Rome,Italie

NoGravityencollabora0onavec

EMILIANOPELLISARISTUDIO

ENSEMBLEROMABAROCCAprésentent

ARIAdanseaérienneacroba0que

musiqueetchant/universbaroquerevisiténouvellemagie-théâtrefigura0f

L'imaginaire créa0f d’ARIA s’appuie sur l’idée que l'art doitavanttoutfairenaître l’admira0onetquele jeuintellectueln'estquesecondaire.Alabaseduprocessuscréa0fsontlesrêves,labeautéetl’étonnement.Cen’estquesi lespectateurlaissel’émo0onlegagner,qu’ilressen0radespercep0ons;desflashs,pourluipermeTredetrouverdesindicesafindedécoderlessymbolessurlesquelslestableauxsontconstruits.C’est donc ainsi que le spectateur pourra commencer sonini0a0on,ensevoyantproposerunesortede«pe0tguide»,composédesymboles,dejeuxd’analogiesetdesugges0onsquiviendrontenrichirsonpropreimaginaire.EmilianoPellisari

ARIA«àlafron8èredumerveilleuxetdufantas8que«Un spectacle avec des corps en suspension dans l’espace,desmusiciensensuspensiondans l'air,desairsdupasséetdescorpsd’aujourd'huiquise livrentuncombatcomplexecontre l'iner0e, le raisonnable, l’évidence.Une dimensiononirique, surréaliste, fantas0que, irra0onnelle, purementvisuelle soutenue par un choix des pages du répertoirebaroqueparmilespluscélèbres.

Le but de l'art baroque était de créer, avec un peu d’imagina0on,unmondeplusfascinantqueceluidelaréalité,percep0ble de manière sensible (une synesthésie entre lavueetl'ouïe)avantlemodeintellectuel.

Dans le contexte de la poé0que des «merveilles » si biendéfinie par Marino, la virtuosité était un encouragementmajeurpourdélimitercemondefantas0queavecceluidelaréalité ; la virtuosité vocale, mais aussi théâtrale. Lemerveilleux baroque, enfanté dans les fastes de l'opéraitalien, révèle plusieurs faceTes. Etonnant est précisémentl'esprit, l'émo0on à la fois sensorielle etmentale que l'artbaroque cherchait à éveiller. Toute lamusique de l’époqueétait hédoniste et virtuosité, pour le plus grand plaisir desyeuxetdesoreilles.Leseffetsmusicauxetchantés,l’u0lisa0ond’unemachineauseind’unescénographiesophis0quéecontribuentausuccèsduspectaculairemerveilleux,dontARIAestlefruit

ARIA«lebaroquerevisité-unspectacleauxentréespluriellesetauxperspec8vescroisées»

Aprèsavoirmagnifiélarencontreentrechanteurs,danseursetmusiciensdansdesformesthéâtralesprochesdecellesdutempsdeMonteverdi ou Pergolese, EmilianoPelisarri pourqui la tradi0on ne va pas sans créa0on se passionneaujourd'huipourleBaroque,stylesavantetsophis0qué.

Lemerveilleux de l'époque baroque avait pour dessein dedistraire lepublic,à la foisdans lessujets traitésetdans lamanièredelesreprésentersurscène.Fidèleàceconcept,lemerveilleuxd’EmilianoPellisariestunvraimonde,maisquin’existepasetl’impossibleestreprésentécommepossible.ARIA témoigne d’une créa0vité nourrie de l’atmosphèrefantas0queduthéâtredelaRenaissanceetdelacomplexitévisuelledesinven0onsmécaniquesdu17èmesiècle.Cen'estpas un hasard. A la fin du XVII° siècle, Venise est le coeurmusicalde l'Europe.C'est aussi l'endroitoù, tout commeàRomeetFlorence,l'artdubaroquefascinedanslesthéâtres.Pouruntelprojet,Emilianosedevaitdetrouverdesœuvresà lahauteur.Treize tableauxvontmeTreà l’honneurcellesdeGiacomelli,Pergolese,Monteverdi,Vivaldi,etc…….

ARIA

LE PROJET ARTISTIQUE Le baroque italien est une périodefécondeetcélèbredanslemondequiaproduitdesuniversextraordinaires que les techniques d’Emiliano Pellisariexaltentaujourd’huià l’infini.L'Italie,à l'époque,produisaitdes spectacles dans toutes les cours européennes que l’onappelait"leThéâtredesMerveilles".

UN SPECTACLE SURPRENANT où les genres se croisent entouteévidence,oùdanse,musiqueetchantsontréunis.Lesfron0ères et les distances entre danseurs, chanteurs etmusiciens sont abolies. Les musiciens évoluent, avec lesdanseursetleschanteursdanslemêmeespace,produisantainsi,tousensemble,uneseuleimagepuissantequimetenlumièredescostumesélégants,unechorégraphiefantaisiste,lapoésiedelamusiqueetlabeautédeschants.

L’OBJECTIF L’idée de la produc0on était de dépoussiérer lethéâtrelyriquepourlerendreplusaccessibleaujeunepublicainsiqu’àunplusgrandnombredethéâtres,etceàunprixraisonnable étant donné qu’aujourd’hui, il est réduit àquelques ins0tu0ons lyriquestrèsriches, tanten Italiequ'àl’étranger.

