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Discours et systèmes de représentation: modèles et transferts de l’écrit dans l’Empire romain Moïra Crété (dir.) Presses universitaires de Franche-Comté Prix : 27 euros ISBN 978-2-84867-558-9 -:HSMIOI=[\ZZ]^: Presses universitaires de Franche-Comté http://presses-ufc.univ-fcomte.fr R éunissant historiens et épigraphistes, littéraires, hellénistes et latinistes, deux colloques tenus à l’université de Nice Sophia Antipolis en septembre 2009 et en décembre 2010 ont permis d’explorer les questions de production, de transmission, de diffusion et de réception de l’écrit dans le monde romain. Les questions d’intertextualité, les rapports pouvant exister entre l’oral et l’écrit, les modalités d’exposition et de publication de cet écrit, ses différentes formes ainsi que les images pouvant lui être associées ont été successivement abordés. Le présent volume rassemble les communications présentées lors de ces rencontres. Moïra Crété est docteur en histoire romaine et actuellement postdoctorante à l’École des MINES de Paris (Mines ParisTech-PSL Research University, Centre de Gestion scientifique, CNRS I3-UMR 9217). Ouvrage publié avec le concours de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité (EA 4011 – Université de Franche-Comté). Moïra Crété (dir.) Discours et systèmes de représentation : modèles et transferts de l’écrit dans l’Empire romain

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Discours et systèmes de représentation : modèles et transferts de l’écritdans l’Empire romain

Moïra Crété (dir.)

Presses universitaires de Franche-Comté

Prix : 27 eurosISBN 978-2-84867-558-9

-:HSMIOI=[\ZZ]^:

Presses universitaires de Franche - Comtéhttp://presses-ufc.univ-fcomte.fr

Réunissant historiens et épigraphistes, littéraires, hellénistes et latinistes, deux

colloques tenus à l’université de Nice Sophia Antipolis en septembre 2009

et en décembre 2010 ont permis d’explorer les questions de production, de

transmission, de diffusion et de réception de l’écrit dans le monde romain. Les questions

d’intertextualité, les rapports pouvant exister entre l’oral et l’écrit, les modalités

d’exposition et de publication de cet écrit, ses différentes formes ainsi que les images

pouvant lui être associées ont été successivement abordés. Le présent volume rassemble

les communications présentées lors de ces rencontres.

Moïra Crété est docteur en histoire romaine et actuellement postdoctorante à l’École des MINES de Paris (Mines ParisTech-PSL Research University, Centre de Gestion scientifique, CNRS I3-UMR 9217).

Ouvrage publié avec le concours de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité

(EA 4011 – Université de Franche-Comté).

Moïra Crété

(dir.)

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Dans l’empire romain

Actes des colloques de Nice (septembre 2009 – décembre 2010)

Sous la direction deMoïra Crété

Presses universitaires de Franche-Comté

Institut des Sciences et Techniques de l’Antiquité

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Discours et systèmes de représentation 7

Sommaire

Moïra Crété, Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Intertextualité épigraphique

Stéphane Benoist, Identité(s) du prince et discours impérial, l’exemple des titulatures, des Sévères à Julien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

Michel Christol, L’affirmation de la gloire : la légitimation du pouvoir de Septime Sévère dans l’épigraphie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39

Michel Christol, La légitimité de Constantin aux premiers temps de son pouvoir : inscriptions, monnaies, panégyriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

Michel Aberson, L’implicite et l’explicite dans les inscriptions dédicatoires (République-Empire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103

Intertextualité littéraire

Lorenzo Miletti, Usage et circulation de l’écrit parmi les néosophistes . Le cas d’Aelius Aristide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123

Mickaël Ribreau, Le débat contradictoire, cadre énonciatif des « traités polémiques » d’Augustin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139

Marion Faure-Ribreau, De la scène au uolumen : Quintilien lecteur de la comédie romaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157

Laurie Lefebvre, L’historien antique face à ses sources : Eusèbe de Césarée lecteur de Flavius Josèphe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181

Intertextualité : littérature et épigraphie

Emmanuelle Valette, De la commémoration rituelle des morts au recueil poétique : l’ écriture des Parentalia d’ Ausone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191

Antony Hostein, Panégyrique et épigraphie . Observations sur le Panégyrique latin VIII(5) . . 221

Moïra Crété, La topique de l’ elogium dans les hommages publics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241

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8 Discours et systèmes de représentation

Textes, formes et espaces : l’écrit mis en scène

Nicolas Mathieu, Couples et familles dans les monuments funéraires des contrées gallo-germaniques : quelques remarques à propos de la relation entre texte(s) et image(s) . . . . . . . . . . . . . . . . 261

Silvia Orlandi, Discorsi su pietra: qualche osservazione su forma e contenuto . . . . . . . . . . . 277

Sabine Lefebvre, Pline le Jeune et l’épigraphie : témoignages sur la place de l’écrit dans l’espace civique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 295

Conclusion

Stéphane Benoist, Discours impérial et rhétorique de l’éloge, art oratoire et culture de l’écrit dans le monde romain . Quelques remarques conclusives . . . . 327

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Discours et systèmes de représentation, 277-294

Nell’immaginario collettivo, le caratteristiche tipiche del linguaggio delle iscri-zioni sono l’essenzialità e la concisione . In effetti, normalmente i testi epigrafici sono brevi, relativamente semplici, tendenzialmente ripetitivi anche per il ricorso a un certo numero di formule, che consentono il frequente uso di abbreviazioni . Ed è proprio grazie al sapiente uso di queste caratteristiche che le epigrafi si imposero come mezzo di comunicazione nel mondo antico : essenzialità, ripetitività e concisione, infatti, contri-buivano, insieme ad altri elementi, a rendere un testo epigrafico leggibile anche da parte di persone la cui alfabetizzazione non era completa, ma che, come il Trimalcione di Petronio, potevano dire “lapidarias litteras scio”1 .

