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B . R , ü , M ,
Direction de Nouméa
ESTIMATION MINIERE DU PERMIS
DUNITE 78
(NICKEL - Nouvelle-Calédonie)
o
o 0
- R, LILLE
Nouméa, le 19 3uin 1975 75 NOU 2
I7/ RESUME /
Le gisement DUNITE 78 est constitué par des petits corps de pérido¬tltes altérées enrichies en nickel, appartenant à un ensemble d'altéritesactuellement situées entre 200 st 320m d'altitude, dans le massif du Sud deNouvelle-Calédonie.
Une première prospection, faite en 1963, avait comporté des sondagesde tarière à main faits suivant une maille systématique (40 x 40m), ainsiqu'un petit nombre de puits manuels.
Après amodiation du permis, en 1974, un cubage préexploitation futtenté par niveaux au bulldozer et puits à la pelle Poclain.
Avant, pendant et après les travaux, une carte de formations super¬ficielles et géomorphologio fut établie et tenue à jour (O.P. LA30INIE),A l'épreuve, il se confirma que cette analyse géologique fine était indispen¬sable pour une évaluation correcte du gisement. Elle fait l'objet d'un autrerapport,
S'agissant d'un gisement de nickel d'altération, l'estimation duminerai contenu ne peut être que probabiliste. Nous nous sommes efforcés deconserver une certaine rigueur statistique tout en intégrant l'ensemble desdonnées géologiques et minières accessibles.
Les résultats des diverses estimations successivement effectuées
de 1964 à 1975 sont comparé©, La fourchette de variation, assez large, estprincipalement due au fait qu'on parle tantôt de minerai gisant, évalué defaçon purement otatistiquo, tantôt de minerai possiblement exploitable, estiméaprès une sélection tenant compte du contexte d'ensemble.
Concernant un sujet relativement limité, nous avons employé un pro¬cédé simple qui ne fait intervenir ni le centre de calcul ni la géostatistiqueIl est toutefois proposé de remplacer une partie du calcul par un krigeageeffectué à un certain stade de l'étude.
D'autre part, il est bien entendu prévu que les résultats soientconfrontés avec les données de l'exploitation minière qui va prochainements 'ouvrir.
L'estimation actuelle porte sur cinq masses comprenant au total ;
- minerai magnésien sub-affleurant : I43 OOOt humides à 2,7 ^ Ni + Co(sur sec)
- minerai magnésien sous latérites : 76 OOOt humides probables à 2,3 %Ni + Co
L'exploitation amènera vraisemblablement un abattage de quelquesdixièmes dans les teneurs du minerai.
OUINNE -i RIVIERE\ BLANCHE
I MONT DORE PLAINE DES LACS
CLAUDE
PRONY
D O M A I N E MINIER DU B . R G . M , EN
NOUVELLE CALEDONIE
Massif du Sud
1/200000
LE OUEN
7/ ESTIMATION MINIERE DU PERMIS /
/ DUNITE 78 /
/ (NICKEL - Nouvelle-Calédonie)/
LI
1 - INTRODUCTION
Le titre DUNITE 78 couvre 76 ha. Il fut institué tout d'abord
pour recherche de chromite éluuiale (BUMIFOM). Les premiers travaux ayantrencontré des teneurs en nickel, une deuxième phase comporta des sondagestarières et des puits manuels destinés à cuber le minerai (1964). Le titrefut institué en permis d'exploitation le 1er janvier 1966. Enfin, il fut
amodié en 1974 à la Société CALMIWES. Le présent rapport rend compte destravaux effectués en 1974 sous la direction technique du B.R.G.M. avec
l'aide d'engins (bulldozer et pelle Poclain) fournis par la Société CALMINES.
2 - APERÇU GEOLOGIQUE
La partis nord du permis est occupée par une ligne de crête orien¬tée W» SU - E. NE. Son flanc SE , assez abrupt, domine des collines bassesdrainées par la rivière des Pirogues, tandis que le versant NU descend enpente plus douce vers un de ses affluents rive droite.
Tout le minerai de nickel cubé appartient à ce système et se trou¬ve situé en 200 et 320 m d'altitude.
L'étude géologique détaillée des formations superficielles a étéfaite par O.P. LA30INIE en 1974. Elle fera l'objet d'un rapport séparé (encours) et nous n'en rappellerons donc ici que les grandes lignes.
Du haut en bas de la zone considérée il a été reconnu î
- une cuirasse assez massive, mais en cours de démantèlement qui forme
d'étroits plateaux sur la partie est de la ligne de crête.
Cette cuirasse n'est pas la plus haute de la région:sur le permisMarie France voisin, on en rencontre jusqu'à la cote 465 m.
- des terres rouges et jaunes épaisses (plus de 10 m) affleurant principale¬ment sur les versants NU , surmontées soit par des témoins de cuirassedémantelée sur place soit par un semis plus ou moins, donso de blocs decuirasse.
. ...
- 2 -
- des terres rouges et jaunes peu épaisses (1 à 2 m), contenant un blocageplus ou moins important de péridotltes saines ou altérées, et localementsurmontées par des témoins de cuirasse démantelée ou par de la blocalllede cuirasse.
- les "roches saines" constituées soit de péridotltes en bancs massifs, soit(plus généralement) par une blocallle dense couvrant les versants. Les harz¬burgites dominent sur les dunites. Des roches feldspathiques en bancs etfilonnets sont localement abondantes : en particulier un système de filonsbien développés orientés U. NU - E , NE marquent la limite nord du gisement(et du permis) .
La serpentinisation globale (intime) des péridotltes est moyenne(faciès normal de S.L.N,) mais une serpentinisation à plus large mailleapparaît dans plusieurs secteurs et semble influer fortement sur la miné¬ralisation
- des formations d'altération "squelettiques" ("pulvérulentes, sans doutepeu développées et peu évoluées") occupent d'une part la partie occiden¬tale de la ligne de crête, d'autre part une croupe sud. Elle ne sont sur¬montées que par des minces lambeaux de terre et par les restes d'uneblocallle peu dense de cuirasse.
L'articulation de ces ensembles et leur morphologie seront revues .propos des minéralisations contenues»
3 " TRAVAUX EFFECTUES EM 1964
Les travaux effectués par le BUMIFOM et le B,R,G.M, ont comportéau total "396 sondages tarières totalisant 1315 m, 39 puits totalisant
113,5 m et 4 tranchées",
70 sondages et 14 puits ont servi au cubage effectué en 1964(C, KIEFT, D. TIBURZIO),
Le procédé était le suivant (pour autant que nous l'ayons bienreconstitué) :
- sondages à la tarière à main, échantillonnés mètre par mètre, effectuésà maille 40 m le long de profils E-U distants de 40 m. Les sondages étalonarrêtés soit par la profondeur (20 m environ) soit par le premier blocdur rencontré (cuirasse ou péridotite). En ce cas, les morceaux de rochealtérée remontés par la dernière passe étaient analysés et le résultatexprimé sous la forme : 2,8 % Ni + Co_à 16 m. Par ailleurs, toutes lesanalyses étaient indiquées en Ni + Co et aucune analyse complète n'a étéfaite
- puits manuels, de section 1x1m, placés souvent hors maille dans lessecteurs intéressants et échantillonnés par tranche métrique. L'échan¬tillonnage comportait différents stades de fractionnement et pesée duminerai extrait, le résultat étant exprimé en tonnes de minerai humidecontenu dans chaque tranche métrique.
