzare le

stratigrafie e le testimonianze posteriori al IV. Mancano studi sistematici sui materiali di queste epoche, limitando di

fatto la possibilità di un’analisi accurata che permetta di cogliere a fondo i fattori che portarono entro il IX e X secolo la

popolazione a trasferirsi in gran parte verso ponente, nell’area del fiume Roia, sia lungo il suo corso che sul “Cavo”,

dove sorse la città medievale fortificata di Ventimiglia.

Tramontate le teorie relative alle devastazioni barbariche, nuove letture permettono di accertare quanto la vita abbia

continuato alla foce del fiume Nervia, sia in epoca bizantina che, molto verosimilmente, fino almeno ai primi secoli del

Medioevo.

Recenti scoperte effettuate dagli anni ’90 ad oggi, sia dalla Soprintendenza per i Beni Archeologici della Liguria che da

uno scavo dell’Istituto Internazionale di Studi Liguri, hanno portato nuovi dati, per ora solo molto parzialmente editi,

che attestano, almeno per i secoli V-VII, la persistenza di presenze abitative.

Allo stesso modo è ormai accertata la presenza di aree sepolcrali attribuite ai secoli VI-VIII sull’altura del Cavo,

associata ad un edilizia articolata di edifici probabilmente a carattere pubblico. Sia le fonti letterarie che diverse

indagini archeologiche negli ultimi settant’anni portano ad ipotizzare una doppia zona di insediamento dell’area, o

addirittura una sostanziale omogeneità abitativa dalla città romana sul Nervia a levante fino all’area del Roia e all’altura

del “Cavo”.

Tali dati sono essenziali per chiarire la natura della topografia cristiana dell’intero insediamento. La prima attestazione

di una gerarchia episcopale appare nel 680, con un Vescovo Giovanni. Non si può ovviamente escludere una presenza

cristiana anteriore e alcuni dati archeologici permettono di definire nuove linee guida in proposito.

Lo studio archeologico di strutture e materiali, per tutta l’area interessata, permette finora di avere una percezione molto

parziale della zona urbana romana e tardo-romana, impedendoci di analizzare tutte le fasi insediative, anche perché

l’urbanizzazione intensa, senza indagini preventive, fa apparire slegate realtà una volta unite.

Mancano inoltre studi geomorfologici relative sia alla linea di costa che alle strutture portuali, così come indagini

sottomarine.

Nell’ambito di questa comunicazione, ci si propone di chiarire, in base ad una nuova lettura delle fasi di un

insediamento, ben più articolato di quanto sia stato proposto in passato, la natura della topografia cristiana di

Albintimilium, sia nell’ambito dello spazio della città classica che nelle fasi alle origini della città medievale, in un

suggestivo bipolarismo finora non sufficientemente percepito e valorizzato, pur ricco di testimonianze in buona parte

trascurate.

Un tentativo di calcolo dei costi di costruzione della basilica costantiniana di San Pietro a Roma

Patrizio Pensabene, Javier Á. Domingo

Negli ultimi anni, a partire soprattutto degli studi di J. DeLaine e P. Barresi, a cui hanno seguito i nostri lavori su casi

spagnoli e africani, si sta profilando un interesse sempre maggiore per lo sviluppo di metodi di calcolo che permettano

ricostruire i costi dell’architettura del mondo antico: tale interesse si è però concentrato su edifici di piena età imperiale,

in quanto non si è finora esteso all’architettura paleocristiana, nonostante siano molto spesso note committenze,

donazioni e talvolta anche l’entità di singoli contributi di vescovi e fedeli spesi per l’arredo di una chiesa. Ma le

iscrizioni, in genere musive, con l’indicazione della somma spesa riguardano un complesso di operazioni che

intervengono nella sua messa in opera. I costi invece dei materiali, della manodopera e del trasporto, che sono le più

importanti variabili che intervengono a determinare la spesa totale affrontata per una costruzione, sono noti grazie

all’Editto di Diocleziano e tanto più importante è tale circostanza perché riguarda un periodo di pochi decenni

precedenti all’elevazione di S.Pietro. Nei calcoli che stiamo per affrontare, quindi, si è dovuto tener conto solo dei

valori dell’inflazione che intercorrono tra Diocleziano e l’avanzato periodo del principato di Costantino, quando la

basilica venne realizzata.