ARIA

Ce spectacle est l’expression suprême du talent et de lapersévérance, du savoir-faire et de l’expérience, le toutdéveloppésurscènedansunseuletmêmeélan:

lerêvedel’hommedevoleretd’allerau-delàdetoutecompréhension.

PourcréersonproprestyleEmilianoPellissaris’estinspirédes études préalables du théâtre grec et de laRenaissance ainsi que de sa passion pour les inven0onsmécaniquesfantasques.

Le spectacle présente toute la paleTe des possibilitéstechniquesdutravaild'EmilianoPellisari.

Illeconduitdansunmonded’illusionsetd’interdits,versdes fron0ères inconnues où règne la beauté suprême.Une suite incroyable de performances qui défient etbouleversentlesloisdelaphysique.

Le spectacle est composé de treize tableaux qui sesuccèdent sans recherche de con0nuité. Il étonne lespectateuretentraînesonespritauxfron0èresdelapureabstrac0on.

LAPRESSEMUSICA,Italia–revuefondéeen1977(traduc0on)

Lebaroqueestdenouveauàlamode.Entémoignelesuccèscommercialducoffretde39CD,troisDVDetd’unrareCD-ROMbaroquesor0l’andernierparHarmoniaMundi.Quelleenest laraison?Seloncertains, lespectaclemusicalbaroque an0cipe une tendance plus profonde et avait étémisen lumièredansunefic0on"TheNewAnthology". Sonavenirestdans la fusiondeplusieursdisciplines, (musique,danse,chant,scénographiebaséesurlestechniqueslesplusmodernes),commecefutlecasàl'époquedutriomphedubaroque.C’estégalementcequisepassedepuisdesannéesauxEtats-Unis, alors que les théâtres et salles de concert sont desétablissements privés avec un financement qui provientuniquementdelabilleTerieetdessponsors-oùl’ontrouveleplusgrandnombredepremièresmondiales(29œuvresen2009,lapireannéedelacrisefinancière).

C'estàunefusiondesgenresàlaquellenousassistonsaussien Italie, avec parfois des créa0ons déroutantes (commeJeanned’Arc,mise en scèneàParmepour le Fes0valVerdi2016), mais aussi avec des résultats splendides comme cespectacle Aria qui inaugurait la saison de l'AccademiaFilarmonicaRomanaauTeatroOlimpicoce6octobre.

Avant de faire les éloges du spectacle qui, après unedouzaine de représenta0ons à Rome, ira à Piacenza et àCracovie (ainsi que dans d'autres villes en Italie etprobablement en Chine et en Amérique du Sud), nousdevonssoulignersonélabora0on.

Comme à l'époque baroque, dès que l'idée centrale duspectacle a germé, librevste, scénographe, interprètes etmusicienssesontassociéspourformerunvéritablecollec0f( composé de l'un des meilleurs ensembles baroquesitaliens, d’un pres0gieux studio de créa0on, costumes etvidéosetd’unecompagniededansequi-commesonnoml'indique - est spécialisée dans les danses acroba0quesaériennes ) u0lisant des techniques modernes pourreproduire l'univers sensoriel des techniques anciennes ensélec0onnant des arias, symphonies, intermezzos del’époque..Onretrouvemêmeunnouvelarrangementd'uneœuvrebaroque,maisbaséesurlacaricature!.

Même le pas0che caractéris0que du baroque revient à lamode: il suffitde se référer au succès interna0onal deTheEnchanted Island, une parodie créé par le MetropolitanOperadeNewYork,vuendirectdans7000cinémasdanslemondeetreprisdansd’autresthéâtresaméricains.Naturellement, la compagniededanseNoGravity, le studioEmilianoPellisariet l'ensembleRomaBaroccanedisposentpasderessourcessimilairesàcellesduMetropolitanOpera.Lespectacle,cependant,n’estpasunconcertd’airsbaroques

(avec scénographies et costumes). Ce n'estmême pas unesimple anthologie. Il a été conçu commeune "histoire" dubaroque, de l’Orphée deMonteverdi de 1607 auxœuvresdesannées1730-1740,lorsqueleclassicismeacommencéàdevenirungenreàlamode.

Excellente idée de terminer la soirée avec la "follia" deRodrigo Mar0nez un anonyme espagnol, qui avec sonexplosiondejoie,nousentraineauxoriginesdubaroque.Le spectacle est composé de treize tableaux d'une duréetotalededeuxheures,entractecompris.Chaquetableauestune scène dans laquelle musique et chant s’harmonisentparfaitement aux images, aux costumes et aux dansesacroba0ques.Parexemple:l’hommevolantdanslalumièresur lamusiquedeVivaldinousemmèneavec ironiedans lemonde des papillons, le premier duo du Stabat Mater dePergolese nous emmène dans le monde médita0f de laprièreetPulcinelladePergoleseàNaples, villeprospèreetjoyeuse;centreculturelmajeurdel’époque.