. . ./ ...
- 3 -
Le cubage a été fait en calculant le tonnage / m2 rencontré parchaque ouvrage et en totalisant pour chaque profil E-U le produit des ton¬nages par les surfaces d'influence. Ces dernières semblent avoir été cal¬culées géométriquement sur plan (sans tenir compte des observations géolo¬giques de surface).
Le cumul des profils donnait le résultat global :
370 700 t, à 2,47 % Ni + Co
4 - TRAUAUX 1974
4,1.- Introduction
Ces travaux, (D. TIBURZIO, 3,P, LAOOINIE, R. LILLE), se sontdéroulés en novembre et décembre 1974, Ils ont été souvent gênés parle mauvais temps. Au total, il a été fait :
- 1 700 m de piste- 5 200 m de niveaux au bulldozer
- 101 puits totalisant 353 m
- 356 analyses Ni + Co
200 heures de bulldozer (type D 8) et 150 heures de pelle PoclainLY 80 (1) ont été nécessaires. Les analyses ont été faites au Servicedes mines (Nouméa),
Avant, pendant et après les travaux de chantier, une carte géolo¬gique et morphologique détaillée à l/lOOO a été établie et tenue ajour (O.P. LA30INIE). Le fond topographique utilisé était le l/lOOOétabli par le BUMIFOM, sur lequel avaient été reportés en 1964 les son¬dages tarières et puits manuels. Ce fond, parfois inexact, nous a sou¬
vent gênés, mais nous avons néanmoins préféré l'utiliser pour ne pasperdre l'acquit des travaux antérieurs.
L'estimation finale du gisement a été faite en 1975 (R. LILLE),après achèvement des travaux. Parallèlement, un cubage était fait parla Société CALMINES à partir des mêmes données et suivant ses normeshabituelles,
4.2 - Travaux effectués
Afin de ne pas multiplier les travaux de bulldozer et le tempsdes engins, il n'a pas été implanté de maille systématique préalable(comme cela est usuel dans le cas de travaux sur P.O.R,).
. . / ...
(1) Cette pelle équipée en benne preneuse fonce un puits de diamètre 1,30 m sur une pro¬fondeur maximale de 11 m. En fait, elle s'arrête dès que le blocage est trop important.
- 4 -
Des niveaux horizontaux, distants en moyenne de 40 m, furent im¬plantés dans les "zones favorables".
Après exécution, un examen des talus accompagné de prises d'échan¬tillons amena à éliminer une partie de ces zones»
Sur le reste, des emplacements d'ouvrage furent piquetés à maillelinéaire 40 m. Pour ne pas biaiser le calcul, les emplacements défavo¬rables (roche saine) étaient néanmoins piquetés et numérotés, donnantainsi la position d'un puits fictif à résultat nul.
Des prélèvements en talus et des puits supplémentaires furenteffectués hors maille, et notés comme tels.
Enfin, la maille linéaire fut desserrée à 80 m dans les secteursde latérite épaisse (supérieure à 10 m), et resserrée dans certainssecteurs particulièrement intéressants.
Les déblais de la pelle Poclain étaient disposés en tas par tranchemétrique. Le quartage de ces tas de minerai humide (comportant desfines, des fractions grossières et des blocs stériles) aurait été troplong : aussi ils ont été échantillonnés par prélèvements, ce qui poseun problème de fiabilité (cf. infra).
Enfin la coupe géologique sommaire des puits était faite (D, TIBUR¬ZIO) en même temps que l'échantillonnage.
4.3 - Echantillonnage
Sur chaque tas, représentant le minerai provenant d'une tranchecylindrique de diamètre 1,3 m et hauteur 1 m, il fut fait :
- une estimation à l'oeil du pourcentage volumique des blocs stérilesqui devront être éliminés par l'exploitation. Le pourcentage de mi¬nerai par rapport au volume total constitue le rendement
- l'échantillonnage du minerai par 4 prises de 2 kg cherchant à repro¬duire les pourcentages de fines et d'éléments grossiers.
Les 4 échantillons étaient ensuite regroupés et analysés pour Niet Co au Service des Mines,
Ce système d'échantillonnage est assez grossier. Son excuse est
d'être rapide et peu coûteux.
Pour nous contrôler, nous avons :
- fait effectuer des évaluations de rendement par plusieurs opérateurssuccessifs. Les résultats sont comparables, ce qui prouve seulementleur reproductibilité (mais non leur véracité).
- ij§échantillonné le minerai en prenant la pelle japonnaise de 10 kgutilisée pour l'échantillonnage des bateaux à l'exportation.
Les résultats sont donnés en annexe 3, Pour les puits examinés, onnote :
- l'absence apparente de biais,
- une dispersion notable des résultats concernant chaque passe métri¬que,
- une assez bonne concordance dès qu'on regroupe ces résultats, ouvragepar ouvrage.
Autrement dit, les résultats ne peuvent être fiables qu'au niveaudes teneurs et tonnages d'un puits entier. L'évolution verticale indi¬quée par les tranches métriques n'a qu'une valeur d'information semiquantitative (ce résultat n'a rien d'étonnant). Pour un puits de 3 m,l'échantillon total pris à la pelle fait ainsi 30 kg environ.
Ces contrôles sont encore insuffisants. Nous les continuerons en
1975 en faisant le quartage d'un certain nombre de tas suivant les
normes japonaises,
4.4 - Report des résultats
Les résultats ont été reportés sur carte en indiquant pour chaquepuits :
- le recouvrement latéritique,- la puissance minéralisée (magnésien ou transition),- la teneur et le rendement moyens,
5 - ESTIMATION DU GISEMENT
5,1 - Méthode
Pour estimer la quantité de minerai, nous avons tout d'abord dis¬tingué 5 masses minéralisées dont chacune correspond à un environne¬
ment géologique et géomorphologique particulier. Ces gisements ontété ensuite subdivisés suivant que le minerai est sub-affleurant oumasqué par des terres épaisses.
Dans chaque gisement, l'estimation a été faite en deux étapes :
- la première étape (travail sur plan) est purement géométrique : la'"zone d'influence" de chaque puits est tracée par le polygone desmédiatrices equidistantes de deux ouvrages voisins, étant entenduqu'aucun point ne doit se trouver à plus de 20 VTT = 28 m d'un puits(référence à une maille carrée de 40 x 40).
- la 2ème étape conduit à retrancher les zones manifestement stérilespu impossibles à exploiter (argument géologique et minier)
- enfin un estimateur est construit en pondérant les données provenantde chaque ouvrage par la surface d'influence de celui-ci. Cet esti¬mateur est appliqué à la surface totale du gisement étudié.