Ma rispetto agli studi finora condotti in questo campo, la ricerca dei costi di costruzione della Basilica di S. Pietro

introduce una nuova variabile, quella dei materiali di reimpiego. Nel caso di una committenza imperiale, possiamo

ipotizzare che le spoglie architettoniche e anche materiali da costruzione, come laterizi e tufelli, provengono da

magazzini statali o da residenze imperiali o altro edificio pubblico fuori uso, per cui non è da considerare il costo

dell’acquisto, semmai del valore in se, anche se si tratta di proprietà statale.

L’uso di spolia genera ciononostante alcuni problemi metodologici; dovremo infatti ricostruire non più la spesa di

estrazione dei marmi dalle cave e del loro trasporto, bensì preliminarmente tentare una distinzione tra i materiali che si

possono supporre provenienti dalla demolizione di un edificio fuori uso da cui si è deciso di prelevare le spoglie, e

quelli che invece si ritiene provenienti da un magazzino pubblico, ma possibilmente anche privato, in cui erano stati

depositati in epoche precedenti. Infine, proprio S.Pietro presenta anche la testimonianza di elementi architettonici, come

basi, fusti e capitelli soprattutto del tipo composito a foglie lisce, che sono da considerare non come spoglie, ma come

materiali contemporanei alla basilica, con una distinzione tra basi e fusti che paiono derivare da importazioni dalle Cave

del Proconneso e i capitelli invece da ritenere scolpiti da officine urbane.

Nell’affrontare il calcolo dei costi dei materiali marmorei dobbiamo tener conto, dunque, di importanti parametri, che

vanno esaminati caso per caso non potendosi fare generalizzazioni sulle modalità di approvvigionamento. Abbiamo

però dato la precedenza al calcoli dei volumi di tutto il materiale che si può con una certa sicurezza attribuire all’elevato

della basilica – su cui esistono rilievi eseguiti al momento della demolizione nel ‘500 e una serie d’importanti

ricostruzioni- perché le quantità così ricostruibili sono un punto fermo, da cui si può partire per il calcolo delle spese di

trasporto e soprattutto della messa in opera. Non si può infatti ritenere che il trasporto fosse stato fatto del tutto con

mezzi statali, in quanto siamo in un periodo, come già ci mostrano l’Editto di Diocleziano e i rescritti raccolti nel

Codice Teodosiano, in cui tutte queste operazioni erano appaltate a privati; lo stesso vale per la manodopera impegnata

nella costruzione, che tra l’altro doveva essere specializzata nella tecnica dell’assemblaggio, cioè di costruire attraverso

spoglie che costituivano anche buona parte della muratura.

Nei casi degli elementi marmorei nuovi e d’importazione, essi sono da ritenere probabilmente un dono di Costantino,

avvenuto in un momento in cui si era verificato un rilancio nelle attività delle cave imperiali per la costruzione delle

nuove residenze degli imperatori e ben presto di Costantinopoli. Va anche distinto, per quanto riguarda la produzione

delle cave, se esse, pur essendo dipendenti dall’amministrazione imperiale, presentavano modalità di conduzione

interne tramite appalti e concessioni a privati dell’estrazione di quei settori delle cave di proprietà imperiale, oppure

tramite il prelievo effettuato sulla produzione operata da privati che gestivano in vari regimi di proprietà e di

conduzione settori importanti nelle cave. Sappiamo infatti che proprio in età tarda alcune parti delle cave del

Proconneso dovevano essere private.

Il risultato che il nostro lavoro vorrebbe raggiungere è quello della ricostruzione della spesa totale teorica affrontata per

l’edificazione della basilica, ma il valore economico complessivo non deve necessariamente coincidere con quello

veramente speso, ma costituisce una base da cui partire per approssimazioni successive.

