B2C n°7 Décembre 2009

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Una noe di felicità A l momento della noe tranquilla, Francesca si addor- menta. Pero, non sa che sta per vivere un’avventura magnifica. A poco a poco, cade nel profondo sonno. L’immagine diventava una mano che la imbarcai nell’avventura riempita d’emozione. Vede un viso complatamente familiale ma troppo differente dal suo ricordo. Era suo fratello che si trova nella pezza fe- tarda dove lagente veniva dappertuo, solamente per vi- sitare Capri, l’isola piccola dell’incontro. La suite en page 3 Journal du lycée Saint-Exupery - bruit2couloir.free.fr - Hors Série - Mai 2008 Poésies Sacré Patrick Pipaud ! Sa meilleure Poésie P2 Nouvelles Una Notte di Felicità Meurtrières ressemblances !!!! P3&4 Le journal qui n’a pas peur des mots ! Une poésie à l’italienne ! (Montage : Maxime Gammaire) Hors série : Quand les plumes se rebellent ! Bonnes vacances ! et à l’année prochaine ! Photo : DR

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B2C Hors Série 1 - Mai 2008

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Una no)e di felicità

Al momento dellano9e tranquilla,Francesca si addor-

menta.Pero, non sa che sta per

vivere un’avventura magnifica. A poco a poco, cade nelprofondo sonno. L’immagine diventava una mano che laimbarcai nell’avventura riempita d’emozione. Vede unviso complatamente familiale ma troppo differente dalsuo ricordo. Era suo fratello che si trova nella pezza fe-tarda dove lagente veniva dappertu9o, solamente per vi-sitare Capri, l’isola piccola dell’incontro.

La suite en page 3

Journal du lycée Saint-Exupery - bruit2couloir.free.fr - Hors Série - Mai 2008

PoésiesSacré Patrick Pipaud !Sa meilleure Poésie P 2

NouvellesUna Notte di FelicitàMeurtrières ressemblances!!!! P 3 & 4

Le journal qui n’a pas peur des mots !

Une poésie à l’italienne !

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Hors série :Quand les plumes se rebellent !

Bonnes vacances !et à l’année prochaine !

Photo : DR

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Un anOn se souvient tous de ce jour par8culier,Quand on nous a malheureusement annoncé,La perte d’un de nos êtres chers,Qui repose actuellement sous terre.

En un an, il s’est passé des choses,Un autre évènement tragique est arrivé,Tout ce que la vie nous propose,Fini toujours par nous être arraché.

En ces sombres jours,La lumière laisse place aux ténèbres,Cela c’est pour toujours,Que la joie laisse place aux ténèbres.

On n’arrête pas de penser à toi,Mais la vie c’est comme çà,Mais la vie est ainsi,Tu nous manques, cousin chéri.

Rossinfeld Florent T° STG3

Poésie : l’envie d’écrire ...

Les portes de l’espéranceDepuis trop longtemps,C’est vrai, j’a9ends,Que le malheur soit banni,De mon étrange vie.

Je veux ouvrir les portes de l’espérance,Je veux fermer celles de la violence,Je veux ouvrir les fenêtres d’un monde,Où rien n’est vraiment immonde.

Trouvons ce monde où la violence,Laisse sa place enfin à l’espérance,Je peux ouvrir les fenêtres d’une terre,Où le chaos soit balayé comme de la poussière.

Je veux ouvrir les portes de l’espérance,Je peux fermer celles de l’ignorance.Je veux ouvrir les fenêtres d’un endroit,Où ne vit pas le désarroi.

Rossinfeld Florent T° STG3

La mort m’a envahi...La mort m’a envahiEnivrant mon cœur d’émoiElle a pris place en moiSans aucun méprisLa flammeA qui9é mon espritDésolé d’existerMon corps s’est désintégréComme un rêve au paradisDe toute façonRien ne me convenaitDans ce présent déboussoléIsolé de tout êtreJe vivais en cap8vitéEvoluant à la ver8calitéD’une envie de paraîtreMais voilàEntre apparaître et disparaîtreIl me sera peut-être donné le droit de renaîtreSoit làLa mort m’a envahiTelle est mon idée maîtreMeurt et devient un êtreQui à la lumière s’épanouitCe chemin je l’emprunteChaque fois l’amenantSur le point imminentOubliant l’étreinteChaude et passionnéeDe deux corps enchevêtrés

Qui cherche à s’aimerDésormais le sang sera glacéDans mon cercueil d’acierJ’aurais une dernière penséePour ceux qui encombrent l’autoritéDans ce9e étrange réalitéEt puis je m’en iraiUn dernier voyageSûrement le plus sageLe regard braquéSur une idée de libertéJe me fais embarquerDésormais ma vie appar8ent à l’éternité

Décembre 2007 Pipaud Patrick

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Meurtrières ressemblances !!!!Plantons le décor : Février 2008,

Avenue Ravioli dans un pe�tcafé à 15h, sur une terrasse au

soleil où la neige tombe.New York City.