Tuttavia, sin dall’età repubblicana, accanto a testi tipicamente “lapidari”, appunto, conosciamo anche – direttamente o indirettamente – l’esistenza di documenti più lunghi e complessi, che nascono dalla decisione di incidere su pietra o su metallo testi originariamente destinati ad un altro tipo di fruizione . Si tratta sia di documenti con valore giuridico come trattati, senatus consulta, leggi e costituzioni imperiali2, editti prefettizi3, sia, in alcuni casi eccezionali, di documenti normalmente destinati ad essere

* Testo e bibliografia sono aggiornati al 2010 . Una nuova versione, ampliata e aggiornata, di questo contributio, è in preparazione .1 Petronio, Satyricon, 58, 7 .2 Sulla decisione di affidare alla pubblica conoscenza questi documenti per assicurarne la memoria vd . le osservazioni di Eck 1998 .3 Particolarmente significativo, in questo senso, il caso di CIL,  VI, 1711, cf .  p .  4741, che riporta il contenuto di un editto del prefetto urbano Claudius Iulius Ecclesius Dynamius (che fu console nel 488: vd. PLRE, II, p . 382, Dynamius 2), introdotto da d(icit) .

Discorsi su pietra: qualche osservazione su forma e contenuto*

Silvia OrlandiSapienza Università di Roma

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conservati su papiro o su tavolette cerate come i testamenti4 o interi dossier di lettere ufficiali che precedono e motivano il conferimento di un onore, di una promozione o di un privilegio5 . Ad una fruizione orale erano invece originariamente destinati sia i discorsi, come ad esempio quelli tenuti da Adriano alle truppe durante il suo viaggio in Numidia ed affidati alla pietra in una straordinaria serie di iscrizioni6, sia le orazioni funebri cui a volte si scelse di dare anche una forma epigrafica, nella forma sintetica degli elogia o in quella più estesa delle laudationes7 . In tutti questi casi, è chiaro che il testo delle iscrizioni così ottenute riflette la natura di volta in volta giuridica, burocra-tica, retorica, letteraria del linguaggio dei documenti da cui dipende, e non ha nulla della sinteticità, della concisione e della formularità che normalmente caratterizzano il linguaggio epigrafico .

In età tardoimperiale, poi, testi di questo genere, caratterizzati, cioè, da un linguaggio nato per un tipo di fruizione diverso da quello epigrafico, non solo non scompaiano, ma anzi conoscono una maggiore diffusione, incontrando, evidentemente, il gusto per l’espressione retorica tipico dell’epoca8 .

Abbiamo, dunque, iscrizioni in cui, ad esempio, per onorare un personaggio si sceglie di riportare il testo della lettera o del discorso imperiale in cui erano contenute le motivazioni della decisione di erigergli una o più statue . E’ il caso di Lucio Aradio Valerio Proculo, prefetto urbano del 337, sulla cui base si conservano le prime 19 righe della lettera inviata al Senato dall’imperatore Costantino e dai Cesari Costantino II, Costanzo, Costante e Delmazio9, o dell’ancora più famoso Virio Nicomaco Flaviano, la cui memoria, dopo essere stata damnata, fu riabilitata nel 431 grazie ad un intervento

4 Cf . CIL, XIV, 2934 = ILS, 8375, in cui il titolare del sepolcro chiede et hoc ipsum exemplum testamenti ascribant ibi .5 Si vedano, solo per citare qualche esempio, le famose iscrizioni di Adrastus relative alla Colonna Antonina (CIL, VI, 1585a-b, cf . p . 4715-4716), il dossier di Banasa relativo alla concessione della cittadinanza ad alcuni personaggi (AE, 1971, 534), quello di Pella con lettere in latino e in greco concernenti il cursus publicus (SEG, 53, 2003, 617), i documenti di Lavinium pubblicati da Nonnis 1995-1996; la versione su pietra di un rescritto di Giustiniano del 533 rinvenuta a Didime nel 1991 e pubblicata da Feissel 2004 .6 Recentemente pubblicate da Speidel 2006 = AE, 2006, 1800a-z .7 Sulla possibilità che i testi epigrafici degli elogia riproducano, più che una parte del discorso funebre, i tituli che accompagnavano le imagines degli antenati esposte nell’atrio vd . Flower 1996, p . 179-184 .8 Sul diverso stile, “lapidario” e non, delle iscrizioni onorarie tardoantiche vd . Horster 1998, in partico-lare p . 38 .9 CIL, VI, 40776 .

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Discorsi su pietra: qualche osservazione su forma e contenuto 279

presso il Senato degli imperatori Teodosio  II e Valentiniano  III, il cui testo viene riportato sulla fronte della base della statua eretta in suo onore nel Foro di Traiano10 .

Ma accanto a questi esempi, assistiamo anche ad un’irruzione sempre più frequente, soprattutto nelle iscrizioni onorarie, del linguaggio retorico e dei canoni espressivi propri dei contemporanei testi letterari e giuridici . Continuano ad essere prodotte, anche se in numero sempre inferiore, dediche in cui la lode dell’onorato è affidata al semplice, per quanto ricco, elenco delle sue cariche pubbliche, con testi che mantengono la struttura caratteristica delle iscrizioni con cursus honorum dei primi secoli dell’impero, come la famosa base posta a Vettio Agorio Pretestato, con l’elenco, su due distinte colonne, delle sue cariche civili e religiose11 .

Sempre più spesso, tuttavia, piuttosto che alla semplicità strutturale e all’imme-diatezza comunicativa di questi testi si preferisce affidare il compito di tessere le lodi dell’onorato a composizioni retoriche in cui è evidente l’influenza del linguaggio della panegiristica e dell’epistolografia . E’ possibile, inoltre, che a questo mutamento non sia estranea la generale diminuzione del numero delle statue cui si assiste dopo l’emanazione di una costituzione del 444 (Cod. Iust., 1, 24, 4) che imponeva agli onorati di contribuire alle spese, con il risultato di una maggiore diffusione di onori alternativi più economici come le acclamazioni su pietra o su mosaico e gli epigrammi scritti sotto ritratti dipinti12 .