. . ./ , ,
Autrement dit, on considère que dans ce type de gisement, il n'estpas possible d'acquérir une connaissance certaine même avec des ouvra¬ges à maille 40 x 40 : les variations sont déjà considérables à l'é¬
chelle du mètre. On est donc obligatoirement amené à travailler en
probabilité. Ici, seul le résultat global concernant une masse entièresemble pouvoir être fiable, à condition d'avoir construit un estima¬teur efficace et sans biais (ce qui n'est pas évident). L'examen desouvrages peut ensuite donner une image semi quantitative (et souventfausse) de la répartition du minerai à l'intérieur de ces masses.
Avec l'aide du Centre de calcul d'ORLEANS, on pourrait bien entenduaméliorer l'estimation en remplaçant le calcul des "surfaces d'influ¬ence" par un krigeage, La deuxième étape de sélection géologique etminière reste néanmoins indispensable, de même qu'il est nécessaired'individualiser au préalable les différents gisements.
5.2 - Résultats (cf , Annexe 2)
5.2,1 - Gisement I
Le gisement I a été divisé en 2 parties,
La partie la correspond à une étroite bande de formationsd'altérations squelettiques situées en crête. Les terres etcuirasse qui ont dû surmonter cette formation ont été presqueentièrement érodées. Sur le flanc sud, les altérites occupentle sommet d'un versant abrupt en roche saine. Le flanc nordest moins raide. L'existence de sillons d'altérites contenant
du minerai a provoqué l'exécution de niveaux au bulldozer surce versant nord : en fait, il s'agit de racines d'altérationsans développement, donc sans intérêt, au sein de dunites tropsaines.
La partie Ib correspond à une extension probable du gise¬ment sous les terres et la cuirasse de la partie centrale. Lecubage utilise des sondages tarière : il est donc moins sûrque celui de la partie la.
Les résultats sont les suivants (1) (cf. Annexe 2)
- la s 23 000 t. de minerai humide à 2,8 y^ (Ni + co) sur sec
Rendement = mxuevai = 55 %minerai + ûiocs
Puissance minéralisée moyenne : 3,4 m
Recouvrement nul
- Ib : 15 000 t. de minerai à 2,3 %
Rendement : inconnu
Puissance minéralisée moyenne : 3,1 m
Recouvrement moyen : 5,8 m
. . ./ ...
|1) En supposant une densité humide moyenne de 1,6.
Surface d'influence" du puits A. entoure
les puits B C D Epar
Le minerai la est très bloqué : le tonnage exploité pourradonc différer sensiblement (en moins ou en plus) du mineraigisant cubé ici.
Le minerai Ib est probable, mais moins bien prouvé et moinsbien connu. Le tonnage gisant indiqué comporte donc une four¬chette d'incertitude importante (en moins ou en plus).
5.2.2 - Gisement II
Le gisement II est légèrement en contrebas de I, sur une
des croupes descendant vers le NU.
Il a été subdivisé en 3 parties, que nous prendrons du basen haut,
La gartiB_IIa occupe le centre de la croupe. La couverturelatéritique a été presque entièrement déblayée et il n'y apas (ou plus) de cuirasse. En revanche, la roche peu altéréeaffleure largement, en blocs résiduels ou en pointements plus
importants.
La délimitation du gisement n'est pas évidente, les talusdes niveaux de bordure montrant des alternances de bancs sté¬
riles peu altérés et de bancs altérés minéralisés dont il est
difficile d'apprécier l'extension : le tonnage exploité dépen¬dra donc largement de l'habileté du mineur.
La partie lib, située un peu plus haut sur la même croupe,semble séparée de la par une cloison stérile. Elle se trouve
à la limite entre les terres minces et les terres épaissessurmontées par des témoins de cuirasse démantolée.
La partie Ile est encore plus hau'be et correspond à une exten¬sion possible sous les terres, estimée principalement à partirde sondages tarière.
L'estimation est la suivante :
- Gisement lia
, 21 OOOt à 2,45 %, Rendement moyen 55 %, Puissance minéralisée moyenne 3,0 m, Recouvrement nul.
- Gisement lib
, 11 OOOt à 2,5 %, Rendement moyen 55 %, Puissance minéralisée moyenne 2,7m, Recouvrement moyen : impossible à estimer, mais sans doute
encore faible.
../..,
- B -
- Gisement Ile
. 28 OOOt possibles à 2,4 %
. Rendement moyen : impossible à estimerPuissance minéralisée moyenne : 4,2m
. Recouvrement moyen : 6m (peut être sous estimé).
Ici encore, l'estimation de Ile est moins fiable que cellede lib et lia.
5.2.3 - Gisement III
Le gisement III occupe la croupe voisine de celle du gise¬ment II. Il est limité au Nord par une importante bande felds¬pathique qui concorde approximativement avec la bordure dupermis. Au Sud, il comporte une extension probable sous lesterres épaisses qui a été estimée à partir de sondages tarière <Nous distinguerons donc 2 parties dans le gisement,
- Gisement Illa
, 30 OOOt à 2,7 %, Rendement moyen : 65 %, Puissance minéralisée moyenne : 3,1m, Recouvrement : faible à nul
>> Le rendement est en fëit assez variable, ce qui introduitune incertitude sur le tonnage exploitable,
- Gisement Illb
. 33 OOOt à 2,15 %, Rendement moyen : inconnu
, Puissance minéralisée moyenne : 7,3mRecouvrement moyen : 3,1m
Cette estimation est faite à partir de 3 ouvrages^ compre¬nant 2 sondages tarière, dont les résultats sont assez
dispersés. Le résultat a donc seulement un caractère indi¬catif,
5.2,4 - Gisement lU
Les croupes qui occupent la partie nord-est du permis pré¬sentent des altérations irrégulières et sont riches en roches
feldspathiques. Malgré la présence de teneurs parfois notables,il nous semble que la majeure partie est inexploitable.
D'autre part, les ouvrages apparemment intéressants du
niveau D nous paraissent correspondre à des racines d'alté¬
ration sans développement. Nous ne les avons donc pas com¬prises dans le cubage. L'exploitation devra toutefois faireun essai dans la zone qui entoure D 46 (1), bien qu'ellesemble à première vue trop bloquée.
. . ./ ...
(1) Et qui englobe également les prélèvements en talus DT .341 (2,74 % Ni+Co) et DT 342(2,52 %),
Les seuls puits pris en compte actuellement correspondentdonc aux niveaux C et G. Nous y avons ajouté des sondages
tarière situés plus près des terres épaisses.
Le résultat global est :
. 27 OOOt à 2,3 %, Rendement moyen : 70 %. Puissance minéralisée moyenne : 2,8m. Recouvrement moyen î 0,6m (variable).
Outre le caractère peu fiable des sondages tarière, il fautaussi compter avec la présence de roches feldspathiques quiappauvriront le gisement si l'exploitation ne parvient pas àles éliminer.