Gold-glass medallions and the development of early martyrial iconography

Javier Andrés Pérez

In the last decades, late Antique and Byzantine studies have developed a very intense debate, in which art has been

integrated as an essential source of information. However, although ivory diptychs, numismatics and other artistic

manifestations have attracted a great deal of attention, there are other archaeological materials that can be considered as

primary iconographic documents. In this regard gold-glass medallions provide an important amount of visual

information that reflects the nature of the religious transformations affecting the later Roman Empire.

These gold-glasses, although dispersed among many museums, were mainly found in the catacombs of Rome, and

therefore belonged to the private-funerary sphere. Their iconographic representations illustrate the beliefs of their

owners, and consequently reveal the complexity of the religious syncretism of the period. It is very important to take

into account the coexistence of Pagan, Jewish and Christian symbols within these productions, even when the

progressive triumph of the Christian faith will define the evolution of the main iconographic themes appearing in gold-

glasses. Furthermore, the study of these items is especially relevant because they show the progressive orientation of the

artistic language to certain formulae, that will build up the spiritual and aesthetic foundations of the Middle Ages.

The iconography of Roman martyrs was a privileged subject, and specifically the figures of Peter and Paul, which

appeared in a high percentage of glasses. Other typologies include private individual and family miniature portraits,

praying figures, inscriptions, and a wide range of scenes from the Bible. In any case, the enormous impact of the

specific iconography of Peter and Paul is directly related to the process in which the Roman Church was constructing a

new concept of authority, significantly based on the cult of local martyrs. The city itself was a lieu de mémoire where

the presence of the sacred was still alive in many places, and both the the Acta et Passiones Martyrum played a key role

in the preservation of these memories.

In this paper I will analyze a representative group of images of Roman martyrs appearing on gold-glass medallions, as

well as their historic and social context. The aim of this study will be to obtain a number of conclusions about how these

images reflect how the cult of martyrs was crucial before the pontificate of Pope Damasus (366-384), and furthermore,

since the end of the 3rd

century, even though the promotion of the figures of Peter and Paul was considered to have

taken place mostly in the second half of the fourth century. This fact could be indicative of the progression of these

cults from the private sphere to the institutional Church. Gold-glasses also reveal the continuities and discontinuities of

the religious-social patterns within the same society. The variety of representations contained in these artefacts is

illustrative of specific individual beliefs, far from the complex rhetoric of the official-imperial entourage.

The Chi-Rho-monogram in the 4rd century: Symbol of Christ or Imperial Victory?

Siri Sande

It is generally agreed that the sign Constantine the Great ordered to be painted on the shields of his soldiers before the

battle against Maxentius in 312, was the so-called Chi-Rho-monogram, which appears for the first time in an Imperial

context on Constantine’s helmet on a silver medallion minted at Ticinium (dated to 313 or 315). It is there seen chiefly

as a symbol of victory, and as such it appears throughout the 4th

century, both in religious and secular contexts. Only at

the beginning of the 5th

century does the Chi-Rho-monogram appear as part of Christ’s nimbus. It was especially

popular in Northern Italy, but was soon supplanted by the more popular cross. There would seem to have been one

exception to this rule: the enigmatic mosaic from the Roman villa at Hinton St. Mary in England, which shows the bust

of a youthful, effeminate person without nimbus, but with a Chi-Rho-monogram behind its head. The mosaic cannot be

dated with certainty, but it is clearly a 4th

century work, perhaps made around the middle of the century. The bust in the

mosaic has been identified as Christ, though the fact that it is placed on a floor where it can be stepped on, has caused

some perplexity. Its context, which includes non-Christian motifs such as hunting scenes and a medallion with

Bellerophon and the Chimera, has been variously interpreted. Some scholars have tried to “Christianize” the non-

Christian scenes, while others have attributed the oddities of the mosaic to its provincial setting.