In ogni caso, in questo tipo di testi si nota il ricorrere di alcuni elementi che riflettono l’evolversi del gusto proprio dell’età tardoimperiale:

• le cariche pubbliche continuano ad essere menzionate, ma ad espressioni dirette si preferiscono circonlocuzioni, giri di parole, che non a caso trovano confronto nella produzione poetica contemporanea, come quella di Claudiano o Rutilio Namaziano . Ad esempio, nell’iscrizione di Flavio Peregrino Saturnino, il titolo di iterum praefectus urbi diventa il ricordo che inlustris urbanae prae-fecturae geminam dignitatem sacro iudicio aeterni principes detulerunt13 . Tale tendenza, naturalmente, si accentua nelle iscrizioni in versi, in cui alle scelte

10 CIL, VI, 1783, cf . p . 4760-4761, alla cui bibliografia si aggiungano Hedrick 2000 (con la recensione di Cecconi 2003), Coskun 2004 e Baldini 2004 . Cf .  l’iscrizione posta in onore di L. Aurelius Avianius Symmachus (CIL, VI, 1698, cf .  p .  4737 ), che contiene l’esplicito riferimento adposita oratione quae meritorum eius ordinem ac seriem contineret .11 CIL, VI, 1778, cf . p . 4756-4757 .12 Così Horster 1998, p . 57 .13 CIL, VI, 1727, cf . p . 4744-4745 .

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stilistiche si aggiungono le esigenze metriche14, per cui, ad esempio, nel famoso carme sepolcrale di Sesto Petronio Probo15, l’iterazione della prefettura urbana viene ricordata con il pentametro bis gemina populos praefectus sede gubernans, mentre, un secolo e mezzo più tardi, l’aspirazione alla stessa carica di Praetextatus Salventius Verecundus Traianus, vanificata dalla sua morte prematura, è espressa dal verso urbanos fasces gaudens tibi Roma parabat16; a questo processo non rimangono estranei nemmeno i sacerdozi, per cui, ad esempio, in un frammento di iscrizione tardoimperiale, forse attribuibile allo stesso Vettio Agorio Pretestato sopra ricordato, la menzione delle cariche sacerdotali va individuata nei versi che terminano con le sequenze esametriche quinque decemvir e infula comptus17;

• al ricordo delle magistrature di un personaggio, si accompagna sempre più spesso l’esplicita menzione in forma discorsiva, secondo un uso che fino ad allora era stato quasi esclusivo degli elogia, delle specifiche benemerenze da lui acquisite nello svolgimento dei suoi incarichi . Iulius Festus Hymetius, ad esempio, che era stato proconsole d’Africa, viene onorato ob depulsam ab eadem provincia famis et inopiae vastitatem18, Memmius Vitrasius Orfitus come difficillimis temporibus … expeditiones bellicas gubernans19, e così via;

• più in generale, una buona parte del testo è occupata dalla menzione delle virtù civili dell’onorato, con un linguaggio in cui si fa abbondante ricorso a termini astratti (providentia, iustitia, civilitas, industria, moderatio . . .) e ad aggettivi alti-sonanti (optimus, inimitabilis, insignis, sublimis, praestans)20;

• non manca quasi mai il ricordo della nobiltà dei natali: di Anicio Auchenio Basso, ad esempio, si dice che ornava (ornanti) trini magistratus insignia facundiae et

14 Cf .  il riferimento con parafrasi alle cariche di prefetto d’Egitto e di proconsole d’Acaia in alcuni carmi di Claudiano su cui vd .  Ricci  1993, p .  251-253 . Interessante anche il confronto con i versi del De reditu (I, 575-596) in cui Rutilio Namaziano descrive la stauta che gli abitanti di Pisa avevano eretto a suo padre Lacanio quando era consularis Tusciae et Umbriae (Namque pater quondam Tyrrhenis praefuit arvis / fascibus et senis credita iura dedit): vd . in proposito Brocca 2007 . In generale, sulla minore informa-tività dei testi delle iscrizioni onorarie in versi vd . le osservazioni di Slootjes 2006, p . 131-132 .15 CIL, VI, 1751, cf .  p .  4751, sulle cui ascendenze letterarie vd .  le osservazioni di Schmidt  1999 e Bruggisser 2003 .16 CIL, VI, 32038, cf . p . 4806 .17 CIL, VI, 32433: in questo panorama rappresenta un unicum l’iscrizione metrica incisa sulla tabella del sarcofago di Giunio Basso (CIL, VI, 41341a), sulle cui particolari caratteristiche vd . Cameron 2002, Porena 2006, p . 345-346, Vitiello 2006 e Mondin 2007 .18 CIL, VI, 1736, cf . p . 4747 .19 CIL, VI, 1739, 1740 e 1742 .20 Vd . gli esempi raccolti da Chastagnol 1988, p . 51-57 .

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Discorsi su pietra: qualche osservazione su forma e contenuto 281

natalium speciosa luce virtutis21, mentre la nobilitas di Petronio Massimo, che gli veniva a proavis atabisque, è ornata da paribus titulorum insignibus22 . A tale rife-rimento può essere aggiunto ulteriore valore con la menzione della giovane età dell’onorato al raggiungimento dei massimi onori: dello stesso Petronio Massimo si dice hasque omnes dignitates intra vicesimum quintum adsecutus aetatis annum, mentre Anicio Auchenio Basso dava dimostrazione di una matura auctoritas già in ipso flore iuvenilis aetatis23;