Impossible, dans le cadre d'une synthèse, de traiter desinterpréta0ons individuelles. La soprano Susanne Bungaardet le sopraniste Angelo Bonazzoli ont beaucoup de talent.Les costumes et les danses acroba0ques ont un impactfascinant sur le public. Selonmoi et sans nul doute,ARIAmériteleprixAbbia9poursoninnova0onetsonoriginalité. GiuseppePennisi–

AMADEUS–décembre2016

Déjà,lenomdelacompagnieestsignifica0f:NoGravity.Enfait, Aria (airs baroques), la dernière créa0on d'EmilianoPellisari, réalisée en partenariat avec Mariana Porcedduchorégraphe,estunspectacledechantslyriques,dedanses,d'évolu0ons acroba0ques. Aria inaugure la saison del'AccademiaFilarmonicaRomana,uneproduc0ondethéâtremusical contemporain, associée étroitement au répertoirebaroque.

Uneproduc0onqui,propreaugoûtthéâtralbaroque,prendnonseulementencompte la recherchede l’enchantement,de la merveille, de la stupeur, mais aussi l’u0lisa0on demachineries et de miroirs qui rendent possiblesl’impossible:lemouvementenl’absencedegravité.

Unavant-goûtdufantas0quequi,dans lespar0eschantéesnous convient à la virtuosité et à des trajectoiresaventureuses. Par conséquent, toutes ces associa0onsfonc0onnentbien.Belessaimusicalde l’EnsembleBaroquedeRome,dirigéparLorenzoTozzi-unmaîtredesclavecins-,avec instruments et voix. Les ar0stes interprètent un choixd’oeuvres du 16ème au 18ème s iècle, dess inesoigneusement un i0néraire aux mul0ples faceTes, bienintégréauxévolu0onsdesdanseurs.f.a.sap.

ARIAou«lethéâtredesMerveilles«classique:musiquebaroqueadaptéeetreorchestréear8sanal : l’absolue qualité des recherches et travaux duStudiod'artitalienE.P.créa8on chorégraphique : technique contemporaine pourabou0ràunvisuelsurprenant

NoGravity est une compagnie inves0e dans les artsscéniques,fondéeetdirigéeparEmiianoPellisari.

Le travail ar0s0quedeNoGravity abolit les fron0èresentreles arts de la scène pour créer des performancesmul0disciplinaires et des spectacles des0nés à tous lespublicsettouslesthéâtres.

Le style de NoGravity s’inspire des extraordinairesmécanismes du théâtre de la Renaissance et de l’époquebaroque,axésurlarela0onhomme-machine.Beauté, rêve, merveilleux, illusion, diver0ssement sont lesclésdelapoé0queduréalisateurEmilianoPellisari.Symboles, évoca0ons, sugges0ons, tableaux vivants sontcréés pour exprimer tous les contours de l’imaginairecollec0f.

Depuis sa créa0on en 2008, chaque année NoGravityprésente ses spectacles en Europe,en Russie, en AmériqueduSudetenAsie.

CHOREGRAPHIE,untravailspécifiquesurles corps : la recherche d’un rendu parfait de figuresgéométriquesla dynamique : le mouvement puissant et l'énergieconstantesurscènelestyle:laprécisionetlasensualitédugeste

La chorégraphe et danseuseMariana Porceddu introduit ladynamique du jeu dans une séman0que pure et froide,dérivée du changement d'architecture des corps, dudéveloppement des personnages et de l'ajout de lapuissanceetdelasensualitédugeste.Àsoncontact,lesimagess’enrichissentets’animentcommeparmagie.

Marianaestdiplôméedel’AcadémieNa0onaledeDansedeRome.EllerencontreEmilianoPellisarien2008.LeurrécentmariageadonnénaissanceauspectacleARIAetàunefilledumêmenom.

MUSIQUE,lesrecherchesdel’ENSEMBLEARIABAROCCAle style : réinventer le baroque en superposant unedimension gestuelle chez lesmusiciens et les chanteurs .leprogramme : éclec0que et hétéroclite pour surprendre etdiver0rlegenre:dumélodrameprécoceàlacommediadell’ARTE

L’ENSEMBLE ARIA BAROCCA est composé des 5musiciensdeL’ENSEMBLEROMABAROCCAetde2chanteurs.MICHELE BARREGA directeur musical. Il par0cipe auxmasters classes de Paul O’deTe et étudie principalementavecHopkinsonSmith.IlréalisedesenregistrementsentantquesolisteetenregistrepourBrillantClassics,Classic,Voice-An0que, Ipsar, Rai Trade, Urania Records et Con0nuoRecords.

SUSANNE BUNGAARD, soprano née au Danemark estdiplômée du Conservatoire Santa Cecilia de Rome et duConservatoiredeMetzpour lechantbaroque.Elleaétudiéavec Margaret Baker et Doris Andrews à Rome, avec BillSchumannàNewYorketavecVirginiaZeanienFloride,auxÉtats-Unis.

ANGELO BONAZZOLI, sopraniste. Il est diplômé enmusicologieetchantduConservatoireRossinidePesanoenItalie.

PRISCA STALMARSKI, violon. Elle est diplômée en 2001 duConservatoire de musique Santa Cecilia à Rome sous ladirec0on de Beatrice Antonioni, puis Yvonne Ekman. De2000à2002,ellea faitpar0ede l’AcadémiedeSaintes,oùelle joue au sein du Jeune Orchestre Atlan0que sous ladirec0on de Philippe Herreweghe, puis au ConservatoireRoyal de La Haye en Hollande) où elle ob0ent un

baccalauréat et une maîtrise en violon baroque sous ladirec0ond'EnricoGav.