Il est vrai que chacun essaye tou-jours de ressembler à autre chose, leplus souvent pour la race humaine, ils’agit de ressembler à quelqu'und'autre…Etant donné que je n'ai pas croisébeaucoup de jeunes filles d'unequinzaine d'années voulant ressem-bler à un photomaton (mais il fautl'avouer, je n'en ai pas beaucouprencontré non plus qui s'inspiraientd'une personne grosse, laide, etcomplètement idiote… oui, je vousl'accorde, ce n'est pas très a:rant),donc la ques8on est : à qui ressem-bler ???Les gens qui sont "les modèles re-produits" par les autres (qui eux, sont enmanque de personnalité totale), sontégalement des personnes qui s'inspirentet convoitent la beauté de quelquechose. Les personnes célèbres s’inspi-rent, tout comme nous, d'autres per-sonnes…

Créer quelque chose de nouveau…

Alors au final, qui essayons nous de reco-pier ?La personne que nous copions est déjàune vulgaire copie d'un autre, dont on nesait même pas le nom ! Il faudrait tout demême être capable d’iden8fier QUI ESTnotre source d'inspira8on, non ? Pourcertains, l’expression « source d'inspira-8on » est bien faible…Car s'inspirer est tout à fait normal, l’es-sen8el consistant à pouvoir faire EVO-LUER les sources d'inspira8on, pourpouvoir créer quelque chose de NOU-VEAU. Certains ne déforment rien etlaisse tout cela fraîchement cueilli, ouplutôt même « volé »… Ils se ressemblenttous à se copier les uns les autres, maisparfois l'un d’eux sort du lot, car il a eul'idée d'y me9re de la bonne volonté, dene pas être fainéant… comme les autres!

Je sais, c'est dur de réfléchir. Il est bienplus simple de faire comme les autres, derêver d'être riche et célèbre, plutôt quede s'iden8fier à une chose moche mêmesi elle est brillante. Tout le monde est

comme cela, c’est désespérant ! Il n'y a aucunplaisir à vouloir être le portrait craché, la platecopie d'une actrice de cinéma, il faut savoir y «me9re du sien ». Me9re notre personnalité danstout ce que nous faisons, et ne pas se transfor-mer en une stupide bête de foire. En un moutonsuivant bêtement le troupeau : car il se pourraitbien que la première pauvre brebis soit une cen-tenaire (et qui sait, peut-être même une brebiscentenaire acariâtre !) qui, ne voyant pas plusloin que le bout de son nez, tombe de la falaise,en emportant avec elle tous ses ex-congénères !

Une solu(on à tout ce massacre ?

Je me le demande s’il en existe une… Je remer-cierai celui qui inventera les lune9es pour « Bre-bis hors-service » (et sûrement acariâtre,n’oublions pas ce détail, pe8t certes, mais fran-chement important !).

Se créer son monde à soi…

Et après tout, pourquoi cri8quer ? Allons mainte-nant voir un peu de l’autre côté, dans le sens in-verse de mes paroles précédentes...Je n’aime pas les cri8ques gratuites et non fon-dées. J’essaye donc de trouver des bons côtésdans chaque chose, car rien n’est tout mauvaisou tout parfait. La perfec8on n’existe pas, ni dansun sens, ni dans l’autre. Et contrairement à ceque pouvaient croire les Humanistes, la chose aumonde qui est la moins perfec8ble, c’est bienl’Homme…. D’ailleurs, être parfait serait d’unennui fatal ! Imaginez, tous, nous cri8quons,nous dérangeons et nous mentons ! Ne dites pasle contraire, sinon vous seriez déjà exclus du