• il quadro è completato dall’elogio della cultura, che non compare solo nelle dediche poste a letterati come Claudio  Claudiano o Flavio  Merobaude, ma costituisce parte integrante degli onori tributati a magistrati dotati di facundia e di eloquentia, o utrisque litteris eruditi24 .Nel complesso, dunque, è possibile individuare un insieme di caratteristiche che,

pur nell’estrema varietà delle soluzioni espressive adottate, consentono di evidenziare con relativa facilità questa tipologia di testi all’interno del panorama della produzione epigra-fica tardoimperiale25, anche quando si tratta di frammenti che, pur nella loro esiguità e difficoltà di integrazione, hanno, per forma e contenuto, caratteristiche affini a queste:

• irrimediabilmente frammentario, nonostante le notevoli dimensioni, rimane un documento visto più integro nel xvi secolo, un tempo conservato nel Tabularium capitolino, ma irreperibile già nel 1869, in cui, di un senatore vissuto nell’età di Teodosio II e Valentiniano III, si dice verosimilmente che raggiunse il consolato in giovane età e che accrebbe la gloria della famiglia partecipando, tra l’altro,

21 CIL, VI, 1679, cf . p . 4732 .22 CIL, VI, 1749, cf . p . 4750-4751 .23 Su questo particolare aspetto delle iscrizioni onorarie tardoantiche vd .  soprattutto lo studio di Badel 2002, p . 985-1009 .24 Vd . ad es . l’epitaffio di Silbius Dorotheus Diomedes, morto nel 433, che era in eloquio Latiari excellens adque magnificus (CIL, VI, 41400a) . Cf . già, intorno alla metà del iii secolo CIL, VI, 41218 (utriusque linguae facundissimo, in causis incomparabili) e 41219 (Latinae linguae facundissimo, in causis incompara-bili, riferito al padre del precedente) . Per il mondo orientale, cfr . ad esempio il caso di Oecumenius, onorato ad Afrodisia con un epigramma in greco (ala 2004 31) in cui si dice che “mescolava la Musa Italica con il miele dalla dolce voce dell’Attica” (Slootjes 2006, p . 137) . Su questo aspetto restano valide le osservazioni di Neri 1981, cui si aggiungano Horster 1998, p . 55; Niquet 2000, p . 167-172 e Cracco Ruggini 2005 .25 E’ significativo che queste stesse caratteristiche si ritrovino in testi elogiativi che ci sono pervenuti per via diversa da quella epigrafica, come le lettere di congratulazioni e gli elogia di Sidonio Apollinare (su cui vd . Näf 1995, p . 154-159) o gli excerpta, noti come Anecdoton Holderi, di un libello di Cassiodoro, in cui sono elogiate le virtù familiari, cuturali e politiche di tre grandi esponenti dell’ordine senatorio tardoantico come Simmaco, Boezio e Cassiodoro . Vd . in proposito Galonnier 1996 e Vitiello 2008 .

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ad un’ambasceria del senato presso l’imperatore, durante la quale pronunciò un discorso “degno dei suoi avi”26;

• una statua dorata (auri splendore fulgentem) fu posta in onore di un senatore di cui vengono ricordati l’auctoritas e l’appellativo di eruditor27;

• di un praefectus urbi si fa menzione in un altro frammento con lettere minute, in cui, per la presenza di espressioni come praemia e ordinis iudicium, è stato proposto di riconoscere quel che resta di una oratio principis28;

• ancora più piccoli e disperati sono alcuni frammenti con poche lettere di piccole dimensioni in cui, tuttavia, si riconoscono termini come consideratio, merito, generis e titulorum, magistratus29 .Senza anticipare un tema sul quale mi soffermerò di più in seguito, è chiaro come

ad accomunare questi documenti siano non solo alcune caratteristiche del contenuto, ma anche l’aspetto generale che il testo iscritto presenta, con lettere alte 1 o 2 centi-metri che si dispongono fittamente sulla superficie dello specchio epigrafico, senza alcun espediente – come il ricorso a caratteri di dimensioni maggiori, parole centrate, paragrafature  – che agevoli la lettura o almeno il riconoscimento delle componenti essenziali del testo .

Queste stesse caratteristiche, sia di forma che di contenuto, si ritrovano in un nuovo frammento iscritto30, rinvenuto – come spesso accade a Roma – non nel corso di uno scavo archeologico, ma in occasione di una campagna di controllo inventariale condotta nel 2007 sui materiali in pietra appartenenti al Museo e Palazzo di Venezia . La sua provenienza è sconosciuta, ma è possibile che facesse parte, come materiale da costruzione ottenuto da marmi di reimpiego, delle parti del Palazzetto di Venezia (fig. 1) eliminate al momento della ricostruzione dell’edificio nella sua attuale sede31 .

26 CIL, VI, 1789, cf . p . 4762-4763 .27 CIL, VI, 4134728 CIL, VI, 41357 .29 CIL, VI, 41367-41369 .30 Il testo è stato da me presentato per la prima volta in occasione del convegno The Epigraphic Cultures of Late Antiquity, tenutosi a Heidelberg nel giugno 2009, i cui atti sono in corso di stampa .31 Sulla demolizione del Palazzetto di Venezia e sulle scoperte archeologiche avvenute in quell’occasione (anni 1910-1914) vd . le Memorie dell’architetto Camillo Pistrucci conservate presso l’Archivio Storico del Museo Nazionale del Palazzo di Venezia e pubblicate in Tracce di pietra, Roma 2008, p . 373-387 .

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Discorsi su pietra: qualche osservazione su forma e contenuto 283

Figura 1: Il Palazzetto di Venezia prima della sua ricostruzione

Si tratta di un frammento di marmo, alto e largo circa trenta centimetri, perti-nente sicuramente al margine destro di una base (fig. 2), sulla cui fronte si conservano ben 10 righe di un testo scritto in caratteri piccoli ed irregolari, alti da 1 a 2 centimetri, apparentemente allineato a sinistra, come suggerisce lo spazio anepigrafe alla fine di alcune righe . La superficie marmorea è stata visibilmente erasa per eliminare un testo precedente, come testimonia l’abbassamento della superficie che si osserva in prossi-mità del margine, e conserva tracce delle linee guida, che però non sempre sono state rispettate in fase di esecuzione delle lettere .