It shall here be argued that the person with the Chi-Rho monogram is not Christ, but a female figure, one of the many

personifications which were so popular in Late Antique mosaics. The Chi-Rho monogram suggests that it represents an

Imperial virtue, such as Salus, Concordia, Providentia etc. There are several candidates to choose from, and perhaps

inscriptions on coins may be of some help. Its presence in a Roman villa may mean that the owner was an official who

received his visitors as a representative of the Empire.

The Chi-Rho monogram is connected with the emperor throughout the 4th

century and into the 5th

. The silver plate in

Geneva showing the emperor Valentinian is the most striking example, since the monogram is contained within a halo

surrounding his head. In this case one could perhaps say that the Emperor has turned into a living symbol of his own

victory. Other examples (the Rothschild cameo, the diptych of Honorius) show the Chi-Rho monogram on objects

carried on the emperor’s person or in his hand. On the Arcadius column in Constantinople the Chi-Rho monogram is

still used as a victory symbol, but now competes with the cross. Once the reluctance to show the cross had been

overcome, it seems to have gained in popularity while the Chi-Rho monogram gradually fades into the background,

though it does not disappear. The cross, which had a more direct link with Christ himself, was of course a more

powerful symbol than the Chi-Rho monogram, which was the symbol of an Imperial victory, though certainly an

important one.

L'Ecclesia Agrigenti: nuovi dati per la cristianizzazione delle campagne dal territorio compreso tra Agrigento ed

il fiume Platani

Giuseppina Schirò

Si presentano in sintesi i risultati dell’indagine condotta in una delle macroaree in cui è stato suddiviso il territorio della

diocesi di Agrigento, all’interno del più ampio lavoro di ricognizione delle evidenze funerarie effettuato per ricostruire

uno degli aspetti più tangibili della cristianizzazione della campagne in età tardo antica. Il settore in esame si estende

lungo la fascia costiera e subcostiera compresa fra Agrigento e la foce del fiume Platani, gravitante sulla direttrice viaria

che in età imperiale raggiungeva Lilibeo (Itinerarium Antonini), che ricalca in parte l’attuale S 115. Tale scelta è

motivata dalla convergenza di alcuni fattori di ordine ambientale, socio-economico e politico-culturale che rappresenta

il sostrato su cui si cerca di cogliere l’incidenza degli elementi cristiani nella strutturazione dello spazio rurale. La

ricomposizione di questo paesaggio si sostanzia in prima istanza sulla rete cimiteriale, principale fossile guida, e quando

presenti anche sugli edifici di culto, la cui distribuzione nell’area indagata ha rivelato un forte potenziale informativo

integrandosi con i dati provenienti dalle prospezioni di superficie degli ultimi decenni. Alla luce di ciò, si è

necessariamente posto il delicato problema della contestualizzazione delle aree sepolcrali individuate in relazione ai

singoli ovvero ai diversi insediamenti di riferimento, spesso purtroppo con ampi margini di incertezza. Nel rapporto fra

spazio funerario e spazio abitato si inserisce come collante naturale la viabilità principale e secondaria, quest’ultima non

meno funzionale alle strategie del popolamento del territorio. Nel caso specifico si propone in questa sede l’ipotesi di un

tracciato alternativo rispetto alla direttrice ufficiale dell’Itininerarium Antonini, più interno e in direzione nord, che

muovendo dal centro urbano agrigentino raggiunge la zona di Siculiana (c. da Fauma), sede di una probabile mutatio.

L’esistenza di questo percorso, al servizio delle aree più arretrate, è indiziato in modo “negativo” proprio dalla

dislocazione di diversi nuclei funerari, ed una conferma a posteriori circa una strada qua itur Sugulianam (scil.

Siculiana) è presente in alcuni documenti medievali del XIV e XVI secolo. I dati esposti saranno riportati in una carta di

distribuzione, realizzata in ambiente GIS su base cartografica (IGM 1:25.000; CTR 1:10.000).

