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ANNUE. be 11.301, naSOPINEMENTS nWls sala, 43 Ir.' I en, 33 fr. 35 DEGRES A L'OMBRE ' 36 dei. s idintre dere les rd.. matant., sur d'asphalte ramolli, on votait Mer 1. malheureux qui ne sont Pas en vacances se l'Ares unnibleme, vers les lieux oh se dispense la frai- Ca,- stem. CaM3 et pie.. mirent croire (lue la erim n'était qu'un mauveis neva Mais, comme disais le mere de Nus holeen I h Rom, 505 15 dure Le REPHOtif 011 mur ctuu 001 FÂII [S Oudrith j'a écrit mon demie ,..,,,eque qu,,ussent Larticle, alti ici-même, à propos d fascisme, je ePrietine flaeiVp'auenitalu.'Mu%s'oiltienr.i,11' RH Tent de s jets, et si graves, P""" P" aaa" à Y "" ta fo is da socialisme, d. libéra lisme, et de la démocratie, ce n'en nous sollicitent . pas bcela qu'ils se sont gaietés, Ma" """"I "i"" Passer tas Males qu'au même moment ou ce qui devait le plus frapper, presque, les journaux nous ont fart connaître oomme gmanant de Ah Mussolini lui-même ? Je viens de lire l'article en entier que le Pu- i polo d'Italia a publié le 4 août der nier, sous la signature du Duce. On n'en a-oonnu ici que d'asse courts extraitsccaue-là mêmes 88f je me propose de comment, brièvement. Mais tout méritera, û'en être examiné. C'est la second/ partie d'un article intitule u Fou risme », dont l'ensemble figurer' Pans a l'Encyclopédie Italienne s Le moins curieux n'est peut-Pieu pas le passage où M. Mussolin :explique son évolution et où, reje tant les terminologies e Moi gadoue, révolutionnarisme Cen , effet, c'est ce que Mussolini a ecof du fascisme en face de la guerre, Sans doute, le Duce a pris soin, comme on va le voir, de se dir{ placé en dehors de toute COnsir itération de politique actuMie a, ' mais la théorie générale vaut. Ellf vaut comnre direction de politupg générale et intérieure. Avant toute, choses, éch Mus, solini, le fascisme en ce qui core cerne, d'une manière générale, rave° nie elle développenient de l'hume' nite, et en delhors de tonte cons. <WORM de politique actuelle, mi omit ni à la possibilité ni d putifit, ils la paix perpétuelle. Il reponse° done le pacifisme qui dissimule uns renonciation à la lutte et une 12+ cheH en face du sacrifice. La guerml seule porte au maximum de tension infinse », d ajoute ? toutes les énergie, haMeinee et Ras j Dans le grand fleuve du fascisme stricte m e e un cerna de nobles aux peu- Venu trouverez les filons qui parti nies qui ont le murage de Paf fron- cent de Sorel, de Péguy, du Lagar fer, 'delle du Mouvement Socialiste, et de I Toutes /es autres épreuves sont cohorte des syndicalistes italiens qui des scooggeoé, gci ce pie, je_ entre 1905 et 1914, apport/ère:d avm mais l'homme devant Mi-même, dam les Pagine Libere d'Olivelti, la Lel radternative de la vie et de la mort. frOrans site Divenire Sociale d'En Doue 55555 ,,,,, el .,,,,,,,a, d. rico Leone, une note de nouveauté ,,, Dans le socialisme italien, duit &- virilisé et ohloroformisti Par sa fi, Inication avec Giolitti. On pense bien que le filon pris cipal du fascisme, c'est « la vie (kaon », h laquelle du reste lai ?illusion ailleurs l'article du Duce On sait ce qu'il advint de l'autel/ des e Réflexions suris violence s ifir vieux père Sorel qui mourut comme il avait écrit, dans ses pan gouttes, et des prose, Pi Péguy qu' mourut certes noblement, mai /ayant abandonné, tout ce /souqué avait vécu. Quant à, Hubert La gardelle 11 est, si je ne me trompe revenu au Parti, dont il s'étai quelque temps écarté. Je n entends pas, aussi bien, en ces quelques mots. superficiels, ju fier le mouvement que représent Pans l'évolution socialiste, la con- ception dont se recommande Mus- solin' aujourd'hui, et qui eut soi Influence indéniable. M'ab il esj esses curieux de noter cette filin. ton ainsi réclamée. postulat de la paix est étrangère eu (messine aussi Mon et de même que sont étrangères à l'esprit du fascia me mime si on les accepte pour l'utilité relative qu'ellee peuvent avoir dans des situations po/itiques doterminies toutes les construc- tions nuternationalistes ou sociétai- L'allusion dernière est nette, et M. Balbo ne trahissait pas la voix de son maitre dans les osmmen 'Mires que j'ai moi-môme cités d y a huit jours. Mais la théorie générale n'esi pas moins nette. La Poix n'es pas possible ni, peut-être, utile La guerre, on croirait l'entende si Nt Mussolini croyait nt Dieu e à Diable, est divine, sanctificai Scion, e le pacifisme est une là cheE. Oui, mais alors quê °ignition les propositions de désarmemen qu'a opposées la diplomatie d tyran Genève, aux m'isérois/mi pauvres et petits commencement de réduction des armements qu DiMÂNCÉTÉ 1\--/ITNISTÈRIEE 'lie' 49 Igee- S 0 CIA LIS T E Rédaelion et Aandelstratton : 38, Rue Roguelalee, TOULOUSE TeL 043 C. C. Postaux t 5.277 BUREAUX A PARIS : 3, Rue St-Augustin (2:( Téléphones f Rutembess 76,38 . 61.21 Louvre 47.80 I l'egreie:Ui.en'eC ?a,'.1=1 NOS NOUVEAUX out simplement la non-unanimité, nier contre, afin de pouvoir se dé. ober, et annoncer, sur des mobile/ hypocrites, le retrait de la S.D.N. Nous aurons, je pense, à sure biller cela en tant que socialistes. Car nous, socialistes, n'est-00 pas, .U5 ne pensons pas ainsi. Ce n'est pas ainsi que parlait celui de nos maîtres dont nous célé- brions il y a quelques jours, la mémoire. Relisons-le ensemble, bien que le morceau soit connu et mérite de Agacer dans toutes les anthologies,, non pas seulement des écotés de France, mais du monde. Mais d'abord, mals avant tout, faut rompre le cercle de fatalité, leI tercle de fer, le eercle de haine où /es revendications mima justes pris; voguent des représailles qui se flat- tent de t'être, où la guerre tourne après la guerre en un mouvement sans IORM nt sans fin, où le droit et la vIolenee, mus la mime livrée san- glante, ne se discernent presque plus l'un de l'autre, et où l'humanité 'Mb sbires pleure de la victoire, de 'a justice presque autant que de sa défaite. Snrtout qu'on ne nOUS accuse point d'abaisser el d'énerver let courages. L'humanité est maudite, si pour fai- re preuve de murage elle t o damnée I; tuer éternellement. Le patinage, aujourd'hui, Ce n'es pas de maintenir sur le monde I sombre nuée de la puera, nuée ter- ri/de, mais dormante, dealers peut toujours 88 flatter qu'elle éclatera sur d'autres. Le courage, êe n'est pas de laisser aux moins de let force la solution des conflits que la raison peut résoGii dre. Cm` le eourage est rexaltation de l'homme et ceci en est l'abdica- tion. (DiScoura d le ieancôm) ' Oui, Cavant tout, nous opposons' ce haut idéal de celui lai fut mar- tyr, notre Jaurès, à l'idéal meur- trier que le fascisme proclame [avant toutes choses, par la voix Vau cabri qui fait les martyrs. L'un vaut bien faugb, n'est-oit kas? Il est, ad surpluê, curieux de votif jos it réactions » de notre a réac, Mon a devant le texte de MusSo-', Que. ne-peut-hile reprit/Ré, elle aussi, la conception du Duce.' Ce n'est pas seulement le lointain/ Joseph de Maistre qui a divinieà I a guerre. Il y avait, bien plus prèj de nous, les généraux de l'Eeltô, kle Paris. ils n'osent plus reveniti des anciennes béatifications de In guerre Ils n'osent pas non plus approuver Mussolini, parce qu'ils pavent qu'elles sont l'indice d'on danger mortel, et qu'il n'y a pas en France dix hommes du, peuple, des vrais, qui tolireraient d'un parti français un pareil anathème contre l'bumanité. Pierre RENAUDEL LA REPUBLIQUE DES ENFANTS Quoique ne comptant eue dotire prirtd temps. Karl nchad, de Mannheim, est un grand personnage dans la e Ria publique dee Enfante mette.e cas- se comme notre Mer de musique de /a Garde républicaine. Voici le nomes taire tambour-major d côte de et ten- te. Pour remercier le photographe da Populaire s, 15 l'a imité à trinquer en Mi n'ému.. un Cm.. pobetet.., de tait. On découvre un fleuve souterrain dans la banlieue de Toulon Toton, 10 août. Les professeur. Charmant et Regnault viennent de mat- ies à Joue, riens la val/. dee Dardes. nee, faubourg de Toulon. un fleuve sou- terrain d'un dielt considérable. Depuis vingt Jours. une muets d'une ...nec emeptionnelle fait Jaillir de claquante messes de profondeur un Volume d'eau de sciaals4 Jitrea it la seeonde. ELUS MARCEL DEAT Député de Paris (20°) Marcel Déat n'est p., à propre» ment parler, un nouvel, élu, c'est un réélu. Il eet aussi de ceux qu'on ne se donne pas te ridicule de présen- ter. Moment Déat est, en effet, un ntilitant fiais, on peul in dire. «boit, 4inote n dans tous Inc coins de Fran- ce oh sa parole entrainante a splen- didement errai ta diffusion de nos idée. Quelques notes bioyraphiquest eependant, pour aider d le mieas rossas lie encore. Marcel Déat est n, le 7 mars 1.894 d Gué/igue (Nièvre/. Il fait de brillantes études secon- daires comme boursier de l'Etat, de 1905 d 1914, les deux dernières an- atelea au lycée Henri le d Paris, pour. préparation de amie Normale su- périeure, lettres ; il est reçu troisié- Mal an concours de juillet IGIL Marcel Déat a fait tonte ta guerre e l'a terminée comme caprtarne. Il reprend ses études d [Tente surs leude supérieure en mars 1919. Il st iicencié de philosophie en juin lacts A Paria, comme mmétaire du I agrégé l'année colmate. Il rosir/ r'Rtre de documentation sonies de eale Normale, et y travaille esse ôtée de M. Bougie. En novembre Mg ft est nonimé professeur de philos°. phie toi ifi de de Reims. En Mb, sict randidat sur la lis.. te socialiste assue éle_ctions 4055 moi, La liste obtient un seul quotient d ides Lobes st réel, Il Of Plu d une élection pargielta e ans la Marne le 28 février 1916, En tilt, Marcel Déat est battu au second tour per M. Pierre Forge«, ut bénéficie de l'appoint de toutes es voix modérées. Il reprend atone n poste dans l'Université et s'en va aseigner la philosophie au lycée de igne. Mais el mt bientôt ramoé à aria, le groupe socialiste au.Par- ment lui ayant confié son secréfd- soc adminestrat y. Entre temps, il Perspectives sociapeos, oc, mge qui a Mieteedé les ducussionce octrinales que Ion sait. Avant, il avait écrit 'd'antres es- Creuse bief: eonnus des étudiants n Cadavres et Maximes et Notions de Sociologie. Gia n con.tt les qualité, de Déat, sa culture, son talent. Aires% ar- gé, if st enlevé, dans le HP, le siège tua communistes, et rendu au Parti e mandat d'Edouard Vaillant dont il eat devenu le successeur. N'est-ce pas un fere cela I Des souris dévoren6, les économies d'une vieille fille BerIM, 10 ased. rentiere'..le taus Uri.bUrg, prè. . hranneb.rg avait dernierein.e f.liense eurnril se. de constatez: que toutes ms éconne mies mine mas.. en tille. de banque avalent aseada fr.°. La poli. fut prévenue et une plaMte dép.. noue vol .ntre inconnu. Ufais Innetoime était .aureup Mem.. les voleurs n'esei.t autoes des souris qui, faute d'alimente Plus en netlesants, avaient completememt .teno te Mute la ii.se de billots, ne le1sem nue riuulques bribes de papier comme si snature de leur musical. aut.,. VERS LA STRATOSPHERE L'envol du Te Piccurct serait retardé de 10 ou 15 jours .ruxelles. Io août. 0V vidr,0s gurien au hoir derouve.htler,,,,ezi ameemenà de moutier uni pomme Os from.es d'acons de le fuite cerloonVine, ralea,Z"rra:/: licyclo, favorable de Mues. ;tale an rétr.it 'ide«rjrVaiere'aCC.'c'e7eirdiellt lvitesse des vent, eUpérkure atteint Jus- eu s'aea'''7ondaloner',7e'ddreart est Impossible liéus Jeudi sig vendred1 et, ai . eituation ne se modifia5E ns aete peeveir un rem. de pemsape fa cil 16 Jeune Les chaeques de /ancien chance/ter d'Autriche, orge astres, ont eit Oleg roPrketttv. cortfith lanCIne 4998at, le e«.+...t TEXPERIENCE" ANGLAISE bee bon en politique, comme en toute chose, d'moir de la mémoire. Cela permet de mettre en relief, au bon moment, /es affirmations .ciennes de d adversaires et de les soumettre à l'épreuve critique des faits et des béni.- mente. C'est cirai que tom ceux qui ne veu- lent pas du socialisme, pour des raisons quelconques, avaient unanimement enton- né le même refrain lors de t.. crise poli- tique anglaise qui aboutit au remplace- ment du gouvernement travailliste Mas- Donald par un gouvernement IlacDoe nald conservateur et à- réellen électoral parlementaire du travaillisme. Tel était, nous déclara-t-on suces, tintenneme de tous les diables, le beau ré. mitai du passage au pouvoir des socia- listes en Angleterre 1 n Ils » avaient cl. gravé la paralysie des affaires ; utile » avaient ruiné leur pays, ou peu s'en fal- lait. Heureusement que le peuple an- glais, doué de bon sens et Subi Peur I gt p di d' g ." t venait, d'an solide coup de rein, de se débarrasser d'eux. Désormais, tout allait être remis en place, choses sigles. et l'empire britannique dentrit retrouver bien vite sa prospérité passée sous le règne bienfaisant des conservateurs. ; Après cela, qu'attendaient les élec- teurs français pour se détacher du Parti socialiste et culbuter ses candidats 7 Nous entendîmes ces propos dans Iod- les les réunions où la contradiction nous ,fut apportée ; nous les lûmes sur tous (es murs des villes et villages de France Foù bu affiches électorales de M. de Ké- 'riais ou de M. André Tardieu noue dé- nonçaient en appelant sur nous fest colères populaires. N It v d t b' nir qu'en ce temps-là, après avoir explici sué lm événements anglais el indiqué, fortement que rien n'arrêterait nulle part le flot montant du socialisme, noue ares: nions rendez-vms avec tous ceux qui enô ploitaieni si bruyamment contre nous l'expérience » travailliste pour juger bientii air pièce o riorseo bourgeoise et conserve; blue. Il ne fallut pas longtemps. Tout dee bord les premières mesures de prolcc: lion douanière que prirent les conserva: leurs anglais refroidirent l'enthousiasme des réactionnaires français, car l'expor- lagon de certains de nos produits indus: biefs el agricoles fut assez sérieusement' atteinte. Du moins, la crise économique an.) glaise fut-elle atténuée é A-bus obtenti le redressement annoncé ? A aucun moi ment el sur aucun point. Si un doute taud restait, lisez le texte de-ce télégrommg qui nous est arrivé avant-hier de Lon.' dres s s Le nombre total des chômetual était. à la date du 25 Millet dernier, de, 2.811.782, soit 64.439 de plus que Id mois précédent et 98.432 de plus que l'année dernière à la même époque ». Serait-il indiscret de demander à ce. qui ont cherché à nous accabler sous le' coup da empérience travailliste, de bien vouloir commenter ces chiffres 1 Nous lirions leur prose avec beaucoup' de plaisir, PAUL FAURE EN ESPAGNE Le ministere ries ETC. Notre-Da me des Communications comme fel,. Imitent tee Espagnols dont tes ém entiers ont vainement tenté de s'em- parer LES REBELLES DANS LES CHOUX Paris, Il soit. Les dépêches de la nuit sur /e mouvement insurree- Ses' que Vinslirreetion ne devint par- ser que liasurection ne devint par- ticulièrement sanglante qu'A Séville, où le général Sanjurj0 s'était retran- ché aveo les derniers séditieux et l'os sait que l'attaque contre la vil- le devait être déclenchée ce matin, à l'aube: Alors, on apprend maintenant que la garnison de Séville s'est rendue sans que les troupes régulières en- voyées de Madrid et de Cordoue aient eu b combattre. Enfin, une dépêche du ministère de l'Intérieur annelle° d'autre part, l'arrestation du chef de la HIA/lion et de ses principaux artisans. Aussi, le mouvement, déjà entravd si gravement hier b Madrid et mal- trisé ce matin b Séville, peut-il être considéré dàs maintenant comme un échec. LA REDDITION DE SEVILLE Madrid, il août. On apprend qu'aux premières heures de la ma- t/née, lm troupes soulevées à - celiPlas:ilisaC eje-" 'ute"-te L'ARRESTATION - DU GENERAL SAN/UT/JO Le ministre de l'Intérieur commu- nique que le général Sanjurjo a Cté arrêté ainsi que le général lierrais, le Jieutenant-colonel Estevan Infan- te et le capitaine Sanjurjo, fils' du général. On dit quo c'est à Certegana que /e général Sanjurjo a éte arrêté Ce villa.ge se trouve dans la province de Huelva, t011t prêS de la frontière portugaise. Le général sera conduit b Séville en attendant que le gouvernement ait pria une dieision à son sujet. PREtwERES SANCTIONS Madrid, ii aoù. Le président du Conseil, ministre de la guerre, a dé- claré qu'il venait de relever de son poste le général Longoria, comman- dant militaire de Carabanchel. La générai Sanjurjo est destitue Les généraux Mola, Milan, AStray et Calvacanti passent dans la mener- Ve. Les généraux Barrera et Fernan- des Perla sont mis en suspension de solde. L'ENTHOUSIASME DES REPUHLICAINS EN ESPAGNE Les événements qui se sont pro- duits hier ts Madrid et à Séville ont provoqué de violentes, réaoHops py,. Wei!. Fn PreERINFC-ar--- Des incidents se sont produits Grenade, 5 Santander et à Salamans, blue. e A Grenade, au cours de la nuit,' des groupes nombreux et menaçants ont parcouru le. rues. Des manie,' testants ont pris d'assaut le l'orale carliste et ont démoli tout le mugis' lier. D'autres, qui voulaient Ifn !tale le Hu au journal catholique I ',I en ont Md empêchés par la pubs, qui a di tirer en Pair. Vers une hem. ne du matin, dis groupes en, nt emparés du cercle a inacrn a Casino principal et ont in le Ces au mobilier, Les flamme- sont propagées à tout l'édifice, mti a été détruit. Pendant que tes incendiaires s'et- Laquaient au « Casino prinmpui a, d'autres groupes prirent d'a., lit une armurerie, s'emparant des 'na mes et des munitions. On a essayé également de détruire' par le feu l'hôtel particulier dl comte de Guadiana. Ce dernier est apparu â son /saloon et a dicharge un fusil sur la foule, blessant cinq personnes, dort une très gravement, A 2 h. 30, de nombreuses fusilla- des se sont fait entendre en Dom points de la ville. Le gouverneur parcouru Grenade faisant des aps pets au mime. A Santander, une hnportante ma- nifestation, dirigée par des républe. mins connue, a incendti le Club Ma. ritime, dont les membres apparte- naient, pour la plupart, i l'aristomae df. Président du doucit dm- ministres', mcmanot lie Reale. Les pompier% mmourue, ont été empêcha d'Intervenir par la fOUle. Les manifestants se sont rendus ensuite au Centre carliste, dont ils ont détruit tout le mobilier. Il mu . Sot de mime pour le Club régiona- liste et pour le Club de Remeo. A Puerto-Chloé un homme qui avait insulté /a police elles Med,- Mons républicaines, a été amené par la foule ou gouvernement civil. Les policiers qui gardaient cet édifice, m'oyant qu'on voulait les attaquer, ont fait feu sur la foule et ont tué un manifestant. A Salamanque, la foule nombreu- se et houleuse qui avait envahi Ies artères prineipales et qui protestait contre les événements de Madrid et Ce Séville, a incendié plusieurs kios- que. appartenant b des journaug ontholiqUes. (Voir la suite en deuxième noua). HINDERBURG REFUSE d'appeler AMI Hitler LE CHEF NAZI SANS MAJORITE PARLEMENTAIRE Berlin, /1 août. C'est un verte Solde coup de théitre qui s'est pro° duit la nuit dernière et dont on n4 sait trop encore, aujourd'hui, qonls. les seront les conséquences. Le chancelier von Papen. dont tout le monde pensait oes derniers jours' qu'il allait être contraint de taj.ar la place à Hitler, a effectué un ratash blisasmont dv dernière heure, ou tome points remarqusbies. Il le doit au maréchal Hindenburg, soi déclare-al on, a prononcé hier les moto dkisife. contre la nomination de. Hitler a in. chancellerie, dans les conditions aos tuellee et s'en tient fermement d, la conceeition politique qui a abouti à la formation du cabinet von Papen. von Sdhleioher, oela, mime abstram tion faite des questions de pomme. /108. d Cette conception peut étre mée de la tossa etsivaatet1., K'ai. dent du ReiCh est gardien defii. Constitution, à iscluolle il M'ôte serinent. Il n'acceptera donc aueumli violation ouverte ou détournée de 14 Cs.aebitution. Selon la règle °motte' tutionnelle, te gouvernement doit, repré.nter la majorit° du Parle, ment, issu lai-même de la volonté: nationale. Le chancelier doit douai fure un homme inveati de la confiansi . d'un parti ou d'une .alition partie, possédant la majonté aat Reichstag. Si 155. Adolf Hitler pouvait peste au nom d, la majorité-do ReichMag il sera immédiatement chargé de former le cabinet. Maki ifeet .pas le ers. ' 0%* 10 era ps. Oponan 1:044.! 25 CENT. VENDREDI 12 A5àUT1s1 QUIA-T-ON CR/E A DOUAUMONT ? GLOIRE AUX MORTS C'EST-A-DIRE « VIVE LA GUERRE QUE FALLAIT-IL CRIER ? a A DAS LA GUERRE o. C'EST-A-DIRE a MALHEUR AUX MORTS Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ANNUE. be 11.301,