monde parfait. Mais en l’avouant,vous avoueriez ne jamais y êtreentré…

Alors où est le juste milieu ? Que faut-il faire : suivre ? copier ? Sur quoiprendre exemple ?Il faut sûrement se créer son monde àsoi, dans lequel notre vision de la per-fec8on sera possible, où nos goûts etnos dégoûts seront mûrs et vrais. Oul’on ne se men8ra jamais à soi-même.Et cet endroit, situé au fin fond de nosentrailles, n’essayera pas de ressem-bler à quelqu’un d’autre ; pour cela, ilinventera chaque jour un nouveaubrin de personnalité et un nouveaudésir de connaître ce qu’il est ; àchaque pas sur le bitume noir etchaud en été et gelé l’hiver, surgiraune nouvelle idée qui sera parfaite. Etpersonne n’aura le droit de cri8querou de vous faire changer d’avis sur CE

QUE VOUS ÊTES.

De vulgaires choses moches…

Car personne n’a le droit de vous cri8quer sansjugement. Qui sont-ils pour juger les autres ? Jene connais aucun diplôme sanc8onnant descompétences en tant que « Grand Gourou Cri8-queur » ! Et pourtant, on croise tellement demembres dans ce9e secte ! Mais ils se ressem-blent tous, et finalement ce sont eux qui ne sontque de vulgaires choses moches… Car à l’inté-rieur, une bombe nucléaire a détruit leur pe8tjardin secret, a détruit la perfec8on qu’y pouvaitles sauver…Ils sont sûrement irrécupérables… A moins queje trouve quelqu’un capable d’inventer de « l’En-grais pour cœur », car cela ne semble pas exister(peut-être chez Gam Vert, j'irais regarder ceweek-end !).

Les deux grandes inven(ons du siècle…

Il faut donc bien l’avouer, les deux grandes in-ven8ons du siècle, seront peut-être (il faut l’es-pérer) des « Binocles pour Chef de TroupeauBigleuse » ou encore de « l’Engrais de Gre-nouilles », capables de ressusciter un brin desen8ment sincère chez tous les Démunis decoeur du monde.

Héloïse PRIM

Photos : DR

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Una notte di felicitàAl momento della no9e tranquilla, Fran-

cesca si addormenta.

Pero, non sa che sta per vivere un’avventuramagnifica. A poco a poco, cade nel profondosonno. L’immagine diventava una mano che laimbarcai nell’avventura riempita d’emozione.Vede un viso complatamente familiale matroppo differente dal suo ricordo. Era suo fratelloche si trova nella pezza fetarda dove lagente ve-niva dappertu9o, solamente per visitare Capri,l’isola piccola dell’incontro. La sera per festeg-giare l’incontro, una grande festa è organizzataper ques8 giovani. Ballavano, ridevano, si diver-8vano sano e salvo, prendono una scala moltolunga che potevamo cara9erizare la « Via sacra» al tempo dei Greci. Il sogno si approfondivaman mano che salivano e prendevano in al8tu-dine. Alla sommità da Capri, Francesca e Valen-8no si prendevano mano nella mano, tu: e duesi misero a pensare. Vedono l’uomo alla cinturarossa che cantava per vivere, le donne tu9e 8-mide ma anche viziose per approdare degliuomi, il pi9ore tanto appassionato. Notaronouna porta magica e misteriosa alla forma. Entra-rono e crearono : E magnifico !Era un ristorante complatamente fantas8ca chepreparava tu9e le specialità italiane, il paradisoper i giovanni. Si installarono e Francesca ordinail suo piano ed anche suo fratello. Quandohanno comminciato a mangiare, si raccontaronocome era la vita di Francesca senza suo fratello.Valen8no vede vicino del ristorante, il villaggioda Pompei. Lo guardarono con ammirazione, lovisitarono ed ammirarono le vecchie condizionidi vita, i vecchi modi di vivere, tu9a la cultura an-8ca, le sculture molto importante per gli italianiperché erano gli dei greci che erano rappresen-ta8 o dei protagonis8 della cità di Napoli.Alla fine della vista, un’altra porta prediceva ilpeggio. Una volta di piu, sen8rono la sensazionedi essere in altezza, un’altezza sconsiderata,erano sul Vesuvo che sputava dei fumi terribili.

Restarono molto stupi8 e impressiona8 daquesto vulcano. Francesca decise di avvincinarsie scivolo, si ritrovarono a ululare da paura.Finalmente era nella sua camera e si era alzatadal suo le9o da paura di questo sogno.

Lilia El Abed S4

Photos : DR