RAFFAELE NICOLETTI étudie auprès de Vincenzo Bellini auLiceo Musicale à Catania. Il est invité à jouer au seins degrands orchestres de musique ancienne avec GinoMangiovavallo, Enrico Onofri, Riccardo Minasi, JohnHolloway,MinikaToth,RachelPodger,AllessandroTampieri,Ka0 Debretzeni, Chiara Banchini, Dmitry Sinkovsky, ElisaITerio,AlessandroMoccia.

CAROLINAPACE enfant, elle commence à jouer de la flûtedouce sous la direc0on de P.Melons à Rome. Elle ob0entsondiplômeàlaScholaCantorumdeBâleenSuissedanslaclasse de Kathrins Bopp en 2003. Elle enregistre pourBrilliant Classics. Voix classiques, An0quités, Hatje Cantz,Ipsar,UraniaReccords.

MATTEO SCARPELLI est diplômé - catégorie violoncelle etmusique de chambre du Conservatoire Sainte-Cécile deRome. Il ob0ent un diplôme supérieur en musiqued'ensemble à l'AcadémieNa0onale Sainte-Cécile avec FelixAyo. Il ob0ent également une maîtrise à l’Académie dePescaraavecArturoBonuccietunemaîtriseenmusiquedechambreàl’ÉcoleInterna0onaledeTrieste.SesmaîtressontRoccoFilipiniBrunoCaninoetFrancoMezzena.

LESATELIERSCostumes:inspirésdessculpturesdeMichel-AngePerruques:destravauxenpapierRobessculpturales:inspiréesdubaroquefantas0que

L'époquebaroque représente lemondeparadigma0quedelabeautéetdel'harmonie.Lechoixderetourneràses origines transfère à l’art une dimension créa0ve vécuepar des ar0stes qui suivent un parcours de réflexions noncompulsif, opposé au milieu ar0s0que actuel agité ets0mulant

Dans ARIA, les costumes et les accessoires de scène ontévolué tout au long de la phase de recherches et deprépara0onquiaduré3ans.L’adapta0onetlacréa0onsdescostumesd’aprèsdesmodèlesbaroquesoriginauxrésultedelacollabora0onaveclastylisteDanielaPiazzaquiaconçulescostumes avec desmatériaux innovants tels que des 0ssuspolyuréthanes,desaccessoiresrigidestelsquedescrinolineset des coupes minimalistes qui facilitent une consistancesemblable à celle de la sculpture dans le style deMichelangelo.

Les perruques sont fabriquées en carton par la designerSimoneTaTaibi. Les costumes sculpturaux sont réalisésparl'ar0steLuciaFortuna.Lesdessinspréparatoiresde lapiècesontl'œuvredelacostumièrehongroiseNoraBudjoso.

LADIRECTIONd’EmilianoPellisariImagina8on : il u0lise le pouvoir de l'esprit pour libérerl’imagina0on,souventappauvrieparlara0onalité,Inven8onilconçoitetcréeunenouvelletechniquedevolCulture il s’appuie sur le passé italien pour faire surgir unnouvelartitaliendesontemps

PROGRAMME

1.-ORFEOClaudioMonteverdiOrfeo(1607)Prologue«DalmioPermesso/cammins’arres0»(soprano,flûte,2violons,violoncelle,théorbe/grandluth,clavecin)

2.-FARFALLETTAAntonioVivaldiCantataRV660(1731)Primaaria(sopranosopraniste,théorbe,violoncelleetbassecon0nue)

3.-ECOeNARCISOAlessandroMarcelloAdagioduConcertoenrémineurpourhautboisetcordesS.Z799(1716)

4.SERVAPADRONAGiovanniBaastaPergolesiintermezzodel’opera«IlPrigionierSuperbo»(1733)Deuxairs:“ASerpinapenserete”et“S0zzoso,mios0zzoso”

5.-GARDELLINOAntonioVivaldiConcertopourflûteetcordes“Ilgardellino”RV428(1728)

6.-LAGRIMOSABELTÀGiovanniFeliceSancesLagrimosabeltàCantatepour2voix,soprano,sopraniste,guitarebaroque,2violons,flûte,clavecin

7.-PULCINELLAGiovanniBaastaPergolesiSymphonieenfamajeurpourvioloncelleetbassecon0nuo

8.-SPOSASONDISPREZZATAGeminianoGiacomelliSposanonmiconosci Ariadel’operaLaMerope(1734),reprisparAntonioVivaldipourl’operaBajazet Soprano,2violons,clavecin,violoncelle

9.-SONQUALNAVERiccardoBroschiSonqualnave Ariadel’operaArtaserse(1730)deJohannAdolphHasseSopraniste,2violons,violoncelle,clavecin

10.-TRILLODELDIAVOLOGiuseppeTar8niSonatepourviolonensolmineur-premiermouvement(1731)Violonetbassecon0nue

11.-TARANTAAthanasiusKircherTarantellanapoletana(1654)Violon,clavecin,violoncelle,flute,théorbeetguitarebaroque

12.-STABATMATERGiovanniBaastaPergolesiStabatMaterdolorósaSequenzaetDuoenfamineurduStabatMater(1735)poursoprano,contralto,cordesetbassecon0nue

13.-LASTRAVAGANZA(final)AntonioVivaldiConcertoenmimineurop.4n.2RV279,extrait“LaStravaganza”(1712-13)

14.-FOLLIA(salut)Anonyme,RodrigoMar9nezCancionerodePalacio(1490)Sonatepourflûte,théorbe,2violons,tambourins,pe0tespercussionsetcastagneTes.