naSOPINEMENTSnWls sala, 43 Ir.' I en, 33 fr.

35 DEGRES A L'OMBRE

' 36 dei. s idintre dere les rd..matant., sur d'asphalte ramolli, onvotait Mer 1. malheureux qui ne sontPas en vacances se l'Ares unnibleme,vers les lieux oh se dispense la frai-Ca,-

stem. CaM3 et pie.. mirent croire(lue la erim n'était qu'un mauveis nevaMais, comme disais le mere de Nusholeen I h Rom, 505 15 dure Le

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Oudrith j'a écrit mon demie ,..,,,eque qu,,ussent

Larticle,alti ici-même, à

propos d fascisme, je nê ePrietine flaeiVp'auenitalu.'Mu%s'oiltienr.i,11'

RH Tent de s jets, et si graves,P""" P" aaa" à Y "" ta fo is da socialisme, d. libéralisme, et de la démocratie, ce n'en

nous sollicitent . pas bcela qu'ils se sont gaietés,Ma" """"I "i"" Passer tasMales qu'au même moment ou ce qui devait le plus frapper,

presque, les journaux nous ont fartconnaître oomme gmanant de AhMussolini lui-même ? Je viens delire l'article en entier que le Pu-ipolo d'Italia a publié le 4 août dernier, sous la signature du Duce.

On n'en a-oonnu ici que d'assecourts extraitsccaue-là mêmes 88fje me propose de comment,brièvement. Mais tout méritera,û'en être examiné. C'est la second/partie d'un article intitule u Fourisme », dont l'ensemble figurer'Pans a l'Encyclopédie Italienne s

Le moins curieux n'est peut-Pieupas le passage où M. Mussolin:explique son évolution et où, rejetant les terminologies e Moigadoue, révolutionnarisme Cen,

effet, c'est ce que Mussolini a ecofdu fascisme en face de la guerre,

Sans doute, le Duce a pris soin,comme on va le voir, de se dir{placé en dehors de toute COnsiritération de politique actuMie a,

' mais la théorie générale vaut. Ellfvaut comnre direction de politupggénérale et intérieure.

Avant toute, choses, éch Mus,solini, le fascisme en ce qui corecerne, d'une manière générale, rave°nie elle développenient de l'hume'nite, et en delhors de tonte cons.<WORM de politique actuelle, miomit ni à la possibilité ni d putifit,ils la paix perpétuelle. Il reponse°done le pacifisme qui dissimule unsrenonciation à la lutte et une 12+cheH en face du sacrifice. La guermlseule porte au maximum de tensioninfinse », d ajoute ? toutes les énergie, haMeinee et RasjDans le grand fleuve du fascisme stricte m ee un cerna de nobles aux peu-

Venu trouverez les filons qui parti nies qui ont le murage de Paf fron-cent de Sorel, de Péguy, du Lagar fer,'delle du Mouvement Socialiste, et de I Toutes /es autres épreuves sontcohorte des syndicalistes italiens qui des scooggeoé, gci ce pie, je_entre 1905 et 1914, apport/ère:d avm mais l'homme devant Mi-même, damles Pagine Libere d'Olivelti, la Lel radternative de la vie et de la mort.frOrans site Divenire Sociale d'En Doue 55555 ,,,,, el .,,,,,,,a, d.rico Leone, une note de nouveauté

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Dans le socialisme italien, duit &-virilisé et ohloroformisti Par sa fi,Inication avec Giolitti.

On pense bien que le filon priscipal du fascisme, c'est « la vie(kaon », h laquelle du reste lai?illusion ailleurs l'article du DuceOn sait ce qu'il advint de l'autel/des e Réflexions suris violence sifir vieux père Sorel qui mourutcomme il avait écrit, dans ses pangouttes, et des prose, Pi Péguy qu'mourut certes noblement, mai/ayant abandonné, tout ce /souqué

avait vécu. Quant à, Hubert Lagardelle 11 est, si je ne me tromperevenu au Parti, dont il s'étaiquelque temps écarté.

Je n entends pas, aussi bien, ences quelques mots. superficiels, jufier le mouvement que représentPans l'évolution socialiste, la con-ception dont se recommande Mus-solin' aujourd'hui, et qui eut soiInfluence indéniable. M'ab il esjesses curieux de noter cette filin.ton ainsi réclamée.

postulat de la paix est étrangère eu(messine aussi Mon et de même quesont étrangères à l'esprit du fasciame mime si on les accepte pourl'utilité relative qu'ellee peuventavoir dans des situations po/itiquesdoterminies toutes les construc-tions nuternationalistes ou sociétai-

L'allusion dernière est nette, etM. Balbo ne trahissait pas la voixde son maitre dans les osmmen'Mires que j'ai moi-môme cités dy a huit jours.

Mais la théorie générale n'esipas moins nette. La Poix n'espas possible ni, peut-être, utileLa guerre, on croirait l'entendesi Nt Mussolini croyait nt Dieu eà Diable, est divine, sanctificaiScion, e le pacifisme est une làcheE.

Oui, mais alors quê °ignitionles propositions de désarmemenqu'a opposées la diplomatie dtyran Genève, aux m'isérois/mipauvres et petits commencementde réduction des armements qu

DiMÂNCÉTÉ 1\--/ITNISTÈRIEE

'lie' 49 Igee-

S 0 CIA LIS T ERédaelion et Aandelstratton : 38, Rue Roguelalee, TOULOUSE TeL 043 C. C. Postaux t 5.277BUREAUX A PARIS : 3, Rue St-Augustin (2:( Téléphones f Rutembess 76,38 . 61.21 Louvre 47.80

I l'egreie:Ui.en'eC ?a,'.1=1 NOS NOUVEAUXout simplement la non-unanimité,nier contre, afin de pouvoir se dé.ober, et annoncer, sur des mobile/

hypocrites, le retrait de la S.D.N.Nous aurons, je pense, à sure

biller cela en tant que socialistes.Car nous, socialistes, n'est-00

pas, .U5 ne pensons pas ainsi. Cen'est pas ainsi que parlait celuide nos maîtres dont nous célé-brions il y a quelques jours, lamémoire.

Relisons-le ensemble, bien quele morceau soit connu et mérite deAgacer dans toutes les anthologies,,non pas seulement des écotés deFrance, mais du monde.

Mais d'abord, mals avant tout,faut rompre le cercle de fatalité, leItercle de fer, le eercle de haine où/es revendications mima justes pris;voguent des représailles qui se flat-tent de t'être, où la guerre tourneaprès la guerre en un mouvementsans IORM nt sans fin, où le droit etla vIolenee, mus la mime livrée san-glante, ne se discernent presque plusl'un de l'autre, et où l'humanité 'Mbsbires pleure de la victoire, de 'ajustice presque autant que de sadéfaite.

Snrtout qu'on ne nOUS accuse pointd'abaisser el d'énerver let courages.L'humanité est maudite, si pour fai-re preuve de murage elle t odamnée I; tuer éternellement.

Le patinage, aujourd'hui, Ce n'espas de maintenir sur le monde Isombre nuée de la puera, nuée ter-ri/de, mais dormante, dealers peuttoujours 88 flatter qu'elle éclaterasur d'autres.

Le courage, êe n'est pas de laisseraux moins de let force la solution desconflits que la raison peut résoGiidre. Cm` le eourage est rexaltationde l'homme et ceci en est l'abdica-tion. (DiScoura d le ieancôm)' Oui, Cavant tout, nous opposons'ce haut idéal de celui lai fut mar-tyr, notre Jaurès, à l'idéal meur-trier que le fascisme proclame[avant toutes choses, par la voixVau cabri qui fait les martyrs.

L'un vaut bien faugb, n'est-oitkas?

Il est, ad surpluê, curieux de votifjos it réactions » de notre a réac,Mon a devant le texte de MusSo-',

Que. ne-peut-hile reprit/Ré, elleaussi, la conception du Duce.'Ce n'est pas seulement le lointain/Joseph de Maistre qui a divinieàI a guerre. Il y avait, bien plus prèjde nous, les généraux de l'Eeltô,kle Paris. ils n'osent plus reveniti

des anciennes béatifications deIn guerre Ils n'osent pas non plusapprouver Mussolini, parce qu'ilspavent qu'elles sont l'indice d'ondanger mortel, et qu'il n'y a pasen France dix hommes du, peuple,des vrais, qui tolireraient d'unparti français un pareil anathèmecontre l'bumanité.

Pierre RENAUDEL

LA REPUBLIQUE DES ENFANTS

Quoique ne comptant eue dotire prirtdtemps. Karl nchad, de Mannheim, estun grand personnage dans la e Riapublique dee Enfante mette.e cas-se comme notre Mer de musique de/a Garde républicaine. Voici le nomestaire tambour-major d côte de et ten-te. Pour remercier le photographe da

Populaire s, 15 l'a imité à trinqueren Mi n'ému.. un Cm.. pobetet..,

de tait.

On découvre un fleuve souterraindans la banlieue de Toulon

Toton, 10 août. Les professeur.Charmant et Regnault viennent de mat-ies à Joue, riens la val/. dee Dardes.nee, faubourg de Toulon. un fleuve sou-terrain d'un dielt considérable. Depuisvingt Jours. une muets d'une ...necemeptionnelle fait Jaillir de claquantemesses de profondeur un Volume d'eaude sciaals4 Jitrea it la seeonde.