5.2.5 - Gisement U
La moitié est du plateau cuirassé sommital de DUNITE 78
est entailléo par une profonde alvéole à flancs raides,ouverte vers le Sud.
Cette alvéole s'appuit à l'Est comme à l'Ouest sur descloisons de roche saine.
La cloison ouest ne porte que des minéralisations magné¬siennes faibles et dispersées, A moins d'un développementsous les terres épaisses (qui est possible), il ne sembledonc exister qu'une faible tranche minéralisée inexploitable ,entre les terres et le "bed rock".
En revanche, on trouve entre les terres de l'alvéole etles roches saines de la cloison est (cote 311) une masseminéralisée à teneur élevée qui constitue le gisement U.>
Celui-ci est limité :
- à l'Est, par les roches saines en bancs massifs de la cote311
- au Sud et Sud Ouest, par des biocailles de péridotite peualtérée, La limite du gisement est hypothétique
- au Nord Ouest, par les terres épaisses. Le contact entrele minerai à texture conservée et les terres paraît forte¬ment pente. Autrement dit, l'approfondissement des terresest brutal. Sur le niveau K, il semblait apparaître unezone de transition susceptible de plonger sous les terresèLes puits K8 et K9, à faible teneur, ne l'ont pas confirmée..Toutefois, des prélèvements en talus refaits en 1975 dans
le lavaka du contact ont trouvé des teneurs dépassant 3 %dans du minerai de transition surmonté par des terresriches (1). Il est possible que K8 et K9 aient été pollués
. .
(1) Minerai de transition : 3,74 ^, 3,85 %, 2,52 ?S Ni + Co, Terres : 1,69 %,
- 10 -
par des roches feldspathiques : en ce cas, le gisement seraitsous-estimé. En tout état de cause, la possibilité d'uneextension vers le Nord Ouest devra être examinée lors de
l'exploitation.
Les résultats sont les suivants (puits manuels et puitsPoclain) î
, 31 OOOt à 3,35 %Rendement moyen : 80 %
, Puissance minéralisée moyenne : 3,1m, Recouvrement moyen : nul
Le minerai, altéré à coeur, correspond à des faciès ser¬pentineux.
Les puissances minéralisées en talus, au-dessus des puits,ont été prises en compte dans le cubage pour leur hauteurmoins 1m. En fait, un cubage fiable demanderait ici l'exécu¬
tion d'une topographie précise à 1/500.
Plusieurs puits présentent des possibilités d'approfon¬dissement.
A notre avis, et pour plusieurs raisons, le gisement U aété sous-estimé plutôt que surestimé par le cubage ci-dessus.
/ ESTIMATION DE DUNITE 78 /
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6 - CONCLUSIONS
En conclusion, nous ferons une brève comparaison des diversesestimations effectuées.
a/ - ÇubagB_global (DUNITE 78)
. B.R.G.M, (1964) : 370 700t à 2,47 %
. B.R.G.M, (1975) : 221 OOOt à 2,6 %
comprenant : , 143 OOOt à 2,7 % de minerai sub¬affleurant
Rendement moyen : 63 %
. 78 OOOt à 2,3 % de minerai pro¬bable masqué par les terres
(1)., CALMINES (1975) : 188 574t à 2,81^ de minerai subaffleurant
Rendement moyen t 61 %
b/ - Régartition^par_gisement (B.R.G.M. 1975 et CALMINES 1975)
Gisement
Bt estimation
Surface
en m2
Tonnage(d=1,6)
Teneur
Ni + Co
sur sec
Rende¬
ment en
%
IB.R.G.M.
® CALMINES7 650
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65
58
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^ CALMINES9 140
10 920
30 OOOt
37 120t
2,7
2,68
65
65
IIIB.R.G.M.
CALMINES
2 990
non c
33 OOOt
;ubé
2,15
lUB.R.G.M.
CALMINES
8 430
14 740
i
27 OOOt
30 969t
2,3
2,54
70
51
uB,R,G.M.
CALMINES
1
7 900
11 170
31 OOOt
33 302t
3,35
3,76
80
82
I
il
I
tl
I
II
I
II
I
II
I
II
I
tl
I
II
I
II
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I
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II
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II
I
II
I
II
I
II
II
I
II
I
II
I
II
II
I
n
I
(1) Estimation faite par R. LEROUX, à partir des données de la prospection 1974
- 13 -
La comparaison par gisement fait apparaître des divergences plusimportantes que l'appréciation globale. En effet, certains facteurs peuventjouer en sens contraire,
- L'estimation 8,R.G,M, est plus sévère pour la sélection du minerai sub¬affleurant exploitable.
- L'estimation CALMINES ne prend pas en compte les minerais masqués parles terres, indiqués par le B.R.G.M. comme "probables".
On remarquera que les divergences sont plus importantes pourl'appréciation des tonnages que pour celle des teneurs et rendements.
Les divergences entre les estimations B.R.G.M. de 1964 et 1975
sont dues à deux causes principales :
- la première est la différence de méthodes : tarière systématique etquelques puits manuels dans un cas, puits Poclain systématiques dansl'autre.
L'utilisation des sondages tarière peut amener aussi bien unesous-estimation qu'une surestimation. En revanche, l'exécution de puitshors maille bien placés introduit évidemment un biais d'estimation.
- la deuxième est, à notre avis, plus importante : le cubage de 1964 prend .en compte tout le minerai rencontré, qu'il soit dispersé ou concentré,exploitable ou non. C'est un cubage de minerai gisant. Le cubage de 1975introduit un critère de séJ.ection en essayant de délimiter des masses
possiblement exploitables à l'exclusion des minéralisations erratiques.Il est donc normal de trouver un résultat inférieur. Cela ne veut pasdire que ce résultat soit "pessimiste" s il est malheureusement possiblequ'à l'expérience, il apparaisse encore trop optimiste, c'est-à-dire quel'exploitation impose une sélection plus sévère.
A titre méthodologique, il serait bon de voir si l'interprétationgéostatistique des données fournit des résultats très différents» A priori,nous ne le pensons pas.
Le plus intéressant sera bien entendu de confronter ces diversesestimations avec les données de l'exploitation prochainement ouverte par leSociété CALMINES,
o
o 0
I 7/annexe 1 /
/ /
Résultats des puits et prélèvements effectués en 1974
D : Dunite
H : Harzburgite
- 1, 2, 3, 4 : degrés d'altération croissante
- P B P ! profondeur base passe
0
o o
Piermis .
Méthode
DUNITE 78
Pelle POCLAIN/ B.R.G.M. NOUMEA / Date ......
Opérateur .<
1974
TIBURZIG
D.