Figura 2: Nuovo frammento di base iscritta conservato a Palazzo Venezia

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284 Silvia Orlandi

Nel volume che raccoglie i risultati di questa campagna di riordino dei materiali rinvenuti o conservati a Palazzo Venezia, è stata data una prima, sommaria notizia del pezzo32, ma un accurato controllo autoptico, da me eseguito, con la collaborazione di Mara Pontisso, nel 2009 in una giornata di sole particolarmente favorevole agli studi epigrafici, consente di fare qualche ulteriore osservazione, a partire da una lettura più completa, anche se non priva di numerosi dubbi e lacune:

          5         10  

- - - - - - [- - -]ns ut ad omne+[- - -] [- - -]s praefecturis erudie+[- - -?] [- - -]+ praecillentissimo (!) urbani [- - -]+ratio in qua novis operibus [- - - r]estitutis etiam a me quorum facta [- - -] iudicia quib(us) hunc ad secundam quib(us) [- - - ge]minam praefecturam merito tamen [- - -]+ ac ne quod inusitatae virtutis genus [- - - magis]tratu et paulo ante legationis inter [- - -]++++++++++++ - - - - - -

R . 2: il tratto verticale visibile sul margine di frattura destro potrebbe apparte-nere a una N (erudien[---]) o, meno probabilmente, a una R (erudier[---]) .

R .  4: incerto rimane se ratio sia una parola a sé o la fine di un altro termine (es . [mode]ratio) .

R . 9: nella parola inter, N e T sono in nesso .Non è molto, mi rendo conto, ma quel che è certo è che anche in quel poco che

di questo testo, che originariamente doveva essere piuttosto lungo, si conserva, si rico-noscono tutti gli elementi che, come abbiamo visto, caratterizzano le iscrizioni onorarie “non formulari” di età tardoimperiale:

• si fa riferimento ad alcune cariche, di cui sicuramente almeno due prefetture (ad secundam . . . [ge]minam praefecturam si legge e si integra alle rr .  6-733) ed

32 Dell’Ariccia, Petre Antica, Robino Rizzet 2008, p . 337 nr . 173 (con foto) .33 Cf . Sidonio, Epistole, 1, 7, 11: . . . geminae praefecturae quam per quinquennium repetitis fascibus rexerat . . . (con riferimento ad Arvandus); cfr . l’espressione gemina administratio in una lettera di Simmaco del 387 (Simmaco, Epistole, 5, 76, 1, su cui vd . il commento di Rivolta Tiberga 1992, p . 190-191) .

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una legatio (legationis [officium?]34), ma non all’interno di un cursus honorum nel senso tradizionale del termine;

• si specifica che nel corso della sua attività l’onorato ha eseguito un intervento di restauro che ha comportato la costruzione di nova opera;

• si sottolinea che il raggiungimento delle massime cariche avvenne a buon diritto (merito) e grazie ai suoi facta e iudicia;

• è possibile che la provenienza da una famiglia illustre sia resa esplicita dall’es-pressione inusitatae virtutis genus, benché non si possa escludere che qui genus abbia il significato più generico di “genere, tipo”35;

• l’elogio della cultura del nostro personaggio si intuisce, invece, dalla presenza, in r .  2, di una voce del verbo erudiri, anche se non è possibile stabilirne con esattezza la forma36 .Troppo poco, come si vede, per arrivare a proporre, anche solo ipoteticamente,

la ricostruzione di un testo di senso compiuto, ma abbastanza per poter affermare che ci troviamo di fronte ad una dedica per un personaggio di altissimo rango di età tardoim-periale, con un testo che fa ricorso ad un lessico e ad una struttura sintattica che lo avvicinano ad una oratio, un “discorso su pietra” . E’ significativo, in questo senso, che i confronti testuali fin qui individuati rinviino spesso alle epistole tardoimperiali . E’ in questo particolare genere di letteratura encomiastica che sembra di poter individuare i maggiori spunti di confronto per il nostro testo, dal momento che, per l’Occidente, non ci sono pervenuti che pochi esempi dei panegirici pronunciati per i magistrati e i funzionari imperiali di cui abbiamo, invece, numerose testimonianze per la parte orientale dell’Impero37 .

34 Cf . Simmaco, Epistole, 5, 94, 1: Romam regressus post legationis officium .35 Cf . ad es . Symm ., Ep., 3, 29, 1: . . . scias fiduciam de simplici adfectione surgentem genus esse virtutis ; Sid ., Ep., 3, 1, 3 : . . . quem divinitas inusitato successuum genere sublimet . 36 Per l’uso di questo verbo negli elogia tardoimperiali cfr ., ad esempio, l’espressione utrisque litteris eruditus nella già citata iscrizione CIL, VI, 1793 e la profunda eruditio che a Virio Nicomaco Flaviano viene attribuita in un verso dei Saturnalia (Macrobio, Saturnali, 1, 5, 13) . Cfr . anche, sempre a titolo esemplifi-cativo, un passo di Simmaco (Epistole, 11, 5, 1) che ricorda ut erudiendis nobilibus philosophi praeceptores ex Attica poscerentur, o una lettera di Sidonio Apollinare del 476 (Sidonio, Epistole, 9, 14, 3), in cui l’autore lamenta l’impossibilità, in quegli anni, di recarsi a Roma a studiare (si pacis locique condicio permitteret ut illic senatoriae iuventutis contubernio mixtus erudiere) .37 Su questo argomento ho trovato utile ed interessante la lettura della relazione presentata in occasione del XII convegno internazionale della Fondazione Canussio Dicere laudes. Elogio, comunicazione, creazione del consenso (Cividale del Friuli, 23-25  settembre 2010) da Ignazio Tantillo, che ringrazio di cuore per avermi generosamente messo a disposizione il suo testo, ora publicato in Tantillo 2010 .