ELUS

MARCEL DEATDéputé de Paris (20°)

Marcel Déat n'est p., à propre»ment parler, un nouvel, élu, c'est unréélu. Il eet aussi de ceux qu'on nese donne pas te ridicule de présen-ter. Moment Déat est, en effet, unntilitant fiais, on peul in dire. «boit,4inote n dans tous Inc coins de Fran-ce oh sa parole entrainante a splen-didement errai ta diffusion de nosidée. Quelques notes bioyraphiquesteependant, pour aider d le mieasrossas lie encore. Marcel Déat est n,le 7 mars 1.894 d Gué/igue (Nièvre/.Il fait de brillantes études secon-daires comme boursier de l'Etat, de1905 d 1914, les deux dernières an-atelea au lycée Henri le d Paris, pour.préparation de amie Normale su-périeure, lettres ; il est reçu troisié-Mal an concours de juillet IGIL

Marcel Déat a fait tonte ta guerree l'a terminée comme caprtarne.Il reprend ses études d [Tente surs

leude supérieure en mars 1919. Ilst iicencié de philosophie en juin

lacts A Paria, comme mmétaire duI agrégé l'année colmate. Il rosir/

r'Rtre

de documentation sonies deeale Normale, et y travaille esse

ôtée de M. Bougie. En novembre Mg

ft est nonimé professeur de philos°.phie toi ifi de de Reims.

En Mb, sict randidat sur la lis..te socialiste assue éle_ctions 4055 moi,

La liste obtient un seul quotient dides Lobes st réel,Il Of Plu d une élection pargielta

e

ans la Marne le 28 février 1916,En tilt, Marcel Déat est battu au

second tour per M. Pierre Forge«,ut bénéficie de l'appoint de touteses voix modérées. Il reprend atonen poste dans l'Université et s'en vaaseigner la philosophie au lycée deigne. Mais el mt bientôt ramoé àaria, le groupe socialiste au.Par-ment lui ayant confié son secréfd-soc adminestrat y. Entre temps, il

Perspectives sociapeos, oc,mge qui a Mieteedé les ducussionceoctrinales que Ion sait.Avant, il avait écrit 'd'antres es-

Creuse bief: eonnus des étudiants nCadavres et Maximes et Notions deSociologie.

Gia n con.tt les qualité, deDéat, sa culture, son talent. Aires% ar-gé, if st enlevé, dans le HP, le siègetua communistes, et rendu au Partie mandat d'Edouard Vaillant dont il

eat devenu le successeur. N'est-ce pasun fere cela I

Des souris dévoren6,les économies

d'une vieille filleBerIM, 10 ased. rentiere'..le

taus Uri.bUrg, prè. . hranneb.rgavait dernierein.e f.liense eurnrilse. de constatez: que toutes ms éconnemies mine mas.. en tille. debanque avalent aseada fr.°.La poli. fut prévenue et une plaMtedép.. noue vol .ntre inconnu.

Ufais Innetoime était .aureupMem.. les voleurs n'esei.t autoesdes souris qui, faute d'alimente Plus ennetlesants, avaient completememt .tenote Mute la ii.se de billots, ne le1semnue riuulques bribes de papier comme sisnature de leur musical. aut.,.

VERS LA STRATOSPHERE

L'envol du Te Piccurctserait retardé

de 10 ou 15 jours.ruxelles. Io août. 0V vidr,0s

gurien au hoirderouve.htler,,,,ezi

ameemenà de moutier uni pomme Osfrom.es d'acons de le fuite cerloonVine,

ralea,Z"rra:/:licyclo, favorable de Mues.;tale an rétr.it

'ide«rjrVaiere'aCC.'c'e7eirdielltlvitesse des vent, eUpérkure atteint Jus-

eus'aea'''7ondaloner',7e'ddreart est

Impossible liéus Jeudi sig vendred1 et,ai . eituation ne se modifia5E ns aetepeeveir un rem. de pemsape fa cil

16 Jeune

Les chaeques de /ancien chance/ter d'Autriche, orge astres, ont eitOleg roPrketttv. cortfith lanCIne 4998at, le e«.+...t

TEXPERIENCE" ANGLAISEbee bon en politique, comme en

toute chose, d'moir de la mémoire.Cela permet de mettre en relief, au

bon moment, /es affirmations .ciennesde d adversaires et de les soumettre àl'épreuve critique des faits et des béni.-mente.

C'est cirai que tom ceux qui ne veu-lent pas du socialisme, pour des raisonsquelconques, avaient unanimement enton-né le même refrain lors de t.. crise poli-tique anglaise qui aboutit au remplace-ment du gouvernement travailliste Mas-Donald par un gouvernement IlacDoenald conservateur et à- réellen électoralparlementaire du travaillisme.

Tel était, nous déclara-t-on suces,tintenneme de tous les diables, le beau ré.mitai du passage au pouvoir des socia-listes en Angleterre 1 n Ils » avaient cl.gravé la paralysie des affaires ; utile »avaient ruiné leur pays, ou peu s'en fal-lait. Heureusement que le peuple an-glais, doué de bon sens et Subi PeurI gt p di d' g ." tvenait, d'an solide coup de rein, de sedébarrasser d'eux. Désormais, tout allaitêtre remis en place, choses sigles. etl'empire britannique dentrit retrouver bienvite sa prospérité passée sous le règnebienfaisant des conservateurs.

; Après cela, qu'attendaient les élec-teurs français pour se détacher du Partisocialiste et culbuter ses candidats 7

Nous entendîmes ces propos dans Iod-les les réunions où la contradiction nous,fut apportée ; nous les lûmes sur tous(es murs des villes et villages de FranceFoù bu affiches électorales de M. de Ké-'riais ou de M. André Tardieu noue dé-

nonçaient en appelant sur nous festcolères populaires.

N It v d t b'nir qu'en ce temps-là, après avoir explicisué lm événements anglais el indiqué,fortement que rien n'arrêterait nulle partle flot montant du socialisme, noue ares:nions rendez-vms avec tous ceux qui enôploitaieni si bruyamment contre nous

l'expérience » travailliste pourjuger bientii air pièce oriorseo bourgeoise et conserve;blue.

Il ne fallut pas longtemps. Tout deebord les premières mesures de prolcc:lion douanière que prirent les conserva:leurs anglais refroidirent l'enthousiasmedes réactionnaires français, car l'expor-lagon de certains de nos produits indus:biefs el agricoles fut assez sérieusement'atteinte.

Du moins, la crise économique an.)glaise fut-elle atténuée é A-bus obtentile redressement annoncé ? A aucun moiment el sur aucun point. Si un doute taudrestait, lisez le texte de-ce télégrommgqui nous est arrivé avant-hier de Lon.'dres s s Le nombre total des chômetualétait. à la date du 25 Millet dernier, de,2.811.782, soit 64.439 de plus que Idmois précédent et 98.432 de plus quel'année dernière à la même époque ».

Serait-il indiscret de demander à ce.qui ont cherché à nous accabler sous le'coup da empérience travailliste, de bienvouloir commenter ces chiffres 1

Nous lirions leur prose avec beaucoup'de plaisir,

PAUL FAURE

EN ESPAGNE

Le ministere ries ETC. Notre-Da me des Communications comme fel,.Imitent tee Espagnols dont tes ém entiers ont vainement tenté de s'em-

parer

LES REBELLES

DANS LES CHOUXParis, Il soit. Les dépêches de

la nuit sur /e mouvement insurree-Ses' que Vinslirreetion ne devint par-ser que liasurection ne devint par-ticulièrement sanglante qu'A Séville,où le général Sanjurj0 s'était retran-ché aveo les derniers séditieux etl'os sait que l'attaque contre la vil-le devait être déclenchée ce matin,à l'aube:

Alors, on apprend maintenant quela garnison de Séville s'est renduesans que les troupes régulières en-voyées de Madrid et de Cordoueaient eu b combattre.

Enfin, une dépêche du ministèrede l'Intérieur annelle° d'autre part,l'arrestation du chef de la HIA/lionet de ses principaux artisans.

Aussi, le mouvement, déjà entravdsi gravement hier b Madrid et mal-trisé ce matin b Séville, peut-il êtreconsidéré dàs maintenant comme unéchec.

LA REDDITION DE SEVILLE

Madrid, il août. On apprendqu'aux premières heures de la ma-t/née, lm troupes soulevées à -

celiPlas:ilisaC eje-" 'ute"-te

L'ARRESTATION-DU GENERAL SAN/UT/JO

Le ministre de l'Intérieur commu-nique que le général Sanjurjo a Ctéarrêté ainsi que le général lierrais,le Jieutenant-colonel Estevan Infan-te et le capitaine Sanjurjo, fils' dugénéral.

On dit quo c'est à Certegana que/e général Sanjurjo a éte arrêté Cevilla.ge se trouve dans la provincede Huelva, t011t prêS de la frontièreportugaise.

Le général sera conduit b Sévilleen attendant que le gouvernementait pria une dieision à son sujet.

PREtwERES SANCTIONSMadrid, ii aoù. Le président du

Conseil, ministre de la guerre, a dé-claré qu'il venait de relever de sonposte le général Longoria, comman-dant militaire de Carabanchel.

La générai Sanjurjo est destitueLes généraux Mola, Milan, AStray

et Calvacanti passent dans la mener-Ve.

Les généraux Barrera et Fernan-des Perla sont mis en suspension desolde.

L'ENTHOUSIASMEDES REPUHLICAINS

EN ESPAGNELes événements qui se sont pro-

duits hier ts Madrid et à Séville ontprovoqué de violentes, réaoHops py,.Wei!. Fn PreERINFC-ar---

Des incidents se sont produitsGrenade, 5 Santander et à Salamans,blue. e

A Grenade, au cours de la nuit,'des groupes nombreux et menaçantsont parcouru le. rues. Des manie,'testants ont pris d'assaut le l'oralecarliste et ont démoli tout le mugis'lier. D'autres, qui voulaient Ifn !talele Hu au journal catholique I ',Ien ont Md empêchés par la pubs,qui a di tirer en Pair. Vers une hem.ne du matin, dis groupes en, ntemparés du cercle a inacrna Casino principal et ont in leCes au mobilier, Les flamme-sont propagées à tout l'édifice, mtia été détruit.

Pendant que tes incendiaires s'et-Laquaient au « Casino prinmpui a,d'autres groupes prirent d'a., litune armurerie, s'emparant des 'names et des munitions.

On a essayé également de détruire'par le feu l'hôtel particulier dlcomte de Guadiana. Ce dernier estapparu â son /saloon et a dichargeun fusil sur la foule, blessant cinqpersonnes, dort une très gravement,

A 2 h. 30, de nombreuses fusilla-des se sont fait entendre en Dompoints de la ville. Le gouverneurparcouru Grenade faisant des apspets au mime.

A Santander, une hnportante ma-nifestation, dirigée par des républe.mins connue, a incendti le Club Ma.ritime, dont les membres apparte-naient, pour la plupart, i l'aristomae

df.Président du doucit dm- ministres',

mcmanot

lie Reale. Les pompier% mmourue,ont été empêcha d'Intervenir parla fOUle.

Les manifestants se sont rendusensuite au Centre carliste, dont ilsont détruit tout le mobilier. Il mu .Sot de mime pour le Club régiona-liste et pour le Club de Remeo.

A Puerto-Chloé un homme quiavait insulté /a police elles Med,-Mons républicaines, a été amené parla foule ou gouvernement civil. Lespoliciers qui gardaient cet édifice,m'oyant qu'on voulait les attaquer,ont fait feu sur la foule et ont tuéun manifestant.

A Salamanque, la foule nombreu-se et houleuse qui avait envahi Iesartères prineipales et qui protestaitcontre les événements de Madrid etCe Séville, a incendié plusieurs kios-que. appartenant b des journaugontholiqUes.

(Voir la suite en deuxième noua).

HINDERBURG REFUSE

d'appeler AMI Hitler

LE CHEF NAZI SANSMAJORITE PARLEMENTAIRE

Berlin, /1 août. C'est un verteSolde coup de théitre qui s'est pro°duit la nuit dernière et dont on n4sait trop encore, aujourd'hui, qonls.les seront les conséquences.

Le chancelier von Papen. dont toutle monde pensait oes derniers jours'qu'il allait être contraint de taj.arla place à Hitler, a effectué un ratashblisasmont dv dernière heure, ou tomepoints remarqusbies. Il le doit aumaréchal Hindenburg, soi déclare-alon, a prononcé hier les moto dkisife.contre la nomination de. Hitler a in.chancellerie, dans les conditions aostuellee et s'en tient fermement d, laconceeition politique qui a abouti àla formation du cabinet von Papen.von Sdhleioher, oela, mime abstramtion faite des questions de pomme./108. d

Cette conception peut étremée de la tossa etsivaatet1., K'ai.dent du ReiCh est gardien defii.Constitution, à iscluolle il M'ôteserinent. Il n'acceptera donc aueumliviolation ouverte ou détournée de 14Cs.aebitution. Selon la règle °motte'tutionnelle, te gouvernement doit,repré.nter la majorit° du Parle,ment, issu lai-même de la volonté:nationale. Le chancelier doit douaifure un homme inveati de la confiansi. d'un parti ou d'une .alitionpartie, possédant la majonté aatReichstag.

Si 155. Adolf Hitler pouvait pesteau nom d, la majorité-do ReichMagil sera immédiatementchargé de former le cabinet. Makiifeet .pas le ers.' 0%* 10 era ps. Oponan 1:044.!

25 CENT.VENDREDI 12 A5àUT1s1

QUIA-T-ON CR/E A DOUAUMONT ?GLOIRE AUX MORTS

C'EST-A-DIRE« VIVE LA GUERRE

QUE FALLAIT-IL CRIER ?a A DAS LA GUERRE o.

C'EST-A-DIREa MALHEUR AUX MORTS

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1932/B... · ANNUE. be 11.301, naSOPINEMENTS nWls sala, 43 Ir.' I en, 33fr. 35 DEGRES A L'OMBRE ' 36 dei.

Atm Imprévu, VAllemagno aurasun cabinet Hitler ruaSchleicher.

Le BI Adulé » a accepté epartager H pouvoir avec les « bu-tons'. Mais ce g partage » ne se1,,sepie pas sous la forme que le

Pral von Schleicher avait voulu

s chef MI parti e nazi ts n'entreg., dans un gauvernernent Pré.-['enfle] u, E est chargé de le former.ft en devient le chef. Et quel/. 6ue

mt la for. et. la volonté U

von Sclileieher, ce n'est plutnui aura la direction du cabinet.

n. Hitler, chaMelier, n'est pas untsninme de Paille connue von PaPenpi n s'appuiera aviron Pet/ OrgUni5é.pur une mérita/de art-nBe - son a ameé. brune - sur un vaste meuve.puent populaire.

VOn Rchletcher espère peut-étrt.désermer ainsi les e nazis,. et dé-compOser leur pare/. Mais é)/ 000.Larve encore cet espoir, il sa trompeLOurdement. L'évolution e la&alunira au contraire qu'il a cape.tulé devant la puissance du trMuve.Ment hitlérien Il Ba Pas osé. UffrOB;ter ouVortement les troupes d'assaut,ge qui serait arrivé si le gouverne-

' avait refuse la Chancellerie à

. c., celui-ci a déclaré qu'il na.c. ml l'idée d'un cabinet « prési-de/Miel m d'ut/ ministère au-dessutpire partis m

1/ans la bouche du maréchaleindenburg Ou du enCral von6chloicher, cette lori,ulea un sen/progià 1/ s'agit d'une dictature mille/taire indépendante des partis cris:Paola, mais servant les intérêts de'aristocratie terrienne et de la Lou,.

geoisie capitaliste. Quelles gym avinaites promesses de Hitler, sa présenrd51, la tâte du gOnvernement bi donnden caractère tout différent. D'aulan5

plus que loin d'arrêter l'action des+Pructive et terroriste des a chernisegSan voues elle ne peut au oontrairdqua les stimuler davantage.