PBP
m
Ech. Ni
%
CoNi+Co
moyenal
Rdt
vol
%
Nature des terrains
I
II
I
II
I
II
I
II
I
II
I
II
III
I
It
I
II
I
II
I
II
I
tt
III
I
II
1
II
i
II
I
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D3 + D2iiI
Il
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II
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I
II
I
II
I
II
I
II
I
II
III
II
III
III
III
I '
1
2
3
A
DT 75
DT 77
DT 78
DT 79
2,61
2,452,67
3,06
0,050,060,040,05
2,76 70
D 3 + D 2 orange et grise- idem -
- idem -
- idem -
Roche
1
2
3
DT 80
DT 81
DT 82
2,382,132,17
0,190,22
0,182,39
1
2
DT 83
DT 84
DT 85
DT 86
1,641,28
0,100,08
1,55
1,98 0,14 2,12
70D3 grise + H3 prapgebs grise et oronge H 3
- idem -
60D3 + D2 orange uet .grise
- idem -
60 D3 + grains rougeâtres et orange + D2
2,94 0,21 3,15 80 H3 orange et rougeâtre + pyroxénite +
1
2
3
DT 87
DT 88
DT 89
2,29
2,673,11
0,110,100,12
2,80 40
D3 grise + D3 orangeH3 marron-et orange
H3 marron orange -^+i 03 jjaone
1
2
3
4
DT 120
DT 121
DT 122
DT 123
2,502,45
2,351,64
0,08
0,560,68
0,33
2,64 70
03 grise et rougeâtreD3 rougeâtre orange grise
- idem -
- idem -
1
2
3
4
5-
6
DT 114
DT 115
DT 116
DT 117
DT- 1-18-
DT 119
2,78
3,06
2,672,94
2->382,67
0,08
0,060,06
0,060^,-07
0,08
2,81 60
D3 + D1 grise-'orange et rougeâtre- idem -
- idem -
- idem -
-- idem- --
- idem -
Permis ,
Méthode° DUNITE 78
' Pelle POCLAIN
,
/ B.R.G.M. NOUMEA / Date ....... : 1974Opérateur .. :d. TIBURZIO
PBP
m
Ech. Ni Co I Ni+Comoyen
Rdt
volNature des terrains
I
II
II
II
II
I
M
I
IIIII
I
II
I
II
I
II
t
II
III
III
i
II
I
II
I
II
I
II
III
I
III
IM
- I,-'Il î'
1
2
3
DT 270
DT 271
DT 272
1,841,641,68
0,05
0,03G, 03
1,76 60
D3 + H3 orange verdâtre dur + terre- idem -
- idem -
DT 273
DT 274
1,48
1,05
0,03 1,51 40 D3 jaune verdâtre dur + Dl
1
0
0,03 1,08 60 p3 sèche jaune verdâtre dur
Roche
1
2
DT 275
DT 276
1,711,84
0,04
0,041,81 50
H2 + H3 dur, orange verdâtre- idem -
Roche
Roche
Roche
5
6
7
8
9
10
DT 277
DT 278
DT 279
DT 280
DT 281
2,102,54
2,782,352,54
0,100,17
0,03
0,11
0,08
2,65 80
Latérites
H4 + H3 jaune orange, marron- idem -
- idem -
- idem -
- idem -
-"II" n
.1-: -
III >
M
I ,
"W '.'..\
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II
I
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I
II
I
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I
II
t
II
6
7
8
9
10
DT 282
DT 283
DT 284
DT 285
0,780,61
0,87
0,80
0,050,080,08
0,10
0,84 100
Latérites
- idem -
- idem -
- idem -
- idem -
0 . Roche
9
10 DT 289 1,61
9
10 DT 287 1,21
0,80
0,30
2,41 100
1,51
Latérites
- idem -
Latérites
- idem -
-Il
I
II
I
II
_iII
I
II
I
II
-I
II
I
II
III
I
II
I
.11I
II
III
I
II
III
III
II
I
o
10 DT 288 0,0G 1,61 100
Latérites
- idem -
8
9 DT 286 1,12 0,11 1,23 100
Latérites
- idem -âs^
2
3
4
DT 187
DT 188
DT 189
DT 190
1,98
2,132,292,32
0,10
0,070,Q60,06
2,25 70
^ ^ àH3 rose rougeâtre, grise, orange
- idem -
- idem -
- idem -
1
2
3
4
DT 183
DT 184
DT 185
DT 186
1,842,132,07
2,07
0,070,060,06
0,04
2,07 50
H3 rose rougeâtre + blocs- idem -
- idem -
- idem -
Permis .
MéthodeDUNITE 78
Pelle POCLAIN
//
r*
B.R.G,M. NOUMEA7/
Date .,...
Opérateur: 1974
0. TIBURZIO
y N»y puitsII
I
Il --
PBP
m
Ech. Ni Co
%
Ni+Co
moyen
1°
Rdt
volNature des terrains
I
11
I
II
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II
1
- II
I
II
1
IlI
II
I
II
I
II
I
II
II
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I
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I
II
II
III
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I
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II
I
II
I
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I
II
I
II
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II
II
III
I
II
III
III
I
II
I
25
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II
I
II
ÍC 29l'i b)I
II
DT 182
DT 1B1
2,17 0,06 2,23 40 H3 rose rougeâtre
2,10 0,11 2,21 20 Terreux, gros blocs D2
DT 179
DT 180
2,172,29
0,140,12
2,36 40MM terreux, blocs D2 + D3MM terreux + blocs H3 et D2
DT 172
DT 173
2,35
2,320,10
0,072,41 60 H3 + H4 jaune et marron
II-
iiC 31t
M----
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II
I
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III
I
II
I
II
I
II
III
I
II
III
II
I
II
I
II
I
II
I
II
I
DT
DT
DT
DT
DT
174
175
176
177
178
2,132,32
2,262,10
2,50
0,140,140,150,10
0,13
2,39 60
MM terreux, argileux, teinté par garniérite- idem -
Du jaune et grise- idem -
- idem -
3
3
RF
RF
.^^
Permis ,
Méthode
; DUNITE 78
: Pelle POCLAIN
/'. 7/ B.R.G.M. NOUMEA /
Date ;1974
Opérateur .. :D. TIBURZIO
PBP
m
Ech.
1
2
DT 124
DT 125
Ni
1,84
1,82
Co
%
0,18
0,16
Ni+Co
moyen
2,00
Rdt
vol
30
Nature des terrains
Latérite, terreux, blocs sains
2
3 DT 126 1,77 0,26 2,03 30 MM terreux bloqué, blocs sains
1
2
DT 127
DT 128
2,812,55
0,18
0,162,85 30
Très bloqué avec MM terreux
1
2
DT 129
DT 130
2,222,29
0,110,18
2,39 35Très bloqué avec MM terreux
très peu altérée
Du fraîche et "
1
2
3
Roche
DT 131
DT 132
DT 133
2,291,841,90
0,21
0,040,07
2,11 60
MM moutarde + latérite
MM moutarde bloqué- idem -
n
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II
II .