PRODUCTION

Conceptetdirec8ongénéraleEmilianoPellisari

mekeurenscèneEmilianoPellisari

ChorégrapheMarianaPorceddu

DirecteurMusicalPriscaStalmarski

Distribu9on(sousréserves)SopranoSusanneBungaard

SopranisteAngeloBonazzoli

EnsembleBaroquedeRomelesmusiciensMicheleCarreca,théorbeetguitarebaroquePriscaStalmarsky,violonCarolinaPace,flûteethautboisMaTeoScarpelli,violoncelleRaffaeleNicolev,violon

NoGravityDanceCompanylesdanseursacrobatesMarianaPorcedduAntonellaPerrazzoEvaCampanaro

CamillaGesualdiFrancescoSaverioCifaldiAntoninoCasile

DirecteurtechniqueGrégoireZencher

Réalisa8onNogravityldtProducteurexecu8fEmilianoPellisariStudioAssistanteFrancescaLiguori

CostumesMaquekesNoraBudjoso,HongrieConcep8onDanielaPiazza-LuciaFortunaPerruqesSimoneTaTaibiScénographie, accessoires, machinerie Studio MedenceCsoport,Hongrie:

DiffusionenItalie:EmilianoPellisariStudioDiffusionenFranceetEurope:GruberBalletOperaDiffusionenChineetAsieWuPromo0on

PRESSEALLEMANDE

Düsseldorf-cultureARIAestlenomdelaproduc0ondelacompagnieNoGravityquiouvre le fes0val, une "usine à gaz floTant" annonce lesresponsables du fes0val. Les danseurs de la pièce défientconstamment la gravité, surdesmusiquesdeMonteverdi etdeVivaldi. "Très sensuel et baroque, très italien" c'est ainsiqu'AndreasDahmen,l'intendant,décritlaproduc0on.

Düsseldorf-Zeitung-15.09.2017Ils floTent, les ar0stes de la compagnie italienne, No GravityDance ! Ils descendent du ciel, comme des marionneTes,suspenduesdansdespanneauxde0ssudeplusieursmètresdelongou semblentnager sanseffortdansuneboîte cotonneuse.Pour interpréter les airs baroques célèbres ( avec de bonnesdoses de coloratures, ) les chanteurs eux aussi dominentl’apesanteur,auxyeuxduspectateur.Maisà lafin,personnenepeutdirecommentcelafonc0onne.

Lors de la soirée d’ouverture du fes0val de Düsseldorf, dèsl’entractelesspectateursdiscutaientsérieusementpoursavoirsile spectacle d’illusion op0que « Aria » présenté dans une sallecomble, consistait en des mouvements véritables ou si lespectacle était le résultat des reflets d’un miroir. Toutefois, lesar0stesromainsneveulentpasrévélerleursecret.Celadétruiraitlamagie,disent-ils.Onvousenrévèlequelquesuns: ilsu0lisentdes machines de théâtre qui existaient à l'époque de laRenaissance et du Baroque pour emmener le public dans unmonde d'illusions. Assurément, ce spectacle d’une durée dedeuxheures,avecdescostumesoriginauxetdelongs0ssus,est

richeendéfisetenillusions,.En se regroupant, les ar0stes construisent des sculpturescorporellestouten chantantdesairsensoloouentrio.Dansununiversnoiretblanc,surunechorégraphieetunemiseenscèneréglées par le duo d'ar0stes Emiliano Pellisari et MarianoPorceddu, les danseurs effectuent leurs vols à haute al0tudederrièreunrideaudetulle IlsévoluentetfloTentdans l’espace,font des sauts périlleux et aTerrissent toujours au-dessus desnuages.

Puisilfontdemitouretévoluentdebasenhaut.Parfoiscommel’abeilleMaÏaavecunventreennidd'abeille,parfois comme leroidessourissurgid’uncontedeféesoucommelaprincessesurun pois, avec des perruques capitonnées, que l’on associe àl’époque rococo. Sans fin dans l'air, des figures sont crées avecdesrubansdesoiehabilementmanipulés.

Cesar0stesromainsnesontpasseulementcap0vantsavecleurschantsetleurjeudeflûte;ilsvousjeTentégalementunsort.Ilsvous emmènentdansunmonde irréel dans l’apesanteur, danslequellespectateurneveutplusguères’extrairepournepasseretrouver faceà la réalitéd’autantplusbanale.C'est incroyablecomment ils arrivent à développer des tableaux qui inspirentl'imagina0on. Des images troTent encore dans la tête lelendemain…..