000/ Le poste de ministre de FIntérieuë.'Sera conflé à Gregor Stresser, ut(ides lieUtenants de Hitler, SPI acte.tant k la fraction dite révolUtien.Paire du parti national-SOMaliste,C'est lui qui doit réprimer le terree

EN ESPAGNE: Le Mien do la journée

, 8 morts, 50 blessés, _

: Madrid, 10 coût - Aux dernMrespouvellea, le chiffre officiel des victimes

laece

matin est de 8 morts et de 60lem. envirun. Le nombre des Mati.

s se décompose acte façon suivante(Lin soldat du service des remontes,

Hure à la malson da secours d'une bable dans /a tète :. PM autre homme du servi. dee ra-geant., trouvé mort sous le porche)rune maison de la rue Prim

Un adiuflunt du corps de /a justi.pl/itaire) 'Du lienton.t du même corps.

i..TZedn'Peo.e0P:crnat'lje:goe:PI g a enfin trois eniare décédés

ifnos d/gare/Ms hôpIteux.Le lieutentant de cavalerie Comealktnatu,,,les Munis, qui commandait le

tIorierun deubecl:neeÎerZreellôMtal.Parmi les blessés, on compte quatresursuc el01 sont dans na état d.es.é et quatre gardes d'assaut légèrant blessés.

une action judiciaire

contre l'ex-roi Alloue

Madrid, /0 août. - A la ming de«Zee'ssinri 'ela=eda'4r'utItUp'ses

aCalatayed, la commuaient Pa Pteentalre des responsabilités a due us'intenter une .lion Judiciaire conueras rut d'Espagne -Alphonse de Bourbon,.1 eue contre l'entrepreneur d'orgt-

anglaise, M. Guillaume Sohne, leMte GuadaMorce, diremeur dos obe.las de fer pendant la dictature PrimaRivera, M. Faquineto et 34. Je/avent,cl. directeur des travaux pnbilm.La Selreté agnérele a do. reçu, ce

INtha, un mandat d'arrêt contre ces.reonnes, mandat qu'elle gest mbe.mesitôt en devoir d'erocuter. On soit,Mec., que plusieurs use lumarés netrouvent para .tuellement en EMMYa.

81.%17.,-.:1.1

La lé gation de Hongrieest mise à sac

4 ateestationa...... 3 blesnéi

août - vers la heures,. retenu, une bande d'eau.ss douze aaulne...Md. de se a se ans, a taui-rouptiOn dans les locaux de la ingatton

Hongrie, situes au r.-de-chauseserua immeuble Portant le num.s lesSa In nue Belnand, a Bruxelles.

Munie ae briqua et de morceaux deern sami,.. dere dus Journaux ...-Imola. Os ont Boucane le, bureaux dontlas ont lartre 1es vitrea aMetleur.Ne to. le motel.,

m. Arthur Siam, etancoller de mor y, ZrIctira'sta a7tet''m.'"riZetlect,r.,,,nsese, voulant stimemmeer, ont 414

en. per tee etenameurs et bleue.. tete.MIL Pet.. et Belge, ...ment

esses,ont de etre eandridt5 1'M/te-

xan Dur état.Pour sI recevoir le. goine que neeere

. Quatre des se,aseure out 444 sue,mernt t, noi.M. Kopperntalt. 79.7s,5.5, Es si alt2ets .30.71,1 e en>

Mese mtaltaa end ont DéTegé .7715mu smdester oontre les aseentes me.

miens capitales gel am eneennumedPaYe. 1-ms Nte. «à erv.....

mire le futte.

Pisme, en vertu OU Caderet uts is aontsOn le voit mal aPPliquer la pend

de mort et toutes les mesures coerecitives de l'état d'exCeptMn -n'est rien d'autre qtle l'état de sTrye- contre ses prolmes troupes, contrceles a groupes d'aman s du partihitlérien.

Iteja avant l'arrivée au pOuvoir deHitler, les bandes roi clos Ont com-mence, de leur propre iniDative,agressions et Ire 1/Messines poli-tiques. Avant mente que Hitler seana installe à la Chancellerie, lel

roses fascinés par le rêve MIgrand chambardement et iMputien.de réaliser le a troisième empire mont commencé se rond.. en metfres de la Bue et du pays.

Demain, eMvrés par Hur vietoire,És redoubleront d'activité ci ii se-

- rail dangereux pour Hitler lui-même,tic tare que/ que ce seit, pour lesempêcher de mettre h sac les mai..du Peu.p/0 et les imprimeries desJournaux sOmaltstes, d assassmer lesmilitants 011oriers, de pHler lue Ma-gas/. juifs. L'ai 'erre, un gOuvernc-ruent présidé par HiHer et dont l'ob-jectif est /a lutte contre le te judeo-rnarsMme. s ne sera-t-P pas suchnâ favoriser In terrorimine antisocia-liste et antirépublicain et taie.cor la besogne nmtérielle de Pexter-roinatinn des soe,alistes aux for-nmtions Mt/dee/Pres e du partiraciste ?

Avec Hitler, 0/e51 le chaos et /aguerre eivi/e qui Bhtstallent enAllemagne. C'est l'amassioat au MMde. /a rue, le meurtre CraEl-denT)l'incendie et le pillage.

O. ROSE/VI-TITI.- (ln télégramme de l'Agence

Havas nous apprend à l'instant que/e Consefl de mur net aurait rejetel'idée de désirer Hitler comme 10-ttm ohanealier. On s'orieute, eltt-onvers un cabinet von PePen retnani5(avec une participation deS anaZi.)ou bien, entas de refus de HitlerVers un ministère von Sehleicher.

Il zombie donc que /es ..ellelde la journée atainnt prémattarémet que non n'est encore décidé,se peut, par conséquent, que le ch05entre, les forces gouvernementale/et l'armée brune sa produira à bre/

-- O. O.

Suite de nage information do imemliee Sado

,Le calme règne è Barcelone

Barcelone, le aoftt. - Les coconmente rut se sont dérouEs n Madrid et

s.e.erV,,I,Ll'eenli..",0re.-ael: aine miaulaiDès l'aube lm autorités avaient priad. mesures de précaution principale

7MOCIturue'; 'm ' 'lessee'o'k'date qui'avatentêté consimtaa ont.'retreetusse'rege ''tegeeP11X'ticee"s'âmaintenu dans quelques endrobe.La nouvelle be incidents de Made,/suée connue h Penn.. a 7 heures etdem, da ..rie

Le président hirceia, qui étal& en va,sauces au village de la Ganta, est ta-rive à Barceione cet apres.midi k 14

Bien qu'une délégation de députés es.tala. .tuellemeut à Madrid ait datatémoigné de rattachement de la Cata-logne k la Rame/nom et au gouvernemont. /e pr.ident marias envoyé destélegrammes affirmant le loyalisme desCetHans au président Al.la Zamoraet an président du Conséll.

Le travail est normal da. /a ri/le,Il .t qu.tion d'orgartimr une manifemtalion nui se dérculereit dans 15 5010,5sur te» boulevard« et qui aurait Pouebut d'affirmer Pattachement des habbtatas à la République. Selon des de-claratione faites par des ne/normalitésmarquantes du arodiceUentre, la Goose-délation nationale du Travail n'hési.ter. pas, fluets nets mouvementmonarchtete ge produirait /1 Barcelone,O Proclamer la grève généreE,

Camille hlaucuerle chef des banditsde Saint-Barnabéest arrêté à ParisOn se souvient du tragique attentatdu bureau de Prete do Seint.Barnagé.Près de Marseille, oit trots inspergeursde ponce furent tuas pus due namdite.Le chef de la battee, et l'Instieteur

eu a routp e, citai tue %muer, étaitseul demeure Introuvable et, aient ouctee complices sergent été arrates -

'eux es Espagne o(1 41 s'était ataluid'une helearello toutes les msanorrnen faites pour mettre La mataur tOI teareot d

Or, le malMiteur avait rejoint ans deses aucienn. maitrosses, à Paris, edvivait dans un hôtel d I'sesaas d

l'p'eenâr °i,'eke'eee?'r511taeeele'e, assapturor la Mendia à rmot,bystaa,aueorz 50001» sana and0000ol

sanie et héla un fuel.nas

auto eF': 'u-1 11T lrer loulevardSébastopol, cebikel Altal O deseeadert de voltnre, Ose Pe.flerft, revolver au poing, l'entourorent.

Matm.r tenta de se défendes, malsselannea amsingt li na réunit qtra,blesser lubmeme légèrement dTue belleSe revoiver et int Inuarldlatementoaltrie

'PERNOBFILS!PAR 51e -PON lia Ha Ne

Es AUiDTREsChartres, 10 no. (dép. PopuratreL

La récolte do blé est bonne et abonderate da. l'ensemble, mats d'ares et déjà,tes manoeuvres de la grande nrooteriefont quo ni /e consommateur nt le pro(Moteur ne vont profiter de cette aimedance.

En effet. te goums des bi. sur I.marcbM de Armee, notamment e ,inmsmt tombée à 100 et 106 francs lequintal. Xian Par cette baisse, le symrileat orricol

erleeel"Dureet-Isuir u envoya

n: une délepalloo au,Pela du ministre de l'Agriculture. Ce

ant groupement qui ramomble raidde lt,tel cultivateurs, entend Protestercontre la cameegne de la mtnoteMe et1ndlqer les remède, ausceptlbl. ektreana.. a s

Ajouiorm que le stem da pain, QUI«Tt h 2 fr. 30, alors que le bue era.it

1

le paie ne diminue pan

N111)/ SOETATIETX >1.727p--Tgeleeto

,baisse en Beauce Ut V UIAMais grâce aux minotiers

Un programme syndical allemand.Le prix du blé" A untv Daus le. dernmrs mètres Crabbe da,eun sprint étourdisse., venait à no baume,Tmis donnait tout ce qu'Il Pourait ululane pouvait en/pécher l'Américam de tou-cher evant lui /a paroi de l'arrivée

Cette mn.5 fut un spectacle empoi-

à 1" e"" le"l'uli0à°'.0'e.°4

00',;0"

cuBBLIP NOLPSD-P9NIC/7,11rfle

ILes hostilités ont cessé-,se en principe

ei-;, ICC .0,;I pris flv en prInclpe tt. l'aube subour-,

pays neutres ont adressé a raiBaume une nouvelle note dont /e c

P'tre'n eieseV.Uteéra''temporairement trois forts paresuay.aspris par ie. troupes.' La Bruns» de rtuenos.Aires a adremetus Bourres de Bolivie et du Para.,an telegmmen /eur moommandanttoril,. la cercla-ion d'un regrement

Le mystèrede Ploudaniet

est éclairciMais pourquoi l'instituteur

s'eut-il donné la Mort

eSe'enr' eÎ %Zn 7.re.'17,,e'ZPZ1.1%.21Zt,r2;

5e si

M pat dtre idenHfle eassitôt.DMerés rexamen des mem, morse,.

enn"::é'o%'"me le raison de oe SIOCide, pend..merie emalole.

tin câble tendu en travers

d'une rouie coupe la gorge

du automobiiiste

Versantes, 10 art.. - cet après-midt,aux Esserts-de-Rol, des employés dePadmInistrutien des P.T.M., d.,sut priene, avalant tendu un Mak.d'acier en travers de le route.

5e, nuira N .or.., restaurateur, asede 48 ans, Sul canonisait un camion au-omehile, n'aperçut pas Pobstaele: ces

tac. soude. et vMt frapper a la Semrantemobills. gui, /a gorge tranchée,

décéda en arrivant l'beplt. de Bam-boula.. ou On l'avait Ban...H

au,.Ben.,AL Henri MM, jardinier, qui satrouvait assa .r le sit. aux ce, dela victime, a . grievument blesse nuvisage..Une enouête .t ruser. par 1e con.

Ma.... PoiMa de Ramboutnet.

Le chômage augmenteen Grande-Bretagne

Londr., 10 août. - Le nombre totalde chômeurs complets en Grende.Bretagne eu 25 Millet dernier était de3.811.782, soit 04.439 de plus qu'au 27Juin dernier et 98.432 de Plus ritt'lla un ao.

L'augmentation, par rapport au mois

rt,t000":'neEst sont Es plue touchées avse resPemtivement 25.664 et 16./88 chômeurs depins que le mois dernier.

Le plus haut chiffre atteint, le 28rolerg " t°

La bais. de /a livre, Yotnte k rai>=1%1,r:di:lies s=re chiffes

n conu' r;ervatisksa et son regerblauti IesPmtectioonisme procurent, on le voit,ans travailleurs anglais de bec. aven-.tamis

Une nouvelle revueUne nouvelle revue clans de panera.Elle a nom 1 Maghreb s W. s0550

rédacteur en chef est notre camarade

Son comité de rédaction se comm.de Pr.nois-Mbert, nuits r. Jean Lon-mut, Pierre Renaudel, députés. EtienneAntonell, professeur agrégé de Droit,De los Rios, ministre de Ilustmetloa

1000e as de ..gna, homme delettres.

Lee publications coloniales intas nom-i'sserrx'netsl'elll:i.u.rree 'des1:'2t,rmeie,71leur enploiMtiun méthodique et renom

leelEe, on CBiiirai,t, sel n'y aasile. AritesPétrol;.e ,are %ai:Ce:La:a

'd?rrtrrév'OÎtje: =n'et crUte%rul,d'enivre O aragervir,

retict t Il ,'aortmreoa, lui, de et eiolmvaanhanutrue des colonies; dégagera l'an-golssant problème moral que ne cessede poser la colonisation devant toutesles consciences saines. Le Plus °Marti-VOMent OlOgflibbe, il renseignera leFiançais. Sana dietlactlon d'opitdoes,mg la situation deS alltoobtones, versa.qua Pana./Mette et la Justice

n/ontranes.Jamaisma ne deiferueurs eu uNous no. orna/Imre. Partie....

Ment riu Maroc. ele 158. Oilif toviourdferme un letat indépendant teMst Pa.

Let'lleitértenlînnontriM d:1'e="termromeole 40e isBas. Le seaisr do ces

tectosat quels erauce a rause! k imeumer alignants du Maroc, dans des cloonstances parti/tunes. en Oct.. confit,ne le traité International.

I( Maghreb s se fera ni devoir decombler cet... en experant ants teeseeie leu agiammente de leurs campatrlaten Peu avertira, ou 550 sourd.. dereritemes lattât« de le Free..

11) Reduedon sa sedualuletretimlIsM, avenue do la ROPublIque, PartsNt. Démet h Libeairie peoldalry.

Les progrès de I raisonDe la REPIPSLIDUE (Robert Lab.

Sel s

tes.'24 Ity,f,e,'1 al'I'i' eueo'i'lert%e.a;:c,',; ,u'i:, ::O'garoger,o. d'''',. n's.000 de Mc... ,mi deralt se

Oral,bienPPM. . ,i141.0 41.0501r 00e ././n/M ans. fente porexlmr.T rem.,ter la vIctoi. nein 4 ena4..tik ...T-aegu tr.-li n'y a, en etriei, plus en Prk.undee armements sui.. da 5, 005 etdos possibIlltde de eaetion un esMEemelt:nique nue no s ayons une armésanii, ses forte pour pableer une guerre.

I enT(i't'el Z7t"ir 01:eie'rte%1.,'Peivers n'a effort pabie de doter I

Franco d'une ar fo stut nous ruseravictoire. Ile no 'ese0Sent pas de te:

' donne la am C'eat la ...temd'on il no. ta .

Ha'H:tler .It au pouvoir ou non,.11 nore fact {souhaiter, c'est la

armements. lie KOU SfUlii Cap.:. Icaoa et le cora a...Honni c

Benener M dé nie. N. vraie nneuvi..et la els,

aune m Vo té, la République. o.puas of licieux paMi radical, don.eue Ooindy-1013 a hese &fendue au a.,,,,, des is pr4eec Balisasse, set/ PrLéon BI,.

Ire peoarde cime mis., ainsi, peu dtes, set/Osent, Reste à savoir mataseeas les calleses as il. &erreur, semet-ales conseils des jour.. de troxebec parti I oit iNaincrenii domsn, époomajor de catastrophes et les

battit de rien:Rem r

Complètement figéDe l'ORDRE (Debmiaridel) :

, Avec frénésie et deeespoir, M. Larta131001 persiste- à Prêcher be diammetmont généra/ doublé d'un contrdie In-Mruational. :

. 11 le demandait hier au nom d'H,dm/bourg. comme il le demandait am,hier nu note dé illtier ; auteerd,111111 le tison, 8eili n'li lir.'1rer la sécurité de la an., ou e

iCLr' ..,"Qr "di'IV' °;1"-e," ""a ra c P orne ,Els fest suureirase, Pcbu-Brislol

0cm ecu es, Il cet /,gd et sesmess pas alose estime. Le plus drôle,

Ir'sfea 005 V::: e

neno. revient en urentoiree,

!. M. de ?dormie agent de Staline1,DreI'E,C1-10 DE PARIS (Maurice Le-

C'était fatal, et depuis Engtemps

Iapparbeunces'%I'le'upilat1O lb dos

réalités Pavaient annonce ; uni.que aboutit à la socialisation de l'en.fan.