Il
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3
4
5
6
7
DT 134
DT 135
DT 136
DT 137
DT 138
2,102,702,453,062,45
0,180,12
0,09
0,12
0,12
2,67 70
Latérite + MM moutarde + H3 orange- idem -
H3 orange + Du grise '.- idem -
- idem -
2
3
4
5
6
DT 139
OT 140
DT 141
DT 142
1,871,371,901,66
0,10
0,140,120,16
1,83 70
Terreux, MM moutarde'.- idem - i''
Terreux, blocs HI +, H3- idem -
.'.t3
4
5;
6
7
8
DT 143
DT 144
1,90
1,64
0,15
0,281,99 30
Latérite + D3 grise- idem -
DT 145
DT 146
1,681,48
0,320,22
1,85 lOo
Latérite..
- idem -
- idemm-
Arrêté en latérite
5
6
7
DT 147
DT 148
1,511,53
0,120,08
1,62 100
Latérite
- idem -
- idem -
Arrêté en latérite
II
I
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Roche irrs'rs''^V, II
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II
I
II
II
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Roche
1
2
DT
DT
149
150
3,252,38
0,060,03
2,86 70 D3 jaune, orange et grise. Minerai dur
1 DT 151
DT 152
DT 153
2,602,742,98
0,060,030,05
2,81
D3 + H3 orange + garniérite- idem -
- idem -
././
Permis .
Méthode
DUNITE 78
Pelle POCLAIN
/L
B.R.G.M. NOUMEAJ
Date .....
Opérateur= 1974
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PBP
m
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%
Ni+Co
moyen
Rdt
vol
%
Nature des terrains
D 40
1
2
3.5
DT 154
DT 155
DT 156
2,32
3,11
2,74
0,14
0,12
0,102,84 70
H3 rougeâtre et rosée avec un peu garniérite- idem -
- idem -
Il D 42
Il - -
IM
I
II
I
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I
II
1.5 DT 157 2,81 0,07 2,88 50
30
H3 rose, orange, rougeâtre
441
1.5
DT 158
DT 159
2,262,19
0,150,14
2,36H3 rose, rougeâtre, orange
- idem -
1
2
3
3.5
DT 160
DT 161
DT 162
DT 163
2,452,45
2,57
2,57
0,080,05
0,060,06
2,57
Í70
160
H3 + D3
- idem -
Zone broyée- idem -
',' D 47Il ____
yo 48
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0
Roche
Roche
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II
III
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I
II
I
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III
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Permis ,
MéthodeDUNITE 78
Pelle POCLAIN
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B.R.G.M. NOUMEA7 Dste ^1974
Opérateur .. g^ TIBURZIO
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PBP
m
Ech. Ni CoNi+Co
moyen
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Rdt
vol Nature des terrains
0 Roche
DT 245
DT 246
DT 247
DT 248
2,292,67
2,572,53
0,10D,09
D,10
0,07
2,60 80
H3 + H4 orange et rougeâtre- idem -
- idem -
- idem -
DT 249
DT 250
DT 251
DT 252
DT 253
DT 254
DT 255
6,603,452,53
2,67
2,17
2,19
2,42
0,150,25
0,26
0,220,23
0,25
0,20
3,65 80
Talus 1,5m iH3 + H4 + garniérite, morceaux durs oranges, ymarrons et rougeâtres
- idem -
- idem -
- idem -
- idem -
Possibilité enfoncement
II
I
II
I
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DT 256
DT 257
DT 258
2,53
2,602,29
0,060,17
0,06
2,57 60
H3 + H4 + morceaux durs marrons et oranges- idem -
- idem -
1
2
DT 259
DT 260
2,352,32
0,12
0,102,44 50
H3 + terres
- idem -
Roches
DT 261 1,68 0,07 1,75 20 Du grise, dure
Roche
I»
DT 262
DT 263
2,07
2,260,180,28
2,39 60Terreux + serpentinites
- idem -
.» yI
II
II
II
I
II
II
II
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II
I
E 9 1.5 DT 264 2,45 0,18 2,63 40 Rouge, jaune, verdâtre
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2
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DT 265
DT 266
DT 167
2,892,74
2,86
0,120,10
0,10
2,93
60
40
60
Talus 3m
H3 rougeâtre, orange, verdâtre- idsm -
- idem -
E 111
l.aDT
DT
268269
2,942,81
0,060,06
Talus 3m
Orange, jaune, marron- idem -
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POCLAIN
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Opérateur1974
D. TIBURZIO
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Ni+Co
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Rdt
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%
Nature des .terrains
I
II
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II
DT 292
DT 293
DT 294
1,82
1,90
2,07
0,04
0,050,04
1,97
80
80
70
H3 orange, jaune, marron à veines talqueuses ivertes - idem -
- idem -
',F 2 DT 295 2,74 0,11 2,85 40 H3 marron, orange, rougeâtre
I
iip 2
Il a)II-
iiF 3I
II
DT 296 3,06 0,12 3,18 30 H3 diaclasée, rougeâtre
Roche
II
I
II
II
I
II
I--
II
I
II
I
II«I
II
t ,Il -isI 'II
I 'i;
DT 297
DT 298
DT 299
DT 300
DT 301
1,87 0,072,50 0,10
1,92 0,08
2,94 0,102,67 0,09
2,46
80
80
70
80
60
H3 poudre moutarde- idem -
- idem -
H3 + H4 orange, rougeâtre- idem -
F 51
2
DT 302
DT 303
2,502,45
0,220,19
2,67 40H3 + H4 terreux, rose, rougeâtre avec desblocs sains II \
>1
2
DT 304
DT 305
1,44
1,190,15
0,081,42 60
Dunite jaune moutarde et grains oranges - dum-.í^.- idem..- \ri\
a),',F=7I
II
t
II
I
II
1
2
3
4
5
DT 306
DT 307
DT 308
DT 309
DT 310
2,702,89
2,322,572,57
0,15
0,18
0,09
0,09
0,15
2,74 70
Terre jaune, orangeMM jaune orange avec passées serpentinlsées
- idem -
- idem -
- idem -
Enfoncement possible '':
II
I
II
I
M
t
II
II
I
II
I
.11I
II ¿i
Il fI >,
-M
I
II
t"II
I
II
.1
'
't'F 7" b)
DT 311 2,29 0,10 2,39 H4 + Terre jaune orange, marronEnfoncement possible
"F 8 Roche
iiF 9I
DT 312
DT 313
2,35
2,89
0,05 2,40 30 MM terreux bloqué dans H2 fraîche
' 10
a)0,08 2,97 60 H3 marron et rose
Enfoncement possibleII
I
II
-I
Il X-
F 10
b)
1
2
3
4
DT 314
DT 315
DT 316
DT 317
1,982,502,322,67
0,150,13
0,11
0,14
2,49 80
H3 + H4 marron, rose, rougeâtre- idem -
- idem -
- idem -
80
II
I
-Il
t
II
I
II
t
II
t
II
I
II
I
II
'F 11
I a)
1
2
3
4
5
DT 318
DT 319
DT 320
DT 321
DT 322
1,641,741,77
1,821,82
0,13
0,100,11
0,12
0,12
1,86 70
H3 + H4 + H3 serpentinisée vert bouteille- idem -
- idem -
- idem - ^^- idem - '"-.»<
Enfoncomont possible 'v
b)
1
2
3
4
DT 323
DT 324
DT 32 5
DT 326
2,132,042,221,98
0,140, 110, 090,10
2,20 80
H3 serpentinisée vert bouteille et rougeâtre \- idem - y- idem - y- idem - I
II
I
Permis ..". SDUNITE 78Méthode .. : Pelle POCLAIN
I'7/ B.R.G.M. NOUMEA /' Date : 1974
Opérateur .. : D. TIBURZIO
I .