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E’ chiaro che un documento di questo genere, oltre all’esigenza della ricerca di confronti in ambito letterario, pone e –  ahimé  – lascia aperte tutta un’altra serie di questioni sulle quali in questa sede non vorrei soffermarmi troppo per lasciare più spazio ad altre riflessioni, ma a cui non è possibile non accennare, sia pure brevemente . Si tratta, cioè, di capire chi è il personaggio onorato e dov’era originariamente collocata la base cui il frammento apparteneva .

Purtroppo, né l’una né l’altra domanda hanno finora trovato una risposta .Tra i senatori tardoimperiali di cui ci sia nota la carriera, infatti, solo due,

allo stato attuale delle nostre conoscenze, sono stati al tempo stesso prefetti due volte38 e legati del senato presso l’imperatore: Memmio  Vitrasio  Orfito39 e Lucio Aurelio Avianio Simmaco40 . In entrambi i casi, però, si tratta di personaggi del iv  secolo, mentre le caratteristiche paleografiche e stilistiche dell’iscrizione suggeris-cono una datazione più verso il V, o addirittura l’inizio del vi secolo, quando si fa più frequente l’uso, nell’ambito di una scrittura continua senza spazi tra le parole né segni d’interpunzione, di caratteri sopra il rigo, in particolare le T e le F, che presentano, oltre tutto, la traversa superiore obliqua .

Particolarmente significativa, inoltre, è la presenza del termine praecellentissimus, di cui abbiamo qui la prima testimonianza epigrafica . In documenti di natura ufficiale, infatti, questo titolo risulta finora associato solo a re e regine di età romano-barbarica, come Odoacre, Teoderico e Amalasunta41 . Alla luce di queste considerazioni, bisogna, dunque, estendere le possibilità di identificare il personaggio qui menzionato ai senatori di v – inizio vi secolo che, per quel che ne sappiamo, non corrispondono perfettamente alle caratteristiche del nostro, ma forse perché in realtà conosciamo la loro carriera solo in modo incompleto .

Anche più complesso il problema dell’originaria provenienza della nostra iscrizione .

Non è certo un caso che, fatte poche eccezioni, la maggior parte dei documenti di questo tipo, integri o frammentari che siano, provenga dal Foro di Traiano, che nel Tardo

38 E’ verosimile che l’espressione gemina praefectura si riferisca a due prefetture dello stesso tipo, ma potrebbe non essere necessario . Cf . le quattuor praefecturas (due al pretorio e due urbane) ricordate in CIL, VI, 1198 per Petronio Massimo .39 PLRE, I, Orfitus 3 .40 PLRE, I, Symmachus 3 .41 Vd ., rispettivamente, Acta Synhodorum habitarum Romae (MGH, AA, XXII), 445; Epistulae Theodericianae variae (MGH, AA, XII), ep . VII; Cassiodoro, Variae, 10, 2 .

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Impero sembra “specializzarsi” in questa particolare tipologia di dediche . Già gli studi degli anni 3042 avevano ipotizzato l’esistenza di un legame tra le basi poste a letterati come Claudiano43 e Merobaude44 e il fatto che nei locali del Foro di Traiano si tenessero lezioni di grammatica e retorica, come testimoniano le subscriptiones apposte ad alcuni codici45, e come gli scavi condotti tra il 1998 e il 2000 nell’area dei Fori Imperiali hanno in qualche modo confermato46 . Ma sono soprattutto le recenti indagini archeologiche eseguite nella zona di Piazza Venezia ad aver fornito nuovi spunti in questa direzione, portando alla luce una serie di ambienti dotati di basse gradinate in cui è stato convincen-temente proposto di riconoscere delle aule destinate a pubbliche recitazioni . Potrebbe trattarsi del famoso Athenaeum la cui costruzione fu iniziata da Domiziano e terminata da Adriano, e che era certamente ancora in uso, come scuola di retorica frequentata dai rampolli dell’aristocrazia, fino alla fine del v secolo47, edificio che doveva anch’esso essere decorato da statue, verosimilmente adatte all’ambiente in cui erano esposte48 .

Si potrebbe, dunque, proporre per la nostra base un’originaria esposizione nel Foro Ulpio o negli ambienti delle istituzioni “accademiche” ad esso adiacenti, tutto sommato non lontani dal luogo in cui il marmo sembra essere stato reimpiegato e risulta attualmente conservato . Ma anche in questo caso c’è una difficoltà .

Le basi esposte nel Foro di Traiano contengono tutte onori pubblici, decretati dal senato o dagli imperatori . Ma nel nostro caso l’autore – o quanto meno il soggetto – del testo elogiativo non può essere un sovrano, che si sarebbe espresso inequivocabil-mente usando il plurale maiestatis, perché nella r . 5 si legge chiaramente restitutis etiam

42 Restano ancora valide, per questo aspetto, le osservazioni di Marrou 1932, seguite da tutti gli studi successivi (ad es . Milella, Pensabene 1989, p . 35-36; Tabata 2009, p . 157) .43 CIL, VI, 1710, cf . p . 4741-4742 .44 CIL, VI, 1724, cf . p . 4733-4734 .45 Vd . in proposito Cavallo 2000, p . 273 .46 Su questi scavi, tra la molta bibliografia disponibile, vd . in particolare Carnabuci 2006 e Meneghini, Santangeli Valenzani 2007 .47 Come risulta da alcuni riferimenti di Sidonio  Apollinare (in particolare Epistole, 9, 14, 3, datata intorno al 476, in cui si fa riferimento a subsellia cuneata, destinati all’erudizione della senatoria iuventus) . Sugli scavi di piazza Madonna di Loreto vd . La Rocca 2008-2009 e soprattutto Egidi 2010 .48 Come quelle sostenute dalle basi poste nella seconda metà del v  secolo dal prefetto urbano Fabius Felix Passifilus Paulinus, la prima delle quali è stata pubblicata da Orlandi 2010, mentre entrambe sono edite da Orlandi 2013, p . 45-52 .