Pareille aveMualité n'est pas de namtara o faire reculer 15, Amato,:

qui éprouve pour I. institutionsscolaire. de le Russie soviétique unedilection particulière, do. I/ faisait

bico. lu f;?.:?zrue10e 1000511e' Aa'un5t-glementd - sens consultation du Paolem.t. sana consultation du Conseil ett.parieur de rinstruction publique -Pada/Es/on des élèves en Masse desixième, estelle tout imprégnée de ce

(e.e.`1:ierl;[de:Int/tel anarchiste) qu'est E députa

: psséeltLeie:, cor coeslolle depcdasc' Sua ,tOeeiee, Je itese de Scanne

Mortuaire déos,00. em",e.nisotterte."3/.1,...",°::2 .méthode. Et il est de "rêche avec il5051,0710 Ov,,bsSO, ormodealmml 40 net.

O. 1.115051 100e dOuve rr,seaOae 15

pets., était encore dmistrutre les g&

zs de comp/ot contre la eareté de rie.

'

Vivem,1:7Etoelomis-. I

Dc.oCe,.Zu-,r,emen«.t.ge .e.,sivis,eessusen,S autE

thuMfereir.0 tout'ltrix dol'iMupéries:Hama français.

etl'a'tier'i'n'dett't'arbitPasee Mliiénalre /es luttes hMoiqUesdes irlandais, lekes de race dee Bretons, COntPe lee .nquéranM anglais,lutte. dont l'impornance historique necerIZIodn'd:a'e;'re:à

la aise économiqueOf000ba. Horspau-emmé pay.nnerie et la MasseMoyenne en Bretagne bans une base

Le

0escommtnuniste ne se méprend

re m'e n'et, rra°, il 1à une .piraMon sériel/. de couch.sociales déjà. .see larges conMe I on-'F'i'ditrInit 2'11 er tr'Ci.' r en.Taes à disposer d'eutomêm., notre par.SI enera Ils eoleadi,ulioos net,m

ales d. MOSOe. Popul .adoptant une position a'unalogu'rea''oeus;num a prise eu Maanne et su 'dorme.

;/1fid"Ce'r//eftr du."P7;t1 ge,'Ma=e'').MZ:et,,, ft assit 102 déridé de soutenir sera

êtà fair pour. la Bretagne. IAIMM

ver'ses'VaTc'erae:BS're'ufTl'as..'fion, On parie euts puissant mousseuse'.

verdoie

tee ies tolelievicks s.o::Çor ies;:ups.' .a.sefaute per Pee elle.

Lesleux OiymplquenNATATION

La malchance de TariePets. Il sols. Ce dom que Per

ann. une spur, mai, ora Jean Tarie eoecdo la titre elynnsinue dee 400 mène,naos libte.

L'Araério.n Crabbe is bette à lu tomedernière seconde, amis sue m'uspion eût mener toute La cour.. Tari.pare à mute vitesse. Malt déià très nen.-mem ddtaehé ana cense mènes accom-plie sol l' 4" 5/10, Aux 200 mètre.,cenveru ,18,, son se. était de6 m./. Aux 300 mètrrn, ses /tend,Crabbe ça tête, :halent suppronev etdans le demie. must Soè.t., Teels 55e.

g.nant pout les dis mille spectateur5 guretMent rendu. au Stade nautique. Ils

acclamèrent les dedx nageurs qui om donné aujourd'hui un bel exemple d én.,me. Ce fut une coarse vraiment cm,-nonnene entre des adversaires de la Pimgrande cime, Il suffit onur e'eu con-vaincre de remarque, que les sis nagetesen finale. out battu remuer/ record olym-pe., de Zordb, no qui indique assezla grande conabté ekt

Les itareur. petMe en qM nous Pen-sM

jaas voir les plue redoumbles advelmi-

tes ee Tatis ont été décevants et n'ontpas amélioré leurs se:for/rames des demi-finales. Ils ont été :suriner:met :Domdentés par le train terriLdn mené an <Riantp. notre chanIpor,

Nouai edam§Le. séries du IO2 métres nana sur te

dos ont qualifié pout les demblMeles laAméricain. Kir 0,», lel. et Kaudee,l'Allemand Kappas. b Norvégien

es lo Canadien BoumeDMts se Mrie, Nen./ I» terminé troisià.

sa,. en l' ME'. 6/10, mais il a été dé,aseé pour un suage arme mr.le meilleur temps accompli done les

séries le fut par le japonais Kiyelraxa./I be le recmd olympique avec l' 8- 9110.

Vo. les résultats da épreuvesraetres naze hbre (Mersuurs).

I. Crabbe 1E-0.1. 448" 4110.record olrapique, ancien record Yolsore-u (km.). 4' 51" 41 Ira, Tarin (France),4/ 48" 5.71): O Ovokota (Japon), 4' 525110, 4. S'ottomane ijaPon) j 5, Sue,.to (Leoni. 6. Cherhon (Acgralleb

100 men. dos. - Première série ( I./Droite-go 'Hatterd. P 8- 9/10/ 2. E7'e/tKerber (E-U.) 3. Ruben Ha/loran IL».

Derième serie t I Zeist (E /' 9"9/10: fl. liouPpem (Allemagne). 3. toms,euLl000g).

Troisième série : I. Use (lapon), P3/10, 2. Bote, (Canade) ; 3. De Peule(Btési1).

Quatrième eétie1 I. Karlsen (Notvègeb

D" 7/10; 2. Chalmers (E.-U.); 3,H. Wei./ (Canada).

AVIRON

Quatre mm barreur. - Ire série t 1.Ceande,Bremane, 7' 137 lis; 2. Etats,Unis; O. Allemagne

2. sétie I. Italie, P6" 4/5, 2. Cana/da, à une lonsneur.

Double malle. - Ire série I I. Cana&7' 25'; 2. Italie, à une longue.; 3. Lité-si/.

2e série., - I. Etats-Unix 7 le 3/5; 2Allemagne.

- Ire série t I. Italie. à' 28"1/5( 7. Cm/nie-Bectes-ne. à de. tas.

5000e»3. Japom2e série. - I, Etats-Unis, 6' 29") 2.

Ceuude. 3. Allemaere,

YACHTINGMonotype, -- le cotirse t I. Lebrun

(France), 54' 37; 2, Etats.biais, 55' Y, 3,Italie, 4. Allennostne

8, course t I. Transemino (Espagne,38' 317/ 2. IMlie 3. Frame I

C/assmnent à l'issue de La huitième cour-se t I. HoiEnde E7 p.), 2, EsPagne(05 ED O. France 164 p.. 4. Allemagne156 c..); 5. Grande-Bremans (54 cia 6,Canada (47 p.)

Le Sud-Afrique iecs retiré de la

con_Stase.- Septième et dernière dpren.ve I I. Herbulot (France), 2. Rade,Keand.Brotagne) t 3. Gray (E-U.))Asthet (Suède): 5. Wytle (Canada).

Classement final ( I. Cmy (EmmUnis),77 'oints, 2. ett-mquo. Herbulot (France).

I PM KtendeeDteDurte), 27 0.1 4.ode, 26 p.. I. Canada. 23 p.: 6..Snàdi, 20 P.; 7. Sud -Afrique. 7 P.

EQUITAT/ONCr/meurs de dr... t I, Commandant

Lassos (FmuceD Z. Marion dFrooe o 1: 3,1 uttle Meate-Unis).

BOXEPoids plume. - Hinès (Eteds.Unial bru

Areko /Mexique) eux points; Carlsson(Suède) bat Kant.. (Japon) sus pointe.'

Poids moyen Mictimlot (Frence) batLam. (Canada) aux pomM.

Poids coq. -Zipluiokn (Allemagne) LadNicolas (France) eux point. Lang (Emre-1linge) bat Pers,. (Amemine) Par fort

ilde Egem, Ahlmtist (Suède) betM.or (France) aux points, Bm (EtataUnis) bru Mixler (Grande-Bremane) auxpou..

Poids mhjnetds - Blanchir,/ (ladie)Las Ceneve. (Canada) sas P../ SImsens (Afrique du Sad) bat Kerte (Albemagne) aux pittu.

Poids 10ourd. - Mettre. (Canada) batKohl.. (Allemagne) a. perints( LdbeE7:(Argentine) Let Barhutd (Finlande) eux(pointa

ESCRIMEAmaut sa sabre ; Hongrie bat Mexi-que par 14 contre 2. 2. Hollande bat

Danemark Per 9 I 5.

los Talus doenowidnes

hcbo'soidddres do la Stolisilque

sdetrd do la [race

La semaine da M. juillet an d sont a-Ia:

cEtlaeMeMeer'akel'aute'f'Ir:siltre7r:e77bab10 im'0ed'il:e'';

V00e? cUutMre1g.r. -ds -`à'lee's«ole

:::::7,711";::;:;:l'n;.°<,:ull;7:cl.:::: 1

83 ; de . fait .1'indlipi clent,/ecisicteinnentairee passe 'de 472it 1

oints à 293. Relatant cee d r-rodults Intrortés marque . 50,0de D p 1

ses variatio., l'itedice percerai (103';eisde gros pour 50 001,0101enregiere urne

.baisse moyenne de 10 Peinte h 397.I

Les nratida;$ fet,cdu.,segoifes marquent

'1

'COelterer isv''...a IL`mrgr.1.tubrut '''.''F 1

c.:mu-Jet si-J:iiie8.:11: e 1n,rjes,,,:t.<me2d,..a,,,p ravr,o,;,eteoji,,Ife,,,e,,,im..::,çeiittai,ta,,Iti I

,2-ealice,,,%.,:f ,I revsau mtriat., 1

v

de const -ructio% ig.- .,..,e e'.'ererZ''.i. Mt'reee's!..e/e':P;re de aresonO peu de efiangements : Etats-Unie;, norNe0,10.3. ..,,,. Grande-Bretagne,tr'e 9e.tritti 'irelurentr.T'ge'el'u'e:ree

Fe:4ses''''ll'e'''''/Atigel''pl.0::'erireei5ei 4).1;:.:le;Cas

d'économie dirigéeallernande10.R.0;1.1 et ma, limad,s,s,nsol>ds, cas nû eIR

taitol115 Inil u,

muniffea medtatemmu netteualted.lin sun sa. prives de proanelon de ro

°doivent aimai etre teeme

le cil ri 5m010011511,1 5t10l01110L"'evsr,"orireles len,

t.

ean ma Ica cartels et assucitIonk

analere. .1 a,tendra aux aos,

neu dolvrnt rair1 objet d'un treer,.

Prinfls'd.

k,

-enerel. - Après avoir indl-

neer var.. de transtormer le syEeine économique existent eu tie Seer%ne d'am:amide co:lective rett

-"entseasrlan're'r'p':,tr'"Iirsoc'tt,'1, ,ctadte

i&e"La ne 5155501050 et le pouvoir d'achat

fes smsence, - Pour revend/.5L.

nom apte Iller101 doc 00,050e »l rdstsmes.

La» SIsals, de acsnuui del'en'e 55

p..

es. 1,15,s a ne 1:111,antn heures doit êtrevotée chmes pl. bref délai possIbM et, eu atten-

1rtm'. 61,c1 ,: e.:',:i:Ur,..,Lde:c:o:L'e 'ett 5ert0r.

Pour uttdnu: rrle; flt505555t050 45 ta

'err'n'eï'reatl:torije'p'e.lnues doive.ter erens,kupurre.ndrorattielanlerke

OlIsInSes5.e. de crie, des travaux nubiles ateer des ordres d'isolait.

rek institutionssPaseuranee doivent.,ut 'Mode de prosertte,;,conuetardi:

e

reMm ras de crise.ButustMe et commerce. T.te

do bsn etIl; grande Industrie Mb

i /a fabrication dMnmeis artlfi-ciels. celle des Inaterm. de sone rem

gotes démographiques

Mouvement de la populationallemand! (1931)

Se mouvement de /a Ponniation ailmande en 1,31 a êté caractérisé Par neenouveile baisse de la notalito et nneuouveile augmentation de la mortalité.

Karen, - L'excédent des naissancessur Es décès est tombé au chiffre taaine e

l"'ntli3.1.0 e'oriLMC:,'':l'U-

viv coe 127.450 en 1930.'Cela. fait" un' outarde .16 0/00 en 1911coutre 17,5 0/00 en 1930 et 20.9 0/00 en

teur les plus récents pour laFrance sont 17,4 0,e0 en 1931 eontte18 sa 1930 t la natalité allemande esttombée en 1931 au dessous de ?a naro.1110 française. Elle est PertirMiéremm5

SBerlin t 9,1 en 1931 contre 9,9en 011 al ui3O 50 0115.

Stortolité. - Les chiffres st Po/Bes.tares sont les suivants :

s 14,8 0/00rée) 710.850 .,71,11931 725.983 T11.2En France, les proportions ont été les

sont 15,6 0/001931 16,3

L'avantage de J'Allemagne tient h lacomposition de la population suivant

. en coneerne la marra.. ire..ti?e, la comParaisou entre les deux payss'établit ainsi. 10/001

FlIanCe. Allemagne.-t 113 0n5

nota''''' 7.6 8:8

Balance. - L'excédent des naissancesMl tombé de 416.6.. 1930 n 305.52nen 1951. La cause? Le chômage, la ratsère, la peur de l'agen/r.

Tandis que toms demalheureuxgoura

Sura**

I UNE VICTIME

souffrent tout te me. euf ant Peut souf-frir, bit a des detes senti/ries qui iels-layent rigrospectivement p.e le file de Ne,dé. ler.

B parait que ce kiirre homme mt full àplaindre parce qu'il ne pal suivra la remB Celui,mide son pere. Celuci aixti rayagel'Europe, fah tuer des millions d'ares hu-mains qui n'auraient pas mieux demandéque de votre lem vie normale. N'est-ca pasqu'il et dommage que le file n'ail 051 150'.Snuer mn joli métier I, Etennee-veui, après cela, qu'il y ah desgens en Allemagne qui redemandent à làler'el h' M "tp I-chose, socredié, Guillaume II fut un cri-101051, 5 assassin, un successeur d'Asile,

mérite, pour aveir voul. une guerre, lesmalédictions de Mur Ies gens de mea, Tan-dis que Napoléon, voyou, ce fut un génieel qui couvrit notre 5015 105 gloire ou cou.,ois quinze années de combats. l.as

Alors, il est de feule rigueur que les

Fos,drm

de l'Aiglon nous reviennent. Es,cee, vraiment, vous pouvez dormir Penaud-

en 000501 000 l'Autriche gardera Ber.kellem:n pt

ciNou7rtii*el7Zerre esse dir,,51:.e,2

(r cal, d'ici lanzs,,,,: .,.:12

te,,,ii

garait lieu 50eInvold jonc'es,

le j d1'

roide Rome viendrai

P', re o 6del'empereur des Françoie elr

sasdis-

guerre u.

eosN,rede nue gouve7ants.

.,,,,,7:o;!...ce,zas,',2 :te merseilleurc oc-

:7s:7157,1F:7Z.

lcdsaoie rze.". ""P'La propagande française à l'étranger a

grume, depuis longtempe, de foire admettreces timon. chez le, peuples qui nous leo(datent, Mais, faute de subsides, elle n'enbatelée à un cloue scepticisme et a tomlzfeues érice,,I;nx ,qui croient que Nets.téss

- Plaignons dono l'Aiglon de n'avoir Puprendre remue passereau dans se. serres.Quant a ceux que S'Aigle broya as«beaucoup d'honneur qui leur Int fait'

PlablIsserattnia 5050es.

e gril)Iront t ru 0 P

1.ce.'e,7rozecePuante Iniiparde do tranCe gni ne Se,

gator. trente Millions de ober/leursCT.st beau. le Mem.