Il |\joI
y puitsII
I
II
'¡G 1II
I---
PBP
m
12
Ech. Ni
DT 243 1,12
Co
1°
Ni+Co
moyenai
0,08 1,20
Rdt
vol
%
40
Nature des terrains
Terres et serpentinites blanches- idem -
'.'G 2II
i Ç 3II
¡ G 4
DT 290 2,81 0,18 2,99 40 MM jaune, orange, rougeâtre
0.6 DT 291 2,78 0,12 2,90 40 MM jaune, orange, rougeâtreI
II
I
' III
II
. III
I
II
I
II
I
II
- I
M
I
II
I
II
I
I
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. 11'.";'II'.- '
îl;Il '%-Il i. '
I .' \<\'-
I '.
II
I
II
I S
yíí'II ?>;I '
I fe-.
Roche
Il G 5 Roche
G 6 DT 244 1,29 0,18 1,47 Latérites ^ roches
G 8
1
2
3
4
5
DT 235
DT 236
DT 237
DT 38
DT 239
1,961,681,96
1,74
1,71
0,07
0,050,040,030,03
1,85
60
60
50
40
30
Talus 1m
H3 serpentinisée verdâtre- idem -
- idem -
- idem -
- idem -
Zone broyée ?
G 7DT 240
DT 241
2,29
2,010,120,10
2,26 30Terres et blocs H2 serpentinisés
- idem -
G 9 Roche
G10
H 11
2.5
DT 242
DT 347
DT 348
2,07
2,894,10
0,09
0,080,07
2,16
3,57
20
90
Terres et roches
H3 + H4 rose, marron chocolat- idem - *
H 2 1 DT 349 2,29 0,07 2,36 90 H3 + H4 rougeâtre, orange, marron chocolat
H 3
1
2
3
DT 350
DT 351
DT 352
2,94
3,38
2,32
0,15
0,040,06
2,96 90
03-04 + H3 + H4 marron chocolat, orange- idem -
- idem -
III
II
I
II
t
II
-t
M
I
II
I
II
I
II
I
-; <il
-Il
II
t
II
II
t
II
t
II
II
II
II
II
II
I
II
I
II
H 4 DT 353 2,81 0,05 2,86 90H3 + H4 serpentinlsées orange, rougeâtre,diaclasées
DT 354 0,51 0,01 0,5: 03. .orange, verdâtre» zone bloquée dure
DT 355
DT 356
0,61
0,53
0,02 0,63
0,54
H3 dans zone + ou - broyée et diaclasée
03 + D2 verdâtre pâle dur0,01
n\
Permis .
Méthode
:DUNITE 78
: Pelle POCLAIN
I,
/ B.R.G.M. NOUMEA / Date
Opérateur ..
PBP
m
Ech.
DT 211
DT 212
Ni
6,70-5,95
Co
0,510,48
Ni+Co
moyen
6,82
Rdt
vol
%
90
Nature des terrains
Talus 2m en minerai
H3 + H4 orange et marron- idem -
I
II
I
II
I
II
I
Il
I
It
I
II
I
II
I
' Il
III
I
II
I
11
II
III
i
11
I
II
I
II
I
II
I
II
I
III
I
Il ln-i
11^
Il 'V:'
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II. i
I
II
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It*'v»
I 'II
II
I
11
I
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II
I
tl
I
II
III
II,I
II
III
III
III
III
III
I
11
I
II
i
II
III
i
II
III
I
II
I
II
1
2
DT 213
DT 214
3,793,67
0,120,12
3,85 60
Talus 3m en minerai
H3 grise et orange- idem -
1
2
3
4
5
6
DT 215
DT 216
DT 217
DT 218
DT 219
DT 220
2,893,403,403,343,25
3,61
0,290,310,300,370,290,31
Talus 2,5m en minerai
3,63 80
Possibilité approfondissement
DT 221 2,17 2,30 60 Du grise et jaune.
1
2
3
DT 222
DT 223
DT 224
2,192,642,35
0,060,04
0,05
Talus 2,5m en minerai
2,44 80
1
2
3
DT 225
DT 226
DT 227
2,421,38
1,58
0,120,120,10
Talus 2,5m en minerai
1,90 80
1
2
3
4
5
6
7
DT 228
DT 229
DT 230
DT 231
DT 232
DT 233
DT 234
1,611,481,821,681,611,611,48
0,43
0,330,310,260,36
0,340,27
1,94 100
Latérites
Latérites + passée MMLatérites
- idem -
- idem -
- idem -
- idem -
7
8
9
10
11
DT 207
DT 208
DT 209
DT 210
1,121,381,28
1,16
0,28
0,110,07
0,26
1,41 100
Latérites
- idem -
- idem -
- idem -
- idem - ^
5
6
7
DT 205
DT 206
0,931,03
0,080,31
1,17 100
Latérites
- idem -
- idem -
1
2
3
DT 202
DT 203
DT 204
1,051,34
1,14
0,100,110,08
1,27 30
Terre + roche saine
- idem -
- idem -
12
2
3
DT 199
DT 200
DT 201
1,79
1,291,64
0,330,250,23
1,84 30
D3 + D2 grise, bloquée, poudre verdâtre- idem -
- idem -
DT 197
DT 198
1,642,26-
0,310,33 2,27
90
70
Latérites
Latérites + roche
/Permis
.Méthode
' I
CIUNITA 78 /"Pelle POCLAIN /_
B.R.G.M. NOUMEAy
Date .....
Opérateur
: 1974
:D. tiburz:
PBP
m
Ech.
1
2
3
4
DT 193
DT 194
DT 195
DT 196
Ni
1,96
1,921,511,61
Co
0,05
0,040,06
0,04
Ni+Co
moyenaf/o
1,82
Rdt
vol
80
80
70
60
Nature des terrains
MM rose, rougeâtre, jaune- idem -
- idem -
- idem -
DT 191
DT 192
2,10
2,130,060,06
2,18 60 Du grise teintée rose dans les diaclasesII
I
11
I
II
III
I
II
I
II
I
II
I
II
I
II
I .
. III
< Il
I'
II
II
I
' Il
I! 11
III
III
I
Il
I
II
- . I
II
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I
II
III
I
II
I
II
III
III'
II
III
I
. Il
I
11
I,.Il
II
y ,'.
^
p '.^Permis .
Méthode
s DUNITE 78
: Pelle POCLAIN
fL
B.R.G.M. NOUi^lEADate .....