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a me, con un uso della prima persona singolare che esclude la possibilità che ci troviamo di fronte ad un documento emanato dalla cancelleria imperiale49 .

Penserei piuttosto al testo di un’oratio funebre, pronunciata da un parente del defunto, il padre, il figlio o il fratello – meno verosimilmente la moglie, considerato il riferimento ad un diretto coinvolgimento in attività pubbliche – che si avvicina, se non nella forma, almeno nel contenuto ai carmina sepulcralia per uomini illustri di cui sono noti numerosi esempi per questo periodo, o anche agli elogia in versi che Simmaco fece apporre alle immagini che decoravano una delle sue ville in Campania50 .

Ma il luogo deputato a questo tipo di onori post mortem era, appunto, non un luogo pubblico, ma il sepolcro di famiglia o l’atrio di una domus51, come diversi esempi testimoniano .

Premesso che in queste condizioni non si può escludere alcuna possibilità, è difficile non pensare che nella zona in cui il nostro frammento era stato verosimil-mente reimpiegato si conoscono diverse ricche domus: innanzi tutto quella di Turcius Apronianus Secundus, figlio del prefetto urbano del 339, rinvenuta nel 1780 in Piazza San Marco, di cui conosciamo, dalla descrizione degli scopritori, la ricchezza dell’ap-parato decorativo52; con la casa di un altro membro della stessa famiglia possono essere messe in relazione le fistulae con il nome di Fl. Asterius rinvenute all’inizio del ‘900 sotto il Palazzo delle Assicurazioni Generali, tra Piazza Venezia e Via dei Fornari53 . Sempre dalla zona di Piazza  Venezia provengono altre due fistulae con il nome del senatore Laurentius54 . Gli scavi eseguiti negli ultimi anni sotto Palazzo Valentini, inoltre, hanno evidenziato la presenza di una serie di ambienti riccamente decorati riferibili ad una o più domus di età tardoimperiale, forse da mettere in relazione proprio con quelle di Asterius e di Laurentius, e che in ogni caso testimoniano l’esistenza nella zona di un quartiere residenziale di lusso con un’ultima fase databile nel iv-v secolo55 .

49 Il testo sembrerebbe dunque rietratrare nel tipo C dello schema proposto da Liverani 2014, in cui un enunciatore interno al testo si rivolge ad un enunciatario esterno, o nel tipo D, in cui enunciatore ed enun-ciatario sono entrambi interni al testo e personali .50 Su questi epigrammi e, più in generale, sugli elogia in versi apposti a ritratti di uomini illustri vd . Cracco Ruggini 1984 .51 Sugli onori a senatori posti in ambito privato e sepolcrale vd . il materiale raccolto da Niquet 2000, p . 25-46 .52 LTUR, II, p . 204-205 .53 LTUR, II, p . 38-39 .54 LTUR, II, p . 127-128 .55 Baldassarri 2008, p . 55-70 .

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La questione sembra al momento destinata a rimanere aperta, e questo dubbio va ad aggiungersi ai numerosi elementi di incertezza che il testo di questo documento contiene . Anche per questo, ho scelto di concentrare la mia attenzione, in questa sede, non tanto sul contenuto, quanto piuttosto sulla forma di questa iscrizione .

Tornando agli esempi di età altoimperiale da cui siamo partiti, è chiaro che la scelta di trasferire su materiale durevole testi originariamente concepiti per un’altro tipo di fruizione comportò la necessità di ricorrere a lettere di piccole dimensioni e a spazi interlineari ridotti, che consentissero di inserire un lungo testo in uno spazio relativamente limitato . Tuttavia, fatte rare eccezioni come l’episodio descritto da Svetonio per cui Caligola fece volutamente incidere una legge in caratteri tanto minuti da essere illeggibili56, il principio alla base di queste operazioni era quello per cui un testo di questo genere veniva esposto in celeberrimo urbis loco unde de plano recte legi possit, come si legge, ad esempio, in un’iscrizione di Cales57 . E in effetti, se osserviamo l’aspetto di alcuni testi legislativi a noi pervenuti per via epigrafica come la lex coloniae Genetivae Iuliae o la tavola di Lione, notiamo come, nonostante l’inevitabile ricorso a lettere di piccole dimensioni, il testo conservi la sua leggibilità grazie ad un’impagi-nazione accurata che fa ricorso ad espedienti come la paragrafatura delle varie sezioni e la disposizione del testo su più colonne, con una mise en page che ricorda molto da vicino – e non credo sia un caso – quella che doveva essere l’originaria disposizione di questi testi sui rotoli di papiro o sulle pagine di un codice58 . Anche quando non si tratta di documenti pubblici, ma di testi di carattere privato, come il testamentum Dasumii o la laudatio Turiae, appare evidente la cura posta nell’incisione del testo perché questo conservi, nonostante tutto, la sua leggibilità, o comunque la possibilità di individuarne gli elementi essenziali, evidente, ad esempio, nella scelta di scrivere in caratteri più grandi e centrati il nome dell’oggetto dell’elogio .

Con il passaggio all’età tardoimperiale, alcune delle caratteristiche formali indi-viduate per questo genere di iscrizioni si conservano, come la scelta di mantenere, al momento del trasferimento su pietra, l’impaginazione che questi testi avevano nella loro redazione originaria . E’ il caso, come abbiamo visto, della lettera imperiale che costituisce parte integrante degli onori a Lucio Aradio Valerio Proculo, che non solo si

56 Svetonio, Caligola, 41: … flagitante populo proposuit quidem legem, sed et minutissimis litteris et angus-tissimo loco, uti ne cui describere liceret .57 CIL, X, 4643 . Cf . anche Agostino, Sermoni, 319, 8: . . . propterea eos (versus) ibi scribere voluimus ut, qui vult, legat. Ut omnes teneant, ideo pauci sunt; ut omnes legant, ideo publice scripti sunt . 58 Su questo particolare aspetto vd . Cavallo 1991, p . 199 e, più sinteticamente, Cavallo 2000, p . 254 .