OLIEREVUE MEIVUELLE DIDUCATIO

ET D'ACTION 101,10D7 Rua da la boule roue Parn9,FAIT lIt MORUE VUMAT131ET riAroffini rLoEureniEvroir;

LEVI(

COMMENT IL/ fDEVENU/ fOCIALUTg

prép.., par 'IONillustre par . .

Mins ess semunenus P.FAVIFY7, 50e DE LA 1300LS l015s.PuSbfdÇ% Postai mas. se sennimmussanisolysnianumumuntaarato s AN SO te MW /lei

Marche des VingMARCHE DES VINS

Comment voulez-vous dire Paustellement au courant de l'actiondu Parti socialiste si vous n'êtes

p. notre leeteor assidu ?

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rend. à la collectivité.Politique commercia/eImporte de saure., /es ret

an commerce ; d'emblir unmonétaire et système de cr .

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Da).ppgatent Péconomle- Un organisme centra/ tomen collaberellon «mite arecIton hentealte. les organes de pdes .rtele et mes organes dean commerce et de l'économie c..p111,11pIte, goeett.rs de de.... .

l'économie dirig/,. tout en deur/crut/.5000 15 nie Scui0010v»,

Regards sur le monde

U.R.S.S.Un emprunt de trois smIllent,, -

10 Juin, le gouvernement. sov.atique

ân'nevreiLrenrreeurie.'rIt'tMé au plan Quinquennal. C'est le sixte.

tTti5tFellte01:;er'giri(e'e'ereidet".95'1"relirCet e"r'erti=",e.-; .4gsuivants, dits du Pt. samOltocalmul s.

rOVVH'Oetrmiilbee .1:1=1771'1tislierMirn'enee'er:eesMers, dev:o fournir 3.200 miln

t s"se'teun emprunt h revenu fixe tle p.Il est remludirsable en dix ant

benreebemean les Marathe/uta invites » à souscrire pour um

-

couvoir le montent prévu. le't.il faudra que Men. /m'a untrois semaines ou mime un moi.laIrm. L'éPargne obligatoire et .

mot !D'aprlo la presse gonvernementale

l'emprunt est accueilli s avee mu,, verbtable enthousiasme s la ferait beei

Capitaux en chômage

Au cours de la dernier° session de laConfdrence lute:nations. rrav.b

Dent.. Jouhaux a donné euetquestIntéressantes pré.sions sur los ou.tame sans enatecl les ouvrietesuzupe,

°mens. ies capitaux dieoneMeeper. em Infuseras de o.artre,vaut peu ares .'Fran.

its 2

L'ALLEMAGNEEN PLEINE CONFUSION

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1932/B... · ANNUE. be 11.301, naSOPINEMENTS nWls sala, 43 Ir.' I en, 33fr. 35 DEGRES A L'OMBRE ' 36 dei.

Demain, nous donnerons d'antresdétails, L'en peut, dés aujourilhui,ii Loir sa pince au -Pan des Si, lapot. êviter une trop Lingue attentesamedi soir devant les guichets.

Un si/cilice spécial .le tramwaysfonctionnera à la sortie.

En 'le mativaià.lemps, la fêtesra remise h une flûte ulldideurer

PEDUIRATION COLOMBOPHILEDE LA HAUTE-CARUNNE

n'qlif P., . .rut Le concours of pa r la e oder,ive Semaine d'Etudes fion Coloadegeirtephfertilo de la Canto-G,

renn e, col jeunes //amen s,

des Jeunesses Soca stes - s'est disifule di men c h e 7 a Oit, surAprès-midi 1= 1"aiO4 Bayonne417.11o,,

Le départ a Me donné par M.A TOULOUSEVISITE DES REALISATIONS Ithurbido, du Pige:in Pyrénéen, e 5

Les Abattoirs, la Bourse du Travail b' be.9i0 dQUATRIEME JOURNEE

Cours du mattat Jaurès. cons-tructeur de la pan suie,

ILIYnaa,onale,

par LBT, députe de l'Hérault

C'est notre camarade Bayiet, dé-'e I'lléijault, qui était chargé1.0 le te cours da la somune

. une magnifique conférence, à. citer t atredoraittema à maintes repri.s l'en-

, .me des au/lieurs, notre ea,, mise parla de Jaures cons-ti de la paix internationale a.

it près de deux heures, ilattention dus déleaues, évo-

t faisant revivre devant nosfiEure de l'apôtre qui eonsa-

toum des noblesse et oleà la défense de ta paix.

tent tour. Jaurès enfant,ô: Castres, has apprend

te la celer. de l'effort Mi-el.: Mers qu'il s'attarde à- contenu.pies le travail des champs, tandisque ses cantaradse si livrent tout en-tiers joies de leur 'ri.'-0 âge. Il

mimaises Ah d I

iCs

romemees...mememessertiete.-eed

Lee ren r es se son a es me-Cet après-midi tee délégués ont reniement et le classement mil Suit

viaité les abattoirs sous la condui- s'établit clans Erdre suivantte de M. Oauthier. /. Cenuras: 2, Carol: 3. Touva; 4.

Ciel encule une realisatton munl- %mond; 5. Charles; 6. PradineS: 7.cipa/N Les anciens abattoirs étaient pues,' yes, ft, peupla; 9, Belaval:dans un ûtat défectueux et c'est na- tu psrô; il. Larme; 12. Bacheni:tueellemont, à la municipalité set.- 54. Rat-qm,d,liste one Con doit de posséder de oie,. me.nouveaux abattoirs qui amit mi elm Dilôrnanehe proehatn, concours àdite du genre. Ils ont été inaugurée ore in,-le 31 mars Pite et toms dotés de tous pi8,Ire appareils modernes.

Les dé/Faces se sont retirée en- 'tag"4ur vi.net La niise en Ires aura lien vendre- NeN AAIETell

POIER EVITERIi, uvaux: DA.

dus à, la Bourse du 'rouvrit nit ilsont été meus par One camaradesFormas. Bette], François, Casenenveqoiersoist três aimablement misleuc ,lisposition et Eur ont donnétoutes 1re explications utiles. Noscnacades nous firent admirer lessallespnens montrèrent les trevaux P00, elihles des mars professionnels et les

, l/sceaux d'Assuranees eociales de laoc o, le 'l'es ici' n.

1 Après quoi. dans /a grande salir.Caseneuve nous fit l'historique dus ndisali m d / Hte 0v 8 0 ans a n

dl 12 août, au Sihae de la Fédérationdes Pyrénées. Le Enfle/main,

mmedj, rée/age des a.epareils.

AVIS AU PUBLICIA Soeiété des V.F.DAL e l'hon-

neur d'informer le public de la miseen marche sue la ligne de Castres 1.Revel des trains ci-Dores, t l'ocra-sine des fêtes locales de Sorège, les14 rt 15 août ceerants.

Les d/mime/se et Mufti Revel. dé-part, 15 h. 5, 15 h. 35. 20 h. &X e ri, le

relvée 15 h le Iii 4e

de la Bourse du Trav,i1 due 2 la1,00 i,Snui peut aéandr en si peul, Gsstres, arrive, 1 h. 78.de temps un labeur incessant et ., - Castres. dedart, 10 11. /3.Feré. onmes lui met/Vila et fit un long Snrese aremee, 15 h. 29. 15 m 50,

C,rtt 2,0000, "." 20 b&P". élemtenee coutumière il passa en perd. arrivée, 15 h. 31, 16 IL 1,515030 m. I" issi"resi a'eee" es vue un eertain noniire de (mentions m, 52, a h 11.tentatives de guerre. qui intéressèrent particulièroment 15Enfin, c'est Jaurès à la veille desa mort lai, bravant 1. menaces, .dresm contre la catastrophepente.

Rafles a rétracê la politiM. depais du grand tribun avec une élo-quence chaude et prenante muaisque les jeunes gens qui l'écoutaientpieuserecnt crevaient voir s'a.nimerdevant eux le visage rayonnant delon56 et d'intelligence de m'ai qu'ils

à FONSORBES

auditoire. Revel. départ. 21) h. 3, 20 h 30.Et pour terminer reste visite, les Sor4ze, arrivée, 2if h. 14, 210. dl,

administrateurs off rirent un vin Sorève, dénert, 20h 17, 21 h IO,d'honneur aux délégués qui non. Revel, arrivée, 20 h. 28, 21 h. Il.elieront nes. sevons en sûrs, laBourse du Travail de Tloune et f9.4n05s.."'"'"I accueil cordial de ceux qui la dim.gent.

tore p5 se termina comme à,l'ha/ ,de par des réuninns publi-ques partieulièrevneet ir. surfant..

rique souvenir.Lorsque nous aurons ajouté que

tette fête sera présidée par MlleTeu/ouse et ses demoiselles d'hon-neur, mie k prix dentree unique estfixé à 3 francs, nous sommes sûrsOs voir de nouveau, an Parc Muni-cipal des Sportif, la foule des grandsjours, le public des grandes permit-

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de chambre, rue d'Astorg, 36, a portéplainte au 8e hrrondissement, con-

uts Syndicalistes Coopdrate vos, amisrez cn masse à celte jour. Ire sou amant, Boyer Léon-Louis, dittir applaudir les prouesses des jeunes, Georges, né le 17 janvier 1898, à l'Isle

Départ collectif à 8 h. 30, gare Etoguet, dimanche matin. sur Tarn, se disant courtier en as-' Renseignements à la permanence des jeunes, Foyer du Petmle.

1 d to obI marque 'P000., eau Mery, 4 places, immatriculée

UN CONIBLE l ai:1mi

rus le n. 5.149duS 2, comtnis le IO

I leque pria eu sa qualité d' mirant, au garage boulevardLasnes sera tenu comas/liement Une enquête est ouverte an 3e ar-

,et rondissement. La sûreté, la brigadetoms

peellejands Pronaôess 141, mobile cita gendarmerie ont été am-« peor de la partie mvile SéesVuelle hist., 1,

' VOL LE BANANES

yeux gardent pour toujOurs un

e

féé-

Le examiner général du canton deiéenevin assigne i. Le Midi

smi,Maisoui.arrive

, , puté de Villefranchmapprenait asciM.

MoiBrugidons se, 471nis, épi-M.i.. '1..4'. 1119,54i-or ût( . public indigné et amuse, à la fois, i er, demeurant rue de Lupe°, 32, atribunal civil, qui certainement me- oons,,,, m 1, rossai les ,,é,,,,S,1 1 porté plainte contre inconnu, ail 5e

libell.t l'assignationnst hien son :Mem devait sonro

edumnseillern

3-JournOes, u,, j

Sarraute avait Sot pourvu des m . arondissement, pour vol de 20 ho-général Sarraute : yens d'installer chie lui,

qu'ilrue des i nanes, valeur 12 francs.

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ieuntdeinillevfrxErs de dommagm 'il avait placées à proximité d'où

sauftenant les allégations suivantes , letraes il travai/lait.a La « Dépêche » de eamedi

deureusementsavoirernier

ue; ,Adelr'',...grai:br, et pere,;:se:..2:Polo fait h,',i VELO DISPARU. ,d, I eutsétre vos bemins mais vans avez Le 10 courant, vers 14 h. /5, le

,, ,.,.., do,,,r, ,,,,,h, tort de mupter sur notca argent sieur Courcli, marchand de vins,gigue. On enit..,,4 1,, coite d. , `Evi'-e. PL., n seIelee one virginité, grande rue St-Nico/as, 11, a déposédate mei avast été révélé dans les sa bicyclette contre l'urinoir situédénotera jours de la campagne légiar Victimes accidents autos, voyez sur la place du Capitole, voleras du3ative, af .Sarraute Lucien avait été urgence LA PROTECTION CIVILE, Poids-d'ilffdéviiestortner du parti radieol, Ses 6, rue Belle:farde. ConseiE et déf. Lorsqueil a voulu la reprendre, il avieites d Paris eu domle personnel gratuits (17 h. à 19 h.). ....1.1é qu'elle ave di''''''de ,11. Tardieu, po ,r. recevoir de luiPorgent nécessasre d rimpressnon de VOL DANS BINE AUTO

dsen ., Courrier n avaient

srl loderè Le même jour, vers

t11

h. 50, le

,MOP cOutprottettaut Lucies Sv,-issieur Casimir Plenacoste,

demécani-cien, demeurant 53, roue Revel,l'vedignation u parti radica et e ÇA E T LAété limogé. Or la ,, Dépêche » nous avait laissé sa - oiture automobile â/!..Pprend que le sous-comité radical , hauteur du n. 29 de l'allée A/phonse-1.,,, leune-.1.(arengo a été honoré d'une APRES L'ELECTION Pcyrat, pendant qu'il alMit faire une14riee et d'un Me conférence de M. DEA RSarraute et Brisai a..

LEM course,A son retour, cinq minutes erras,

« Vactivité de l'honnête Javari,Très touche par la sympathie et il a constaté qu'on Mi avait dérobe

2«,eontaft plu, de borne» demies!enthousiasme que sûût ménager lepublie toulousain à son Pgomrou mû, un paquetuet contenant divers access-

il r,t réhabilité; aussi mat-il den- cours de beauté, le comité, d'organi_ me d'automobile et un paquet con-.'o Parssit-it, vete nouvelle conte' salira désir.. da deonm, epoors tenant du beurre et du fromage, leIrse, demain, s

desa Palais, entre dix fdtes dignes de notre ville, tient tout, valeur 102 francs.''' t f'.. i. a'lid. 40g à remercier les nombreux speeta-9, 408. Bonne chance I »

..Bt 21 le sendi 28 luillet 11/32 d la Murs venus mil 05 et les invite h,, revenir le 13 mat, à 21 heures, se

. arPtess,t1eà. ;.:11,;11,,,,',7:dit,r`d. voir sur l'écran d'abord, et assisterSueront

et , ,,,,,,,.s. i,,, h la plus bette évocation de l'Anti-que qui ait été réalisée h Toulouse.

.,(11(21,.Xr'',X14,,),d2rd ,,,dddd_né

Ladeumeom,pietéctusx,eusseu epi,,,,,diumvualii,e11,%

,:t.da One tes Os sasse ont en- chaitse : le timide essai qu'Il rai-" '^s/tibleme, .,,,,,,,,,,.., . ph,. sait dans la salle des Fêtes dép.-

miésnt, de , etc. te.sant ses prévisions les plus optimis-

Qu'on veuile hien l'exCuser, celarorelalité et d a considérat, ion du

ne se renouvellera plus.. !,Evant oet u Attendu a nous rem Le programme mme de samedi 13 ûtma,;breveu rs. dépasse en ampleur les précédents.1,,L,,, irorabilité I la considération Après uss.2aues einématographi-lue s,

''''!;e.' A,t Beu4rAi Sart."' q M chue, au maire de laque/acun se

"rôeLje l " "'sein' ff.'''.1'

retrouvera sur l'écran, et qui fera11'eat.-e que et peut raids I repasser devantdu nos yeux lesamasn

etco-

ourrentes concours de Pyj jf.3suiteedde;(11;.117,083.%e g Rrot,,

seiem.reprfetito ! répond M. 'le con- celles du concours de beauté, aura 10

u911: infjuimu'pt puppdept /leu sur Io grand lac, une fêle veni-

Z. mens associés, d'accord enqui eese 1R. le président Tardieu

tonnait bien sort débiteur.r.:,,,erie.teivoiseillur général Lu.

,,,, J es demant /te 't /n'OZ; hr,l'IO'nt'e/e.,,,:: d gérant Darricau el..sIs diusureu6:.s t'a,l: 'mues à titre

tScbtro 1 ' r .:2. où le conseiller général deho.7,,,1fZe Mentre que ches lui rin-

n?....... pai de borne; s'estsdvû 000 8Oultmeirlt notre j.-

pont de Blagnac et allant vers Cor-

DEUX AUTOS S'ACCROCHENTSUR LA ROUTEHier,vers 14 h. 30, l'auto de M.

Oeillet Paul, 29 ans, boulanger, 34,boulevard Lascrosses, venant du

nebaeieu, a été hemtée l'intersec-tion de la route de Grenade à Saint-Michel-du7-Tomb, par une auto vu'nant de Toulouse et allant à Grenade.Cette voiture a été retournée.