Sans nul doute, ce spectacle est vivement recommandé - passeulement pour ceux qui veulent être séduits par cet aspectmagique,maissimplementsedétendreetsediver0r. Michael-GeorgMüller

EMILIANOPELLISARI

MeTeur en scène, scénographe, chorégraphe et écrivain,Emiliano Pellisari a conçu des spectacles qui ont connu ungrandsuccèsenItalieetpartoutdanslemonde

- Daimon(2005-Milan,Moscou)- Nogravity(2005-Italie)- Comix(2006-RomeetItalie)- Orfeo,Euridice(2007-Rome,NuitBlanche)- Blutango(2008-Rome)- Inferno(2007/2011)-tournéeeuropéenne- Can8caII(2010/2012)-tournéeeuropéenne- Paradiso(2012)-tournéeeuropéenne- Del’EnferauParadis(France)- Comix(nouvelleproduc0on2014)- Aria(2016)tournéena0onaleetinterna0onale

Enprépara0on: -Leonardo(2019)Il est aussi l’auteur de performances pour des événementsinterna0onaux:-Salondel’Automobile,Milan(2005)-ConservatoiredeMusique,Moscou(2005)-JeuxParalympiques,Turin(2006)-MuséedeBercy,Paris(2006)Il est un grand connaisseur du théâtre fantas0que de laRenaissanceetdesinven0onsmécaniquesduXVIIèmesiècledont on trouve des réminiscences dans sonœuvre. Et l’oncomprend que ceTe passion, source d’inspira0on est à

l’originedeceTeapprochesipar0culièreetoniriquedel’artdeladanse.Au décès de son père, le journaliste et écrivain NanniFilippini,lejeuneEmilianoestobligéd’arrêtersesétudesdephilosophie et commence à travailler comme menuisier,plombier, électricien… et devient un véritable ar0san auserviceduthéâtre.

C’estalorsqu’Emilianos’inves0tdanssesproprescréa0onsthéâtrales et commence à travailler comme meTeur enscène. Il conçoit et créé la technique NoGravity etcommence sa nouvelle voie ar0s0que avec le spectacle«DaimonProject«présentéauCentreinterna0onaldel’artàMoscou en 2005; En 2008, il rencontre la jeune danseuseMarianaPorceddu,désormaischorégraphedelacompagnieetpartenairedanslavie.

LAPRESSE

• Emiliano Pellisari conçoit des spectacles au styleinclassable, où l’esthé0sme le dispute à la danse et àl’acroba0e. Ses interprètes paraissent surgir de tableauxanciens pour prendre vie dans des jeux de lumières etd’effets stupéfiants, et composer dans l’espace desperformancesàpeineimaginables…

• Ilouvregrandeslesportesdel’imagina0on,làoùrègnentlesartsetlestechniquesquitouchentaumerveilleux,àlagrâce…

• S’iln’estpasdanseurlui-même,EmilianoPellisaripossèdeune stupéfiante imagina0on qui lui permet de concevoirdeschorégraphiesjamaisvues.

• EmilianoPellisari, telunpeintre, chorégraphie,dessine lemouvementavecunstyleimmédiatementiden0fiable.

• Emiliano Pellisari, l’homme aux danseurs volants, estencoreméconnuenFrance.Celanedevraitpasdurertantson travail de corps enmouvement dans les airs fascine,relève de la magie. Son travail si par0culier est à mi-chemin entre la danse, l’acroba0e aérienne et le théâtred’image.

• Inclassable, Emiliano Pellisari fait liTéralement voler sesinterprètes, assimilant le rêve à la réalité. La beauté duspectacle étreint les spectateurs qui se laissentirrésis0blement emporter par la grâce des corps commelibérésdel’apesanteuretlaforcedesimages…Fascinant!

• Créateurdespectaclesàsuccèsetauteurdeperformancespour des événements interna0onaux, Pellisari est un

chorégraphe au renom grandissant, un magicien de lascène avec un style unique hérité du théâtre de laRenaissance et du baroque avec les inven0onsmécaniques. Can0ca II est le deuxième épisode de latrilogie inspirée de la Divine comédie. Des corps nus,entrevus au travers de grands 0ssus semi-transparents,planent dans l’air, créant l’architecture d’un espace d’unautremonde,celuidupurgatoire.Lesdanseursnesontpasseuls,dansunmondesophis0quéetélégant…Magique!»UmbriaJournal

• L’Italiende43ans,néàRimini,estissudumilieuthéâtral.Etmêmes’iln’estpasdanseur lui-même, il seditpourvud’une capacité imagina0ve sans borne, qui lui permet dese représenter mentalement ses créa0ons. «Je n’ai pasappriscemé0er,jelefais»,affirme-t-il.

« Jusqu’à 35 ans, je possédais plusieurs talents, mais ilsétaienttouséparpillés,etparfoisenconflitslesunsaveclesautres.»Menuiserie,philosophie,diversmé0ersmanuels…Emiliano touche à tout. «Un jour, je suis tombé sur unplateau par hasard. En un mois et demi, je suis devenudirecteurde théâtre. C’était la chose laplusnaturelle et laplussimpledumonde.Toutesmescapacitésyétaientenfinréunies.»

• Sesidées,illessoigneetpriepournepaslesperdre.Carilpromet de revenir après Paradiso, le dernier volet de sa

trilogie, avec de nouveaux systèmes chorégraphiques«complètementdifférents.etdéjàun0treAria» Dequoiseréjouir…

• L’impression de superproduc0on contraste avec le travaild’ar0sandumeTeurenscèneEmilianoPellisari.Lequelsedécrit lui-même à la troisième personne en ces termes :«Leboss... luna0que,tyrannique,aumilieudesaffaires, ilendosse non seulement le rôle de l’administrateur de lacompagnie mais aussi tous les autres rôles possibles etimaginablesparsouciéconomique.