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differenzia dalla parte iniziale dell’iscrizione per la dimensione dei caratteri, ma che mantiene al suo interno, anche visivamente, la distinzione tra l’intestazione e il resto del testo, con un espediente che si ritrova anche, ad esempio, in un molto più tardo rescritto imperiale di età giustinianea, riportato su una base di Didyme59 .

Ma l’impressione generale che si ricava dall’osservazione dell’aspetto esteriore di questi documenti è quella di una perdita d’interesse per l’immediata leggibilità del testo, eviden-ziata da una rinuncia al ricorso a quasi tutti gli elementi non verbali –  diverse dimensioni dei caratteri, parole isolate e centrate, segni d’interpunzione che non solo distinguevano, ma evidenziavano alcune parole  – che per secoli avevano costituito parte integrante e caratte-rizzante del messaggio epigrafico: le parole si susseguono sulla superficie marmorea in una sequenza continua di caratteri di piccole dimensioni, in cui manca uno studio preliminare dell’impaginazione del testo, con il risultato che spesso l’unico allineamento esistente è quello lungo il margine sinistro, come è evidente nell’iscrizione di Nicomaco Flaviano e come ho proposto di riconoscere anche nel nostro nuovo frammento . Questo fenomeno è stato ben individuato in una recente analisi condotta sulle iscrizioni tardoimperiali di Leptis Magna60 dove, dopo la fine del iii  secolo, l’ordinatio dei testi epigrafici non viene più curata, come in passato, in quanto strumento per trasmettere a colpo d’occhio le informazioni-chiave che il testo doveva comunicare, e l’unico accorgimento grafico usato in questo senso resta, in alcuni casi, il signum staccato con il nome dell’onorato inciso sul coronamento della base o sul plinto della statua . Tale mutamento è stato giustamente messo in rapporto non solo con un peggioramento complessivo della qualità dei manufatti realizzati, ma anche e soprattutto con diverso modo di intendere il messaggio epigrafico e le sue funzioni . Al di là del fatto che, in ogni epoca, la decisione di abbandonare il quotidiano veicolo di scrittura per decidere di “fare un’epigrafe”61 ha comunque un significato in sé, indipendentemente dalle reali possi-bilità che un’epigrafe ha di essere effettivamente letta, infatti, è altrettanto chiaro che iscri-zioni come queste non erano fatte per essere lette anche da chi possedeva solo un’istruzione rudimentale, ma si rivolgevano ad una platea ristretta ed autoreferenziale, che non coincideva più con l’intero corpo civico . L’osservazione attenta, a distanza ravvicinata che questo tipo di documenti prevede, inoltre, risente chiaramente, a mio avviso, dell’evoluzione della tecnica di lettura, che alla recitatio di testi a voce alta – che comunque continua ad essere attestata sia per i testi letterari che per quelli epigrafici62 – vide affiancarsi sempre più spesso, complice anche la diminuzione del numero degli alfabeti e la diffusione del codice, una lettura meditata e silenziosa, appannaggio di pochi individui socialmente identificabili, limitata anche nei luoghi e nelle circostanze63 . Anche le trasformazioni formali, grafiche, esteriori che le iscri-

59 Vd . foto in Feissel 2004 .60 Del Corso 2010, in particolare p . 216-218 .61 Secondo la convincente definizione data da Panciera 1998 .62 Come ha ben dimostrato Agosti 2010, in particolare p . 166-175 .63 Sulle modalità di lettura e la loro evoluzione vd .  la sintesi di Cavallo  1989, p .  329-341, Cavallo  1991, p . 244-245 e soprattutto Cavallo 1995, in particolare p . 45-52 e 61-69 . Interessante il parallelo che si può istituire, in età moderna, tra la nascita del romanzo e la diffusione della lettura silenziosa, secondo quanto suggerito da Loretelli 2010 .

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zioni conoscono nel corso della loro lunga storia, dunque, possono essere utilizzate come indicatori dell’evoluzione che non solo il senso estetico e le capacità tecniche, ma l’intera società conoscono nel passaggio dall’antichità al medioevo64 .

Che una “grammatica dei segni” sia necessaria per recuperare ed interpretare correttamente i diversi messaggi trasmessi dalle diverse parti di cui si componeva il messaggio sincretico costituito da un monumento onorario (statua, plinto col nome dell’onorato, testo dell’iscrizione), del resto, è stato efficacemente sintetizzato da John  Ma in uno studio dedicato alle iscrizioni ellenistiche, ma perfettamente appli-cabile anche al nostro caso65 . La statua, con l’immediatezza del linguaggio delle immagini, dice all’osservatore destinatario del messaggio: “Look at me – guarda me!”; il nome dell’onorato (che, in molti casi famosi, è il suo signum in genitivo), dice “Look at him – cioè guarda lui: questa è la sua statua”, ma il testo dell’iscrizione incisa sulla base non dice né guarda me, né guarda lui, ma piuttosto “Look around you – guardati intorno”, perché è solo in rapporto a un mondo di valori in cui un’intera comunità si riconosce che questo testo acquista un senso, per gli antichi e anche per noi .

64 Cf .  in proposito quanto dice Cavallo  2001, p .  138: “E’ da domandarsi, in ultima analisti, se l’altra lettura – intesa come complesso di pratiche che nel basso impero vengono ad emergere, definirsi o variare all’interno del rapporto tra diffusione sociale dello scritto, competenze culturali, produzione e tipologia dei testi, tecniche e dispositivi materiali del libro, maniere e modalità del leggere – non rientri tra le morfo-logie di una ‘democratizzazione’ delle pratiche intellettuali o, se si vuole, tra le morfologie della stessa tarda antichità” .65 Ma 2007, in particolare p . 220 .

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