On note des contusions des voeu-pants des deux voitures, mais de grasves blessures connues. La gendarme-rie a ouvert une enquête.

RECELEURS SOUS I.ES VERROUSNous avons déjà entretenu nos lec-

teurs de l'arrestation du sieur Bon-

complicité par recel des fourrurestienne socs gondoles et chanteurs, Ces fourrures avaient été dérobées

nP..t.' par un malfaiteur d'envergure sur-Ce sont Et des spectacles qui nese décrivent pond, mais dont /es rnufgrdéptà1dpééel:uMs.brosperllpfuûpisi KLeuspertozukei:

ont été volées an commIssionnatreAurignac, livreur, le 9 août, sur sotchariot qu'il avait laissé rue Cala-

peedant qu'il faisait une cour-se. D'antre part, dans la nuit du 12se 13 juillet, on avait volé au mêmeKopelzki, par effraction, neuf skunsel 12 renards argentés valant 17.000francs.

Dédé le Marseillais a pris la fuitedu violon où fi avait été incarcéré

INTELLECTUELSqui le soir venu après votre journée -de travail accmaplisses la tache Pe -somieile, nourrses vos nerts, e:t-vez les famines de vulve

meveah,

combattez l'anenne cercle:11e, e,buvant avent iManue mem. un sciede Qn morronive II via. 00 lolo de ver-., un flacon d. QtlinMatne dans onlitre de vin de telde Ver obtenir te101111 sel le mus actif et le pluscomplet o 4 fr. 95. 100,105 Pharmsr c.s.

pendant M nuit. On a reltiché doisindividus qui il'étam e m eoulmbleSei na a ninle(ni sous les verrousBonne et la fille 11e00o1 pour recel.

DES COUPS SE 'nt %NSFORMIINTtInt PROCES-1 ERDAL

Brod:a-verbal poile violene.es r6-ripreques a Oô hottUe leuchauffeurs de ta. Lantenet Ors. -ges,, rue Dorn-4a,S lb, 5, et ode-

domicil rue Jacques-Barré, 2.

Toua deus Ont ngé des Coupedors qu'ils se Moutmeteinent à la plu

a huit en h-ta-/4'11s°, -

M.-, dorniellid dans a banlieue deCe matin, vers 9 h./30, M. Antenin

Toulouse, deecendait en ultime/El°da roule de Seysses, avant dans lavoilure son &Muse, à enfant, sonneven et une dame.

A toi'. 'ois, sortait . la Our d'unCafé, a reculons, une dure hippo-mobile appartenant M. CaeelleJean, 66 nos, telles, ornicilié routede Seysecs, à Saint-Site:m.

La voiture milieu:1511e ayant bar-ré complelement la rqute, hattiomo-bilisla n'eut d'autre lsscuree quedaller heurter na dalanc bordant/a roide â gauche; av nt de /marte,I, platane, le N'amuie beim tin po-teau. télégraphique,

Les occupants fureat légûniinsntNessus. Le con(tucteor frt traireût.-Id à soli domicile où il reçut les pre-miers snn.'Dtats matérlds de part et d'ail- /Itie isyaluaie

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La vie sociesteGROUPE S. F. I. 0. FELIX-LAVIT

Coheme, Marengo, AragoRéunion mensuelle des membre. du

/10.11Pe, auieurd'hui vendredi 19 août cou-rent. d 21 heures, au siège. café MmEm

Ordre du jour t

al Adhésions: Cotisations: Id Pique.nique et prochaine sortie: c) Questions di-verses.

Présence indispeneabl9 de mas lasadhére..

Le Secrétaire Demies.

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25055005. ritli se trouvait à la ter- 0,,1 qm mycédé muladie.rame, a été, endommagée, dém. du récépissé une attestation de .0 dqum, . saudGuuduuu

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hse-6 Mem que venant d M rue ,le fidf

Henrielle Sadoul, 3 aeLe 10 courant, vers 14 h. 45, /a de- plions versées pendant le trimestre civil

La Vie des Société4 sO. précédent la maladie.issequeleUse, dentielliée mur de ron- sri y d ,ie salaires, il faut quede de FF:mtaine-T.estana, a été ren- peumatioa du dupeur toit totetioenéoversee hauteur du n. 13 de 10 rue sur la Reille maladie, ainsi qu'une attes.Laganne, alors qu'elie circufait h {arion patronale que PM.. a été privébleyelette, par rautomchile condui- de son plaire esedarit la dorée de MOr par M R. aymond Orun.ljeans re- maladie es mentionnant la remise doprésentant de commerce, '

P 9Mlle Sadoul a été atteinte aux

reins 015m la jambe d seuil '

La bieyclette a subi des dégâts.

COLLISION TRAM BIT AUTOLe 10 courant, une collision s'est

produite hauteur du n. 75 de larue Alsace, entre un tram de la Il-gne 6 et l'automobile appartenanth M. Poyol Louis, rue de la Républi-

55Cette automoble, a été prise en

écharpe par le tram alors qu'elle Cam., ie rai deià dit hier. 1eineme.doublait un autre véhiCule qui a Mi1le dlr9se9 de a °Menu herbusles gardes-bnue endommacés. !vif suucès.. Co fut une lune correcte et

Dégâts matériele de part et d'au-'19491. emre adsD1sf de1 seenans Y

participent. Ce qui fait honneur au SeortMOTO ET VELO Tmvaillis.

' Voici /es résultats uhaisnesLe même joue, vers 13 h. 50, le 100 mètres. - 1. Audot 10. RI: 2.

Deur Louis SLegmann, 16. ans, de- Nhgre (0.R h: 3, Ga. (E.12,1.

'nbticryoecle1941,"a'éq.é 2re, rvieros'ér0.01-1 2. Ga. 1E. 12.): 3. Selim 1E.R.).-mIl à.4011 mènes. - I. Rosuemorel (0.R.):

00%r/0%1,o:fie r Sedira u-ntEti,enne,pne r mos-,

seeh,aes -s.:11.. dcle

I.

RR«M'i'lls771,11R0R.)..;R: 122)maçon, domicili route de Seyeses, 3.000 rntZ e')' 71 .â Saint-Smnne.

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!Mem, (0. RI, 4. Almen (e. RI.Relais. - 40105 - 1. aillet Son.

(e:s2.FSaint-Martin( I. Lotie Rouge: 4.

CIPseenent définitif tI. CEuillet leauxe 133 points): 2. Etoile

Sous (I 5points): 3. Saint-Martin 114pdints) 4. U. S. P. (3 pointes 5. Emme

luipatrice 12 points).I-Didllet inscrit ainsi son nom pour la

première lois sures Chemise sui serarenus en compétition chaque année.

René DESPIAU, Secrétaire.

la Vie SportiveAUTQMOBIILIISME

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Matin t Motels s'110 02pal9., 8 heures)Après-midi t Voiturm (dépars15 IL)

Aveu La première journée tressais qui alieu le mercredi 10 mût, le VIII. GrandPris du Comminges entre dans l'histoire.

La plupart dea encagée annoncent leurarrivée pour mercredi et jeudi.

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La

»q»ni encore pris part à aucung

liste d« gemmés réunit un lot departants oue n a pas connu depuis long_temps une manifeetation automobile.

En voiture. on relève, comme ruer.

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Amilcar, 24 Bueatti, 5 Masserati, 6 Alfa-

Du côté des Mot.. l'animation desviedles babilles s'est pas mur. grena,tous les champions de Moto-Sacoche, deNee-Map. de Sturdee, de Monet-0°7ton,dc No»re,, d»e»P, Are», »de Moutouuutcane. me,

soins en vue de le grende épreuve dont ledépars rima donné dimandre 14 août, à8 heures du matin.

La permanence de la commission mor-ses de l'Autamobile.Club du Midi et da

Motoeveliste du Midi art limai,

»Bec » e uae des mur.. mutiles le mnem aecued leur réserve.

h l'HéE1 de Ville d. Sain.Ceudensles contour.00 pourront demander tousrenseignements. h partir du jeadi II août.

Nous mpeelom sas le, essais ont liesmmeredi 10. vendredi Ors samed,

13 août, de heures à 7 heures da ma.tin, ta vérification des véNicuEs as.lieu, pote r, moIns, le .e,e,e, Oraon, de9 ,heures à midi. û la Basde pahlisue

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Per. cruelle qa'ils viennent d'éprouversvlarorsnon,dn

Monsieur Paul LIETAR,Adjudant d'Artillerie,

Médaille Militaire,Chevalier de la Légion

d'honneer.Engagé volontaire Guerre 1914-1918.

décédé à Maczac (H-Coe), le Il août1932, à de 75 ans et vous prientde vouloir bim assister à me obsèquesqui amont lieu vendredi 12 août 1932. à16 h. 30 menses. a Toulouse.

On m réunira à h. none Orinainededumeietierres de

Pompes Funèbres Municipa/es, 0. mePareaminières, Toulon.. - TéL 1140.

Monsieur et Madame Pierre MOUSSA.SOUlem. eaLants: Monsiese EliaLABOR/E, meaame. yés MCUSSAROUet leur fils Mauriee, Monsieur et MadameRené MOUSSAROU et lems enfants:Monsieur Adrien MOUSSAROU: parentset alliés, ont ma doaleur de vous fairepea de le perte cruelle qu'OB viennentd'éprouver eu la permnne deMadame Vve François SIOUSSAROU

Née Louise MASSONIras mère. bene-mûre, ermermem, mû-

11"TédJt% rorn2..7',.'lhée;oarnileee de 77 ans. et vous prient de bien,

vouloir assister à ses obsèques soianromlieu demain samedi. 13 août, à 14 heures,an PErlise N.-D. do DIU,

Os Se réunira à la maison asséna.,me du Taur. 31,

A risme de la cérémonie w,ko.e,rmierciements se femnt l'Ealise:osons

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Ils esse..uo nos n0m uhaque année./

Le comité a été tonné de h, facon suisyante

Président t Vignes ken, vice prési-de. t 'Periés Rama; seerMaire : Crocjulien: trésorier &mime Mas.

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Dimanche 04 août. - 5 heures 0'selves dErtillethe et sonnerie de clo-set es annonçant la fête ; O heuresdistribution de pain et de n ansindigents ; 50 heuresr concert par.l'harmonie Ste-CdoiM (Arbre de la,Libertê1, direeteur: Jean hayrouO Au Concours a, Pas redoublé, deXaisriey ; « Le Cortège d'Attila a,Ouverture de Gadenne; s AubadeFloientins o, Fantaisie de P. de 2e0-si o;

o Bardes et Chevaliers s, Fan-tMsie de Reynaud; s Le Créchois o,'Pas redoublé de Delbecq.

Pendant le concert aura/leu la re-mise des médailles obtenues par lasociété au concours de Pau.

Si h. 30 courses de chevaux (2ejournée) hippodrome de Larroque16 heures: bal sous la Mine-jusqu'à10 h. 30; al h. 30 : embrasement dela Mairie. Reprise du bal jusqu'à1 b 30 du- maiM

Lundi 15 août, -5 heures 0 salves,d'artillerie; 9 heures: raid hippirltlesur piste hippodrome de I arro um15 heures: tour de ville

par' s'&été s Grenade-Sport fi; 14 h. 30 1courses de chevaux 13e Mimée),hippodrome de Larmille ; 16 heu-res : bal sous la halte jusqu'à19 h. 30 ; 21 h. 30: feu d'artifice(Plateau du Polygone) tild par laMaison Balondrade ; 22 h. 30 : défi-lé en musique, départ Gare, ailées;Alsace-Lerraine, rue Gambetta,'Halle. Internationale. Embrasement'de la Mairie et reprise du bal jus-'qu'à 1 heure 30 du matin.

Brillant orchestre,électrique de 1.500 lampes.

Mardi 16 août. - 16 heures t balsous .1a Halle jusqu'à 19 h. 30.

21 h. 30 repre du bal jusqu'àminuit Clôture de la fête.

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Mme Hourdages (Crois Leverand ;E.ParMian (Fiterari);' Laforgue (BeauVoisin): Saintaguê (Thyinol)/ tYmr-'

10,P1150risteief CrmaoYmen'tni'enes (trot). - Dissé-

tance: 2.025 mètres

(C1Va ê'd Ndo )(IC 'Crearsat'er abi%u d'en!'goe); Loubet (Armagnaeaise); Carsles (Damoclés 1111; Mme Hourdagell(Craie Leyburn): Laforgue ,(Deatt

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YoiSin); Mlle Roy (Dentelle d'Or);Raintague (Cerbère); Angles (Crin-ben 114; Durand (Espérance 1V);Douas (Faner Yes); Journet (Entier-

, te Mab); Sainmartin (Badin);libres (Catherin M); Chadefaut (De-M) Lune); Saintagué (F-PaYmol).

- 17 engagements.Prix de la Société d:Eneourage-

Ment (Hors série n. 2).Dambies (Hurry Hup III; Mene-

t verre (Favori II); (Gloxinia); (lié-gaule III); Fourres (Bila II); Met-tolard (Bielle du Bonheur); Com-tesse Niel (San Maire)) Marquis de

,Tontevéa (boula); De Seyn. (Lue-truque Cornete); (Marie Anne).

. lé engagements.Deum:ente Prix de /a Société des

Bleeples-Chease de Franee (Milite-z 3e série).

, 10e Dragons, adjudant-chef Dons..slim (Idanette); Itongiur (H19.1.-bre); M. L. C. Souvil/e (Lm); III-art (Fleur de Mai); BiMail (Afflue.-le) M. L. Estieu (Armagnacaise);ID/on (La Gamine); 2e Hussard, ad.Catuingt (Coco); Vidal (Mimi Pie-cou); Dupuy (Passy); M. L. HenryTBatante); 19e R. A. C. adj. Duge-tri (Fanny ID; M. L. C. Roux (Eri-ke); M. L. Ferra, (Caldib; Rigne-ni (DusoiS).

tri engagements.Prix de la Soeiété d'Encourage-

{Ment (trot). - Distanie r 3.000 ml-tres)

Ch.astel (Diane du Logis); Visée)TContralto); Cartes DamodèsItttme Bourde, (Crnk Leyburn);-Laforgue Il- 7. de Fer); Tomo,(Distingué ID; Saintagué (Frigni-

ktourt); Augias (Crinson R.); (Cu-tenue IV); Rouas (Galurin); Jour-ne) (Equarte Mab); Fallières (Ca-therine IL); RmirdageIl).

13 engagements.

Engagements aux coursesde Grenade, Lundi 15 août

Prix da Gaeeeauemras (PlatE -Dombres (Berry Hui, II) ; Laferre,(Bayonnant). De. engagements.

T Prix de la Société des SteePlesTh.e do France (Military, 3e série)- 10e dragons, adj. C. Donadieu(Manette); Rovgier (CléOpâtre); M.L. C. Souville (Lucio); Bézet (Fleurde Mai); Biscuit (Affluence); M. L.Estieu (Armageac); Olon (La Ou'celer) ; 2e hussards, adj. Catuingt(Coco); Vidal (Miel Pinson); DuPuY

I (Passy); II. L. Henry (Patente); 19eadj: Dugeret (Fanny Il); N.

L.C. Roux (Erika); M. L Feracci'Tant H); Rigolo) (Dunois).

Prix Docteur Massonié. Trot,Distance, '2850 m.- ourJnet (EQuar-to Han); -Chastel (Diane du Logis)Viarelet (Contralto) Couronnât°(Cet) Noir); Bousse (Gambe ;'Sanga, (Frignicourt) ; Daubian

'4Fitorari), (Avant Toi); Caries (Da-moclès III); Mme Bourdagée (CrakLeybrun); Laforgue (Beau Voisin);Mlle RoY (Dentelle d'0,4 Laforgue

de Fer Ili; Saintaguet (Thy-snol); Angles (Grison A.), (Capr)ceIV); Chadefaut (Demi-Lune); Sain-

.Martin (Badin); Faillères (FloridorB.); 'fournie (Hue Hotte); 2A enga-Sements.