L’OPERABAROQUEparAgnèsTerrier

Grandesmachineriesd’unepart, épanouissementduballetde caractère d’autre part ont été les deux axes dedéveloppementduspectaclebaroquedanslesfêtesdecourcommesur lesscènesd’Opéra.Dès ledébut, latragédieenmusique se présente comme un spectacle total où lafantaisie visuelle des décors et des costumes répond àl’inven0vitémusicale.

Le merveilleux est la composante primordiale de l’opérabaroque.Quels que soient l’époque et le genre, qu’il joue sur lasurprise ou sur la connivence, le baroque recherche sanscesse la formule la plus appropriée pour enchanter sonpublic. Le surgissement de l'inexplicable, l'effet destupéfac0on sont en tout cas, un dénominateur commun,provoquantlasensa0ondesurprisechezlespectateur.Le surnaturel, se rend dès l’origine indispensable audéploiement des formules de spectacles réclamées par lasociétéurbaineainsiqu’àl’expressionsub0lementvariéedelaviemodernedel’âme,desesméandreslesplusprofondsetdesaquêteincessantedusenscachédeschoses.

Le merveilleux dis0ngue de façon structurelle et poé0quel’opéra baroque de la tragédie déclamée. A l ‘Opéra,machines, interven0ons divines, créatures infernales etautres allégories délimitent le domaine fabuleux où il

convientdeparlerenchantant,ets0mulent l’appari0ondenouveauxgenreslyriquesoùlamusiquesedoitd’enchanter.À la ques0on des sources et à l’analyse des phénomènesiden0taires s’ajoute la dimension de la mise en scène dusurnaturel par la musique et par les décors, ce qui donnelieuàdesrecherchessurl’orchestra0ondumerveilleux.

«Lemerveilleuxetlefantas8que»A première vue, les no0ons d'étrange, de fantas0que, demerveilleux, paraissent proches. Et pourtant, ques0ondéfini0on, lesdifférencesnesontpasnégligeables.Ainsi, lefantas0que,quiavoca0onàimpressionnerniplusnimoinsle spectateur, n'est pas nécessairement lié au terrifiant. Lesurnaturel à l’opéra est-il la somme du merveilleux et dufantas0que ? Sans doute, si l’on admet qu’il est alorsdavantagequelasimpleaddi0ondespar0es.

«Lediver8ssementetlaconnaissance»Onretrouvepeut-êtreiciuneformemodernedecequelesclassiques et notamment Cicéron rêvaient de voir mis enœuvre au théâtre, c’est-à-dire : apprendre, plaire. etémouvoir«DelectareetDocere« voilàpeut-êtreladevisequipourraitdevenircelledunouveauPhénixdesthéâtres.

DEL’ENFERAUPARADISPRESSEFRANCAISE

• Danseaveclesrêves…Unedivinesurprise!

• Un spectacle visuel époustouflant, une allégorie éléganteet ingénieuse qui nous fait entrer dans la dimension durêve…Embarquementimmédiat!

• Commelibérésdesloisdelagravité,descorpsbondissentet semblent floTer dans les airs, en parfaite harmonie…Visions oniriques ? Illusions scéniques ? Pouvoirsmagiques?

• Six danseurs semblent liTéralement danser sur l’air,affranchisdelapesanteuretsignifiantainsileurétatautrequeceluiducommundesmortels.Ilstententdesehisserhors des ténèbres, se mouvant telles des poussièresguidéesparunrayondelumière.DerrièreceTe“diablerie”ilya techniquebiensûr,mais lechorégraphea l’habiletédelarendreinvisibleetdenouslafaireoublier.

• Unchocvisueld’unsymbolismesidense,qu’onseplaîtàvouloir aussitôt le revoir pour mieux en saisir toutes lesallusionsetlesréférences.Inoubliable!

• Une atmosphère surréaliste, dans laquelle évoluent lesdanseurs, plus proches d’un ballet de nata0on

synchroniséedans les airsqued’unepresta0ondedanseordinaire.«Labeautédescorpsesttrèsprésente.Ilyauncôtétrèsincarné,pasdutoutar0ficiel.

• Unspectaclecommevousn’enavezencorejamaisvu!

• Surscène,sixdanseusesetdanseursbougent,volentdanslesairsetcréentdesfiguresirréelles!Inspiréparlesféériesdu théâtre baroque et puisant dans les possibilitéstechnologiquesactuelles, Pellisari, auteurde ce spectacletotal,est l’inventeurd’unartchorégraphiquesingulier,aucroisementdelamagie,del’illusionnismeetducirque.