Opérateur
î1974
:D. TIBURZI-
m
II
I
il --
I
II
I
II
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il
PBP Ech. Ni
%
Co
%
Ni+Co
moyen
Rdt
volNature des terrains
II
I
II
I
IIi
II
I
M
III
II
I
II
I
II
I
II
I
li
I
II
1
2
3
4
DT 327
DT 328
DT 329
DT 330
1,872,102,10
1,90
0,280,080,09
0,04
2,11
MM terreux jaune, orange, gros noyaux Dufraîche - idem -
- idem -
- idem -
iV:L 2
111
nIl -.
t-
II
il MI
il
I
il - =I
il
I
II
DT 331 1,19 0,14 1,33 Latérites
DT 343 1,25 0,06 1,31 Latérites
1
2
4
DT 344
DT 345
DT 346
1,981,961,90
0,140,110,09
2,05
MM (H3 + H4) terreux dans gros blocs moutar- "des -. idem - y
- idem - îII ^
II
Il
Q 1
1
2
3
3.5
DT 332
OT 333
DT 334
DT 335
9,60
8,20
4,653,98
0,04
0,03
0,03
0,03
6,63
90
90
80
70
H3 + H4 marron, orange + veine garniérite- idem -
- idem -
- idem -
1 '
Q 2
DT 336
DT 337
DT 338
DT 339
DT 340
DT 341
DT 342
4,05
5,154,60
4,75
2,57
2,672,42
0,14
0,100,080,10
0,06
0,070,10
4,73
2,63
2,62
90
90
85
80
H3 + H4 jaune, marron garniérite- idem - '. '
- idem - '
- idem -
H3 marron .chocolat, rouge
D3 + D4 rose, rougeâtre, serpentinisée- idem -
^J'
0
/
I7/ ANNEXE 2 /
LI
Les données concernant l'ouvrage (i) sont les suivantes :
- Surface d'influence s Si
- Puissance minéralisée : pi
r. _i J. -1 .Cl. J . nj minerai- Rendement volumétrique s Ri= " . V'^" '."
minerai + stérile
- Teneur du minerai Ni+Co sur sec ... s ti
- Recouvrement latéritique : Li
Les caractéristiques du gisement estimé à partir des 1,2 ,,,i .,, n ouvrages sont les suivantes :
i = n
- Surface ..,,,., : .¿^ Si = S
- Uolume minéralisé: £,pi Si- Uolume de minerai: c.pi Si Ri = U- Tonnage ..,,,,,, : U x densité
- Teneur moyenne ....,.,.,...,. s ¿pi Ri Si ti / U s t- Puissance minéralisée moyenne ...,, s .^piSi/S = p- Rendement moyen , ,,, .,,,, s ¿.pi Ri Si / ¿. pi Si = U / p S- Recouvrement moyen ,,,,,,,, : ¿-Li Si / S
/ DUNITE 78 - GISEMENT I /L/
=-=-=-=-=-=- =-=-=-=-==-=es =-= 1 =-=-=-=-=-=:-=-=- =-= -=-=-=-=-
1
II
II
1 -
Ouvrage Li
m
Si
m2
pi 1m 1 pi Si
Ri
%U = 1
(piSlRiti
%(piRiSi)tixIOO
II
LiSi .
1
n
1
II
1
A 3 510 3 1 530 70 1 1 071 2,39 2 560 0 yII
1A 5 600 1 600 60 360 2,12 763
II
IItl
i
IIA 6 340 1 340 80 272 3,15 857
1
II
11
II P 10 340 2 680 53 360 2,20 792II
II
1
II
A 7 680 ' 3 2 040 40 816 2,80 2 285
11
II
1
II
1
A 8 560 4 2 240 70 1 568 2,64 4 1401
il
I
II
iA 9 400 6 2 400 60 1 440 2,81 4 046
II
t
tttt
1
II1 1 550 5 7 750 51 3 952 3,44 13 597 1 550 il
11
II
1P 9 810 3 2 430 78 1 895 2,40 4 548
II
II
1
11
P 13 880 2 1 760 33 581 1,74 1 01111
1
II
1
n P 12 560 4 2 240 47 1 053 2,20 2 3171
II
II
1A 1 420 4 1 680 70 1 176 2,76 3 246
It
1
IIIt
1
II
. ^
1
1
II
1
II
L 1 7 650 3,36 25690 57 14 544 2,76 40 162 1 550 yil
II
IIST 1 3 1 160 4,5 5 220 100 5 220 2.2 11 484
^
3 480 \II
1ST 2 13 980 3,5 3 43Ü 100 3 430 2,35 8 061 12 740 ï
IIII
II
ST 3 2 890 1 890 100 890 2,80 2 492 1 780 II
IIII
t
II
II
2 3 030 3,15 : 9 540 100 9 540 2,31 22 037
..
18 000 ,',1
II ^ -««-«« \
1
-«..
1
II
II
<^ 1 +^2 10 680 3,30 35 230 24 084 2,58 62 199 19 550 i'II
1
IIIt
11
IIII
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t
il
II
1
II
1
II
II
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1
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It
t
It
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1
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t
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1
It
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II
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t
tt
It
1
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II
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tt
1
II
1
/ DUNITE 78 ./
- GISEMENT II /
1
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pim
pi SiRi
%
uu
(piSlRl)ti
%(plRiSi)tixIOO
II
LiSi .
I«> -. Il
Il
ip 5II
280 2 560 34 190 1,46 277
1
II
1II
Il F 11 a 280 5 1 400 70 980 1,86 1 8231
II
y F 11 b 280 4 1 120 80 896 2,20 1 971II
1II
II
¡1 P 3 500 3 1 500 38 570 2,16 1 2311
II
i) F 10 a 353 1 353 60 212 2,97 630II
1
II
'.'F 10 bII
353 4 1 412 80 1 130 2,49 2 813 1
II
l'iP 2 300 2,50 750 40 300 1,87 561 li
1
y E 9 440 1,50 660 40 264 2,63 69411
1
II
l P3U 873 440 6 2 640 44 1 162 2,51 2 917 II
1
Í P 11
353 4,5 1 588 56 889 2,23 1 982 II
1
¡Z 10 420 2,50 1 050 50 525 2,93 1 538II
1
II
,', P3U 874-75 790 5 3 950 75 2 963 2,93 8 6821
II
1
'¡E 8 1 120 2 2 240 60 1 344 2,39 3 212II
1II
II
l'i'^ 9 570 1 570 30 171 2,40 4101
II1
Il P 61
820 3 2 460 36 886 2,26 2 0021
II
1
7II
940 3 2 820 30 846 2,25 1 90411
1II
-«...41Il -
i ¿1^^^^^^^
8 239 3,04 25 073 53 13 328 2,45 32 647
I
0 yII
II-
.-««^H
iiD 18 2 660 1 660 30 198 2,03 402 1 320 y
yO 19 930 2 1 860 30 558 2,85 1 590II1
II
I'D 20 1 070 2 2 140 35 749 2,39 1 7901
II
1
»D 24 990 3 2 970 60 1 782 2,11 3 760II
1
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