Prix du Conseil Munnicipal. (Trot,Slosiourer 2400 mètres). - Vianesf(Frànceeur VI); Joernet (EnuarteNab); Rouas (Penny Yen); DUSSOUY(Durandal) ; Souroubille (CaféVoir) ; Veules (Coetralto) ; CastelDiane -du Logis); Saint-Aguet (Cor,Ibère); Anglas (Crinson R.); Capri-ce IV); Tournié (Distingué II); Lou-bet (Armagnacaise);Dattbien (AvantToi); Jolibert (Coconas) CartesDamoclès III) ; Mlle Roy (Dent lle.41:0r); Laforgue (Beau Voisin); MmeBourdages (Crak Leybrun); Sainte.gué (Thycol) ; Chadefaut (Demi-Lune); Durand (Espérance IV)Idem (Moreine) Saintmartin (Sa-ille); Fallières (batherine M.). 24rngagements.

IROULOGNE-SUR-GESSEFOOTBALL. - La compétition

de la Coupa Parisaux qui escumen-cera, comme nous l'avons détà indi-

:gué, le dimanche 21 août à Blajan,151 poursuivra le 28 â Boulogne.

: La deuxiime manche mettra anapeser Caztres ex-champion de Fran-ce et le 13.A.C. elle décidera des,qualifiés de la finale qui se jouerale 4 septembre h Boulogne.

Tout de suite après, aura lieu leMremier match de ohampionnat cou-dre Aurign. ; c'est do, la saison,qui s'ouvre et peur permettre à, seslmembres honoraires de profiter de

VARIETES. - Matinée à 15 heures:soirée à 21 heures La Chienne e.

PARAMOUNT. - Speetaele perme-gant, de 03 h. 30 à 19 h. 30, soirée à21 heur.r s Dr jetsil et M. Hyde e.

CAUMONT-PALACE. - Matinée15 heures: soirée à 21 heures u « LaBande à Bouboule s. Amodions.

TRIANON. A 15 heures et à 21 hemres, Charlie Chenilr da. son riss Ms«succès « La Ruée vers l'Or D. jock lebandit avec Buffali-Bili

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ce début. le Boulogne Athletic aurale plaisir de leur faire présenter lasemaine prochaine leur carte 1932-1933.

Nous espérons, qu'en présence denos efforts, ils voudront bien nousréserver le meilleur aceueit

La saison s'annonçant très char-gée, les cartes seront valable,s pourune personne seulement

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- En voici le programme;Samedi 13. - A 21 heures, salves

d'artillerie annonçant la fête, cm.lina,smnent de la cité. -

Dimanche 14. - A 16 heures, dBfilé monument aux morts, gerbesà le h. 45, départ du Profeemur Pi-card pour /a stratophère; à /7 heu-res. ouverture du bal, oreh.tre Jazz,15 musiciens, e.oueours danses (Bi-

GALLIA-PALACE - Toue les leursde...nuées, 4 11. 15 et lé h. 30; soi.rée 520 h,. . L. Rosier de MadameHumé. e.

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Lundi 15. - A 8 h. 30, oourms auxcanarda, jeux nautiqu.; 12 heures,concours de pêohe, défilé des finesgaules ; 12 heures, apéritif ooncertsous la balle; 15 beurre, jeux divers:courses en ne. la Pond, extinction dela bougie; /G heures, Marneux pédes-tre; 17 heur., bal; 20 h. 30, tourde ville en musique, brillant feud'artifice sur la Save atm bergesaussi ravissantes que hospitalières21 heures, reprim du bal, distribu-tion gratuite de confettis, farandoleendiablée.

Mardi M. - 15 heures, grandebraderie (effrayant massacre dosprix); 17 heures, bal; 21 heur., balterminant 1. fêtes.

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nal parlé (premi(re édition). Der-nières nouvell. de la nuit et pre-naières nouvelles de la matInée com-muniquées par l'Agence Hayes etprésentées par M. Louis Lespme.

Il heures. - 1.4, demi heure Ultra-phone. Concert de musique .eurems-Secs ueganiee, " pue l'Assoma,tion Ra-diophonique Toulouse-Pyrences avece mucours de la Société -UltraphoneFrançaise.

12 h. 30. - Journal parlé (2,0 (di-tion) Dernière-s nouvel)ra de la soi-rée cominuniquérs par l'Agence Ha,vas et présentées par M. Louis Les-pine.

12 h. 45. - Concert symphoniqueorganisé par l'Association Radiopho-nique « Toulouse-Pyréne. », avecI, concours de l'orchestre de la stastien sous la direction de M. HenryCora., prédesmur du Conserv.luire de Toulouse ; chef d'orchestreM. Navarre.

Pendant Ppnteacte, programmedes spmtaclesHe Toulouse (mirée),

17 heures. Concert de musiqueenregistrée et Revue de la presseparisienne, régionale et locale (leur-naux et revues).

17 b. eg. - Mercuriales.18 h. 30. -4, Relais de Paris-Eeole

SupéMeure dès F. T. T. ;

Journal de fra.n..19 h. 45. -,Programme d. SPecta-

oies de Toulgum (lendemain).19 h. 50. - Bulletin météorologi-

que, changes, cours officiel des va-leurs locales, communiquée divers.

19 h. 55. Journal parlé (3e édi-tion), présenté par M. Louis Les-pin,

20 h. h), - Musique enregistré,50 h 15. - Conférences et cause-

ries. direction M. Jean Douyan ;

« Sports » par Clovis Moussa.30 h. 30. - Un quart d'heure de

musique enregistrée.20 IL 43. - Chronique -du Bulletin

International du Travat/O « La ré-

duction 'des salaireo ».21' heures. Relais de Luchon.

Diffusion, depuis le Casino munici-pal, du 40 concert classique.

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RADIO-TOULOUSEIt h. 30. - Nouvelles de dernière

heure de l'Agence Fournier.12 h. té --Le quart d'heure des

auditeurs de la région du Sud-Ouest13 heures. - Chansounctten13 h. 30. - Soli.13 h. 30. Musique militaire.le h. 45. - Qu,elques airs d'opérete

17 h. 15. - Coure des valeurs dela Bourse et ahana..

17 h. 30.- Orchestre symphoni-que Symphonie n" 29.

18 isi lu. - Quelques morceauxd'acoordéon,

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ré..18 h, 45. - Musique de ds.,nse./9 heur.. - Extraits de filme so-

nores.19 h. /I. - Communiquée de R.

dio-Toulouse sur le progremme de lasoirée r Modifications, retransmis-sions, etc. Nouvelles de dernièreheure.

19 h. 30. - Concert.20 heures. - Petits ensembl..10 h. in. - Quelques airs d'opéras-

'2'91n0. - Musique .militaire.20 It- 45. - Quart d'heure d'accor-

déon.21 heures. - Quelques frangments

d'opéras ; Le Roi d'Ys ; La FlûteEnchantée; Le Crépuscule des dieux.

21 h. 15. - Orchestre symphonique

m11'/in.'90. -» Quelques airs d'opé-rettes rL,Ceorpest.

21 h. 45. - Orchestre Démenti,et heures. - Petits ensembles.22 h. lu - Mélodies.22 h. 30. - Revue des nouvelles im-

portantes de la journée.22 h. 45. - Amis d'opérettes r Ci-

boulette,. fantaisie- Le Jour et laNuit, fantaisie.

23 heures. - Chansonnette,23 h. /5. - Quelquru airs d'opéras:

Hérodiade; Les Contes erHoffinang;Pelléas et Mél(sende ; Maintenantque le frère de Poilées est sauvé ;

Parsifal (Wagner).11h. 30. - Concert.24 heures. - Température. Etat du

ciel; Fête à muhaiter. Calendrier du

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COSTES. rue de némusatParurei de Mariées

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SBULLL0.1021 DU v MUA s 1.101 ts 0m ordres qui m'eut êtè donnésVoau êtes en état d'arrestation etvous allez étre transféré à la pré-

turc. Je

de promptitude, iien ai; chargé unde mes collègues.

-Bien, dit simplement d'Arma,.des

pas de faiblesse-. vous me répondezdo lui sur votre tête.

- Oh! vous pouvez être tranquille,enjoignait au porteur de mettre enétait d'arrestation - le sieur comted'Armac - avm faculté de requérir

son aise. L'ordre, il le reoonnaispour parfaitement authentique,me il était postérieur, il en était

DCIINICRS MOUSQUCTAIIICSPar Jules T-EFtSSIN A.

eef n'ai point de motif pouruser de rigueur envers voue. Idines boums. va vo. a...Pm-meren voitute, aveo ordre de you, brkbec la oervelle au -moindre essai derésistance ou diévé,sion, you. Et,,,averti...

D:Armac /00110R' lb 451Ie H5 signed'asmutiment Le policier ne négli-

Jean battit paupières. Il avaitcompri, Sans dire . mot, il gagnala porte. A ce moment, d'Armae s'a-pe......,,è que Giulia avait déjà dis-par,_ Alio., il y avait bon espoirque ses amis serment sauves.

Pour lui, il ne lui restait plusse'à faire coutre fortune bois visage

fit l'homme en montrant de mons-trueux battoirs qui ressemblaient à,

de vas. émaul. de mouton.- Allons, monsieur. dit d:Armee

avec une politesse ironique,- Il faudrait fermer votre port.,

dit Criseelli.--A quoi bon, répliqua d'Arma,

II ici

la force armée en oas de besom,- Qu'esté. que oela me fout

I

s'écria Crimelli. Moi aussi, j'ai l'or-dre d'arrêter monsieur, et vous ar-rivez tro.p tard...

- Encore une foie, je ne moispas. Car e vous ayez un ordre quimntredise le mie, je m'inclinerai,

tain, â l'entrevue qu'il avait euemême aveo Md Morny. d9II eût tout donne au monepouvoir passer sur le ventre desoldats ; mais ils avaient de bonfigures de troupiers, et auraientoarrément croisé la baïonnette, a)été re uis ré fièrement et a)

PnD'Ares, , put réprimer un Mes-.ainemout, il compre.it tout main-tenant. Cette perquisition, le vol deses papiere, cette arrestation, toutcela était l'oeuvre de trahison de cemisérable docteur Leutant, dont ils'était cru le maitr, oublia, euavaM pour .mplice M pire des in-trige,

et qui. et d. criminelle, prête à

tout , -nécessairement devait setrouver en relations av. les banditsde PElysée.

. ,.,Et ce ri:était pas à lui qu d son-rait, &était à ses amis, à. Jaequee,au braie Perth. 'que le méd.inavait d'énoncés et que menaçait unsort peut-être pire que celui qui luiétait réservé à lui-même...

Par boghei., Criseelli n'avaM pai

thos... oeux_là pou,,,jent être fus),I-lés saxe jugement. .. que gmmvoix s'élevItt pour proMater.,

C. terrible, réflexions avaienttravsrsê mn esprit avm la rapiditéde l'éclair._

- Adieu, Athos I Fait jcté laOmbelles en. une dernière provoc.tion d'i,e1.que je ne mis

..... secouvenezas et.re assez tee

-vousp

gée.- Au revoir, milady, briéedat

d'Aima, voua m'entendez ,revoir-. et, non p. adieu 1...

Elle haussa les épaules et dispa-rut Maintenant il Mi fallait au ha-ter de retourner ch. Morny pourohmnir M remise de e. Pailmer3 dIle/a. brutalité de Criscelli lui ...,..t

ge.ait qu'un seul détail, c'était delui demander sa parole qui eût infj-rdment mieux valu que toutes lesreena,c. de tous les cassages de têtepé.i141.- .

,- Ou met muleMmIti dit le comte.iy,,,,,,, , vos. ,,,,I, .4....k. ... ,,,,,,,....k ,,,

.4"tenait debout centre la fenêtre,

'rlt'nolovnaninatat,r'stdrue gent,%>rnve,1ce ql auraM certes lait de grandmea,- d'Arnme le regarda 'fixementH.,.440315 pour et p rson attentionr-eur.tee tilOroitO%Cedl :

- Parlez, dit Crimelli. - -

celli qu'A- se Piquait de belles ma-

et à attendre I. événements.- Je Mis à vos ordr., dot 01.H y avait ceci de singulier en Cris-

nitres. Il lui plut de se pos.er enMenne du monde auprès du eomm:

Il est e]lteudv, dit-il , que lue

ber, p.inur %a...c.% leinfsr

...., j'y compte bien. -

Canam., groadait d'Armas euliFia,e, f.... ch..0.,4 4j,,4i., 1.. .,,,,,,p. ,

.eI.,.., uu ï ?..--. ..,. . ..P'-'. La voiture est en bas,- dit und. ageme,i. upe sorte. Ide col,osse dfoint

gon .ida'unPeloli'méitela'btle'n'a'"Iedee' Potommi

je garde... ï 'm'a' '

n'y s pins ci. à voler,-H einriuil iit C scelli q faillitcomprendre.

Mais voici qu'au moment oh d'Ar-mur mettait le pied sur le palier.Trém.y p.yut,

D'Arma, le vit et une exclamationfaillit jaillir de ses lèvres.

Ea,,deaétà,T,,,,riir iieyep,,eaMp:ermis-edo venir ici sans ordre ?.

, Coniment ? ea,ns ordre, ekr,a,cr,seen, voue,. monsieur, mêlez-vous de v. affaire, sinon, je vousfous dedans.

Eaimable policier reparaimaM entente sa netteté. .Je ne orois pas, dit Trémery desa voix la pi eme. Savez-vo,

lire

sinon non.., voyons cet ordre..,- J d tructe n'en ai pas- es insi nsverbales mous été d <>minées.- ellesme suffisent- Mou coca à moi..,

vo-us rQépulast-Ifje. e..rai m'exila O rmie r'aeiri'M

u« m Pren-dr-e... Et si je veux ,- ,,.Je voudrais bien voir ça, DiGriment do, M eolère creissait hchaque instant.

- Et voua an. être satisfait.../I alM à la porte et fit un signe.Des soldats entrèrent ; quatreluirnmes et un caporal.D'Arma° regardait de tous sesyeux.' Etaitime une comédie ? C.

reçu dé leur chef deoste dosracon s rcises ('oisse:t ti t epé p

lbé' r- Monsieur, dit-il h Trémer,Y a lb un malentendu. Après tje me soucie fort peu du prisonrrP.Imuumu11.4.oitoomcis en sûretée '

pouvez être tranq-Dh livousérnery nle, dit Tr .e souriant.

- Voulez-vous que nous nous,..ni .- I- '11-- Un traité I 7 Tsémery d.calme ne se té. était pas. Yo2

- Arrêtons?M à -nous deux...- C° eli e'ffil'ie-

VorQtuira'!eruinardeemlaeitsmontregI

te comluisait a la vpréfecture-osé l'assassiner, et cela malgré I.objurgatio. de la mégère; et main-

arrachés et aussi lui a nocher romdre d'exécution de son mari.

- Cette femme m'a annoncé sIlleI retraite de deux de mes amis d'arçon peur le moins.

Crimelli,

?...'u soldats étaient l-is des figurants do

Orque, racoles par Trêmery peur1S2.1Volls monter da, la voiture seux. De cette façon, j'ai rempli Itenant d redevenait le comte d'A,de prsuee, dent on

A peino la porte était-elle rotera-me sur elle qua Crimelli s'approcha

était découverte.. ils sont eu effeta. ic &et:H.3 ImPf.nt Eeïec 'm.quii êt,,,, ot,,,, do hm, urr.tation I

- BH,H511,,,. ,11-1 en s'a-dr..., a lm je vous re. an eparticulièremebt votre prisonnier..

- En oe ens, you. eormaisse. h,, 0 e mmletre e 1,eneur.Et il phi. sous les yeux de Cri.le sauver Cet ordre êtait-il faux ?Gomment ce combattant de la nuitpouvait-il se t'être

devoir qui est d'arrêter M. le eod'Armais, et vous avez reeel Pl ''

ge. jt.iimmv9.1.».-d,Ade...aglr.r.0, 00.6..fal,ie.. du_17otionr, lui dit-il, j'ai o.k.- - NIII9 dit eti.milL PP9r- Plus Hae de sévérités inutiles, mais aussi. ,

.111 lordre signé de Morny et qui procuré ?Cependant Criscelli n'était pan â ' (d suivre

RihninaRREERRMRAIRRHIRTiffliTigestraLaugisseariLfiRITTUMffiffiRRAIRERTRILfflillifinimminnefriirarturnmisrmats,s,......---___ _

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