Le Terme di Costantino sul Quirinale: il contributo dei documenti grafici alla ricostruzione delle strutture

architettoniche

Michela Sparagna

Le grandi terme che l’imperatore Costantino impiantò sul colle Quirinale, conservate per buona parte degli elevati fino

a tutto il XVI secolo, furono demolite, all’inizio del secolo successivo, per la costruzione del nuovo palazzo che

Scipione Borghese volle erigere nel 1605 in prossimità di quella grandiosa residenza papale che Gregorio XIII , poi

Sisto V e poi Paolo V Borghese, zio di Scipione, andavano edificando sulla parte più alta del colle.

A causa della sistematica distruzione della quasi totalità degli alzati superstiti che fu operata in quella occasione, gli

imponenti ruderi che erano ancora conservati in alzato fscomparvero per sempre e perciò, a parte recenti ritrovamenti

(Vilucchi 1986) di strutture di fondazione all’interno del palazzo Borghese( ora Pallavicini Rospigliosi ), le terme

costantiniane sono oggi ricostruibili e analizzabili solo in base ad una pianta del Palladio ed altre vedute più o meno

dettagliate del XV e XVI secolo.

Il monumento, proprio a causa della sua quasi totale scomparsa, è stato oggetto di studi piuttosto limitati e, comunque,

finalizzati soprattutto all’individuazione dei resti superstiti più che allo studio della struttura originaria nel suo insieme.

Il primo obiettivo del presente lavoro sarà dunque quello di raccogliere tutta la documentazione grafica rintracciabile, la

quale, già ad una prima analisi, risulta in effetti spesso non completamente sfruttata o, addirittura, non ancora utilizzata

per approfondimenti e ricostruzioni: infatti si può osservare che anche la notissima pianta del Palladio e le vedute,

altrettanto conosciute, del Du Pérac, del De Wingaerde e del Peruzzi, offrono ancora suggestivi spunti di studio e

permettono di acquisire dati strutturali finora non particolarmente evidenziati. I dati ricavabili da questi documenti

grafici e da quelli descrittivi lasciati da chi vide ancora in piedi il grande complesso costantiniano potranno essere

utilizzati per aggiungere qualche elemento che permetta di precisare ed integrare quanto già noto sulla struttura

architettonica del monumento.

Su questa base si potrà poi procedere ad un confronto con le piante e gli alzati delle altre grandi terme romane, quasi

tutte assai meglio conservate fino ai nostri giorni, privilegiando ovviamente quello con le terme di epoca più prossima,

quindi, innanzitutto, quelle di Diocleziano e Massimiano e, in seconda battuta, quelle Deciane, di Caracalla e di

Alessandro Severo (già Neroniane).

I citati confronti avranno infine anche l’ulteriore obiettivo l’individuazione degli elementi propri di quella innovazione

costantiniana che è stata largamente sottolineata negli altri monumenti attribuibili a quell’imperatore, sia per ciò che

riguarda l’edilizia civile che per le grandi basiliche cristiane di Roma e suburbio, ma anche delle altre grandi città

dell’impero tardoantico come Costantinopoli, Antiochia, Treviri e, non ultima, la Terra Santa.

Risulta comunque evidente già ad una prima osservazione che la struttura più caratterizzante e più innovativa delle

terme costantiniane è l’enorme calidarium coperto da una cupola, il quale in alcune vedute antiche risulta ancora

conservato con una parte dell’alzato fino alla calotta stessa, e, come è stato a suo tempo già osservato (Guidobaldi

2004), caratterizzato da tre enormi pentafore curvilinee estroflesse, evidenziate con chiarezza anche nella pianta del

Palladio e di struttura del tutto insolita e comunque non riscontrabile in età precostantiniana.

Altro elemento che verrà analizzato con particolare considerazione è poi la presenza delle due enormi esedre a nord e a

sud dell’impianto, che impartiscono alle terme di Costantino una insolita struttura longitudinale, che se da un lato

rappresenta la soluzione al condizionamento dettato dalla topografia preesistente, dall’altro risulta comunque del tutto

originale rispetto alle strutture termali fino allora note.

The origin and function of so-called gammadia in Early Christian art

Maciej Szymaszek

The aim of the paper is to provide explanation for the phenomenon of signs found on many late antique textiles and on

clothes of biblical figures shown in paintings, mosaics, so-called gold glass, manuscripts and reliefs.