PRESSEITALIENNE(traduc0on)

• «Unspectacledesplusinsolites:uneinven0onthéâtralephénoménale, de grande envergure, qui brave enpermanence l’équilibre fragile entre l’imaginaire et lemétaphysique…»IlTempo

• « Très vite, le manège onirique devient aérien et l’ordredes choses est inversé […]. Phénoménal. »CorrieredellaSera

• « Les six danseurs sont excellents. Leurs corps sculptentdesmouvements sinueux dans des acroba0es virtuoses…Une harmonie qui vous laisse sans voix… »Serena Lena,Sa8naria

NoGravity-SiteofficielhTps://www.nogravitytheatre.com

Samedi 29 Mars - 20h30CANNES Palais des Festivals

EMILIANO PELLISARIDE L’ENFER AU PARADISDANSE AERIENNE / ILLUSION

www.palaisdesfestivals.comPoints de ventes habituels et Billetterie Palais des Festivals 04 92 98 62 77 EVENEMENT VILLE DE CANNES – REALISATION PALAIS DES FESTIVALS ET DES CONGRES Li

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DANSE / NOUVELLE MAGIE

MARDI 18 MARS 2014 À 20 H 30

Mise en scène et Chorégraphie Emiliano Pellisari

EmilianoPellisari studioNo gravity dance company

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Salle Ravel - 33 rue Gabriel-Péri - 92300 LevalloisBilletterie - Renseignements : 01 47 15 76 76 www.ville-levallois.fr

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De l’enfer au paradis d’après La Divine Comédie de Dante Aligheri

Gruber Ballet Opéra

présente

d’après LA DIVINE COMEDIE de DANTE

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DE L’ENFERAU PARADIS

NO GRAVITY DANCE COMPANYUNE CREATION EMILIANO PELLISARI STUDIO

UN SPECTACLE COMME VOUS N’EN AVEZ ENCORE JAMAIS VU !

Untravail totalement insolite,stupéfiantd’imagina0on; lebutrecherchéestindéniablementdegénérerlemerveilleuxmais, de surcroît, le spectacle repose en0èrement sur lagestuelledescorpsetsurunemachineriecomplexedénuéedetoutélémentvirtueloutechnologique;seulesubsistelalumière qui s’infiltre en diagonale sur un noir permanentcomparableauxplansdefonddestableauxdeCaravage.

DelTeatro.It-AntonioAudino-8mai2005

Lespectacleetseseffetsmagiquesincomparablesaconquisle public : très vite, le manège onirique devient aérien etl’ordre des choses est inversé ; une scène envahie d’unemul0tudes de ballons colorés et d’objets informes etévanescentsintrigue.Phénoménal.

CorrieredellaSera-ValeriaCrippa-9décembre2005

Pour une fois, le 0tre n’est pas racoleur ; il est plutôt unepromesse contenue pa0emment, rigoureusement, souventingénieuse, (…) grâce au travail technique très pointu, untravail de fond à la fois fantaisiste et imagina0f signéEmilianoPellisari, jeunedocteurenphilosophiedotéd’uneexpériencecinématographique.VikoriaOkolenghi-RestodelCarlino-11novembre2006

Six danseurs acrobates apparemment désentravés deschaînesdelapesanteur,volent,sesuspendent,bondissentàla ver0cale ; ils se lancent dans le vide, reprennent de la

hauteur,secajolent,jouentetdansenttoutenfloTantdansl’espace.

LaRepublica-8décembre2007

Audessusde lascène, l’hommevole, librement. Est-ceunrêve,est-celepouvoirdequelqueincanta0onsecrète,est-celamagiedes ailes ? L’hommevole, librement, endécollantsimplement ses pieds du sol pour occuper une nouvelledimensionaérienne.

IIGiornale-6décembre2008

Des corps qui vol0gent, planent dans l’air, suspendant leurchutelibre.Véritabledéfiauxloisdelaphysique.

IlTempo-6décembre2009

Ilsdéfientlesloisdelapesanteuretsedéplacentdansl’air,àleur gré : le rêve devient réalité pour ces danseursrepoussant les limites de la gravité ; un étonnant « happening » pour tous ceux qui ne souffrent pas dever0ge.

Grâce, finesse, apesanteur…Le concept? Six danseurs(quatrefillesetdeuxgarçons)évoluentendéfiantlesloisdela gravité, sansharnais, grâceàun stratagème tenu secret.Cercle,triangle,carré,fleur…Telunkaléidoscopehumain,ilsévoluent d’une figure à l’autre avec une facilitédéconcertante.Ilss’envolent,retombent,semblentfloTer.

Magiques,leseffetsvisuelscoupentlesouffle.

Les personnages nagent dans les ténèbres, sont déchirésentreamouretviolence,tententdes’extrairedecemilieu

sombreparundrapdelumière.Toutenfluidité,ilsformentunescalierhumainouunepyramidedeleurscorpsmusclés,libérésdelagravité.

Sansharnais,sedétachantsurunetoilenoire, lesdanseursdéfientlesloisdelapesanteuretcertainsfontdesbondsdesixmètres!Biensûr,ilyaun«truc»,maisledévoilerseraitcomme raconter la chute d’un film. La performance desdanseursestexcep0onnelle.Letravailestceluid’unar0san.

Ce spectacle est accessible à tous les publics. Lacompréhension du sujet n’est pas fondamentale. C’est unspectacled’imagesetd’émo0onquipeutplaireauxenfantsdès8ans.

ContactGRUBERBALLETOPÉRA

BéatriceGRUBER31,ruedupe0tmusc

75004PARISbeatrice@gruberballetopera.com

Tel.0610189405