The so-called gammadia can be seen in over 300 Christian and pagan representations, the majority of them dated about

the time of the Constantinian dynasty. So far studies interpreted these signs as Greek letters, which have particular

numerical values and view them as a category of symbols contemporary for each period, “which had conveyed

meanings known to everyone”. Most of the authors a priori assumed the religious character of the signs and considered

only Christian pieces. Primarily, they highlighted the appearance of the symbols on the mantles of “saints’ figures” as a

centuries-long tradition. Additionally, the so-called gammadia were assigned the role of attributes of Christ, Apostles,

martyrs and other biblical figures. Consequently, the signs are commonly interpreted in association with numerical

symbolism employed in the Bible and the texts of Church Fathers.

The paper presents final results of my PhD thesis dedicated to the issue at hand and will lead to the revision of hitherto

views concerning the so-called gammadia. Preliminary results of statistical and iconographic analysis of the pieces

included in the catalogue proved that the signs on mantles were not strictly assigned to particular topic or biblical

figure. Neither did they constitute an integral part of individual scenes. This conclusion challenges earlier

interpretations and determines a new look at the problem.

A new typology of signs, which takes into account their particular graphic elements, is to be proposed. This

classification covers all identified textiles and monuments - Roman, Jewish and Christian - made in different techniques

and places. Such a system allows a reliable description of the signs. Furthermore, their identification according to

formal features can serve to create a new terminology, as not all of the signs can be interpreted as letters. For easier

readability of the classification, all types of signs are to be redrawn and arranged in a morphological chart. The results

are used to describe the development of the shapes of signs, as well as to identify features characteristic for objects

originating in a given region or dated to the same period.

The statistical analysis of pieces in which these signs appear is to be done for the first time. For each type of sign a total

number of examples is specified. This work allows to determine the evolution of shapes of signs and to draw

conclusions on the apogee of their popularity. Consequently, it must be considered if the artistic technique affects the

quantity and variety of signs. The attention is paid as well to the colour of signs, as it had particular meaning in late

antique dress code. Moreover, the iconographic analysis aims to establish an inventory of signs appearing on the cloths

of the biblical figures in particular scenes. It is determining whether the so-called gammadia were strictly assigned to

gender, as in the Roman catacombs they appear only on clothes worn by men. Finally, in order to investigate the origin

and function of the signs represented in Early Christian art, I am analysing a group of Roman and Jewish textiles and

monuments. This casts a new light on the issue, as these pieces have not been examined in the context of Christian

representations included in my catalogue. It is a promising perspective that may help to explain the phenomenon and

bring new issues for further study regarding costume and dress code in Late Antiquity. The results of this investigation

can serve to expand our knowledge of the social context of textiles represented in Early Christian art and is

supplemented by a comment about the validity of the use of gammadia as a term to describe signs appearing on late

antique textiles and cloths of biblical figures.

Die architektonische Inszenierung der christlichen Erinnerungsorte im Heiligen Land – Architektursemantische

Betrachtungen zu einem konstantinischen Innovationskonzept

Ute Verstegen

Unmittelbar nach seinem Sieg über Licinius im Jahr 324 und der damit verbundenen Ausdehnung seiner Machtsphäre

auf die östliche Reichshälfte begann Constantin zusammen mit anderen Mitgliedern seines Kaiserhauses mit der

architektonischen Inszenierung zentraler Erinnerungsorte des christlichen Heilsgeschehens im Heiligen Land. Durch die

Initiativen von Eutropia und Helena, aber vor allem auch durch das Engagement des Kaisers selbst kam es zu

ambitionierten Architekturstiftungen an verehrungswürdigen Stätten im Heiligen Land, namentlich in Mamre,

Jerusalem und Bethlehem. Diese Projekte standen am Anfang einer Reorganisation der Sakraltopographie Palästinas

aus christlicher Perspektive, wie sie in den folgenden Jahrhunderten immer detailliertere Umsetzung finden sollte und

vor allem in Jerusalem und Bethlehem bis heute nachwirkt.

In Jerusalem und Bethlehem hatten die Bauinitiativen das Ziel, drei Orte, die in der lokalen Tradition mit für das

christliche Heilsgeschehen zentralen Theophanien verbunden waren, zu konservieren und dergestalt architektonisch zu

fassen, dass sie in kollektive und individuelle christliche Kultausübungen und –praktiken eingebunden werden konnten.

Dazu entwarfen die Bauverantwortlichen ein architektonisches Konzept, das die Kombination des Memorialorts mit

einem größeren Versammlungsraum vorsah. Die Stätten, auf die dieses Konzept angewandt wurde, waren die Höhle der

Geburt Jesu Christi in Bethlehem, sein als Ort der Auferstehung bedeutsames Felsengrab in Jerusalem und eine Höhle

nahe der Kuppe des Ölbergs, die in konstantinischer Zeit mit der Ortstradition der letzten Unterweisung der Jünger und

der Himmelfahrt verbunden war.

Charakteristisch für all diese konstantinischen Bauten ist, dass die Gedächtnisorte unter teilweise enormem Aufwand

visuell und materiell fassbar gemacht, ja sogar freigestellt und sichtbar in den gebauten Raum einer Großarchitektur

integriert wurden. Dabei kam es jedoch zu signifikanten Varianten zwischen den einzelnen Lösungen, was die jeweilige

Inszenierung des Memorialorts anbelangte. Während die Geburtshöhle vollständig unterhalb des Kirchenbodens zu

liegen kam, war die Eleona-Höhle nur noch zur Hälfte eingetieft und ragte mit der oberen Hälfte in den Kirchenraum

hinein. Die Grabeshöhle wurde aus dem umgebenden Felsmassiv herausgearbeitet, mit einer architektonischen

Außengliederung versehen und erhob sich schließlich innerhalb einer Aedicula ebenerdig bzw. sogar leicht durch

Stufen erhöht im Raum. Auch die Position, in der die Memorialorte in den Kirchenneubauten integriert waren, variierte

bei genauem Hinsehen.

Der Vortrag widmet sich der Frage, weshalb die Bauverantwortlichen für drei ähnliche Ausgangssituationen solch

differenzierte Lösungen entwarfen. Handelte es sich dabei schlichtweg um verschiedene Ausführungsversuche, die im

Rahmen eines architektonischen Innovationsprozesses gefunden wurden, als es darum ging, adäquate Raumformen für

eine sich mit kaiserlicher Unterstützung rapide erweiternde, erfolgreiche Religionsgemeinschaft und ihre

Erinnerungsorte zu finden? Allein der immense Aufwand, mit dem in diesen Bauprojekten im Heiligen Land, aber z. B.

auch bei der Inszenierung der Petrusmemoria in Rom, große Fels- und Erdmassen abgetragen und umfangreiche

Planierungen des Bauplatzes durchgeführt wurden, spricht gegen eine relative Beliebigkeit. Vielmehr ist anzunehmen,

dass die entsprechenden Transformationen spezifische Einblicke in die Vorstellungen der aufstrebenden christlichen

Glaubensgemeinschaft von der angemessenen räumlichen und medialen Inszenierung eines ‚heiligen Orts‘ geben, mit

der die Gläubigen auf die Erfahrung eines außeralltäglichen religiösen Erlebnisses eingestimmt warden sollten. Daher

wird sich dieser Vortrag einer architektursematischen Analyse der drei Baukonzepte widmen und dabei erstmals auch

ihre Prägung durch, aber auch Ablösung von älteren Konzepten architektonischer Inszenierung aufzeigen. Der Vortrag

präsentiert neue Forschungsergebnisse, die im Rahmen meines Habilitationsvorhabens an der Friedrich-Alexander-

Universität Erlangen-Nürnberg entstanden sind, das sich mit dem Thema „Heiliger Ort – sakraler Raum. Kontinuität

und Wandel in der Inszenierung der Herrenorte in Jerusalem“ befasst.